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Art de Séduire : Séduction

Théorie VS Pratique : pourquoi la drague, ça ne se passe pas toujours bien sur le terrain ?

drague pas bien sur terrain

Drague

Théorie VS Pratique : pourquoi la drague, ça ne se passe pas toujours bien sur le terrain ?

Théorie VS Pratique : pourquoi la drague, ça ne se passe pas toujours bien sur le terrain ?

drague pas bien sur terrain

J’ai rencontré Jérôme et je n’ai pas compris pourquoi ce besoin de coaching en séduction chez ce jeune homme bien de sa personne.

Beau gosse, bon style bien sapé, bonne diction, études supérieures prometteuses, le souci était donc lié à la confiance en soi chez ce jeune homme qui m’a avoué lire Artdeseduire depuis plus de 4 ans et être un puits de connaissances théoriques.

Résultat : même s’il sait comment faire en pratique, Jérôme a mis le doigt sur un point important : « Mais Sélim, en fait le truc, c’est qu’il y a parfois un fossé entre ce qu’on peut apprendre sur Artdeseduire et la réalité du terrain ».

La vraie drague VS la théorie de la séduction : vous allez comprendre pourquoi parfois, les conseils que vous lisez ne fonctionnent pas pour vous… et comment y remédier !

La vraie drague de terrain VS la drague théorique sur Artdeseduire : on a écrit cet article nécessaire avec Jérôme, 19 ans.

Entre ce qu’il lit depuis son entrée au lycée et ce qu’il vit au quotidien en matière de drague, il y a un fossé monstre. Posé, analytique, mais drôle, et très lucide sur ses forces et ses faiblesses en termes de drague, Jérôme a déjà couché avec des filles, a été amoureux et a vécu deux vraies relations, avant d’avoir le cœur brisé.

Les coups d’un soir, bof, pas trop pour lui. Il préfère se poser, préfère la stabilité d’un couple. C’est grâce à ce jeune cœur brisé qu’on a établi la liste des 5 différences entre le monde merveilleux de Artdeseduire et la réalité du terrain !

 Différence 1 : les filles et l’alcool

Dans le monde merveilleux d’Artdeseduire, on sent souvent que les rendez-vous se passent bien et que les filles sont heureuses de rentrer avec Sélim, Eros ou tout autre player de la team Artdeseduire.

En réalité, Jérôme, 19 ans, nous décrit une situation où « les filles de son âge découvrent pour la première fois la vie loin de chez papa et maman et se mettent des races incroyables, gerbent autant que les mecs et alignent autant de shots que les plus gros buveurs de sa promo.

On est bien loin de l’image de la princesse qui doit être sauvée par le prince…

Si à 22 heures, au début de l’apéro, les filles font encore un peu peur au sens où on a peur de prendre un râteau, sur le coup des quatre heures du mat, aussi appelées 3 grammes du mat’, on a peur qu’elles nous sautent dessus et nous vomissent dessus.

Oublie le glamour, coach ! »

Et les chiffres lui donnent malheureusement raison, qu’il s’agisse du binge drinking ou de la clope, les filles d’aujourd’hui sont des mecs comme les autres… (Les chiffres des femmes et de la clope sont fous…)

 Différence 2 : les filles sont intéressantes

Dans les situations théoriques d’Artdeseduire, on décrit souvent les conversations entre le séducteur et la séductrice comme étant des conversations intéressantes. Deux univers qui se rencontrent, parfois deux êtres qui se complètent, s’attirent, se testent…

Dans les faits, Jérôme se montre un peu plus réservé…

« En réalité, quand tu essaies de creuser un peu, il n’y a rien. Du vide, du vent, RIEN. Les Anges de la Télé-réalité… Et sans être snob, parce que je n’en ai pas les moyens, je préfère lire des bouquins, essayer de me cultiver, réfléchir à des projets, faire du sport, plutôt que mater ces merdes à la télé. C’est un drame sans nom, quand tu te retrouves face à une fille qui n’a aucun univers à elle, qui peuvent te parler de ce que faisaient leurs ex, mais pas de ce qu’elles font elles… »

Alors les filles, manque de conversation ? Sans mettre toutes les filles dans le même panier, on peut avancer sans trop se tromper que nombre d’entre elles ont été élevées dans le but de plaire, d’être mignonne. On ne leur a jamais demandé d’être intéressantes.

Punchline du torchon de Valérie T, Merci pour ce moment signé François H : « On ne te demande rien d’autre que d’être belle »

C’est ainsi qu’on va se retrouver avec deux groupes de séducteurs : ceux qui ont besoin de partager des conversations avec leurs copines intéressantes, qui les considèrent vraiment comme des bros à part entière (la b*te en moins), et ceux qui se « contentent » d’une fille mignonne et s’amusent avec leurs potes…

Faut-il apprendre aux filles à parler davantage d’elles-mêmes, les pousser à se créer un univers ? Faut-il les aider à prendre conscience de l’intérêt et l’importance de la conversation ?

Ou alors Jérôme est-il trop exigeant ? Toujours est-il que les dragueurs en série vous le diront tous : rien de pire qu’un rendez-vous où tu es obligé de faire 90% de la conversation…

 Différence 3 : les potes qui te mettent des bâtons dans les roues

Jérôme me pose des questions sur Eros, sur ce jeu de balles les yeux fermés, sur tous ces automatismes acquis au fil des ans à deux. Il aimerait bien aussi trouver un wingman en qui avoir confiance, il se dit que la drague à deux, c’est mieux !

Mais lui ne rencontre pas de wingman de qualité. Dans son cercle d’amis, des potes du lycée et de sa formation actuelle, ses potes sont en couples, et les autres n’ont pas envie de se bouger car ils savent qu’ils n’ont qu’à attendre le week-end et les soirées organisées par le BDE…

Entre le wingman parfait décrit sur ADS qu’il essaie d’être, quand il tente des « Have you met Ted ? » qui fonctionnent pour ses potes et ses potes passifs, inactifs, incapables de lui renvoyer l’ascenseur, il y a un monde.

Mon point de vue de coach en séduction sur la question : c’est aussi lié à la maturité des mecs… Nous avons tendance à être mûrs un peu plus tard, et pendant des années, on pouvait se faire des coups de putes énormes avec Eros, pour la suprématie.

Aujourd’hui, on s’en fout, on n’est plus dans un combat de bites, on essaie vraiment de jouer pour la team… (ça ne peut fonctionner que si la team y trouve un avantage, que si un équilibre est à peu près atteint. Si c’est toujours le même qui croque, la team va vite imploser…)

La seule solution : former son wingman, partager les articles d’Artdeseduire encore et toujours, et surtout sortir et vivre des situations à deux, à trois, à quatre pour prendre des habitudes et débriefer ensemble des situations de drague vécues…

 Différence 4 : les filles face aux mecs matures

Dans l’univers d’Artdeseduire, on pousse les apprentis gentlemen à réfléchir à leur vie, à ce qu’ils veulent en faire, à avoir des projets et des ambitions. La plupart des mecs que je connais, à l’adolescence, c’est un peu American Pie dans leur tête !

Il faut baiser à tout prix, quitte à coucher avec n’importe qui, quitte à mentir sur ses sentiments pour pouvoir goûter au fruit défendu ! Résultat, ce cliché, les filles se passent le mot de mères en filles : « Les hommes ne pensent qu’à ça… »

Sauf que là, notre apprenti player Jérôme ne se sent pas à l’aise face aux filles de son âge. Lui se trouve face à des rivaux de 25-30 ans, quand il essaie de draguer les filles de 19-20-21 ans. Il envisage déjà une relation stable avec une fille et n’imagine pas se mettre des races tous les soirs, préfère boire un bon verre de vin que s’enfiler des Jack Coca ou des vodka pomme pour se péter la tête…

Les filles se montrent aussi déstabilisées par les approches un peu « différentes » qu’il peut avoir : plus intellectuelles, plus subtiles, là où ses rivaux dansent sur la piste, paient des verres en boîte et finissent à quatre heures du mat’ à rentrer avec des filles bourrées.

Mon conseil de coach en séduction : attention à ne pas vouloir la jouer trop intelligente, à vouloir toujours faire le mec au-dessus du lot. Parfois, une fille a besoin de « normal », a besoin de « simple ».

Quand une routine ne fonctionne pas, quand un sujet de conversation trop intelligent ne fonctionne pas, quand la feinte du « Si on te donne un million demain, tu fais quoi avec ? » ne suscite aucune réponse, aucune lueur dans ses yeux, il faut revenir à de la drague basique. Compliments, danse, animalité…

Un bon séducteur sait s’adapter… ou passer à autre chose si vraiment il ne se sent aucune affinité avec la fille !

 Différence 5 : les soucis logistiques

Dans l’univers d’Artdeseduire, on pourrait croire que le gentleman célibataire a tout du James Bond : le lifestyle, la vie de rêve, la répartie et l’élégance. Il est vrai qu’on a des modèles, des hommes, des figures paternelles qui nous tirent vers le haut.

Dans notre quête du bonheur, de l’épanouissement personnel et de l’amélioration, en route vers cette inatteignable perfection, on pousse nos lecteurs à se dépasser pour donner le meilleur d’eux-mêmes, pour qu’ils deviennent l’homme de leurs rêves.

Le fossé qui sépare la vie de rêve de l’homme séduisant qui lit ADS et un Jérôme, étudiant de 19 ans est énorme, notamment à cause des conditions logistiques.

Les étudiants ne sont pas les seuls « exclus » de cette vie de rêve : les chômeurs galèrent eux aussi à trouver leur place sur le marché de la séduction, et les mecs qui habitent loin aussi (banlieue ou province, où sortir et faire des rencontres quand on n’habite pas dans un ensemble urbain ?)

Même sur un coup de chance, me racontait Jérôme, s’il réussissait à séduire une fille dans un bar ou une boîte trop chers pour lui, il faudrait ensuite lui dire « Viens, on rentre chez moi en voiture, on en a pour une heure, et demain tu peux rentrer en RER… » La galère assurée…

Mais c’est une galère qu’on a connue aussi avec Eros : sans un rond, on rentrait quand même dans (presque) toutes les boîtes de Grenoble, de la Côte d’Azur, de Paris ou du Cap-Ferret. Ni fiers, ni honteux, on vous a déjà dit que plus d’une fois, le barman ne nous voyait pas de la soirée : l’eau des chiottes, potable et gratuite, et très douce pour nos portefeuilles nous sauvait…

Alors forcément, quand matériellement on galère pour payer un verre, ce n’est pas facile d’envisager une relation épanouie avec une fille, avec des restaurants, avec des week-ends etc…

Mon conseil à tous les Jérôme qui nous lisent aujourd’hui : business first. Les études ne durent qu’un temps. Un temps où vous serrez les dents, où vous réfléchissez à des combines pour faire un peu plus de cash. Un temps où vous choisissez une voie qui paie pour la suite.

Mais, et c’est là qu’il faut vous détendre un peu : vous êtes intéressant. Vous avez envie de changer. Vous voulez profiter de la vie. Vous êtes ambitieux. Vous vous cultivez. Les filles rechercheront votre compagnie, et vous compenserez vos soucis logistiques et matériels par de l’écoute, de la tendresse, de l’humour, et une grande complicité avec votre chérie !

On reste positif, et on travaille sur sa VALEUR pour se démarquer des autres !

Encore un grand merci à Jérôme pour cette idée d’article ! Vous voyez d’autres différences entre Artdeseduire et la drague sur le terrain qu’on n’a pas abordées ici ?

Sélim et Jérôme, coach en séduction, et lecteur expert en théorie

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101 Comments

101 Comments

  1. tarima

    20 décembre 2014 at 14:34

    SaLut ADS!! en fait je suis de Bordeaux et je cherche un wingman chaud pour allez draguer et se chauffer sur le terrain( mon wingman est parti en vacs 🙁 ). Je sais qu’il faut aller sur le forum mais je sais pas comment il faut s’y prendre). Donc si quelqu’un peut m’aider ce serait très sympa!?!

    • Léo

      20 janvier 2015 at 12:56

      je viens de voir ton commentaire, moi aussi je suis sur Bordeaux si tu veux on se captes pour chopper (si le message tiens toujours) ^^

    • tarima

      20 janvier 2015 at 21:53

      Salut Léo. Moi ça tient toujours!!Je suis chaud et j’ai fait pas mal de progrès au niveau de l’abordage ;). On se capte comment?

  2. des Esseintes

    20 décembre 2014 at 17:16

    Les jeunes hommes intelligents et subtils ne sont pas les seuls à mesurer le fossé qui sépare la théorie d’ADS de la pratique à chaque qu’ils ont affaire à des femmes qui dissimulent mal derrière une épaisse couche de fond de teint une personnalité ectoplasmique. Il suffit d’habiter en ruralité, régions désertées par les femmes diplômées, pour faire le même constat. Les filles curieuses, cultivés et intéressantes y sont rarissimes. La plupart des campagnardes préfèrent d’ailleurs les hommes rustres, les méthodes de séduction avisées, fines et raffinées leur échappant d’ailleurs bien souvent, quand elles ne se heurtent pas directement à leur mépris le plus viscéral.
    Bref, j’ai constaté avec le temps que les armes qui sont les miennes achoppent sur ces femmes là, alors qu’elles se sont autrefois – et le sont encore les rares fois où je tombe sur des femmes qui y sont sensibles – révélées très efficaces dans le sérail universitaire où j’ai fait mes armes. Il faut selon moi se faire une raison, l’humour fin, l’esprit et la subtilité ont besoin d’un terreau favorable pour se déployer, ils ne peuvent avoir d’emprise que sur les femmes qui savent donner le change. Ces femmes là se sentiront pousser des ailes en ta présence.

    Alors quand Sélim recommande de s’adapter à sa cible, j’avoue que je ne le suis pas trop. Parce que d’une part, jouer avec des armes qui ne sont pas les tiennes peut s’avérer inefficace (au mieux) ou risqué (un peu comme si on demandait soudainement à un avant-centre de jouer gardien de but), et d’autre part, parce que ça va un peu à l’encontre de la philosophie d’ADS qui pousse en principe chacun à cultiver son petit jardin et à développer sa personnalité. Soit tout l’inverse d’un marchand de tapis qui louvoierait entre plusieurs argumentaires de vente selon la cible du moment.

    • Sélim

      21 décembre 2014 at 12:18

      Hello des Esseintes, comme tu le décris bien ici, parfois, certaines filles ne sont pas faites pour donner le change. Pas le niveau, pas la même répartie.
      Ca nous est arrivé en soirée de nous faire EXPLOSER par des filles qui deux minutes plus tard se trémoussaient avec JO l’idiot en marcel moulant : simplement pas attirées par les mêmes choses.
      On représente tous des valeurs, des modes de vie différents, il faut trouver les filles qui nous conviennent, ou changer d’environnement si on sent que ça ne passe pas. L’universitaire en boîte de nuit : peu de chances de succès…

    • florian

      21 décembre 2014 at 20:02

      Alors je vais me permettre de rebondir la dessus.
      Effectivement je suis un jeune intelligent, subtil et sensible. Désolé j’ai pas envie de me la jouer faussement modeste. Bref je suis surdoué.
      Ce que je recherche ce sont des femmes intelligentes, intéressantes, honnêtes …
      Et bien en 4 années de vie a Toulon, j’en ai croisé aucune. Que des nanas banales, sans relief. Bref ennuyeuses.
      Du coup vu que je m’installe a Paris, ou est ce que je pourrais trouver ces femmes intéressantes ?.

      Merci????

    • COCO

      21 décembre 2014 at 20:35

      Salut,

      C’est vrai que quand on a du mal financièrement et matériellement on part avec un désavantage assez conséquent moi je trouve, ça fou les boules quand je vois que c’est ce qui me met les bâtons dans les roue, sinon pour ma part le game se déroule toujours bien la plupart du temps, ça serait bien que tu nous fasse un ptit article pour surmonter l’handicape financier et matériel qui nous complexe et nous empêche de donner le maximum pour ceux qui sont dans mon cas, j’ai toujours un peu de honte quand elle commence à s’apercevoir l’étendu de ma situation qui est selon moi bof, je pense que la honte est un sentiment normale après et que l’on peut la surmonter mais bon… un bon article de ta part serait sympa.
      Merci.

    • Sélim

      22 décembre 2014 at 09:50

      Hello COCO, je te conseille de reprendre l’article « comment la draguer sans vous ruiner » !
      C’est celui qui s’en rapproche le plus !

  3. Terrigan

    20 décembre 2014 at 17:17

    Bon, je me lance :

    6) Différence numéro 6 : même pas mal ?

    Dans le manuel il est marqué qu’on fait de son mieux et que si ça ne le fait pas, eh bien tant pis, c’est pas grave. A part que :

    – Des fois on y a tellement cru, on a trouvé la fille tellement craquante, que le râteau fait mal. Et ça casse l’enthousiasme pour se remettre en selle.

    – Des fois on surfe sur de mauvaises vagues, et la répétition des échecs finit par saper la confiance et cet enthousiasme que j’ai décrit plus haut.

    – Des fois aussi, le lifestyle n’est pas au rendez-vous et le travail, les horaires, l’endroit où on habite, font qu’on a du mal à rencontrer des filles. Alors forcément, plus les rencontres sont rares, plus les échecs sont décevants…

    LA SOLUTION ?

    Se faire du bien, sortir pour s’amuser, se faire plaisir à discuter avec les filles. Même si il faut un peu se forcer pour (re)démarrer la machine.

    Les gagnants ne sont pas ceux qui ne perdent jamais, ce sont ceux qui rebondissent bien en cas de défaite !

  4. Gecko

    20 décembre 2014 at 17:20

    Théorie vs pratique, vaste sujet. C’est pour moi, alors, accrochez-vous.

    Chapitre I : Encore faut-il avoir de vraies théories.

    Quelques caractéristiques essentielles des vraies théories :

    1 – Les vraies théories sont invariantes par rapport aux contextes (exemple : avoir confiance en soi est séduisant) ou définies par rapport à un contexte bien précisé (exemple : les techniques de draguent diffèrent en NPU et en SPU).
    Comme le disait un article récent, il faut, pour avoir de l’influence, rester cohérent. Pour bien se faire comprendre, il faut éviter les messages contradictoires qui par exemple d’un côté poussent à agir et de l’autre à une certaine passivité de prizing. Pour ne pas semer la confusion, il faut absolument avoir la rigueur intellectuelle de préciser systématiquement les contextes où ces deux méthodes s’appliquent pour éviter d’avoir l’air d’énoncer une vérité absolue un jour et le contraire un petit peu plus tard.
    Autre exemple : abordez un bombe HB9-10, c’est pas + dur qu’une autre, puis faire un autre article qui dit, si vous galérez avec des HB, soyez réalistes, mangez un peu de thon pour ne pas mourir de faim. Que ce soit Sélim par exemple qui dise l’un et Eros qui dise par exemple le contraire n’est pas une excuse : une théorie crédible doit être cohérente, ou alors préciser pourquoi dans un cas c’est comme ci et dans l’autre comme ça. Sa s’appelle la rigueur intellectuelle.
    Si la rigueur intellectuelle n’est pas séduisante intrinsèquement (dans le discours à une target qui doit être plutôt émotionnel), elle donne de la clairvoyance et de la lucidité d’esprit, une cohérence, un Inner Game finalement séduisant (et field-testé : on séduit mal au contraire avec des idées confuses et contradictoires sur les principes à appliquer donc on a pas confiance en soi) (on a confiance en soi quand on a les idées claires sans trop de doutes ni de contradictions – donc de bonnes bases théoriques bien comprises et en lesquelles on a vraiment confiance).

    2 – Les vraies théories énoncent des vérités sur lesquelles on peut faire des raisonnement logiques et déductions qui ont de bonnes chances de se vérifier sans essai préalable. Exemple : je peux savoir d’avance qu’une attitude ou un sujet de conversation est needy sans l’avoir jamais expérimenté ni lu nulle part dans aucun article, seulement parce que j’ai bien compris ce que c’est que d’être needy. J’ai compris le concept. C’est un vrai concept. Et je peux l’appliquer en pratique dans l’infinité des situations telles qu’elles se présentent sur le terrain pour écarter d’avance des erreurs rendues ainsi prévisibles. C’est efficace, c’est de la bonne théorie.

    3 – Les vraies théories sont ancrées dans la réalité.
    Les théories sont induites par l’esprit humain dans tous les domaines en fonction de principes apparemment constants dégagés intuitivement d’une somme d’expériences pratiques relativement diversifiées. L’hypothèse d’une règle s’en dégage. Exemple : les filles ne se laissent pas séduire avec des arguments rationnels mais plutôt avec des connexions émotionnelles. Difficile à expliquer, à comprendre pourquoi, mais il faut l’admettre par l’expérience. On vérifie, ça marche. Je soutiens que la séduction peut et doit garder un aspect scientifique sous cette forme de cycle observation – hypothèse – essai – validation.

    4 – Les vraies théories s’appuient sur un vocabulaire systématique et bien défini.
    La rigueur intellectuelle, le systématisme sont les vertus principales qui m’ont plu en débarquant ici, avec les abréviations techniques qui donnaient un corps structuré à la drague, une vraie révolution par rapport aux articles sur le sujet en fin de magazine que je pouvais lire avant, et qui eux aussi, pouvaient dire un coup ceci un coup cela en fonction de l’auditoire visé, de l’humeur de l’auteur etc…
    Attention donc à ne pas, en reniant par exemple l’usage du lexique (sous prétexte notamment de défense de la langue française, c’est en réalité un vrai faux problème), tomber dans des expressions vagues et mal définies. Alpha ou PUA par exemple sont bien définis, gentleman pour moi sa ne passe pas, c’est tout et rien, ça peut limite être un Nice Guy – ou alors je veux une définition dans le lexique – sinon je ne fais rien avec ce mot.

    Chapitre II : Je suis surtout sensible aux questions logistiques.

    Il faut arrêter à mon avis de présenter le lifestyle de rêve, la réussite scolaire et professionnelle comme des passages obligés, notamment pour séduire les plus belles HB. Il y a bien sûr quelque chose de vrai mais en séduction on a droit à l’ambition sans changer d’emploi ou de filière scolaire ou professionnelle. C’est trop lourd, trop long parfois surtout quand on prend de l’âge, et reconnaitre que dans beaucoup de cas c’est complètement irréaliste ou tout simplement inopportun par rapport aux choix de vie, sans remettre la qualité de la séduction possible directement en question.

    Et arrêter de culpabiliser ceux qui n’ont pas réussi autre chose ou pire, les considérer avec condescendance. Le langage du coaching dit trop souvent « quand on veut on peut », avec une sur-responsabilisation individuelle. Alors que les contraintes sociales sont puissantes et vraies : naître dans telle ou telle famille, dans tel ou tel milieu. Dire que tout est toujours possible, c’est mentir, trop vendre du rêve et finalement de l’amertume et de la déception. Une bonne stratégie consiste d’abord à identifier les vraies contraintes. Zéro contrainte, c’est du déni de réalité. Chacun est responsable de ses vrais choix, pas de ses vraies contraintes. On avance dans la vie comme dans un labyrinthe avec des murs, des couloirs, et on ne sait pas toujours où on va quand on choisit (soi-disant) telle ou telle filière ou option, il faut revenir à cette réalité et relativiser le sempiternel « vous êtes maîtres (et par là responsables) de votre destin ». Si la société s’y oppose, un individu seul ne peut pas lutter. La société aussi doit assumer ses choix vis à vis des individus. Oui, les échecs, c’est aussi souvent de la faute des autres. Parce qu’ils avaient le pouvoir, le choix, et l’ont imposé, la responsabilité ne peut être chez celui qui subit. Ne pas subir c’est aussi du déni de réalité. Le droit de fermer sa gueule ne mène nulle part non plus en société. Field-testé dans un sens et son contraire. Qui ne se plaint jamais consent, et qui consent tout finit par subir.

    Si des cassoces arrivent à séduire de belles HB, et moi en NPU ça me crève les yeux, il faudrait des méthodes qui marchent pour tout le monde y compris pour des mecs qui ont des revenus moyens voire actuellement carrément médiocres et sans vraies perspectives de changer, et proposer autre chose que le trop systématique « TAKA changer de job pour changer de vie ». Il faut pouvoir avoir de l’ambition en séduction sans ça et le site devrait progresser là-dessus.

    Bien sûr, sortir d’une grande école de commerce, être jeune et plein de promesses d’avenir, c’est l’idéal, ça ne peut que plaire aux filles, on peut + facilement devenir un sérial lover de beautés triées sur le volet et enseigner des techniques qui marchent issues de nombreuses expériences valides.

    Il faudrait pourtant à mon sens sortir du « modèle unique » du PUA. Discerner ce qui a marché chez Sélim et Eros (par exemple) parce qu’ils ont été Sélim et Eros (par exemple) avec leur cursus, leur vie et leur expérience, et discerner quelles méthodes (qu’ils ont acquises) peuvent vraiment en pratique être accessibles au prolo moyen, en lui disant autre chose que « deviens si tu le peux comme Sélim ou Eros en travaillant bien à l’école » « travaille beaucoup pour acquérir leur lifestyle (comprenez niveau de vie donc de revenus) » ou pire « drague les thons dont ils n’ont pas voulu »…

    Même si je reconnais que les deux sont connexes, le but premier est de séduire, par rapport à cela, le lifestyle et la situation sociale devraient ne rester qu’accessoire.

    Début LOL :
    Parce que tu comprends, prolo, le capital économique C 1 des premiers critères de sélection des femmes, le docteur es-sciences humaines machin-chose l’a écrit dans un livre…
    Donc mange du thon, prolo.
    Quant aux jeune, travaillez à l’école !
    FIn LOL

    Parlons-en donc de travailler à l’école, de serrer les dents et d’y arriver. Dans la cour du lycée je draguais comme un salaud (qu’est-ce que vous croyez ? avec des kino-escalations torrides dont je frémis encore). Pourtant c’était toujours les mecs qui ont fait + tard la filière HEC qui me piquaient mes targets ! Pourquoi ? Ils n’étaient pas encore en prépa HEC, mais dans la même classe que moi, mais pendant que je pianotais sur mon ordinateur et que je recherchais des solutions à des problèmes de maths durs en me gargarisant que j’étais un génie (quel Inner Game, Gecko, tes chevilles), ces messieurs étaient sociables, avaient un réseau d’amis, travillaient à plusieurs, préféraient les sciences « molles », l’histoire-géo, le français, l’initiation aux sciences éco…
    C’est donc moins une question de filière scolaire que d’état d’esprit, de tempérament personnel.

    Donc j’ai serré les dents, j’y suis arrivé, à 25 puis 30 ans j’avais un lifestyle de mieux en mieux mais j’étais à peu près dans la situation suivante : https://www.youtube.com/watch?v=OWZiL2liTrM

    Et me revoilà 20 ans + tard (du fait des circonstances de la vie) à suivre les cours de drague de mecs qui ont ce profil de la filière HEC au lycée. Je n’ai pas honte, je leur tire même mon chapeau, sa ne m’étonne pas finalement que certains d’entre eux en arrivent là, mais je voudrais que leur enseignement débouche sur des éléments plus universels, vraiment applicable pour les gens qui ne sont pas comme eux.
    Quand j’ai lu par exemple un couplet sur le baise-main (Sélim se souviendra probablement où c’est) j’ai eu du mal, me suis arrêté de lire et ai soupiré : Sélim comment veux-tu me donner des conseils qui marchent pour moi si on ne vit pas dans le même monde ?

    En résumé, il faudrait s’éloigner du « devenez comme le modèle unique » pour dégager ce qui est susceptible de marcher pour vraiment tout le monde, le peuple, vous savez, le prolétariat, la masse. Sa devrait parler aux commerciaux des grandes écoles quand même. Il faudrait juste qu’ils apprennent à se mettre mieux dans la peau de mecs vraiment moyens (sans trop de moyens).

    Et ne dites pas que les prolos ne peuvent pas séduire des HB à long terme, j’ai plein de contre-exemples, et les cités craignosses sont pleines de jeunes HB sans un rond (et sans grands diplômes) qui galèrent au chôme-dur et ne rencontreront jamais le prince du pétrole dont elles rêvent, mais peut-être un mec moyen, droit dans ses bottes, qui sait ou il va et a confiance en lui !

    Chapitre III

    Juste une petite remarque encore sur la difficulté de trouver un wingman « bien ».
    Comme je n’y arrive pas non plus, j’ai opté pour les wing-girls HB.
    D’abord les draguer. Puis si ça ne marche pas, assumer la FZ pour le Social Proof.
    Si les résultats en terme de drague ne sont pas évidents immédiatement, en dynamiques sociales et construction de réseau d’amis ça a l’air de faire son chemin.

    Gecko intello porte-parole des prolos

    • Bilou

      21 décembre 2014 at 01:43

      Question très personnelle Gecko: pourrais-je savoir ce que tu fais dans la vie? Je tente: prof de philo? ^^

    • Gecko

      21 décembre 2014 at 16:09

      Parce que pour toi, Bilou, il faut forcément être prof de philo pour écrire comme je le fais, pour avoir un peu de rigueur intellectuelle et une réflexion un peu construite sur un sujet pratique ?

      Si tu m’avais lu vraiment attentivement, tu ne poserais pas cette question personnelle inutile et à côté du sujet.
      Surtout que quand j’aborde ci-dessus mon passé au lycée, on peut deviner que mon orientation scolaire puis professionnelle ne correspond pas à ta supposition.

      Comme je l’explique ci-dessus, le but ne doit pas être de vendre un modèle unique de personnalité ou de cursus, mais trouver des enseignements qui peuvent servir au plus grand nombre de façon pratique et claire, pas forcément simple, mais intellectuellement rigoureuse, c’est pas pareil.

      J’ai par exemple apprécié l’article organigramme de drague par SMS.
      http://www.artdeseduire.com/draguer-au-telephone/infographie-drague-sms
      Par forcément pour la forme, mais bien pour l’esprit dans lequel il faut selon moi développer encore la structuration des techniques de séduction.

      Et là tu peux peut-être deviner + intelligemment le genre de métier que je peux faire dans la vie, mais encore une fois, ce n’est pas du tout la question.

    • Adriano

      21 décembre 2014 at 22:14

      C’est tres interessant ce que tu dis Gecko j’en ai lu que quelques lignes mais je vais lire ca demain tkt pas ton article n’est pas passer inapercu et je peux te dire deja que tu as du tres bon inner game !!
      ps: Selim est tres orienté high statut social, reussite professionnel, reseau etendu, argent et lifestyle je ne sais pas pour eros mais il m’as l’air plus dans le direct game et moins comme selim indirect game et social game.
      Selim etait dans la vente Gecko donc son model de la seduction est resté le meme que dans la vente c’est a dire tout dans le marketing et comment vendre le produit ! tu comprend ; ) (et oui jtai bien cerné selim ah hahaha)
      je reviendrais te lire gecko je dois y aller (ma copine est la) a plus gecko, a plus selim ; )

    • Bilou

      22 décembre 2014 at 04:14

      Gecko, pas besoin d’employer ce ton agressif, c’est ça qui est vraiment inutile. Et j’ai posé la question avant d’avoir terminé de lire ton commentaire, j’ai bien vu que c’était pas la philo 😉

      Peace,
      Bilou

    • Lewis

      23 décembre 2014 at 07:07

      Je suis à moitié d’accord avec ce que tu dis Gecko,
      Sur ce site, les articles tendent presque tous vers le même principe tautologique: celui de l’alpha.

      Tu critiques le modèle unique mis en avant par Selim mais justement le monde est scindé partout!
      -Dans le cadre du travail, il y a les patrons et les ouvriers (tu cites K.Marx donc je te reprends).
      -Dans le monde politique, il y a les dirigeants et les dirigés.
      -Dans le domaine de la drague, il y a les séducteurs et les prétendants.

      Quel sont les points communs de ces exemples?
      Outres l’habitus (tu cites Bourdieu donc je te reprends), c’est le développement personnel!
      On ne nait ni patron, ni homme politique ni séducteur. On le devient.

      Sélim nous pousse à travers ses articles à nous poser les bonnes questions.
      Le rôle étant qu’on se (re)trouve afin de progresser, pour devenir celui que nous voulons être.
      L’alpha est (pour moi, c’est ce que j’ai compris entre les lignes), plus un idéal. Chacun se doit de trouver vers quoi il doit allez (son Tyler Durden).

      C’est là dessus que Sélim insiste, pour cela il prend régulièrement l’exemple d’un modèle unique. Mais unique à chacun. L’alpha c’est le leader, c’est le dominant, c’est le PDG (par exemple), c’est celui qui sort avec des HB10, c’est un homme raffiné et cultivé…

      L’alpha c’est qui? C’est « nous même, mais en mieux » (slogan d’ADS).

    • Gecko

      23 décembre 2014 at 20:31

      Lewis tu ne fais que déplacer le problème du modèle unique sur la définition de l’Alpha, sur laquelle comme par hasard je ne suis pas tout à fait d’accord non plus.

      Si l’Alpha est souvent un sérial lover et a souvent un statut de leader, ce n’est pas systématique non plus à mon avis. A ma lecture de « Comment Devenir un Mâle Alpha » de John Alexander, je vois essentiellement l’Alpha comme un homme séduisant par une solide confiance en soi.
      Point n’est besoin de validation extérieure tel que Social Proof ou résultat objectif en séduction selon John Alexander. Même s’il conseille dans un tout petit chapitre d’essayer si possible d’être « chef de quelque chose », c’est loin d’être l’essentiel de son livre et il est loin d’être question d’un statut social de PDG ni de réussite scolaire ou professionnelle particulièrement brillante ni de portefeuille exceptionnellement rempli.

      Ainsi l’Inner Game s’adresse aussi à tous à priori, et la séduction ne connaît pas les mêmes clivages hiérarchiques que l’entreprise ou la politique.

      J’en veux pour exemple extrême Charles Bukowski, écrivain marginal et alcoolique à Los Angeles, mais pourtant séducteur. Loin d’avoir une volonté faible, il assumait au contraire son exclusion sociale souhaitée, révolté qu’il était contre son père et la société… et se montrait fier de son alcoolisme endurant selon lui et louait les efforts que boire lui demandait, c’est à dire pour moi qu’il avait un Inner Game en béton armé donc que c’était un Alpha au sens où je l’entends – même si je ne partage pas forcément tous ses points de vues personnels ce n’est pas la question. Il était en accord avec lui-même, sûr de ses idées et ça le rendait plus que probablement séduisant. Un Alpha pour moi c’est plutôt ça.

      On peut donc même être Alpha et clodo selon moi.
      Alpha et carrément socialement exclu.
      Ce n’est pas une question de statut social mais de confiance en soi.

      Et pour finir il est sorti de la cloche et est devenu écrivain célèbre en séduisant, tout clodo qu’il était, une fille à papa rédactrice en chef d’une revue et est resté avec elle 2 ans.
      Et ce n’est pas romantique pour Hollywood, c’est une histoire vraie.

      Et un point contre l’article de l’Océan bleu où le clodo qui épouse une princesse et le pauvre qui épouse une jeune fille de bonne famille sont au top 5 des comédies romantiques les plus mythos et improbables.

      Hollywood dans son adaptation cinématographique autobiographique Barfly préfère au contraire suggérer comme fin plus romantique qu’il ne reste pas avec elle et préfère une fois pour toutes sombrer dans la marginalité et l’alcool… https://www.youtube.com/watch?v=dgTIUEZGHCk#t=5485

      Pas non plus de modèle unique d’Alpha à mon sens donc.

      Gecko et une petite pièce pour les clodos – c’est pas tous les jours Noël !

    • Lewis

      24 décembre 2014 at 03:21

      Salut Gecko,

      Si j’ai bien compris, selon toi:

      1) L’alpha n’est pas forcement une personne avec un lifestyle de rêve, un capital impressionnant ou une culture énorme.
      Aussi, l’alpha n’est pas lié à une quelconque reconnaissance sociale mais uniquement à sa solide confiance en soi et à son caractère affirmé?

      – D’une part, tout les hommes politiques, millionnaires et intellectuels ne sont pas alphas. Tu as raison! C’est aussi vrai que, certaines personnes dégagent du charisme indépendamment de leur statut social. Sur ce point je suis d’accord.

      – D’autre part, ta définition de l’Alpha repose sur un critère de personnalité, tu exclus la reconnaissance social. Alors que pour moi, le statut d’alpha ne va pas sans la reconnaissance social étant donné que c’est le corps social qui confère à l’individu sa qualité.

      *Exemple: une personne n’est ni belle ni moche en soi, ces adjectifs ne sont que des conventions. Dès lors, lorsqu’elle est jugée comme étant séduisante ou repoussante par le corps social ce n’est que selon des critères véhiculés par la société.

      > Ainsi, peut importe la définition que l’on donne au mot « alpha », il ne possède cette qualité que parce que les « gens » la lui confère.
      Dans la société d’aujourd’hui le dirigeant d’entreprise ou le mannequin chez Hugo Boss possédera une valeur social supérieur au SDF. Voilà pourquoi la réussite professionnel – l’entretient physique sont des objectifs mis en avant sur ADS, mieux vaut mettre toutes les chances de son côté car la fille assumera plus facilement de sortir avec un joueur de foot/ un beau gosse qu’un clown/ obèse.

      2) Tu dis qu’il n’est pas nécessaire d’être un alpha pour séduire une HB10.

      -Encore une fois je te rejoint, mais si demain je suis millionnaire et que je roule en Audi, je « choperai » plus facilement que maintenant avec ma citroën 😉
      Les filles sont attirées par les valeurs survies que possède les hommes (Mystery).
      Autrefois cet valeur était essentiellement la force physique car elle représentait la bonne santé et la sécurité. Aujourd’hui, l’argent à pris la première place parmi les critères de sélection chez les filles. En 2e place il y a le statut social (la popularité), en 3e le physique (l’attirance), en 4e l’intelligence, en 5 l’humour…
      L’alpha c’est l’idéal qui possède tout ces éléments + une grande confiance en soi + un charisme.

      * Exemple: je suis un jeune étudiant fauché de 21 ans et j’ai une copine! Donc tu as raison (bien que ce ne soit pas une HB10 malheureusement, mais ça existe).

      > Mais les plus belles femmes; les mannequins sortent relativement toutes avec des acteurs ou des musiciens connus et rarement avec des SDF ou salariés. Ce n’est pas une généralité mais cela reste statistiquement une vérité.

    • Gecko

      24 décembre 2014 at 09:19

      Salut Lewis.^^

      Tu n’as pas cerné à 100% ma définition de l’Alpha donc je précise.

      En fait pour moi l’Inner Game tel que l’a décrit John Alexander dans « Comment devenir un Mâle Alpha » que j’ai lu et auquel je me réfère dans tous mes développements là-dessus est une vraie théorie au sens ou je l’ai développé dans mon premier commentaire.

      Difficile d’être plus théorique et précis :

      Alpha = Mâle dominant = séduisant par sa confiance en soi

      Un point c’est tout.

      Pour l’essentiel.
      L’Inner Game est comme un « game interne » qui consiste en l’art d’acquérir, conserver ou cultiver cette confiance en soi qui rend séduisant, principalement par l’indépendance d’esprit à savoir la référence à son propre jugement en toute indépendance plutôt que le jugement des autres.

      Cela nécessite d’avoir des valeurs personnelles fortes, (quelles qu’elles soient)principalement au niveau du mental.
      Cela peut impliquer sa forme physique et ses capacités au sens large.
      On dit aussi qu’un Alpha connaît ses forces.

      L’illustration de John Alexander qui m’a le + fait sourire et la plus parlante :

      Au lieu de dire : « Je ne pollue pas l’environnement parce que c’est interdit. »

      Un Alpha dit : « Je ne pollue pas l’environnement parce que c’est mal. »

      La nuance est très peu perceptible, mais pratiquement tout de l’Inner Game d’Alpha est dit quand en en saisit la différence fondamentale.
      (Ce ne sont pas les autres qui jugent, c’est moi.)
      (C’est ça et seulement ça, être un mâle dominant.)

      Ensuite tout ce qu’on dit de l’Alpha en découle : il a des valeurs, il sait ce qu’il veut et ne veut pas, il assume, il a confiance en lui, il inspire confiance, donc il est souvent leader ou séducteur efficace (mais pas nécessairement) etc…

      J’ai envie de dire que mâle dominant ne se réfère pas à une domination hiérarchique sociale mais à une domination mentale.

      Il ne s’agit nullement de la philosophie prônant la domination de soi-même ou de ses désirs, la question n’est pas là du tout.

      Il s’agit d’instaurer une clarté, une cohérence dans son mental, par exemple sur ce qui est vrai ou faux, bon ou mauvais, assortie d’une volonté qui ensuite va être communiquée à l’environnement social et aux targets. Cela rejoint aussi mon souci développé plus haut de cohérence, de rigueur intellectuelle, qu’un commentateur a perçu comme agressive et il a raison cf le psychanalyste Pierre Daco par exemple qui reconnaît la pensée rationnelle comme plutôt virile et l’intuition plutôt féminine.
      Il y a donc là une façon virile de penser à cultiver.

      Le leadership et la fortune n’en découle pas forcément, au contraire un rejet social peut advenir.
      Pense à l’histoire de Mandela ou tant d’opposants politiques en prison avant de devenir Président… ou plus probablement se faire éliminer dans l’anonymat : pourtant leur Inner Game et leur potentiel séduisant et de leadership est le même avant et après, et c’est précisément pour ça qu’ils se font parfois même éliminés avant les autres…

      L’Inner Game est donc aussi une prise de risque, c’est très viril, irremplaçable pour séduire, mais les résultats positifs ne sont pas automatiques du fait même que c’est une prise de risque.
      Cette prise de risque n’a de sens que par rapport à une connaissance de ses forces et à des valeurs mentales fortes.

      Ce n’est donc pas du tout une question de statut et de reconnaissance sociale ni de position hiérarchique (qui ne viennent qu’éventuellemnt après).
      Mais c’est une façon de penser bien plus à la portée de tous et un préalable bien plus utile avant de se fixer des objectifs de vie, de statut social et de séduction.

      Pratiquement tout le monde, riche ou pauvre, dirigeant ou dirigé, (séducteur ou « prétendant’ – comprendre PUA ou AFC ?) selon moi gagnerait à cultiver un tel Inner Game.

      Le statut d’Alpha n’est pas alors octroyé par l’environnement social, il est accessible à quiconque « se sent Alpha » sans avoir de compte à rendre à personne.

      Cela est rendu nécessaire par le principe d’indépendance d’esprit expliqué plus haut et la référence prioritaire de l’Alpha à son propre jugement plutôt qu’à celui des autres, en fonction de ses propres valeurs mentales fortes, ses critères personnels forts.

      Je le dis et je le répète, car cette erreur me semble trop répandue, jamais être Alpha ne peut en conséquence être octroyé par un groupe à un individu comme par une élection collective.
      Ce serait tout le contraire de l’Inner Game tel que je l’explique.

      Seul l’Alpha sait qu’il est Alpha. (Et peut le dire.)
      (Mais personne ne peut vérifier !)
      (Sa peut paraître paradoxal mais toute la logique de l’Inner Game l’implique.)

      J’avais coutume d’illustrer ça ainsi :
      Si quelqu’un dit : « Je suis un Alpha » soit il a raison, soit il se trompe, soit il ment.
      On se trompe rarement en le disant, car il faut déjà avoir l’audace de l’affirmer et de se l’affirmer. C’est donc clair. Mentir en le disant sans l’être fait naître un tel malaise interne que la nécessiter de travailler l’Inner Game en devient évidente.
      Si par contre quelqu’un dit : « Je ne suis pas un Alpha. »
      C’est sûr, il ne peut pas l’être. A moins que ce soit une ruse… 😉
      (par exemple pour s’intégrer dans un environnement social…) 😉

      Tu m’as aussi peut-être mal compris sur un point précis : millionnaire, intellectuels, hommes politiques… difficile pour moi de l’être sans être Alpha !
      Je ne l’imagine pas ou très mal, à moins d’exceptions qui me sembleraient bizarres.
      Il n’y a pas de fumée sans feu : quelles que soient les idées ou principes défendus, comment réussir de grandes choses, et acquérir audience et célébrité, respect social nécessaire sans confiance en soi ?

      Je ne critique pas un modèle unique en prétendant le déchoir de sa qualité de modèle ni de sa qualité d’Alpha propre, mais simplement en voulant ouvrir à d’autres options, en élargissant la notion, en la généralisant grâce à une théorie qui s’adresse à tous au lieu de partir de modèle unique socialement validé (mais aucunement invalide pour autant).

      Je trouve donc aussi des Alphas révoltés, des Alphas-opposants, des Alphas artistes délirants, des Alphas marginaux, des Alphas anarchistes, des Alphas exclus, des Alphas en prison, des Alphas délinquants (pourquoi pas ?), et même à l’extrême des Alphas clodos. Sans discuter les Alphas-Patrons, les Alphas-Présidents, les Alphas-PDG, les Alphas-syndicalistes…

      Les Alphas-riches…
      (Il y peut-être juste des gosses de riches qui peuvent plus facilement ne pas l’être, ceux qui n’y sont pas arrivés par eux-mêmes, ce n’est qu’une hypothèse mais elle paraît logique…)

      Pas de modèle unique Politiquement Correct.
      C’est la confiance en soi qui fait tout.

      Cette confiance en soi qui fait l’Alpha, le mâle dominant au sens où je l’entends (et d’Accord avec le livre de John Alexander « Comment devenir un Mâle Alpha) est largement plus accessible à chacun que la réussite scolaire, professionnelle, le leadership, la fortune…

      Si tous ceux qui sont dominés par un chef hiérarchiquement ne pouvaient pas être Alpha, il n’y en aurait pas beaucoup.
      Si l’Inner Game ne concernait que les Présidents, PDG ou le seul maître de la galaxie (et de ses environs), ce ne serait pas trop la peine de vendre des livres ou d’essayer de séduire avec ça.
      Mais il ne faut pas se tromper de concept.

      L’Inner Game qui fait l’Alpha est quelque chose de bien plus démocratique à le considérer ainsi que nombre de critères de sélection élitistes qu’il faut à mon sens dépasser ici sans dérive contraire, en dépassant un modèle social unique.

      Cela va avec mon encouragement à progresser en matière de rationalisation des techniques et concepts de séduction.

      Et cela s’adresse à un bien plus grand nombre que le compte en banque, les grandes écoles, le lifestyle des Champs-Elysées, une brillante réussite professionnelle, le modèle unique du chef d’entreprise etc…

    • Lewis

      24 décembre 2014 at 18:12

      Bonjour Gecko ! 🙂

      J’ai saisi désormais, merci de tes explications! Je suis forcé d’admettre que tu as raison sur beaucoup de points.

      Mais je suis en désaccord sur certain néanmoins (je suis chiant :p):

      _Tu dis qu’une personne ayant suffisamment confiance en elle avec un caractère affirmé suffit à être alpha, mais d’autres éléments rentre en compte.

      *Un alpha est humble, raffiné et discipliné. Il a un certain ascendant (une influence) sur le groupe social.
      Il n’a rien à prouver aux autres car il est maitre de lui même, il ne s’engage pas dans une bataille qui n’en vaut pas la peine.
      Mais il n’hésite pas a consacrer toute son énergie pour défendre ses intérêts et ses valeurs.

      >Ainsi le gars prétentieux (qui a énormément confiance en lui) qui se croit plus intelligent et fort que tout le monde, celui qui s’impose leader dans son groupe d’amis et qui se déclare « alpha » n’en est pas un pour moi.

      Bien qu’on peut dire qu’une personne prétentieuse manque finalement d’estime d’elle même et essaie de tromper les autres. Dans ce cas tu as raison.
      Mais Mohamed Ali était un alpha, il avait confiance en lui et était prétentieux pourtant.
      Toute personne qui, a confiance en elle et est prétentieuse, n’est pas alpha.

      La confiance en soi ne suffit donc pas.

      _Aussi, pour moi, quelqu’un d’alpha ne l’est que dans certaines circonstances. Ce n’est pas une attitude général. Je m’explique:

      *Le prix Nobel d’économie est un alpha dans son domaine, il a une supériorité intellectuel vis à vis des autres, il possède une grande rigueur intellectuel c’est certain. Dans un discoure et un débat il fera la différence car il aura confiance en lui. Cela se ressent certainement dans son cadre privé par ailleurs.
      Mais sur un terrain de basket, devant la télévision ou le dancefloor en boite de nuit, il n’aura pas la même assurance du tout!

      >L’alpha dans toute les circonstances est un mythe, ou j’en reviens à mon précédent commentaire, un idéal. Aucun homme ne peut avoir une confiance illimité en ses capacités sinon quoi ce serai un fou, et non pas un alpha haha.

      _Les HB 10 s’intéressent aux hommes qui ont une grande confiance en eux tu as raison.

      *exemple: les racailles de cité ont confiance en eux et sont toujours bien accompagnés, les acteurs et les chanteurs ont forcement une grosse confiance en eux sinon quoi il ne serai pas ce qu’ils sont.

      La question est donc, comment acquérir une tels confiance en soi que cela s’en « dégage » au point que les femmes soient irrésistiblement attirées.

      >Gainsbourg était un alpha, il avait un succès monstre malgré son physique peu avantageux. Comment a t’il réussi à devenir si charismatique?

  5. La poupée qui dit non

    20 décembre 2014 at 22:12

    Mais… Chers Jérômes en tous genres:
    – une fille qui boit comme un trou, on est d’accord, ça arrive bien trop souvent et c’est très moche. Et combien de filles boivent parce qu’elles s’emmerdent en soirée? Allez, soyez honnêtes. Personne ne vous empêche d’aborder AVANT Jack Daniels, ou d’aborder la fille discrète, là, celle qui boit moins et peut tenir une conversation intéressante et créer ce que j’appelle une anti-soirée, un groupe de gens marrants et moins torchés que les autres au milieu de ceux qui font un concours de coma.
    – Tous mes amis sont dans les plus grandes prépas parisiennes… Pourtant, parfois, on préfère se détendre le neurone devant de la télé-réalité. ce qui n’empèche pas de lire, faire du sport et mater des films d’auteur à côté. C’est peut-être un peu présomptueux, chers Jéromes, de trouver ladite fille conne en 15 min chrono. Ou alors, allez chercher ailleurs, là où le QI est plus vert.
    – Le problème de l’âge: mais bien sûr qu’on cherche des mecs matures ! Ma dernière histoire: il avait 26 ans! Et pourquoi lui? Pas à cause de l’âge, pas à cause de la situation professionnelle ni autres excuses bidon données dans l’article mais simplement parce qu’il n’avait pas l’air d’un affamé et a su parler lifestyle sans avoir l’air d’un gars qui récite ou se vante.
    Avis aux mecs de 19 ans matures: OU ETES VOUS? manifestez-vous !
    Lancez-vous ! Ecoutez Sélim, le pape du dévellopement perso, et arrêter de croire que toutes les filles de 18-21 ans sont de jolis minois sans intellect.

    • Sélim

      21 décembre 2014 at 12:15

      Merci chère poupée pour ces précisions fort utiles !
      Bonnes fêtes à vous !

    • Bilou

      22 décembre 2014 at 04:39

      J’adore…Sélim président!

    • Terrigan

      21 décembre 2014 at 13:17

      @ La poupée qui dit non:
      Haha, le bon viel enjeu pour un mec : se montrer à la fois intéressant ET léger.
      Avec en filigranne, la bonne vielle injonction « adaptez-vous »…

      Bah oui quoi, en soirée, lancer des débats sur la filmographie de David Lynch avec des gens, filles ou garçons, qu’on connaît à peine, c’est un peu… Casse-gueule !

      Autant les filles n’aident pas tout le temps, mais ce que tu nous dis montre bien qu’il faut être proactifs plutôt que rechercher apriori tel ou tel comportement chez la fille qu’on a en face de nous.

      Compliqué, mais pas infaisable… 😉

    • DefLeppard

      21 décembre 2014 at 23:43

      On est là les mecs matures de 19-20 ans^^ Seulement comme le dit Terrigan, parler de sujets matures et disons…originaux c’est casse-gueule, surtout quand les mecs en face qui chopent parlent de tuning

  6. Black cats

    21 décembre 2014 at 05:27

    @Gecko tu as bien raison… Moi je suis un mec normal, pas BG et pas réussite social et je ne serais jamais comme les mecs d’ADS avec les grandes écoles et compagnie. A cause de cette pression que Selim et Eros montre j’avais un complexe par rapport aux mecs qui ont du fric et donc je ne fessais rien pendant des années et maintenant j’ai l’esprit libre et miracle sa marche.

    D’ailleurs j’ai déjà vue une HB9 assez BCBG avec un black de cité et une HB8 avec un marginal (un mec plein de tatouage et qui semblais vivre dans la rue) et j’avoue j’étais choqué dans les deux cas.

    Sur ADS des articles sont la pour dire qu’il faut être les mecs de MAD MEN ou James Bond, mais dans les grandes villes on tombe sur des Wesh Wesh qui ne travail pas et sont avec des belles femmes… Donc il y a un Bug quelques part non ?

    En réalité il faut juste l’Inner Game, le courage (pour rester poli) d’aborder et assumer qui nous sommes et normalement au bout de quelques temps un mec normal (propre, qui travail et qui est social) dois pouvoir sortir avec des femmes jolies.

    Heureusement toutes les femmes ne recherche pas le mec à fric qui roule en belle voiture, qui à une grande maison et des costard à 1000 euro.

    • des Esseintes

      21 décembre 2014 at 10:29

      Il ne faut pas se leurrer non plus, plus ou moins inconsciemment, les femmes voient leurs choix orientés dans une large part par leur instinct maternel. Ce qui signifie la recherche pour elle et leur éventuelle progéniture de confort et de protection. Et aujourd’hui, qu’est-ce qui apporte le confort et la protection si ce n’est l’argent ? Malgré les quelques exceptions que tu évoques, et qui semblent t’avoir choqué, ce qui prouve bien qu’elles sont de l’ordre de l’exception puisque inhabituelles, après un certain âge où les attirances physiques jouent le premier rôle, on retrouve bel et bien la plupart des belles femmes (j’entends par belles, celles qui répondent aux canons de beauté contemporains) dans les bras d’hommes fortunés comme l’a très bien démontré le sociologue Philippe Gouillou dans son très bon livre « Pourquoi Les Femmes Des Riches Sont Belles – Programmation Génétique Et Compétition Sexuelle ».
      Alors oui, les femmes ne sont pas toutes « intéressées », en tout cas c’est ce qu’elles disent, donc ce qu’elles croient, mais comme elles le disent aussi très bien elles même, l’amour et l’attirance, ça ne se commande pas. C’est vrai, le rôle de la génétique pesant toujours très lourd dans la balance.
      Cela dit, un homme avec de la prestance, sûr de lui, qui en impose, peut tout à fait paraître séduisant, puisque rassurant, aux yeux d’une femme. Le pouvoir social ne se construit heureusement pas sur le seul compte en banque. Mais pour gagner en assurance, il faut commencer par être bien dans ses baskets et dans sa vie.

    • Terrigan

      21 décembre 2014 at 13:28

      @des Esseintes
      Mouais… J’ai du mal avec l’instinct maternel. Et avec le combo instinct maternel + argent.

      A chaque fois qu’on fait le focus sur tel ou tel critère de choix chez les femmes, surtout la reproduction et l’argent, à la fin c’est à la fois vrai ET faux car les critères de choix d’une femme sont TOUJOURS multiples, toujours différents d’une femme à l’autre, toujours différents d’une période de la vie à l’autre…

      D’ailleurs ta conclusion ouvre sur la vérité : être bien dans sa peau et jouer avec ce qu’on a.

      A mes yeux les conclusions les plus réalistes sont les suivantes :

      – « qui ose gagne »
      – « les complexés et les râleurs qui ne jouent pas ne gagneront pas »
      – « chacun joue avec ses cartes »

      Sur le « chacun joue avec ses cartes », on est toujours entre le développement personnel pour améliorer les cartes, et le réalisme du moment pour faire au mieux histoire de rigoler un bon coup MAINTENANT.

      Témoins, pas mal d’articles sur ADS, comme par exemple cet article:
      « Séduire sans effort grâce à la stratégie de l’océan bleu »

      (je vous copie-colle l’adresse) :
      http://www.artdeseduire.com/technique-de-drague/seduction-strategie-ocean-bleu

    • Gecko

      21 décembre 2014 at 17:12

      Au moins je vois que certains m’ont assez bien lu et compris. ^^.
      (J’ai été long, je l’admets, mais j’avais beaucoup à dire / écrire.)

      D’accord dans l’ensemble avec vous 3.
      Même si je suis assez évidemment très critique par rapport aux tendances de l’article sur l’Océan bleu.
      C’est surtout celui-là qui m’avait fait un peu bondir en fait, mais il cristallise aussi des thèmes un peu trop récurrents ici que je critique maintenant globalement.

      Le lifestyle a une influence mais doit rester un simple élément du jeu pas un passage obligé pour séduire des cibles de qualité.

      Sans avoir nulle part nié que l’argent ou la situation sociale aident, je persiste et signe, comme le confirme Black cats : on voit des mecs des cités et des ouvriers au SMIC avec des canons donc…
      Il doit quand même y avoir moyen !

      Et je voudrais donc + entendre ADS là dessus au lieu de rabâcher changez de job ou bossez à l’école, dsl, sans nier non plus que ça puisse être utile.
      (Ou pire : mange du thon prolo façon lol de lire entre les lignes : http://www.artdeseduire.com/drague/elle-est-moche-jy-vais-ou-jy-vais-pas )

      Pour le cursus HEC ^^ ni complexer par rapport à un « modèle unique » ni cracher dans la soupe d’un site et d’une démarche trop utiles.

      Un article sur séduire à petit budget a un jour été publié mais comme avec des pincettes, du bout des ongles, en se référant surtout à la situation d’étudiant, comme pour ne pas considérer la réalité des bas salaires et des situations sociales justes moyennes ou carrément médicores, et avec des conseils pas toujours réalistes, c’est du moins mon ressenti perso. (Acheter quand même des chaussures chères !)
      Je persiste donc encore et signe encore : il y a vraiment un axe de progrès à suivre là-dessus au niveau des articles du site globalement.
      Il ne faut pas s’arrêter à l’idée globale que la séduction de qualité n’est qu’un truc de riche, or cette idée me semble sous-tendre trop de développements et d’articles.

      L’échange des points de vue critiques qui se veulent constructifs, s’ils sont bien acceptés, ne peuvent qu’apporter des pierres à l’édifice.

      Je plaide pour un art de séduire à la fois de qualité et plus populaire.
      Le site ne peut qu’y gagner du moins c’est ce que je pense.

      Good vibes à vous. 😉

    • des Esseintes

      21 décembre 2014 at 19:13

      La réalité est toujours infiniment plus complexe que la théorie, mais ce n’est pas pour autant que la théorie n’aide pas dans la pratique. Oui, les critères des femmes sont variables et idiosyncrasiques, mais il ne faut pas renoncer pour autant à découper ce bloque monolithique qu’est la réalité en catégories si cela peut fournir des repères intelligibles permettant de développer – osons le terme – des techniques. Les théories évolutionnistes ont certes leurs limites, mais elles sont menées de façon que j’oserai qualifier de scientifiques, dans la mesure où elles s’appuient sur des observations concrètes, mesurées tant sur le plan quantitatif que qualitatif à chaque fois que c’est possible.

      Après, pour croiser les conclusions des études pré-citées avec les tiennes, oui, un mec qui a du pognon mais qui n’ose rien échouera, mais le pognon ça donne confiance et ça aide à oser. Une femme qui a l’occasion de sortir avec un homme fortement à l’aise sur le plan financier hésitera à deux fois avant de se refuser à lui, quand bien même ce dernier ne serait pas « son genre » (ne serait-ce que pour tester le luxe et le confort ou pour épater ses copines), alors qu’elle n’aura aucun scrupule à éconduire un homme sans le sou.

      Il n’y a qu’à demander à une femme quel est son type d’homme et comparer cet idéal type avec ses derniers amants en date pour constater que : soit elle ment consciemment (ce que je ne crois pas), soit elle se fourvoie elle-même sur les fameux critères et n’a donc pas réellement conscience de ce qui l’anime sur le plan émotionnel. Je ne sais plus qui disait que si on cherche à devenir un bon vendeur de voitures, mieux vaut se renseigner auprès d’un vendeur chevronné qui a fait ses preuves plutôt qu’auprès des clients sur les raisons qui les ont poussé à acheter une voiture dans tel garage plutôt que dans tel autre. Lui connaîtra les leviers qu’il aura activé tandis qu’eux auront converti ça sur le plan émotionnel en vague préférence.

    • des Esseintes

      21 décembre 2014 at 19:27

      Pour revenir au fameux mec des banlieues qui se tape des canons, on trouve un début d’explication dans l’Art de Séduire de Robert Greene. A savoir qu’un des ingrédients essentiels de la séduction, c’est le frisson, le piment. Voilà ce que les femmes cherchent chez ceux-là. Mais, me direz-vous, et vous aurez raison, c’est assez contradictoire avec les théories évolutionnistes que j’énonçai plus haut. En creusant un peu, on découvre néanmoins que les théories évolutionnistes apportent une réponse à cette contradiction intrinsèque : les femmes chercheraient à se rapprocher des mâles alpha pour leur fécondité et la qualité de leur patrimoine génétique et trouveraient auprès d’un autre le confort et la sécurité.

    • Gecko

      21 décembre 2014 at 21:15

      Bien développé. L’idiosyncrasie des targets, c’est quand même dur ! 😉

      Mais forcé d’admettre que le fric ne fait pas tout.

      Les théories évolutionnistes partent d’une réalité globale et statistique que je ne nie pas. Était-il d’ailleurs nécessaire d’approfondir à ce point pour constater que le capital socio-économique du player est corrélé (statistiquement) à la beauté et à la qualité (et plus que probablement à la quantité) des femmes qu’il séduit ?

      Mais n’est-ce pas là aussi une pensée limitante qu’à la base ADS est sensé aider à combattre chez ses adeptes qui veulent progresser ?

      Je recentre donc le problème, que tu vois au niveau statistique global, pour me concentrer sur un individu player donné qui veut progresser en séduction avec la situation sociale durable qu’il a et le niveau de revenu qu’il a, sans lui faire prendre des risques personnels ou professionnels inconsidérés.

      La masse, la somme de ces individus players donnés qui veulent progresser constitue un marché, et les conseils d’ADS un produit commercial (à titre tantôt gratuit tantôt onéreux) qui les intéresse…

      Le problème est mieux posé comme ça ?

      Ma question(/réponse) est : pour cet individu donné qui est la partie élémentaire du marché, les conseils en séduction d’ADS lui permettront-ils d’envisager de séduire des cibles de meilleure qualité sans forcément s’enrichir ou faire évoluer sa situation sociale ?

      Je pense que oui (et je l’ai field-testé puisque depuis 3 ans que je suis ici, j’ai séduit ne serait-ce que temporairement des HB d’un niveau jamais atteint aupavarant !), par exemple en développant l’Inner Game par un travail sur soi à l’aide d’éléments théoriques validés, et d’autre part par l’enseignement de techniques structurées et pratiques qui permettent de multiplier les opportunités sur le terrain et les chances de séduire une cible donnée.

      Ces avantages concurrentiels sur l’AFC par exemple, à revenus financiers et situation sociale même constante, sans ignorer l’influence et la corrélation de ces dernières, permettent néanmoins, si c’est la stratégie du player, d’améliorer ses perspectives en terme de qualité de cible par effet statistique de plus grand choix issu de la multiplication des opportunités, par rapport à un AFC à situation et revenus comparables.

      Pour ce faire et élargir l’audience de ces techniques et une accessibilité démocratisée, je suggère une vision qui dépasserait davantage le « modèle unique » d’amélioration du potentiel de séduction par l’évolution sociale et l’enrichissement, ou même un certain type de personnalité.

      Et revenir à des axes d’amélioration indépendants, en prenant le « client moyen » tel qu’il est, noyé dans la masse, sans changer forcément ni sa personnalité ni ses choix de vie ni sa situation sociale ni ses revenus mais revenir à l’enseignement de techniques sensées fonctionner pour tous.

      Pour ce faire, je suggère une plus grande rigueur intellectuelle dans les concepts de séduction, et une progression dans un sens encore plus cartésien.

      Et aussi une meilleur prise en compte des contraintes des mecs dans une situation sociale ou financière serrée pour des conseils à la fois efficaces et adaptés.
      Je crois qu’en cette période de crise, c’est le marché dans sa globalité qui l’exige. Ce n’est qu’une hypothèse tirée de mon point de vue mais elle me paraît logique.

      Or il me semble percevoir ces derniers temps sur le site au fil des articles l’évolution inverse : considérations moins cartésiennes en drague pure et leitmotiv sur la réussite sociale accentué.

      Si la séduction ne doit plus se résumer qu’à « devenez riche », (Travaillez prenez de la peine, c’est le fonds qui manque le moins – Jean de La Fontaine – Fables – lol) c’est carrément se tromper de sujet, et c’est de la paresse intellectuelle, c’est déplacer le problème à un endroit où finalement, il ne doit pas être.

      Le lifestyle pour déterminant qu’il soit ne doit pas devenir l’arbre qui cache la forêt dans l’ art de séduire.

    • Shifu

      22 décembre 2014 at 21:55

      Je pense que vous ne vous posez pas les bonnes questions.

      Quand vous parlez de l’homme, vous vous basez sur son statut social et, quand vous parlez de la femme, vous vous basez sur sa seule beauté.

      On a donc le mec à la grosse voiture avec la HB8 et le punk à chien avec sa HB9. Ce qui ne signifie rien du tout. La HB8 est peut-être notaire et la HB9 peut vivre dans la rue.

      A part quelques chercheuses d’or et quelques bourgeoises qui cherchent un peu de frisson, les gens se regroupent avec d’autres personnes qui partagent leur statut social.

      Dire que les médecins couchent entre eux et les ouvriers entre eux, c’est à mon sens un peu plus juste que dire que les médecins se font les belles filles et les ouvriers se tapent ce qu’il reste.

      Alors non, avoir fait des grandes études facilitera pas franchement l’ONS avec une grande blonde. Ca trouvera seulement son utilité si cette grande blonde est ministre et qu’on veut faire un bout de route avec elle.

      Mais ce n’est que mon ressenti.

    • Alfy

      7 janvier 2015 at 09:45

      Je rejoins l’analyse de Terrigan sur qui ose gagne, sur les râleurs et les complexés, ainsi que de jouer avec ses cartes.

      Pourtant simple mais tellement vrai. Pourquoi ce gars si moche ou intellectuellement bas de plafond ou bien encore qui ressemble à un type qui sort de prison se fait cette fille. Il à osé. Bien sûr qu’oser ne résout pas tout. Mais oser c’est faire 50% du travail.

      Un constat s’impose, celui qui m’emmène à penser que la séduction n’est jamais aussi facile que lorsqu’on à confiance en soi. Que l’on soi beau ou moche, grand ou petit, maigre ou gros (même si pour les petits, moche et gros ce sera plus dur) et que hormis les quelques contextes extérieurs inhérents au fait d’avoir du mal à trouver son bonheur à cause de son lieu de vie par exemple, tous nos actes, gestes, paroles, sont conditionnés par cette foutue confiance.

      La différence entre théorie et pratique? Oser. Certains n’ont aucune théorie et pourtant ont des résultats. Ils osent!

      J’ai lu dans pas mal de réactions que beaucoup sortent de grandes écoles. Que lorsqu’ils sortent, ils se sentent en total décalage avec les filles avec lesquelles ils parlent, de part leur statut social, leur humour ou leur mode de vie. Il n’est pas nécessaire de faire de grandes écoles pour avoir ce type de sentiments.

      Ce qui nous fait rater le coche à nous les gars? Nous réfléchissons trop et agissons peu.
      Moralité, la théorie c’est bien, la pratique c’est mieux.

  7. Tonio

    21 décembre 2014 at 11:55

    Super article de qualité les mecs !

    Continuez comme ça 😉

  8. guismo33

    21 décembre 2014 at 19:55

    Punaise comment vous vous pignolez les gars !

  9. DefLeppard

    21 décembre 2014 at 23:39

    C’est vrai que quand je vois des filles de ma promo qui sortent depuis plusieurs années avec des beaufs monstrueux je me pose des questions.
    Au début je me trouvais méprisant, de quel droit je pouvais traiter un mec de beauf? Quand plusieurs amis et connaissances me disent ressentir la même chose je me dis qu’il y a un truc qui cloche.
    Un exemple? J’étais en soirée chez une bonne pote, le genre de fille plutôt cultivée, jolie et intelligente. Son mec est venu fièrement m’annoncer avoir passé sa journée à jouer à un jeu de foot en s’enfilant des canettes de bière tout en se préparant à sortir dans la boîte la plus beauf du coin
    What da fuck quoi

  10. jeff77290

    22 décembre 2014 at 00:55

    Cette article est intéressant ma foie

  11. ycureibre

    22 décembre 2014 at 02:46

    Je rejoins Will sur l’aspect générationnel de la situation de Jérôme : pour en avoir fini récemment, les études supérieures débouchent traditionnellement sur un statut d’adulte et d’indépendance, mais la vie étudiante n’est pas si éloignée de la période lycée à mon sens (le quotidien reste de forme « scolaire », on est toujours en phase d’apprentissage). Quelque soit le sexe, la maturité à l’âge de la vingtaine semble bien plus rare à trouver que dans les modèles théoriques ou pédagogiques des exemples d’ADS ou de la séduction en général : en effet pour exposer théoriquement les rouages du game, il faut déjà un certain « niveau » de séduction, par définition, où une intéraction réelle et subtile se crée dans le rapport homme/femme. Face à des personnes peu matures, au pourcentage logiquement plus élevé chez les jeunes populations, le développement du game est vite limité à mon sens : pré-sélection assez forte d’entrée de jeu, humour trop aléatoire, règles de politesse et de courtoisie pas toujours respectées, personnalité et univers peu définis, craintes liées au sexe et face à un game solide, … J’insisterai sur ce dernier point en tant que différence que j’ai pu remarqué personnellement : beaucoup de (jeunes) femmes semblent manifestement beaucoup moins ouverte sur le dialogue sexuel qu’en théorie, pas pour parler de sexe en général, mais quand la question sexuelle les concerne directement, j’ai pu constater que beaucoup d’entre elles se refermait un peu en mode « pucelle effarouchée » pour donner une image globale, et qu’il fallait attendre le moyen terme pour pouvoir sexualiser constructivement

  12. LeBron

    22 décembre 2014 at 14:10

    article interessant. Il est evident que le décalage entre théorie et pratique sera énorme vu les différences qu’il peut y avoir entre telle ou telle femme. Mais finalement la solution serait plutot simple: Persévérance et adaptation (d’ailleurs sélim en parle a un moment dans l’article pour ce qui est de l’adaptation) sachant que quoi qu’il arrive il y aura jamais 100% de réussite

  13. Keating (Aurel PL)

    22 décembre 2014 at 18:44

    Heu… Whoaa ! C’est fou ! Dans cet article, plus j’avançais dans la lecture plus je me disais que Jérôme est mon sosie en séduction. MOTS POUR MOTS, je me reconnais dans tout ce qu’il a décrit. Simple envie de se poser, absence de wingman potentiel, filles peu intéressantes, et quand j’en trouve une qui me correspond réellement enfin il y a toujours un problème (car ça serait trop facile sinon) et ça marche pas.
    Comme jérôme, je suis ADS depuis 4 ans, comme lui j’ai lu, relu, acheter des e-books mais ai du mal à les appliquer sur le Field.
    Content de savoir que je ne suis pas le seul dans cette situation. Ca rassure !

    • Sélim

      23 décembre 2014 at 10:59

      Vous êtes plus d’un, Keating !
      Ne t’inquiète pas, ça viendra. Je vais essayer de vous mettre en relation, comme je te l’ai dit.
      Cheers !

  14. Daniel

    25 décembre 2014 at 00:48

    Excellent article ! Ca m’a bien aidé, je suis moi aussi dans ce cas de figure…
    Je vais tenter de progresser haha^^

  15. Kirl

    25 décembre 2014 at 10:55

    Salut ! Tout d’abord, merci pour cet article, très bien rédigé, comme d’hab !
    Alors voilà, ça fait quelques semaines que je suis irrésistiblement attiré par une jolie blonde de ma classe. Le courant passe plutôt bien entre nous, on s’entend très bien, on rigole beaucoup 🙂 Cependant, il y a comme qui dirait un petit problème ; elle a un mec. Mais le genre de mec timide, avec qui elle fait pas grand chose, ils sont jamais ensembles, ils sortent pas le soir etc… Que dois-je faire ? Je continue comme si il existait pas et j’essaie de la date ? J’attends sagement mon tour ? Je ruine son couple (pas cool :/ ) ? Encore merci de tout ses conseils !

    • Sélim

      25 décembre 2014 at 11:00

      Hello Kirl !
      Là, c’est vraiment entre TOI ET TOI cette question.
      Comment réagirais-tu si TU étais son mec, et qu’elle se fasse draguer par un autre ?
      Personnellement, une fille qui me plaît, si elle est en couple avec un mec que je ne connais pas et que je la trouve géniale, je décroche la Lune pour elle.
      Maintenant, si c’est juste pour coucher avec elle, ça n’en vaut pas la peine, tu gagnerais une réputation de sale type pour une histoire pas forcément très longue…

  16. Kirl

    25 décembre 2014 at 11:18

    Comment je réagirai ? Hum… Je sais vraiment pas. Je serai probablement vexé de la voir avec un autre, mais si je tenais vraiment à elle, je comprendrai je suppose. Après, je pense c’est pas le genre de fille à être infidèle, donc je risque de finir en fz :/
    Fuuuuu… C’est dur. J’essaierai bien de la date pour le nouvel an, mais je crains que sa réponse soit négative et que ça « calme » les choses. J’aimerai bien faire monter la tension d’un cran, mais je sais pas trop comment m’y prendre… Que de difficultés.
    Merci de ta réponse rapide en tout cas.

  17. Oliver L.M.

    25 décembre 2014 at 23:06

    N’oublions pas que la séduction est un art qui demande beaucoup de pratique. On ne naît pas séducteur, on le devient, pour paraphraser une célèbre féministe.

    La théorie n’est rien sans la pratique, un article intéressant a été rédigé sur la constance et la durée dans la séduction : http://www.artdeseduire.com/drague/la-theorie-des-10000-heures.

    Amicalement,

    Oliver.

    « Expérience est le nom que nous donnons à nos erreurs ». Oscar Wilde

  18. gotrunck

    26 décembre 2014 at 01:44

    Je comprend ce que veut dire Jérome, car je rencontre les mêmes problèmes, je suis très sociable et en discutant avec de très nombreuses femmes, je me rend compte qu’elle sont immatures, instables et qu’elle n’ont aucune conversation, les quelques phrases qu’elle disent ne sont que des éructions d’ onomatopées alors qu’elles sont sobre.
    Que faire alors que je possède un QI de 130 et que je soit l’auteur de nombreux livres ainsi que de plusieurs brevets face à des idiotes sans cervelles ?

    Malheureusement j’en suis réduit à un constat que dans un pays de sociopathe, il est impossible de trouvé une femme saine d’esprit. Dois-je pour me faire accepter d’une femme, joué l’idiot en parlant de foot et de nabila ? Ce que j’envie parfois les imbéciles heureux…

    Et comme le dit The Mentors  » mon seul crime et d’être plus intelligent que vous et sa vous ne me le pardonnerez jamais « 

    • Sélim

      26 décembre 2014 at 07:32

      Hello gotrunck, je pense qu’un gars vraiment intelligent comprend tout ça… puis s’applique à se mettre au niveau des autres le temps qu’il le faut.
      Le temps de trouver la perle rare, qui possède déjà une bonne base intellectuelle, et qui a envie de progresser.
      Après, je ne sais pas quel âge tu as, ni dans quel domaine tu évolues, mais tu cherches probablement au mauvais endroit…
      A toi de mieux cibler tes recherches…
      Good luck !

    • Marvin

      2 janvier 2015 at 18:24

      Salut gotrunk , les imbéciles heureux sont , comme tu le dis si bien , heureux , et non blasés des femmes , tu n’as pas du en rencontrer tant que ça pour faire ce constat ou alors aux mauvais endroits , je ne me considère pas spécialement comme quelqu’un de très intelligent , mais j’aime les gens et je me force de toujours retirer le meilleur d’eux-mêmes pour satisfaire mon bonheur .
      Tu devrais en faire de même et apprendre à découvrir les gens comme le ferais un enfant de 6 ans et non un vieillard blasé sur le déclin .

      Pour finir je vais te faire part d’un constat que j’ai fait en sortant un peu de chez moi : Les mecs intelligents visent ,les imbéciles heureux tirent .

      J’en profite pour souhaiter une bonne année 2015 à la team ,kiss les mecs !

  19. susu

    5 janvier 2015 at 04:13

    Salut la team,
    Il se trouve que « bizarrement », je me retrouve dans la même situation que notre ami Jérôme. Ça fait aussi 4ans que je lis tout vos articles sur ads. À 15 ans, j’avais les mêmes problèmes. J’étais fauché, je commençait mon apprentissage en électronique, donc dans ma classe, il y avait une marrée de testicule, pas évident de rencontrer une meuf quand il y a même pas une seul meuf. Ensuite, le week-end, je le consacrais à voire même potes. Heureusement pour mes potes, ils étaient tous en couples, donc rencontrer des nouvelles personnes étaient quasiment impossible pour eux. J’ai pris énormément de temps à comprendre que en restant avec eux, j’allais pas allé de l’avant. Le seul point positif était que mes potes étaient aussi fauchés et vue que je commençais à avoir un petit capitale qui augmentait chaques mois. En lisant art de seduir, selim, eros… Donnaient de bons conseils au niveau habillement, étant donner que j’avais bien économisé, j’ai commencé à prendre bien soin de moi, ce qui est hyper important, si l’on veut se poser avec qqn. Plus les années passées, mieux je me sens dans ma peau, mais il me manque toujours cette fille. Je suis comme Jérôme, je suis toujours bloquer. Mnt, j’ai 19 ans, je vis en collocation avec mon frère dans un 4 pièces à Genève, j’ai une voiture, une moto des grosse cylindrée, je vais commencer mes études en école d’ingénieur et l’argent me manque pas (j’ai pas envie de me vanter , je dis juste les choses comme elles les sont, ne m’en voulez pas), mais j’ai toujours l’impression que les filles ne s’intéresse pas à moi. J’ai commencé à avoir un wing man il y a pas très longtemps, environ 1mois, mon carnet de contact à commencer à ce remplir, environ 6 filles potentiellement intéressantes. Je vais organiser une fête chez moi et j’aimerais avoir quelques conseils sur comment je dois m’y prendre pour que ce groupe de filles qui sera chez moi, s’intéresse plus à moi que leur smartphone ou leur cigarette ? Merci d’avance

  20. Max

    5 février 2015 at 23:32

    Salut l’équipe !
    Alors voilà comme vous devez vous en douter je suis un dragueur pour le moins peu satisfait de lui même (sinon j’aurais peut être mieux à faire de mes soirées qu’écrire un pavé tard le soir pour demander conseil ^^)

    Comme Jérome je n’ai pas le moindre problème théorique ! Et je joue même régulièrement les coachs avec mes potes et en général avec succés. Mais impossible pour moi de mettre en pratique mes propres conseils ! J’ai parfois l’impression d’être un prof de cuisine pas foutut de faire cuire des pâtes, c’est pas très vendeur !

    Comme mes occasions de rencontrer et possiblement draguer sont très limittées (vie lycéenne dans une ville moyenne, ça fait vraiment dodo, bus, interro, dodo ! à part un vendredi soir par vacances, youhoou ..) il m’a donc fallut pas mal de temps pour analyser mon problème. Et j’ai enfin finit par arrivée à une conclusion : je ne suis pas un séducteur. Alors là je vous met au défie de savoir quoi répondre, pourquoi je suis là etc donc je vais expliquer !

    Comme la parité n’est pas exactement de mise dans mes contacts (lycée majoritairement technologique et sportif), il me faut avant tout connaître des filles intéressantes à draguer ! donc pour rencontrer il y a toujours les sorties ! Et finallement je me rend compte que dans ces soirées, je n’arrive pas à draguer, à chercher, à aborder, à mettre en application le moindre conseil de ads. En fait dès qu’il y a la moindre gène, dès qu’il faut que je vienne à bout de ma timidité, me jette dans un groupe qui m’est inconnus, ou essaie de me mettre en valeur, ça me fait chier et je laisse tomber ! Inconsciemment je reste sur le bord à regarder de loin les filles qui pourraient me plaire et me dire que c’est vraiment dommage de pas se faire accoster etc .. et avec le recul ça me rend fou ! Mais les seules fois où je peux draguer c’est lorsque je suis seul avec la fille, et que je peux essayer de mener le jeux, anticiper, calculer etc. Et je n’arrive jamais à atteindre ce stade (ou TRES rarement, en fait une seule fois) car en soirée je n’arrive pas à capter de l’attention, je suis plutôt le pote qui regarde ses amis faire des conneries ou qui les suit, pas exactement le meneur de jeu (malgré de gros efforts pour travailler mon aura tout ça, si le mâle alpha est en moi alors les autres ne doivent pas le voir !), et à partir de là pour se retrouver isolé avec une fille, bon comment dire à moins de se faire kidnaper simultanément dans la même cellule c’est pas évident !

    Et c’est une situation qui me gonfle, au point de me faire complexer si j’ai eu une journée chiante, je m’emmerde concrètement dans ma vie de célibataire et je cherche ce genres d’histoires même si elles doivent se résumer à des anecdotes, qui me permettraient de répondre autre chose le lundi matin que « ce week end ? bah je me suis reposé. Attends c’est fait pour ! » (je parle de « me répondre à moi même », je ne fait vraiment pas ça pour le regard des autres)

    Bref du coup j’ai besoin d’aide pour casser ce blocage, savoir faire autre chose que sourire ou être gentil quand une fille m’adresse la parole et savoir finallement, par où commencer !
    Et si vraiment il y a une réponse qui ne m’aidera pas c’est « mais tu verras ce sera mieux plus tard ». Je ne manque vraiment pas de réconfort, ce dont j’ai besoin c’est d’une aide qui puisse apporter des résultats, et pour ça je ne peux compter que sur vous ! s’il vous plait 😀

    PS : je réalise que bien évidemment là comme ça je vous facilite pas la tache, et j’ai aucune idée concrètement de comment vous pourriez m’aider autrement qu’en m’indiquant des articles que j’ai déjà lu et sans pour autant me donner une séance coaching gratuite dans les commentaires (on est d’accords que vous travaillez pas gratos et que si j’en veux une et bah je dois me la payer !) mais bon je vous demande quand même, au pire on aura perdu chacun 10 minutes de notre vie ^^

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