« J’en ai marre de baiser des moches, je veux une solution ! »
Vous êtes intelligent, et vous savez très souvent ce qui ne va pas quand ça coince entre vous et les filles.
En plus de 10 ans de coaching en séduction, j’en ai désormais la certitude : vous savez ce que vous devez travailler, vous savez ce que vous devez améliorer.
Mais comme John, mon coaché de ce week-end, vous êtes bloqué par la peur et… la flemme de vous bouger !
Découvrez l’histoire de John, qui représente à peu près 15 à 20% des hommes célibataires avec qui je travaille.
John a 37 ans. C’est un métisse anglais-ghanéen qui a grandi en France. Il parle français et anglais, a été élevé par son beau-père et sa mère anglaise.
Il mesure 1,76m, n’est pas vraiment noir, n’est pas vraiment blanc non plus, et quand on parle de nos origines variées, il me dit :
« Ça n’a jamais été un souci, les origines. Je viens te voir parce qu’avant, j’attirais des filles mignonnes. Je savais draguer des belles filles. Des 6,5 – 7,5 sur 10. Parfois même des 8 à l’occasion, sur un malentendu. Mes origines, ma personnalité, et le noir aux yeux bleus, forcément, ça marchait bien. Mais depuis quelques temps, je trouvais que j’attirais moins de filles jolies. J’ai regardé mes conquêtes des 2 dernières années, et ça m’a sauté aux yeux : 4,5 – 5 – 6 max. Bien sûr, elles étaient intelligentes et gentilles, et indépendantes et sexuelles. Mais mer*e, je jouais l’UEFA et là je me retrouve en Ligue 2. Je ne te dis pas que je veux jouer la Champion’s League l’an prochain, mais y’a un truc qui ne va pas et que tu dois m’aider à changer. »
C’est le moment où en tant que coach en séduction, je sors ma trousse à outils. En plus de 10 ans, j’ai affiné la technique, et je la partage avec tous dans la Méthode RDV.
Le R de Rassurer, le D de Divertir, et le V de Valoriser.
C’est ce dont vous avez besoin pour séduire les filles de manière naturelle et spontanée.
Etape 1/3 : Le diagnostic du coach en séduction
Lors d’une séance de coaching, je démarre toujours en ouvrant grand mes oreilles et je vous écoute.
- Quel est votre CV sentimental ?
- Qu’attendez-vous de vous ? Qu’attendez-vous de la vie ?
- Que veulent les femmes ? Qu’attendez-vous d’une femme ?
- Et surtout, qu’apportez-vous au sein de votre futur couple ?
C’est une fois la phase d’écoute terminée qu’on peut fixer ensemble votre objectif.
Dans le cas de John, l’envie était d’avoir plus de choix. Il est sur le point de se mettre en couple, il a envie de construire sa vie désormais, et de quitter le célibat.
Mais il aimerait bien une fille « qui a du niveau », reconnaît-il. Il a envie de draguer des mannequins, de coucher avec une star du porno.
C’est là le moment de la question cruciale : « Mais toi John, c’est quoi ton niveau ? »
Si on accepte de noter les filles sur 10, il faut être capable de s’appliquer à soi-même cette notation.
De se regarder dans le miroir, et d’accepter d’y voir un 6 ou un 5. Ou encore moins ?
Etape 2/3 : que veulent les femmes, quel est votre niveau ?
Dans le cas de John, le CV sentimental était rempli, il avait un certain vécu. Il avait déjà même habité avec une femme à la fin de la vingtaine.
Avant, il arrivait à faire le premier pas, à engager la conversation, mais là, il ne le sent plus.
Le déclic a eu lieu quand il a vu une pub sur un site porno : « Baiser des moches ». C’est là qu’il s’est rendu compte qu’il avait un problème…
Il a peur d’aborder les filles qui lui plaisent. Il a perdu l’œil du tigre, il ne se sent plus au niveau.
C’est le moment où lui et moi passons en revue tous les critères de séduction, notamment :
- Son travail et son capital financier
- Son cercle social, son capital social
- Son QI, son niveau d’intelligence et d’humour, son capital culturel
- Son QE, son capital émotionnel
Et sur ces critères, qui sont 4 des critères principaux sur les 6 avec lesquels on travaille, John oscille entre 7/10 et 8/10.
En revanche, il identifie de lui-même le blocage principal, quand on se promène sur son compte Facebook et son profil Tinder :
En 10 ans, John a pris 12 kilos.
Et pas dans les cheveux, non. Le bide flasque, les cuisses molles, le double-menton qu’il essaie de cacher par deux poils de barbe (il est presque imberbe).
C’est là qu’il m’a dit : « Bon en fait, je suis venu te voir parce que j’ai besoin d’un bon coup de pied au c*l. Je sais que je me suis laissé aller. Trop de bouffe dehors, trop de livraisons. Et pas assez de sport. »
Niveau physique, John se met 3/10 en ce moment.
Et le souci, c’est que cette baisse physique attaque aussi son niveau de confiance en lui, qu’il estime entre 3 et 4/10.
« Je me sens moche, mais je ne veux pas baiser des moches ! » me répète John.
Ma conclusion de coach en séduction : John est un mec superficiel, et il accepte la situation.
Quand je lui dis qu’il existe d’autres qualités importantes (générosité, gentillesse, intelligence etc…), il me répond que ces qualités, il les veut dans une belle enveloppe corporelle.
Avant, les filles faisaient parfois le premier pas vers John, mais plus du tout aujourd’hui parce qu’il a perdu confiance en lui à cause de son poids.
« John… Tu as pris l’offre premium de coaching en séduction, 3 heures… Pour que je te dise de prendre un coach sportif ! Tu le sais, pourtant. Tu le vois dans le miroir. Sur la balance. »
Vous connaissez le proverbe : on voit toujours mieux la paille dans l’œil du voisin que la poutre dans le nôtre.
John avait simplement besoin que quelqu’un lui dise de se bouger, et comment le faire.
Etape 3/3 : vous passez à l’action
Dans le cas de John, je lui ai demandé de me faire une liste de 10 mecs à qui il aimerait ressembler.
On commence toujours avec un modèle pour progresser, pour s’inspirer. Bond, Tom Cruise, Kelly Slater, Mike Tyson, Lewis Hamilton, M’Bappé, le Batman de Christian Bale.
On a travaillé ensemble sur l’importance du physique, du look aussi évidemment, et de leur impact sur sa confiance.
Ensuite, je lui ai demandé de passer une demi-journée sur Bonne Gueule, Very Good Lord, CommeUnCamion et de sélectionner 5 à 10 looks qu’il aimait bien, pour s’en inspirer.
Je lui ai donné une liste secrète d’exercices hebdomadaires pour reprendre confiance en lui, et l’ai confié à un ami coach sportif qui l’a martyrisé en visio-conférence pendant tout le confinement.
Vu qu’il nous restait du temps sur les 3 heures de coaching prémium, on s’était dit qu’on se reverrait pour faire un point au bout de 3 mois.
Des abdos commencent à apparaître. John mange mieux. Boit moins, mais continue de boire lors de ses premiers rendez-vous.
Il a refait des photos pour Tinder la semaine dernière, et a changé sa bio : « Avant, j’étais beau. Maintenant, je suis intéressant… »
Malgré le COVID-19, il n’a plus peur de draguer avec un masque et de faire le premier pas…
Conclusion : vous améliorer, c’est facile si vous savez quoi faire
Le développement personnel, ça devient simple quand vous avez quelqu’un à vos côtés pour vous orienter.
C’est mon job depuis 2009, d’aider des pompiers, policiers, tapissiers, étudiants, avocats, architectes, militaires, médecins, comptables, chefs d’entreprise, chômeurs, musiciens.
Des célibataires qui n’arrivent pas à se mettre au travail tout seul.
Votre coach est là avec sa trousse à outils, adaptés à votre cas personnel, et vous attend.
Pour tous ceux qui veulent avancer seul et apprendre à aborder une fille cet été, regardez cette vidéo !
Pour ceux qui ont envie de travailler avec moi, découvrez nos 3 offres de coaching en séduction ici.
Sélim, fan d’Elton John Lennon
Munin
18 juin 2020 at 16:30
De quoi il se plaint ? Au moins il attire des femmes, c’est méchant pour les autres ! Faut être positif !
Blague à part, la phrase « Avant, j’étais beau. Maintenant, je suis intéressant… » fonctionne pour lui ? Je l’a trouve super comme phrase de présentation ! (Et quand je trouve un phrase super, en général, c’est un flop).
Bonne chance à lui pour sa rennaissance !
Sélim
19 juin 2020 at 10:02
Hello Munin !
En tant que coach, c’est ça qui est intéressant.
J’ai la chance d’aider des hommes qui partent de 4, d’autres de 6… et je dois toujours m’adapter à vos demandes.
Toi, tu peux le trouver « méchant pour les autres ». Pour lui, c’est sa réalité, sa vraie souffrance.
Et même s’il est positif, il se compare évidemment avec ceux qui ont « plus », qui ont « mieux ».
Il ne perd pas une seconde à regarder « en bas ».
Passe un bon été ! (et je pense que la phrase marche bien, oui !)
Munin
19 juin 2020 at 17:47
Salut Sélim !
C’était une boutade, mais je me doute que ça ne doit pas être évident de voir qu’on a périclité, quelque soit le domaine.
Pour la phrase, j’ai créer un compte Tinder hier (je suis en province), j’ai 8 match et 4 like. Je n’ai jamais eu autant de like si rapidement, pourtant j’ai toujours les mêmes mauvaises photos (j’ai pas encore réussi à me faire faire un book, #cameraphobia).
Donc je valide la phrase, je m’en souviendrai ! Merci !
Sélim NIEDERHOFFER
20 juin 2020 at 18:55
C’est dans ces moments-là, quand c’est vraiment testé et approuvé, que je me dis que j’ai un chouette métier 🙂
Je te souhaite de trouver l’amour (ou de t’amuser autant que tu le voudras !)
Take care !
Theo31
12 juillet 2020 at 18:20
Avec le confinement, j’ai pris quelques kg. J’en ai perdu le double en deux mois. J’ai viré Tinder et Bumble, je pense que tous ces sites sont bidons à mort et rien ne remplacera la rue et le papillonnage. J’ai essayé pour la première fois de draguer une fille à son travail. J’ai foiré mais c’est pas grave. J’ai compris 24 heures avant qu’elle me le dise que j’allais me prendre un râteau. Mais je suis allé jusqu’au bout car je l’ai pris pour une expérience.
Qui se bougera choppera. ?
Sylvain
15 juillet 2020 at 13:44
Re,
Pas facile la rue en ce moment ! Il faut savoir faire évoluer ses codes avec le corona. Mais bravo à toi si tu arrives à te motiver seul 🙂 Continue comme ça !