Etes-Vous un Mauvais Petit-Ami ? 15 Signes Qui le Prouvent…
Lorsque vous vous jetez à l’eau pour parler à une fille pour la première fois, c’est un grand pas que vous faites. Quand vous la revoyez, vous faites un autre pas, plus petit.
Lorsque vous êtes en couple, ce sont tout plein de petits pas que vous faites, au quotidien. Et des fois, vous faites un faux pas.
Et comme dit l’adage populaire : « tu peux faire un faux pas, mais pas 15 ! » Voyons donc ensemble les 15 signes qui prouvent que vous êtes un mauvais petit-ami.
J’me présente, je m’appelle Henry Ambre !
J’ai rejoint l’équipe d’ADS pour vous donner quelques conseils qui proviennent de l’autre côté de la Force et aujourd’hui, je vais vous parler de couple.
Séduire une fille, c’est relativement facile (pourvu que vous soyez un lecteur assidu de notre site !).
Si vous et votre conquête cherchez une relation sérieuse, hop, il suffit de quelques rendez-vous pour voir si vous vous plaisez réellement et vous voilà à changer votre statut Facebook de « célibataire » à « en couple ».
Mais le plus dur reste à venir *musique dramatique*. Le couple n’est pas un long fleuve tranquille et il se peut qu’avec le temps, vous vous découvriez des défauts. Vous n’êtes pas tous né avec le manuel du prince charmant comme livre de chevet, on le tolère.
Cependant, trop de faux pas dans votre couple vous conduiront inéluctablement au Game Over (la rupture, si c’était pas évident).
Je vous livre les 15 signes qui montrent que vous êtes un mauvais petit copain, très certainement sans même vous en rendre compte.
Si vous vous reconnaissez dans certains points de cet article, je compte sur vous pour rattraper le coup !
Ce serait dommage d’être arrivé si loin pour devoir tout recommencer avec une nouvelle petite copine ! Surtout si vous l’aimez vraiment !
1. Vous lui criez dessus tout le temps
Même quand elle n’a rien fait de mal (d’ailleurs, pas besoin de crier non plus si elle a fait quelque chose – garder un volume sonore correct, c’est bon et pour la gorge, et pour les oreilles).
Vous la tenez pour responsable de tous vos problèmes.
Elle est votre punching ball. Et ce n’est pas parce que vous ne la frappez pas que ça ne fait pas mal.
2. Vous ne lui prêtez pas assez attention : mauvais petit ami !
Vous ne lui faites pas de compliment quand elle va chez le coiffeur, ou quand elle porte une jolie robe.
L’avez-vous au moins remarqué ? Ouvrez les yeux, votre copine, c’est pas un meuble !
3. Vous ne lui écrivez jamais
Si ce n’est pas elle qui vous dit bonjour le matin, vous pouvez passer des jours sans prendre de nouvelles.
C’est non. Si vous ne pouvez pas trouver quelques instants deux à trois fois par jour pour au moins vous enquérir de sa santé, vous pouvez disposer !
En plus, vous la privez et vous privez vous-même de l’une des meilleures choses dans une relation : les sextos !!
4. Vous crachez sur tous ceux qui l’entourent
Ses parents, ses frères et sœurs, ses meilleurs amis.
Evidemment, vous êtes le plus beau, le plus fort : vous êtes le seul dont elle a besoin.
(Spoiler alert : non. Les pervers narcissiques, c’est out, on n’aime pas ça.)
5. Vous ne supportez pas qu’elle soit heureuse, et pas vous
Elle a passé une super soirée dont elle est contente de vous parler, et vous vous en foutez, comme le mauvais petit ami égoïste que vous êtes…
Pire, vous la faites se sentir coupable d’être heureuse en lui rappelant que, vous, « vous aviez une réunion qui s’est terminée super tard ».
Arrêtez de faire le gamin. Etre un homme, c’est aussi se réjouir du bonheur de sa compagne !
6. Vous n’êtes jamais dans votre état normal quand vous la voyez
Vous êtes toujours bourré ou drogué. Bien, bravo !
Vous avez tellement de considération pour elle, ç’en est touchant ?
Mettez-vous deux secondes à sa place, et vous allez vite vous rendre compte que la situation ne peut pas durer…
7. Vous ne faites pas d’effort pour la voir
C’est toujours à elle de planifier quelque chose. Des fois, vous lui dites qu’elle vous manque.
Bravo, bel effort !
Allez, un peu de sérieux : prenez des initiatives, même si vous êtes en fin de mois et fauché, vous pouvez proposer une simple promenade, on ne vous demande pas d’investir des milles et des cents pour être un bon petit-ami !
8. Le sexe pour seule preuve d’ « affection »
Entre guillemets, oui, parce que bon, si une fille veut du sexe et seulement du sexe elle se prend un sex-friend hein, pas un petit-copain.
Vous l’aimez ? Vraiment ? Embrassez-la, sur les lèvres, mais aussi sur le nez, le front, les joues. Donnez-lui la main, faites-lui des câlins.
Agissez comme si vous l’aimiez quoi. Faites au moins semblant.
(En vrai : je sais ce que c’est de n’être pas une personne tactile. Mais si vous supportez d’être nu contre elle et pas de lui faire des câlins, vous vous fichez un peu d’elle non ?
Alors les non-tactiles : on prend sur soi, on donne des preuves d’affection, une petite caresse par-ci, par-là, un petit bisou, ça n’a jamais tué personne !)
9. Vous refusez qu’elle ait des amis
Oui, vous lui faites confiance, mais c’est à eux que vous ne faites pas confiance. Vous êtes un homme, vous savez comment les hommes pensent et sont.
Vous pensez qu’ils ne sont gentils avec votre copine que pour obtenir ses faveurs.
Ok, alors comment dire … Non ? Non, tous les mecs ne veulent pas coucher avec votre meuf.
Déjà parce que certains sont en couple (oh tiens, comme vous d’ailleurs ! Et est-ce que vous avez envie de coucher avec toutes les autres ? Attention il y a un piège.)
Ensuite parce qu’elle ne leur plait peut-être pas.
Et quand bien même : si des mecs voulaient effectivement coucher avec votre copine ? Quel est le problème, tant qu’elle n’accepte pas et ne répond pas à leurs avances ?
La jalousie, Messieurs, est un très vilain défaut. Et elle ne fait pas de bien. Du tout !
10. Vous la faites se sentir mal
Psychologiquement. Physiquement. Ce sont des maux de tête, des maux de ventre, une sensation d’inconfort.
Certes vous ne pouvez pas deviner ce qu’il se passe dans son corps et dans sa tête mais il y a des indices : elle fait attention à tout ce qu’elle dit, à tout ce qu’elle fait.
Elle est gênée, tendue, elle se ronge peut-être même les ongles.
Elle n’est pas elle-même. Elle n’est pas heureuse avec vous et elle n’ose pas vous le dire.
11. Vous la décevez
Alors que vous aviez prévu de vous voir, vous annulez, ou bien vous finissez par vous engueuler, ce qui va ruiner « le souvenir de ce jour ».
Tout finit toujours mal (et c’est épuisant). Prenez du temps pour elle et sachez mettre un peu d’eau dans votre vin, que diable.
12. « Quoi t’es fan de *insérer nom ici* ? T’as vraiment des goûts de chiottes ! »
J’imagine que si elle est avec vous, c’est que dans un sens, vous lui plaisez. Donc faites attention quand vous dites ce genre de choses…
Tant pis si elle aime regarder « Les Ch’tis VS les Marseillais » le soir en rentrant pour se vider la tête après une journée difficile. Comme dit plus tôt : personne n’est parfait.
Chacun ses goûts alors prenez un ordi, des écouteurs, allez regarder une vidéo Youtube, et laissez-la regarder sa m***e tranquille. Vous pouvez le penser mais VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT DE LUI DIRE !
Si votre but ultime est de la faire se sentir mal parce qu’elle aime ceci ou cela, encore une fois, revoyez votre vision de l’amour !
(Note de l’éditeur : si vraiment vous êtes avec une fille qui n’a que des goûts de merde, changez de copine, non ? Un couple, ça fonctionne aussi grâce aux points communs !)
13. Vous flirtez avec les autres meufs : très mauvais petit ami !
Ah pardon, vous ne flirtez pas : c’est elles qui flirtent. Et donc, vous vous laissez faire !?
Donc comme ça, vous n’acceptez pas que les autres mecs puissent avoir l’occasion de flirter avec votre meuf… mais le contraire, ça ne vous dérange pas ?
« Fais ce que je dis, fais pas ce que je fais » !
14. Vous n’acceptez aucun compromis
Le gris, vous ne connaissez pas. Avec vous c’est tout blanc ou tout noir, mais toujours la couleur que vous choisissez. Son avis n’importe pas.
Un couple sain et équilibré ne peut pas fonctionner comme ça, je vous invite à relire les 5 langages de l’amour.
15. (Le « meilleur » pour la fin) « Mais j’ai fait la vaisselle ! »
Ou le ménage. Ou le repassage. Ou vous lui avez offert des fleurs. Ou du chocolat, ou même un resto.
Cela ne veut en aucun cas dire qu’elle vous doit de coucher avec vous. Un non, c’est un non. Même si c’était un oui il y a 10 minutes.
De plus si vous faites quelque chose pour elle (ou pour la soulager !) avec une idée derrière la tête, revoyez votre définition de l’amour et du « faire plaisir » !
N’oubliez pas ce qu’un grand sage a dit : savoir aimer c’est « savoir donner, donner sans reprendre », « rien que pour le geste, sans vouloir le reste ».
Ces 15 comportements ont chacun leur degré d’inadmissibilité.
Par exemple, je connais des gens que ça ne dérange pas de ne pas s’écrire de SMS.
Si vous avez passé une mauvaise journée, que vous êtes sur les nerfs et que vous lui criez dessus lorsque vous la voyez parce que quelque chose ne se passe pas comme prévu, ça arrive.
(Attention, je n’ai pas dit que ce n’était pas grave, j’ai dit que ça arrivait.) Dans ce cas-là, vous vous excusez sincèrement, vous en parlez tranquillement et vous réglez le problème ensemble.
Mais certaines choses ne sont pas excusables : insulter sa famille, la faire se sentir mal… Qu’est-ce que ça vous apporte ? A part une sensation de domination particulièrement malsaine ?
Vraiment, y a plus sympa comme forme de domination, une bonne séance de BDSM et tout le monde en ressort content (à condition que les deux partis y consentent bien évidemment).
Vous aimez cette fille ? Faites des efforts. Tous ces points peuvent-être améliorés.
C’est toujours elle qui organise vos rencontres ? Prenez les devants.
Elle est particulièrement jolie aujourd’hui ? Dites-le lui.
Elle est contente de sa journée, de son boulot, de son nouveau chat ? Partagez sa joie.
Vous n’aimez pas son groupe de rock préféré (et d’ailleurs vous n’aimez pas le rock ?) Prenez sur vous.
En aucun cas vous n’avez le droit de décider ce que votre copine peut ou ne peut pas aimer, qui elle peut ou ne peut pas voir.
La seule chose que vous faites en l’annihilant petit à petit, c’est faire grandir l’aversion qu’elle a pour vous, et bientôt, elle vous quittera parce que, là c’est une certitude, l’herbe est plus verte ailleurs.
Si vous pensez qu’aimer est compatible avec l’un de ces 15 comportements, vous avez tort. Si vous agissez comme ça tout le temps, alors vous ne l’aimez pas.
Et si vous ne l’aimez pas, ayez au moins du respect pour elle : quittez-la plutôt que de lui faire du mal !!
Bref les mecs, on se remet en selle de son beau cheval blanc, et on redevient le prince charmant en supprimant ces 15 mauvaises habitudes. 🙂
Ambre, qui aime bien secouer les garçons
Mcallister
27 avril 2017 at 10:34
Heu c’est une blague cet article ? On dirait plutot le guide de » comment être un parfait toutou » en contradiction avec tout le reste du site
SpaceMayo
29 avril 2017 at 08:33
C’est un test …
Sylvain
29 avril 2017 at 12:01
Hello McAllister,
Pas forcément d’accord. C’est vrai que nous faisant plus souvent des articles sur la phase de séduction. Mais une fois en couple, le Game change et évolue. Il faut savoir rester attirant mais également offrir un cadre sécurisant pour que la relation puisse s’épanouir. Après on peut ne pas être d’accord avec tout. Et se dire qu’il ne ferait pas de mal de faire un pendant » ce à quoi vous pouvez vous dire que vous n’êtes pas avec la bonne fille pour vous » 😉 On attend vos idées 🙂
Haricot
1 mai 2017 at 19:14
Salut,
Je partage l’avis de McAllister, l’article dégouline d’un tel prosaïsme au regard de ce que vous publiez d’ordinaire.
Les comportements décris relèvent de la pathologie, l’article 1, « vous criez tout le temps », il faut avoir eu un modèle familiale délétère pour agir de la sorte.Dans mon entourage, les hommes ne se comportent pas à l’instar de ce qui est décrit.
Bonne soirée,
Haricot
Sylvain
2 mai 2017 at 15:45
hello Haricot,
Je vois ce que tu veux dire. Je pense qu’il faut s’en rappeler le jour ou l’on se rend compte que l’on est sur le moment face à l’un de ses écueils. Et se rendre compte que l’on aurait pu mieux faire. Apres, regrouper tous les points en permanence me semble etre un phénomene assez rare 🙂
AL
2 mai 2017 at 16:08
Mouais… Enfin… Perso, j’ai davantage constaté ces défauts chez des filles que chez des mecs.
OK, je ne côtoie pas des masses de mecs, mais bon…
Sylvain
3 mai 2017 at 11:48
Mais !!! On est ici pour s’élever, pas pour rester englué au niveau des comportements erratiques que les femmes nous offrent quotidiennement!
Haricot
5 mai 2017 at 23:34
Sylvain,
Je suis d’accord avec toi. Je concède que mon écrit puisse être véhément, je voulais souligner l’inanité de tels comportements.
Bonne soirée,
Haricot
Haricot
5 mai 2017 at 23:30
Al,
Je suis perplexe, au niveau du sex-ratio, les excès sont proportionnels mais de nature différente.
Bonne soirée,
Haricot
AL
5 mai 2017 at 23:50
Haricot,
Je ne dis pas que c’est une vérité absolue. Je dis simplement que dans mon cercle social depuis mon enfance, le texte d’Ambre me renvoi majoritairement à des souvenirs liés à des femmes et non à des hommes (sachant que j’ai de toute façon toujours fréquenté plus de femmes que d’hommes). Et des comportements qui ne se faisaient pas seulement au sein du couple, mais également dans des rapports mère/enfant ou dans le cadre de relations professionnelles. Y compris dans des rapports femme à femme. Ce qui feraient de ces dames, si j’en crois l’analyse d’Ambre, des mauvaises femmes, des mauvaises mères, des mauvaises salariées, des mauvaises profs, aussi, des mauvaises femmes politiques…
Haricot
10 mai 2017 at 23:29
Al,
Je me doutais où tu voulais en venir, mais l’écrit engendre trop de quiproquos. Je suis de ton avis, tous ces comportements, hormis l’alcool, me remémorent des femmes. J’ai fait mes études dans des promos majoritairement féminines, je bosse avec une majorité de femmes. Je n’ai eu que d’anecdotiques accrochages avec des hommes mais avec les femmes, je ne compte plus. En couple pareil, la plupart de mes potes ont eu des mauvaises expériences avec des profils cumulant plusieurs points énoncés dans l’article. Moi de même.
Bonne soirée,
Haricot
Haricot
5 mai 2017 at 23:25
Sylvain,
Je me suis mal exprimé, je suis interloqué que l’on puisse agir de la sorte en couple. Cela me paraît irréaliste bien je tempère mes écrits au regard des témoignages.
Bonne soirée,
Haricot
Athus
2 mai 2017 at 20:52
C’est que tu as mal lu le reste du site et que tu es trop dans le dogmatisme idiot qui consiste à suivre tous les clichés du séducteur. Le problème n’a jamais été d’être « bon » mais d’être bon pour obtenir quelque chose malgré le « mal » que l’on reçoit.
Tangoo
4 mai 2017 at 00:26
Bonjour et merci pour l’article
Je pense que beaucoup n’ont pas compris l’article et ont tendance à confondre le fait d’être un gentleman avec le fait d’être un goujat ou un misogyne. Faire sentir à une femme qu’elle est aimée, qu’elle peut être elle même heureuse et épanouie pour elle voila le sens de l’article et du site.
De la même façon messieurs; être attentif ou délicat n’est pas être un « toutou » pour reprendre une expression de certains commentaires.
Si vous ne cautionnez pas je pense sérieusement que vous devez revenir aux fondamentaux.
A méditer.
AL
4 mai 2017 at 06:58
@Tangoo : ça n’a rien à voir. Ambre mélange tout et fait des raccourcis douteux. Rien que le point 1 : Si un homme crie sur une femme, c’est forcément parce qu’il se défoule sur elle. Impossible qu’elle, elle ait une quelconque responsabilité dans cette colère ? Petit ange que voilà, tiens ! (Pour la remise en question, on repassera).
Pour le point 6, outre le fait qu’elle essaye de changer la personnalité de l’homme (arrête de boire, de te droguer), elle pourrait se demander pourquoi elle a choisi un mec pareil. C’est une belle erreur de casting de la part de la fille, dont ELLE est responsable, et dont, une nouvelle fois, elle rejette la responsabilité sur l’homme. Tu choisis, t’assumes. Point barre. (Sans parler de l’empathie : une personne qui fuit le réel à travers l’alcool et la drogue est une personne qui ressent un mal-être… Quand on se dit amoureux/se, on a le droit d’essayer d’en trouver les causes et d’aider l’autre à s’en sortir au lieu de le culpabiliser à grands renforts de « boire, c’est maaaaal »)
Et je pourrai développer sur chacun des points de l’article de la même façon.
*Luciole*
8 mai 2017 at 10:37
@Tangoo : +1
@AL:
Concernant le point 1: Il y a des hommes (et des femmes) qui crient sur les autres pour pas grand-chose, et c’est objectivement désagréable et la plupart du temps (toujours?) inutile… Et c’est de ceux-là qu’il s’agit ici. Pas de ceux qui pètent un câble une fois parce que leur copine a, mettons, renversé sa tasse de café sur le clavier de l’ordi (et malheureusement ca fait deux ans qu’il n’avait plus fait de backup, oups). On a le droit d’être en colère de temps en temps mais pas de traiter son/sa partenaire comme un chien en général.
Pour le point 6: si on te suit, d’un côté, la femme doit assumer et donc accepter les drogues diverses (alcool ou autre) prises par son compagnon; elle est responsable de son choix; MAIS elle devrait l’aider à s’en sortir parce que c’est ca aimer qqn ??? Alors quoi, c’est l’un ou c’est l’autre?
L’article dit juste que personne n’a envie de côtoyer quelqu’un de continuellement bourré ou drogué, et je pense que tout le monde peut être d’accord avec ca.
D’ailleurs, comme l’ont souligné certains, on peut considérer la majorité de l’article comme mixte (quels sont les hommes qui apprécient que leur copine leur crie dessus tout le temps, les rabaisse en public, critique sans raison importante leurs amis ou leur famille, ou autre?).
Sans vouloir trop te marcher sur les pieds, j’ai l’impression que cet article a touché des points très sensibles chez toi…
Et puisque nous sommes sur un site de développement personnel, cela vaudrait peut-être la peine d’y réfléchir plutôt que de continuer à démolir l’article et son auteure…
Zekeh
27 avril 2017 at 13:57
Absolument tout les critères citées, font de moi un mauvais petit ami.
Je suis en quelque sorte plus avec mon ex, elle m’aime encore c’est sûr. Mais moi je ne pense pas l’aimé comme c’étais le cas. Au bout de 3 ans de relations j’ai décidé d’y mettre fin.
Mais… 3 mois plus tard je les recontacté, et elle est perdue dans cette relation, et moi aussi. Il y a 5 mois j’étais tous le contraire de ces critères, et là…
Pauvre de moi… J’suis perdu comme un oiseau migrateur ayant perdu sa nuée de compagnon.
Sylvain
29 avril 2017 at 12:02
Hello Zekeh,
Avant de vouloir arranger les choses, essaye déjà de te mettre au clair sur ce que tu ressens pour cette personne et si tu as vraiment envie que ça dure. Si tu ne l’aimes plus, autant employer ton énergie à rencontrer une nouvelle personne qui te conviendra mieux 😉
maaax
27 avril 2017 at 15:22
Salut Ambre, je suis d’accord avec presque tout, les points les plus genants etant les 11, 12 et 13.
Je m’explique:
– 11) Décevoir quelqu’un ça peut arriver, et bien que j’ai compris que tu parles de la deception habituelle, je pense que ce n’est pas décevoir quelqu’un qui est important, c’est la façon dont on se releve. Pas de justification de merde par la parole, mais par les actes. Si je suis contraint d’annuler ce restau parce que j’ai un truc plus important, le tout est de bien le faire comprendre: « pourquoi je dois annuler? » et puis dans la foulée se rattraper. Si les gens sont compréhensif et que la realtion est saine, je suis sur qu’une meuf (ou qu’un mec hein) peut comprendre ça.
– 12) Encore une fois, tout depend de la situation. Si elle regarde les anges quand je ne suis pas la, tant mieux pour elle, elle fait ce que’elle veut. Si elle me l’impose, c’est autre chose.
On peut faire gentilment remarquer que « les anges » ne convient pas et qu’on pourrait mater autre chose à deux? Comme tu l’evoques il faut savoir faire des compromis.
Si le compromis n’est pas possible (me concernant y’a de grandes chances que je trouve pas quelqu’un d’autre mais bon), alors elle doit elle aussi accepter qu’on en fasse pas non plus lorsque l’on regarde quelque chose qui ne lui convient pas.
Apres bien sur, le truc a mon avis est de ne pas cacher ses gouts: si t’aimes passer tes dimanches aprem a lire des mangas au soleil et qu’elle est carrément anti bédé (ou anti-soleil), y’a de grandes chances que ca bloque à un moment. Cacher ses gouts est le meilleur moyen de finir frustré.
– 13) Alors la, c’est ton point de vue, mais j’ai envie de dire que c’est la responsabilité de chaque couple (et/ou plus). Je ne me sens pas personnellement concerné par cette afirmation, et ma copine le sait, je lui ai meme dit le plus naturellement du monde lorsqu’elle m’a dit qu’un mec l’avait draguée sur le chemin: « Tu peux te faire draguer, voire meme répondre si ça te fait plaisir ou que tu veux boire a l’oeil. Mais je te fais confiance et on est tous les deux assez grands pour savoir ce qui va arriver s’il y a faute. » Pas besoin d’aller plus loin, apres elle fait comme elle veut. De mon coté, je ne drague pas directement une fois en couple, mais flirter sans depasser la ligne me permet, en plus d’un boost d’ego ne le cachons pas ;), aussi de jauger mon couple. Si je commence a flirtez salement avec une fille au point d’en oublier completement ma copine, c’est que quelque part y’a un truc qui cloche.
Ah sinon pour la 1), petite astuce pour ceux qui se sentent crier: le sport ça defoule et c’est la solution la plus facile. Solution 2: si vous sentez que vous allez vous enerver et que vous sentez l’engueulade arriver, exprimez le truc a votre copine et allez faire un tour sans téléphone de 20-30 minutes loin de la source d’enervement (marchez, buvez un demi, fumez un pet, fin bref n’importe quoi mais sur el lieu). Rien ne vaut une discussion a tete un petit peu reposée, mais il faut que tout le monde ait compris, c’est personnellement le truc qui me sauve le plus des coups de coleres qui font dire des trucs qu’on ne veut pas.
Sylvain
29 avril 2017 at 12:07
Hello Maax,
Assez d’accord avec tout ça! Evitez de parler à chaud me semble être un tres bon conseil. C’est exactement dans ce genre de situation ou on est furieux que l’on peut dire des choses qui font laisser des traces. Par contre, il faut bien expliquer que ce n’est pas une fuite ou un refus de la communication mais juste une façon d’avoir une discussion en adulte plus tard pour régler sainement le probleme plutot que de se lancer dans une bagarre de chiffonniers qui ne sera sans doute profitable à personne.
Pour la question des gouts, j’imagine bien que la télé est un exemple. Mais, je pense que la clé c’est de ne pas interférer sur les gouts de l’autre ou vouloir imposer les siens. Si elle veut regarder les Anges ou autre truc qui me déplait, tres bien, je fais autre chose, la clé étant de ne pas être contraint de le faire ou que ça n’impacte pas mon confort. Dans la multitude d’écrans dans laquelle on vit, chacun peut bien regarder ce qu’il veut sans que cela ne pose de probleme. La solution c’est sans doute l’équilibre, concilier les passions persos et les activités partagées en couple.
IMO, La raison 13 est suspecte pour une raison simple : l’homme étant à l’origine du flirt, flirter est pour lui une démarche volontaire alors que n’importe quelle femme est systèmatiquement courtisée et est en permanence de facto en position de flirt à moins de refuser tout contact avec le sexe opposé.
Sôwal
27 avril 2017 at 17:39
Eupf… Mouais… Tout ça ça sent plutôt l’erreur de casting ou le manque de confiance.
Moi je me reconnais assez dans plusieurs points mais dans une ancienne relation. C’est plutôt des comportements négatifs à ne pas trop cumuler, mais qui apparaissent chez tout un chacun si on n’est définitivement pas sur la même longueur d’onde. Si on ne fait pas confiance, qu’on s’énerve, que les activités en communs tombent toujours à l’eau, ça n’est pas forcément de la faute unique de l’un ou de l’autre, c’est surtout parce que ça ne colle pas.
Après bien sûr, si on a tendance à reproduire systématiquement certains de ces points, mieux vaut s’attaquer définitivement à définir ce qui cloche.
P.S : Petite réflexion personnelle, qu’on soit homme ou femme, j’ai l’impression que qui est atteint du point 9 est généralement aussi atteint du 13, mais c’est un débat.
Sylvain
29 avril 2017 at 12:16
Hello,
Je dirais que ce qui fait l’erreur de casting, c’est la constance dans le temps et également la réunion de beaucoup de ces points. Après, une relation de couple, c’est toujours délicat à manager. A un moment ou un autre, vous serez toujours confronté à l’un ou l’autre des ces soucis. Le tout c’est que ce ne soit pas le quotidien de votre relation.
Le Marginal Magnifique
27 avril 2017 at 20:33
Valable dans les deux sens.
Sylvain
29 avril 2017 at 12:17
Exact!
AL
28 avril 2017 at 00:57
Et la palme d’Or de la Culpabilisation revient à Ambre !! Toutes les félicitations du Jury !
Je regrette de ne pas avoir le temps de répondre point par point à cet article qui fait peur… Je ne sais pas ce qui me désole le plus : l’incapacité de l’auteur à faire preuve d’empathie, de bienveillance, ou de remise en question personnelle.
lenalairderien
28 avril 2017 at 07:59
Bonjour,
Si on sait que le couple c’est deux névroses qui se rencontrent…
Les 10 points sont des failles et des brèches que comble l’autre.
Maxence
28 avril 2017 at 08:58
Très franchement ça fait plus de 10 ans que je lis des dizaines de blogs de séduction et ça c’est de très loin l’article le plus merdique que j’ai jamais lu !
Ça ne m’étonne absolument pas que ce torchon soit écrit par une femme car s’il y a bien une chose que j’ai apprise avec elles c’est qu’elles sont d’exécrables conseillères en matière de relations amoureuses ça me rappelle ce que j’ai lu il y a peu dans un ebook :
« Un garçon est par nature un mauvais séducteur car il subit les mauvais conseils de sa mère qui, pensant bien faire, n’a absolument aucune idée de comment s’y prendre pour séduire les personnes du même sexe qu’elle puisqu’elle n’a pas le recul nécessaire »
Avis à vous messieurs : si vous voulez vous faire traîner dans la boue par votre copine et vous faire tromper par elle avant d’avoir eu le temps de dire « ouf », suivez les conseils de cet article ! Autrement passez votre chemin.
PS : le style d’écriture est très mauvais et rappelle celui d’un collégien.
Alana
28 avril 2017 at 09:04
Communauté Bonjour,
Pour avoir vécu la presque quasi-totalité des critères du mauvais mec, je peux dire une chose : c’est invivable à la longue.
Les personnes qui critiquent cet article en ont peut-être pas conscience, mais je suis sûre qu’aucun de vous ne cumule tous ces aspects négatifs dans leur ensemble.
Parce-que croyez-le, c’est vraiment très rare de tomber sur des énormes Boulets qui ne font aucun effort et se montrent particulièrement malveillants. Alors oui, vous avez sûrement des défauts comme tout un chacun, mais c’est normal et ça ne fait pas de vous une immonde personne.
Vous voulez vraiment savoir de qui on parle exactement dans cet article ?
Eh bien on parle du pauvre type parano, qui insulte les amis et famille et sa copine, qui fait un chantage ouvert pour te faire culpabiliser à la moindre sortie innocente, qui menace de t’en coller une quand tu refuses de lui obéir, qui emmène d’autres filles que la sienne au resto ou au cinéma. On parle du frustré immature qui quand tu lui fais une surprise, ne trouve rien d’autre à faire que t’insulter et te faire pleurer juste parce-qu’il « veut absolument savoir ce que ce c’est ».
On parle de celui qui promet des choses, à toi ou à tes enfants, et puis qui te laisse sur le carreau sans une excuse, qui oublie de venir te chercher à la gare, qui préfère rester devant son ordi plutôt que de passer du temps avec toi, qui annule des week-ends prévus depuis longtemps afin d’aller voir son ex à 100 km et qui au bout de deux ans de relation, te cache toujours à sa famille.
Et le plus formidable dans tout ça, c’est que le jour où tu ouvres enfin les yeux et que tu choisis de le quitter parce que t’es en train de te rendre malade physiquement, il ose te dire qu’il est amoureux et qu’il a tout fait pour te rendre heureuse.
Voilà. Alors je doute vraiment que la plupart d’entre vous ici aient un parcours aussi « reluisant ».
Il n’y a pas de notice à suivre pour être un couple sain, mais ce qui nous réunit ici, c’est la volonté d’avancer, de s’améliorer et de travailler sur nos points faibles.
Donc Bienvenue à Ambre, et merci pour cet article qui rappelle pas mal de mauvais souvenirs.
Take care !
AL
28 avril 2017 at 15:54
@Alana,
La première question que je me pose à la lecture de ton message, c’est : qu’est-ce que t’as fichu avec un type comme ça ? A un moment donné, tu l’as choisis. Au départ. Je ne crois toujours pas à l’idée que les gens changent, qu’ils laisseraient tomber un masque. Donc :
1/ qu’est-ce que ce choix révèle sur toi ? (je rejoins Lena : le couple, c’est la rencontre de deux névroses)
2/ pourquoi n’as-tu pas perçu les signes avant-coureurs ?
3/ pourquoi n’es-tu pas partie plus tôt ?
Et, question bonus : as-tu seulement, à travers la communication, essayé de comprendre l’origine de ses comportements ?
Pour moi, aujourd’hui, la meilleure façon d’apprendre à connaître une personne, c’est de rencontrer d’ABORD son entourage. On est la synthèse des 5 personnes qu’on fréquente le plus. Ensuite, et ce n’est pas valorisant pour toi, je pense que si tu avais vraiment chercher à connaître ton partenaire, en profondeur, dès le départ, tu te serais épargné tous ces désagréments.
Rappel utile pour les deux sexes : on ne peut pas changer la personne en face de soi. (Vivre en couple : action masochiste qui consiste à s’infliger tous les défauts de l’Autre au quotidien.)
Evidemment, je me permet de te dire ça parce que je suis convaincu que tu es suffisamment mature pour le prendre avec tout le recul nécessaire, et parce que j’ai déduis que cette situation appartenait au passé (et donc était désinvestie de sa part émotionnelle).
Alana
28 avril 2017 at 18:32
Coucou Al,
Pour répondre à tes interrogations, je vais te paraître encore plus incompréhensible mais…je ne sais pas ce que j’ai fait avec ce mec. Je ne me suis pas rendue compte tout de suite de qui il était d’autant plus que le shéma néfaste s’est installé très progressivement. Et puis, il avait une certaine maîtrise des mots, je me suis laissée aveuglée quand il accusait ses ex de tous ses maux.
Maintenant ce que cette expérience révèle sur moi ? Eh bien, sans vouloir faire de la psychologie de comptoir – ce n’est pas mon domaine – je crois que le peu d’affection qu’il me portait me renvoyait à ce que j’ai vécu pendant des années avec ma mère qui s’en foutait totalement de moi ou de mon ressenti, mais qui prétendait m’aimer. A savoir si il y a un lien de cause à effet…je ne sais pas, en tout cas je ne dirai pas le contraire.
J’ai tendance à penser qu’il n’y a pas de Bourreau sans Victime. Et de ce fait, j’aurais dû me réveiller plus tôt, ou tout au moins écouter mon entourage quand on me mettait face à la réalité. Même après cinq ans bientôt, tu vois, je me demande toujours comment MOI, avec toute la force de caractère que l’on me connait, j’ai pu me faire marcher dessus ainsi. Quant aux signes avant-coureurs…j’arrive toujours pas à les distinguer à ce jour, je le trouvais charmant…au début…et puis je sortais d’une rupture, il m’écoutait, me conseillait…Clairement, je n’avais rien à lui reprocher avant les six premiers mois.
Certes, j’aurais dû le quitter plus tôt. Et une partie de moi me suppliait de le faire, mais je suppose que j’avais peur de me retrouver seule, de ne pas retrouver « quelqu’un qui m’aime autant que lui », comme il savait si bien dire…
Enfin, oui, nous communiquions beaucoup. On faisait que ça, même. On pouvait passer trois mois sans se voir et discuter de nos vies des journées entières sur facebook. Il disait que ses parents n’avaient jamais été heureux ensemble, on prétend souvent que l’on reproduit inconsciemment les erreurs de nos ainés alors va savoir…
En tout cas, merci pour ton message, ça fait du bien d’évacuer ce qui n’est plus d’actualité mais servira incontestablement de leçon ultérieurement.
Heureusement, depuis, ma vie de couple est tout ce qu’il y a de plus sain dans ce monde.
Sylvain
29 avril 2017 at 12:26
Hello Alana,
Ce qui est étonnant, c’est que tu aies réussi à changer de modèle relationnel. Quand une femme n’a pas reçu l’affection qu’elle attendait de ses parents, elle reproduit ce qu’elle recevait comme amour dans ses relations tout simplement car elle considére que c’est la façon « normale » d’aimer et que tout autre comportement trop mielleux ou attentionné releve du mensonge ou du suspect.
Ce qui est étonnant, ce n’est pas d’avoir fini avec ce type d’homme mais maintenant d’etre avec une personne saine.
Donc ce qui serait interessant, c’est de nous expliquer par quel mécanisme tu as su évoluer et te tourner vers des choses plus saines. 🙂
AL
30 avril 2017 at 11:48
Chère Alana,
Merci pour ta réponse. Ceci dit, mes questions visaient surtout à nourrir tes réflexions personnelles plus qu’à demander des explications. ^^
Pour rebondir sur tout ça :
« ma mère qui s’en foutait totalement de moi ou de mon ressenti, mais qui prétendait m’aimer »
Plus le temps passe, moins je crois à l’amour. En outre, le sentiment amoureux est assez flou et difficile à expliquer. De fait, j’arrive à concevoir que des gens soient persuadés de ressentir de l’amour là où il n’y en a pas (forcément). Les livres de Jacques Salomé sont pas mal pour comprendre les différentes nuances en jeu.
« j’aurais dû me réveiller plus tôt »
Sauf à considérer que ce qu’il t’apportait (même si c’était négatif) correspondait à ce que tu recherchais, ce dont tu avais besoin, à l’époque. Il t’apportait forcément quelque chose qui avait pour toi suffisamment de valeur pour que tu préfères rester plutôt que partir. Tu y gagnais forcément quelque chose. (Ex pas forcément pertinent ici : quand on a besoin d’attention, se mettre (et rester) dans une situation qui nous permet de nous plaindre sans cesse auprès des autres – voire de jouer les victimes – permet de nourrir notre névrose en restant au centre de la conversation. Alors que changer de situation, demanderait un effort, d’abord, et la possibilité d’être heureux enlèverait tout plaisir de se lamenter.)
« tout au moins écouter mon entourage »
Lecture extérieure : Tu reconnais ne pas accorder totalement attention et confiance à tes proches (et plus bas, à toi-même également). Pistes de travail :
– tenir compte davantage de l’avis des autres
– modifier tes fréquentations et aller vers des gens que tu seras prête à écouter
« puis je sortais d’une rupture, il m’écoutait, me conseillait… »
Donc, tu te servais de lui, en quelque sorte ?
« Clairement, je n’avais rien à lui reprocher avant les six premiers mois. »
Hypothèses plausibles :
– Il n’y avait rien à lui reprocher durant cette période, tout simplement
– La plupart des relations débutent par des projections (on imagine l’Autre selon le modèle qu’on aimerait rencontré) jusqu’à la confrontation au réel (qui est vraiment l’Autre). Et c’est souvent là que ça coince. ça ne veut pas dire que l’Autre est ou devient mauvais. ça signifie seulement qu’on perçoit enfin l’Autre en tant qu’Individu dissocié. [Difficile de savoir, parfois, lequel des deux partenaires démarre avec ce schéma]
– Ton propre comportement a changé, au moins à ses yeux, ce qui a induit son propre changement d’attitude. (Par rapport à ce que je disais plus haut, si toi tu lui apportais quelque chose au départ, que tu comblais un manque, un vide, un besoin, et que, par ton attitude, tu as cessé de le remplir, le sentiment – inconscient – de manque et la frustration peuvent expliquer un retournement de situation à 360°.
– Quid également de vos capacités respectives à gérer les conflits ?
Rappel utile : Rien n’est acquis, rien n’est éternel. Ce n’est pas parce que c’est vrai aujourd’hui que ça le sera demain. Etre heureux/se avec quelqu’un 6 mois ne garantis pas d’être heureux/se à vie avec cette personne. (et ce n’est pas parce que ça ne marche plus que l’autre devient forcément un monstre ou un pestiféré, ni qu’il est (le seul) coupable ou responsable de l’échec de la relation)
« j’aurais dû le quitter plus tôt »
Oui, mais tu ne l’as pas fait. Ce sont nos choix effectifs, nos actions réelles, qui déterminent qui nous sommes réellement. En outre, attention aux injonctions de type « il faut », « je/tu dois »… Rien n’est obligatoire. Tout est négociable. Tout est possible. Rien n’est définitif. Sauf la mort. C’est juste que parfois, il faut du temps, de l’énergie, de la volonté, changer de méthode, de point de vue… L’important c’est d’accepter les résultats à l’instant T, puis avancer.
« ne pas retrouver « quelqu’un qui m’aime autant que lui », comme il savait si bien dire… »
Un bel exemple de l’aliénation que représente cette petite phrase « je t’aime / je tiens à toi ». Autant de la part d’un parent, d’un ami que d’un amant (qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme). Le pouvoir que ça confère à celui qui est en position de donner face à une personne insécurisée est immense (je le sais, j’en ai été « victime » en amitié…). « Parce que l’autre m’aime », je suis pret(e) à tout pour ne pas le/la décevoir et perdre son affection/attention/ses cadeaux. Sic. Sans parler du chantage affectif que ça induit. Néanmoins, et c’est là où c’est compliqué, c’est que la personne peut être tout à fait sincère dans sa déclaration et ses sentiments. De l’importance de travailler sur soi pour s’éviter toute forme de dépendance affective.
« nous communiquions beaucoup »
Communiquer ne signifie pas forcément « écouter l’autre en conscience » ni « tenir compte de lui » ni « tenir compte de lui quand moi je n’ai rien à gagner en contrepartie ».
« ma vie de couple est tout ce qu’il y a de plus sain dans ce monde. »
HAHAHA ! Sans vouloir jouer les oiseaux de mauvais augure, attention aux certitudes, d’une part, et, d’autre part, ce n’est pas parce qu’il te paraît sain qu’il l’est réellement (ou que c’est une garantie de longévité). Certains couples « malsains » fonctionnent mieux et plus durablement que des couples équilibrés. Il n’y a pas forcément de règle. Pour moi, le couple c’est avant tout un exercice de funambulisme perpétuel et la chute est possible à tout moment. Même quand tu fais bien ou que tu penses bien faire (ce qui marche avec les uns, ne fonctionne pas forcément avec les autres…).
Mais c’est chouette que ça fonctionne, c’est déjà le signe que tu es dans la bonne direction. 🙂
Kheldar
28 avril 2017 at 11:48
Hello,
Bien que certains n’apprécient pas cet article, moi je le trouve assez instructif. Tout ce qui me permet d’apprendre quelque chose est bon à prendre (bon apprendre LOL).
Par contre j’ai un petit problème avec le point numéro 3.
« Si vous ne pouvez pas trouver quelques instants deux à trois fois par jour pour au moins vous enquérir de sa santé, vous pouvez disposer ! »
Deux à trois fois par jour ? Sérieusement ? Alors ok, j’ai appris grâce à ADS que le couple c’est de la séduction en continu. Mais n’est-ce pas ADS justement, qui m’a appris que pour séduire une femme il fallait créer le manque afin d’engendrer le désir ? Parce qu’avec des SMS deux à trois fois par jour tous les jours, je ne vois pas comment on peut faire pour le créer le manque là !
J’aimerai avoir quelques explications concernant ce point là.
*Luciole*
28 avril 2017 at 23:09
Salut Kheldar,
Il ne s’agit pas ici de la phase de séduction mais de la phase où on est en couple. Et là en général il est tout à fait normal de se préoccuper du bien-être du/de la partenaire au moins une fois par jour, et si on habite ensemble alors deux ou trois fois par jour semblent tout à fait réalistes (matin: tu as bien dormi? soir: comment était ta journée? et éventuellement un sms pendant la pause de midi, et hop, on est à trois fois…).
Je pense que créer le manque dans un couple passe plutôt par des activités personnelles de chacun, ce qui permet de vivre des choses ou de voir des gens qu’on apprécie de son côté, puis de retrouver l’autre en étant plus soi-même et parfois en ayant des choses nouvelles à partager.
Bonne nuit,
*Luciole*
Sylvain
29 avril 2017 at 13:31
Hello Luciole,
Je suis d’accord avec toi, apres je trouve que 3 fois par jour pour ne rien dire, on finit par en perdre la signification.
Sylvain
29 avril 2017 at 12:27
Pareil, mieux vaut peu mais mieux 😉 Toujours du temps de qualité. Pas de probleme pour envoyer 2 à 3 messages par jour mais il ne faut pas que cela devienne une routine quand on n’a rien à se dire.
*Luciole*
29 avril 2017 at 21:57
Salut Sylvain,
Je pense que tu as lu trop vite: je n’ai pas parlé d’envoyer 3 sms mais de deux personnes qui vivent ensemble et donc qui se voient normalement au moins le matin et le soir. Ça me semble normal de se dire qqch de gentil, non? Enfin les mecs, vous faites comme vous voulez, mais ça me semble mal parti pour rester en couple si vous ne faites même pas ça (et ça vaut pour les femmes aussi…).
lenalairderien
30 avril 2017 at 08:10
Luciole,
Je préfère vivre une relation de qualité quand on se voit ….
Que d’avoir 50 sms par jour pour rien dire.
Je suis une femme , un sms pour souhaiter une bonne journée à quelqu’un c’est un minimum syndical..
*Luciole*
30 avril 2017 at 21:23
M’enfin, j’écris en chinois ou c’est vous qui devez réapprendre à lire??!
Sylvain
1 mai 2017 at 13:03
hello Luciole,
Effectivement, dans le cadre de 2 personnes qui habitent ensemble, il est bien sur normal d’apporter de l’attention à son partenaire. je pensais plutot au couple qui sont tombés dans des rituels qui ont perdu de leur sens. Il me semble plus opportun pour les SMS d’en envoyer moins mais de les envoyer quand tu penses vraiment à elle 🙂
*Luciole*
1 mai 2017 at 21:15
Bon, là, tout à fait d’accord bien sûr 🙂
Cassandre
28 avril 2017 at 16:09
Une amie m’a signalé cet article, je n’ai pas pu résister à vous le livrer :
https://www.lelo.com/fr/blog/femmes-trompent-plus-hommes-evitent-taches-menageres/
donc les garçons, vous savez ce qui vous reste à faire 🙂
Sur ce, bon week-end
Sylvain
29 avril 2017 at 12:33
Hello,
Toujours fun à lire.
Apres je dirais qu’une femme infidèle n’aura jamais la moindre circonstance atténuante 🙂
Pour le reste, plus que le partage des taches ménageres, c’est plus le fait de montrer de l’amour, des attentions et de montrer qu’elle peut compter sur vous qui va vous prémunir de l’infidélité.
Et ça, ça peut sans doute prendre d’autres formes qu’une participation aux taches ménagères, non?
Cassandre
2 mai 2017 at 19:55
@ Sylvain,
« Et ça, ça peut sans doute prendre d’autres formes qu’une participation aux taches ménagères, non? »
Il y a mille façons de se rendre utile dans une maison, mais un mec qui ne fait strictement rien, pour moi c’est un boulet doublé d’un feignant et je n’aurais aucune hésitation… Bonne, mais pas conne 😉
Sylvain
3 mai 2017 at 11:59
C’est ma phrase ça! « Trop bon avec un C majuscule »!
lenalairderien
30 avril 2017 at 08:05
Bonjour,
Sauf qu’il n’y aucune « formation » ou « mode d’emploi » pour se mettre en couple…Comme pour la « sexualité » tu pratiques …Tu te plantes , et tu recommences… Tu apprends sur le tas. Et certaines personnes ne se remettent jamais en cause et font toujours les mêmes erreur….
+1 Al,
Si tu as tous les signes avant coureur que le mec , c’est un « gros connard » si tu restes avec c’est du masochisme…
Sur les sites féminins , elles sont victimes des hommes parce que l’amour qui balaie tout sur son passage. « je l’aimeuuuuuuuuuu »
Dr House
29 avril 2017 at 10:44
Je trouve que l ‘article est un peu caricaturale concernant certains points mais globalement bon quand même . J’arrive surtout à la conclusion qu’il faut savoir mettre son égo de côté
Sylvain
29 avril 2017 at 12:34
http://www.artdeseduire.com/inner-game/probleme-ego
Hanneman
29 avril 2017 at 14:45
Y’a un truc que j’ai jamais aimé dans la majorité des articles écrits par des filles, qui tentent, de donner des conseils aux garçons sur ADS ; c’est cet incontrôlable ton de réprimande, qui donne l’impression de cacher une frustration qui s’exprime au travers de leurs articles.
C’est d’un désagréable… et en plus ça perd en crédibilité.
Seule Anashka avait la douceur, le sel et la manière de faire passer des conseils aux hommes sans les blâmer.
AL
29 avril 2017 at 20:06
M’est avis que ce n’est pas qu’une impression.
+1 pour Anashka (j’ajouterai Brigitte Lahaie)
Juan (cristobal)
30 avril 2017 at 10:28
Oh mon dieu ce ton de réprimande ! je suis bien d’accord, Sélim évite de lui faire écrire des articles comme ça, elle nous dégoute des femmes !
Elgyn
30 avril 2017 at 17:51
article intéréssant qui enfonce beaucoup de portes ouvertes. Bien évidemment on est un mauvais petit ami quand on rabaisse la personne, qu’on lui manque de respect et qu’on critique son univers.
La dernière relation que j’ai eu, j’ai été un « parfait » petit ami selon les critères de l’article. J’ai respecté ses amitiés pour des gens qui n’en valaient clairement pas la peine et la tirent vers le bas, je l’ai valorisé parce qu’elle avait à mes yeux une valeur qu’elle ne s’imaginait pas, notre vie sexuelle était épanouissante, je m’intéressais à ses hobbies et à son monde, l’ai encouragé à quitter son travail qu’elle détestait. Et non, je n’étais pas son toutou, je respectais justement les les conseils de game que l’on peut prendre sur ADS.
Cette histoire a duré 6 mois et elle a fini par vouloir rompre car « elle n’a pas développé de sentiments amoureux bien que je lui ai fait du bien ».
La dernière fois que je l’ai croisé en soirée, elle a flirté avec moi avant de se calmer parce que son nouveau mec était là. Le nouveau mec en question je l’avais croisé une fois et il a 20 ans de plus qu’elle et est tout le temps complètement bourré…
Ce que je retiens de cette expérience, c’est que ce genre d’articles n’aura comme effet que de culpabiliser des mecs qui veulent être au top pour la fille et qui ne comprendront pas pourquoi la relation ne réussit pas. Alors que qu’en vérité, quand la relation fonctionne et que les 2 personnes veulent construire quelque chose ensembles, ces points sont une évidence.
Polignac
2 mai 2017 at 08:06
Heuuuu non
Alors je vais passer outre les : « Mauvais petit ami” comme on peut dire « Mauvais chien”, qui est très insultant et irrespecteux.
mais le probleme c’est que c’est article est rempli d’évidences et de conneries. Alors les évidences (vous lui criez dessus, vous la faite culpabiliser d’être heureuse… ) OK pas de soucis !
Mais il y a de grosses conneries, comme par exemple on a pas le droit de dire qu’on aime pas certaines de ses habitudes… SERIEUSEMENT !? Tu as fumé quoi?
AL
2 mai 2017 at 16:15
Surtout qu’en général, quand un mec commence à parler très fort, c’est généralement parce sa meuf a elle-même bien augmenté son propre niveau sonore au-delà du raisonnable.
Et puis, le coup de la culpabiliser d’être heureuse, on peut aussi inverser le regard sur la question : quand ton/ta partenaire va mal, tu as le droit (le devoir ?) d’avoir la délicatesse de ne pas en faire des caisses sur tes réussites. ça s’appelle le tact. Parce qu’étaler son bonheur devant quelqu’un qui va mal, ça renvoi juste la personne à ses échecs et ça contribue à renforcer son mal-être. (Alors en plus se vexer parce que la personne qui va mal te demande un peu de retenue, pour le coup, c’est carrément puéril (en plus d’être égoïste).) Il me semble que c’est celui qui va bien qui doit soutenir l’autre (enfin… c’est ce que disent les maires et les curés lors des mariages…).
eric kadzha
24 juillet 2018 at 05:16
article très décevant, sans vouloir être macho, le problème c’est que quand un article est écrit par une femme qui connait plus ou moins bien la séduction, on y ressent beaucoup trop de féminisme et de protectionnisme. Le fait est que les femmes viennent de vénus et les hommes de mars, deux genre différents, deux façons de penser différentes.