Connect with us

Art de Séduire : Séduction

5 Types De Filles Dont Vous Devez Vous Méfier

profil-femme-se-mefier-taylor-swift

Relation Homme Femme

5 Types De Filles Dont Vous Devez Vous Méfier

5 Types De Filles Dont Vous Devez Vous Méfier

profil-femme-se-mefier-taylor-swift

Ni anges, ni démons, les femmes sont ce qu’elles sont. Raison pour laquelle il est de bon ton d’essayer de les connaître en se dépouillant au mieux de tous vœux pieux et autres surmois mal acquis.

Les cinq catégories présentées ici n’ont bien entendu pas vocation à englober l’entièreté des chromosomes XX de la planète. Il ne s’agit pas non plus de les éviter à tout prix (au risque finir dans un monastère), simplement de déterminer le plus rapidement qui est qui pour savoir où on met les pieds.

La vie c’est court et le cœur c’est fragile. Alors autant apprendre à se protéger et décider de s’investir (un peu/beaucoup/à la folie) avec des personnes qui en valent la peine.


Lorsque Stendhal publie De l’Amour en 1822, l’échec est cuisant. Cette description « exacte et scientifique » de la physiologie du sentiment amoureux s’écoule à moins de 100 exemplaires. La vie n’étant pas toujours injuste, quelques deux siècles plus tard l’œuvre a tout de même réussi à passer à la postérité via son concept phare : la cristallisation, ce phénomène d’idéalisation à l’œuvre au début d’une relation.

L’idée maîtresse serait que l’amour est une illusion savamment entretenue par nos espérances, un pur produit de l’imaginaire. L’Autre n’est pas un Autre mais une fabrication. « Il suffit de penser à une perfection pour la voir dans ce qu’on aime ».

Cette projection rend de facto incommunicable sa passion aux autres : l’amour, ou plutôt l’amour de l’amour, crée autour de l’être désiré un halo que seul l’amant voit et comprend. Bref, on navigue en plein dans un wishful thinking très propice à ouvrir les vannes de l’obsession amoureuse.

Pour combattre ce travers, car oui c’en est un, certains comportements sont à proscrire sans délai (distance, solitude, espérance…), mais surtout (surtout !), il faut impérativement apprendre à catégoriser vos nouvelles rencontres.

Oui, juger les gens pour les mettre dans des cases. Vu du hublot, personne n’est unique : ni vous, ni moi, ni elle. Ceux qui ont un peu bourlingué savent que l’on rencontre peu ou prou toujours les mêmes archétypes. Et les femmes ne font pas exception.

Passé un certain nombre d’expériences ratées (après tout, il faut bien s’endurcir), les relations toxiques ne présentent plus aucun intérêt. Catégoriser vous évitera de tomber des nues encore et encore à chaque fois que vous découvrez que cette fille que vous pensiez connaître est loin de correspondre à ce que vous espériez d’elle.

Comme le dit l’adage : « Fool me once, shame on you; fool me twice, shame on me ».

Quelques précisions toutefois avant de rentrer dans le vif du sujet :

  • Les étiquettes ça se colle, mais ça se décolle aussi le cas échéant. Déjà parce que personne n’est exempt de commettre des erreurs d’appréciation, et aussi parce que les gens évoluent. La simili Lolita fraîchement sortie du lycée ne sera plus quelques années après avoir connu quelques expériences de vie salutaires et formatrices – voir ci-dessous.
  • Les gens ne changent que s’ils prennent eux-mêmes la décision de changer. Si personne n’est une cause perdue (enfin jusqu’à un certain âge), vous aurez beau tirer la tête d’un éléphant autant que possible, jamais vous n’en ferez une girafe.

LE CREW DES MONDAINES

Dotées d’un physique pour le moins avantageux et d’une forme d’intelligence sociale patiemment acquise en arpentant les arcanes des clubs et autres vernissages, elles en ont rendu ouf’ plus d’un avant vous – et pas que des rookies.

Il faut dire qu’elles manient habilement le levier de la compétition si propre à mettre en rut n’importe quel mâle avide d’ajouter une femme trophée à son CV.

À mi-chemin entre la groupie et la courtisane, leurs desideratas correspondent à des rêveries bling-bling adolescentes qu’elles se savent incapables d’atteindre par elles-mêmes – car pour récolter encore faut-il semer… Footballeurs et autres cadors de la télé-réalité leur sont ainsi tout indiqués.

Ce genre de filles ne s’intéresse qu’à l’image qu’elle a de vous. Demandez-lui ce que son mec du moment qui bosse dans la finance fait concrètement de ses journées ou les règles du hors-jeu pour vous en apercevoir.

Et leurs relations sont à l’avenant, l’amitié se résumant à un pacte de circonstance (« Qui connaît qui ? Qui rentre où ? ») jamais bien éloigné des sentiers de la séduction. Leurs potes mecs sont inlassablement relégués au rang de prétendants tandis qu’elles cultivent une compétition malsaine avec leurs copines/rivales.

Attention le club des mondaines n’est pas réservé uniquement aux bombes atomiques. Il existe une sous-catégorie tout aussi pernicieuse composée de ces filles mignonnettes mais sans plus qui par pur pragmatisme jouent une division en-dessous pour rallier un maximum de suffrages.

Leur technique consiste en général à feindre plus ou moins une passion de mecs pas très alpha (tout ce qui est un peu geek : Japan Expo, jeux vidéo…) pour s’octroyer faveurs et attention à moindre frais – une sorte de remake girly de la stratégie de l’océan bleu

LA CLIQUE DES CASTRATRICES

Hommes et femmes sont plus complémentaires que similaires. Un couple équilibré repose sur une juste répartition des prérogatives de chacun. Gare à ces filles dont la subtilité des rapports hommes/femmes semble complétement échapper.

Au premier rang on retrouvera ces féministes mal assimilées qui vous font vivre la guerre des sexes au quotidien. Un rapport de force qui tourne vite à l’affrontement stérile passé les premières étincelles. On en viendrait (presque) à donner raison à Freud qui théorisait en son temps que chaque femme aspirait secrètement à être pourvue d’un phallus…

[Non, l’alignement sur la condition masculine ne constitue pas la fin en soi ultime chez la femme.]

Dans un registre proche, vous pouvez tomber sur cette fille à qui vous plaisez… mais pas complètement. Convaincue d’être en mesure de vous faire correspondre à son idéal, elle va s’acharner à gommer ce qui ne lui convient pas, et ce malgré vous. Et à ce petit jeu il n’y a pas de prisonnier.

Enfin à l’opposé, on trouve ces adulescentes dont la capacité d’infantilisation n’est plus à prouver. Pendant du trentenaire masculin toujours habillé en Vans et t-shirt Mario Bros, c’est le genre de fifilles à prendre comme pseudo « Tite XXX » sur les sites de rencontre, à appeler ses copines « belettes », à vous parler avec une voix crécelle et à s’obstiner en dépit des années à se saper avec des trucs « marrants ».

C’est déjà assez dur de se sentir alpha de nos jours, mais si en plus votre meuf guette la première occasion pour vous tenir la main, se rapprocher un peu trop de votre mère et de vous affubler en public (voir dans votre dos) d’un surnom choupinet ridicule, long et pénible le chemin va être.

LE GANG DES PRINCESSES AUTOPROCLAMÉES

De loin les plus insupportables pour peu que l’on arrête de juger un livre à sa couverture – et une fille à la douceur de sa voix et à ses yeux cristallins. Biberonnées dès leur plus jeune âge au culte de soi par un entourage (père en tête) confondant allègrement personnalité et attributs physiques, nos « chieuses » à temps plein (appelons-les comme ça puisque c’est le principal trait de caractère qu’elles revendiquent) se sont empressées d’y croire.

Désormais pour un raison qui échappe au reste du commun des mortels, elles estiment que tout leur revient de droit pour peu qu’elles soupirent un peu fort.

Cette immaturité assumée ferait ainsi office de passe-droit les dédouanant de la moindre correction élémentaire dans leurs rapports avec la gent masculine. Après tout, rien de plus normal que ne jamais payer, de ne pas prévenir ou de régler tout ce qui demande un peu de cran par SMS.

Tout cela s’accompagnant d’une propension certaine à jouer la drama queen au gré de leurs humeurs.

Reste que prouver sa valeur exclusivement à l’aune de sa capacité de manipulation traduit en filigrane une profondeur d’esprit aussi épaisse qu’une coquille d’œuf. Pour camoufler la misère, elles la joueront tour à tour mystérieuses, insaisissables ou écorchées (genre « j’ai souffert mais il n’y qu’à toi que j’en parle »).

À vous d’être vigilant face à toutes ces tartufferies à la petite semaine.

In fine les lois du karma étant plutôt rigides, on remarquera que le charme de l’inconsistance s’éteint vite passé les jeunes années pour devenir risible avec le temps (Marylin Monroe quelqu’un ?).

LA BANDE DES DÉSESPÉRÉES

La compétition sur le marché des amantes est tout aussi cruelle que celle qui règne sur le marché des amants. #VaeVictis

C’est vrai qu’au départ ces filles ont l’air sympa et avenantes : elles rient aux bons moments, se montrent disponibles, vos centres d’intérêt convergent comme par enchantement… sauf que, comme le dirait Kenshiro, « tu ne le sais pas encore mais tu es déjà mort ».

Du statut de mec idéal vous allez vite passer à celui de bouée de sauvetage discount.

Le problème du manque de choix c’est qu’il conduit à accepter plus rapidement les (mauvais) compromis. On ne peut pas passer sa vie à dire non à tout, et ce d’autant plus lorsqu’on est équipé d’une horloge biologique.

Le pouvoir de la chair n’est pas éternel, passé le quart de siècle les gênes se suffisent de moins en moins à elles-même. Un constat qui frappe en plein sternum celles qui ont usé sans discernement de leurs charmes.

Surtout si l’on rajoute les désillusions qu’engendre l’entrée dans le monde du travail (petit salaire, petite considération) et le fait que ces demoiselles réalisent que certaines de leurs congénères ont bien mieux placé leur capital, il y a le feu le lac.

Nécessité faisant loi, elles vont se rabattre sur la deuxième démarque d’hommes encore disponibles, découvrant ainsi subitement à défaut les vertus des nice guys. Bonjour le destin de feuilles mortes…

Sauf que le naturel revient toujours au galop et qu’à moyen terme l’un des deux finira par payer cette médiocrité.

[Remarquez ces filles dans la trentaine qui en quelques mois à peine, voir en quelques semaines, se trouvent un géniteur qui passait par là et n’avait presque rien demandé…]

Enfin ça, c’est si les rapports au sein du couple sont à peu près équilibrés, parce qu’en vrai on est encore loin du pire, alias ces poids morts qui vivent par procuration en se calquant sur les passions, les désirs (et la situation pécuniaire) de leur mec.

Spéciale dédicace à toutes celles dont le cercle social se limite aux potes de son pote, aux « femmes de » ou encore à celles qui passent le weekend assises à l’arrière d’une moto.

LA LIGUE DES INTOUCHABLES

Ou quand vous rencontrez la bonne personne au mauvais moment

Avec en tête de gondole ces filles complètement out of your league. Évidement l’idée n’est pas de reprocher à quiconque de tenter sa chance – si vous croisez *nom de la célébrité la plus hot du moment* dans une file d’attente à Auchan, foncez !

Si bémols et exceptions existent quant à vos chances de réussite, il y en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes.

Reste que face à une femme qui dispose d’un choix illimité, vous êtes renvoyé de facto au rang que vous occupez au sein la hiérarchie des mâles.

Pour forniquer de la HB 9-10 à tout va, il faut mériter un à un ses galons de Jedi de la drague. Un grade qui ne se décrète pas et qui s’acquiert à force de temps et d’investissement.

Plus répandues, le cas de ces filles qui ont tout pour vous plaire mais qui n’ont simplement pas de place pour vous pour cause de problème de compatibilité des calendriers (étudiante Erasmus, voyageuse au long cours, working girl…).

Malgré certains atomes crochus, vous voilà réduit à un dildo en CDD car leur vie est pour le moment ailleurs. Dommage, mais il vaut mieux vous faire un raison sur ce coup, acceptez de ne pas distribuer les cartes et profitez de cette relation sans arrière-pensées.

Et comme le chantait Erykah Badu  « see you next lifetime ».

 

Aurélien, qui à l’occasion tombe encore dans le panneau

Continue Reading
50 Comments

50 Comments

  1. Antoine

    7 août 2015 at 10:22

    Très bon article, mais bourré de fautes de frappes, relisez-vous la prochaine fois 😉

    • Aurélien

      7 août 2015 at 11:29

      Ah oui honte éternelle et inexpiable sur Sélim en effet… ah non ooops c’est moi qui l’ait écrit 🙁

      Je repasse ça au peigne fin asap Antoine.

  2. Bilou

    7 août 2015 at 11:24

    Putain j’aime cet auteur!

    • Aurélien

      7 août 2015 at 11:29

      Cimer Bilou mais je te préviens je suis pas un garçon facile.

  3. Luc

    7 août 2015 at 17:11

    Les princesses c’est aussi les mecs qui les creent, en transformant une fille souvent lambda en une princesse en etant toujours a leurs pieds
    vous connaissez beaucoup de mecs moyens/lambdas qui ont petite cour de nanas a leur pieds pret a assouvir leurs caprices, faire leur demangement, garder le chien, et leur trouver toujours des excuses . moi pas !
    Dans combien de couples que je connais, c’est la femme qui tient la culotte a la maison, vous seriez etonné aussi !

    • Aurélien

      8 août 2015 at 10:53

      D’accord et re-d’acccord Luc 😉

    • Milhouse

      12 août 2015 at 15:47

      Je pense exactement comme toi.
      Le nombre de mec soumis que je connais c’est dingue.

  4. cracktoumunch

    7 août 2015 at 17:54

    Bon article Aurélien,
    il manque quelques types de filles récurents comme
    – « Les LSE déguisées en chaudière » A.K.A les nanas qui aguichent mais qui dès qu’elles se font aborder perdent leurs moyens, paniquent et ne savent plus quoi faire. Ne vous laissez pas avoir par l’apparence

    – « Les filles contradictoires » A.K.A les filles avec un BL qui dit OUI mais des propos qui disent NON. Elle se met des barrières toute seule et se tire des balles dans le pied dès que le jeu commence à prendre. Inexplicable mais à fuir, elles demandent trop d’énergie.

    Aussi c’est bien de pouvoir les catégoriser, mais je suis sur que beaucoup aimeraient savoir comment les gérer… Par exemple le Gang des princesses autoproclamées ralliant à une vitesse fulgurante de plus en plus de filles dans ses rangs, il va bientôt falloir composer avec.

    Cracktoum’

    • Aurélien

      8 août 2015 at 10:56

      Oui les 5 catégories ne sont pas exclusives, on peut nuancer à foison – « les filles contradictoires » => #Pléonasme ^^

      Pour savoir comment les gérer, cela demanderait un ou plusieurs autres articles, là c’est juste la première étape (capitale), savoir qui est qui.

      Merci pour ton com’ cracktoumunch.

  5. Joe

    8 août 2015 at 12:49

    J’ai adoré l’article mais surtout la façon par laquelle tu les a décris !
    Par simple curiosité, tu es tombé dans quel panneau? 😀

    • Aurélien

      10 août 2015 at 10:39

      Merci Joe !

      Mondaines, princesses, out of my league… mais bon on se soigne ^^

      @+

  6. necroman

    8 août 2015 at 15:25

    article tres interessant,Quelle est la categorie majoritaire?

    • Aurélien

      10 août 2015 at 10:42

      Comme l’ont écrit Luc et cracktoumunch : le gang des princesses croît à vue d’oeil…

      Merci pour ton com’ necroman.

  7. Ben

    8 août 2015 at 15:45

    Après avoir lu 10 lignes j’ai compris que ce n’était pas Les habituels. Bien meilleur que d’habitude. sérieux les « coachs » faut changer de style et d’analyse. On dirait un site pour ados de 13 ans.

    • Aurélien

      8 août 2015 at 16:32

      Salut Ben,

      Il en faut pour tous les âges et tous les niveaux, c’est pas à 13 ans que tu vas te farcir du Stendhal ^^ Là t’as un article (un peu) advanced et conceptuel, mais s’il n’y avait que ça, ça n’irait pas non plus.

      @+

  8. Kheldar

    9 août 2015 at 13:24

    Help please !

    Je n’arrive pas à commander « Devenez désirable ». Quand je clique sur le lien situé sous la vidéo, il ne se passe rien, absolument rien…

    • Kheldar

      9 août 2015 at 14:58

      Problème résolu, j’arrive à accéder au formulaire.

  9. retribution

    9 août 2015 at 17:56

    c’est drole fun et bien écrit mais grace à ton article cela va permettre à l’équipe de travailler sur ses categorie de filles draguer ou pas draguer

    • Aurélien

      9 août 2015 at 18:32

      Salut retribution (?!),

      Tu peux draguer ces filles mais ne t’attend pas à obtenir d’elles autre chose que ce qu’elles sont déjà. L’une des plus grandes causes de souffrance dans les relations intimes c’est la disparité entre ce qui est et ce qui est cru – id est quand on s’enflamme.

      « You Cant Turn A Hoe Into A House Wife »

      Et puis suivant les profils les soucis interviennent à différents stades de la relation,

      À bientôt pour la suite.

  10. Olivier

    9 août 2015 at 22:30

    Bonjour
    A quand un article pour ameliorer sa diction et sa voix pour mieu seduire ?

    • Sylvain

      9 août 2015 at 23:30

      Salut Olivier!

      Effectivement, c’est une bonne idée. Et cela fait plusieurs fois qu’on me la soumet dernièrement. Nous allons donc y penser très sérieusement 🙂

  11. Valigar

    10 août 2015 at 14:39

    Merci pour l’article, c’était drôle et intéressant j’ai passé un bon moment a le lire 🙂

    • Aurélien

      10 août 2015 at 19:23

      Merci Valigar, tout le mérite leur revient :p

  12. tof

    12 août 2015 at 14:13

    Rigolo cet article, et tellement vrai.
    Très répandue la castratrice, c’est la plus dangereuse de toutes, elle n’est ni moche ni belle, sociable et considérée.
    Attendez vous à une belle vie de merde faîte de reproches continuels et de mauvaise foi, tout ce qui est fait est du, et bien sur mal fait, je dis bien tout, même le sexe.
    Il suffit de changer pour se rendre compte qu’avec la nouvelle tout est différent, bien plus simple car bien sur le problème ne venait pas de vous, mais la castratrice est très forte et très persuasive pour vous le faire croire.
    ça peut finir en psychiatrie un truc comme ça.

    • Aurelien

      12 août 2015 at 15:33

      Salut tof,

      C’est moi ou ça sent un peu le vécu tout ça ?

      Et oui passées les premières étincelles, l’atterrissage se fait rarement en douceur. Et la vie a deux quand c’est long… c’est long.

      @+
      Aurélien

    • tof

      13 août 2015 at 11:03

      Oui aurélien c’est du vécu, le pire c’est que je me suis engagé avec elle car je la pensais gentille et affectueuse, c’est quand on est dans le besoin qu’on tombe sur ce genre de filles.
      Ensuite ça se passe doucement mais surement, petit à petit on se coupe de sa famille sans s’en rendre compte, on s’investit toujours plus voir exclusivement dans l’intérêt de l’autre et tout y passe, argent, moral, libido.
      Bien sur corvéable à souhait toujours dans un discours culpabilisant, une vraie galère, j’avais préparé ma sortie depuis longtemps avec quand même un secret espoir que tout pouvait s’arranger, j’ai toujours eu conscience de me mettre au dessus de mes problèmes pour analyser une situation, par A + B, le bilan était toujours en ma défaveur.
      Une anecdote, un jour je lui ai demandé de l’argent, 20 euro, la première fois de ma vie, elle a refusé, quand on vit depuis 10 ans avec quelqu’un et qu’on fait tout pour elle ça fait mal.
      Donc profil à éviter, la castratrice

    • Milhouse

      12 août 2015 at 16:03

      Salut tof,
      Ça sent le vécu^^. Je confirme, ça peut finir en psychiatrie…
      Tu viens de d’écrire mon ex, une perverse narcissique.

    • Sylvain

      12 août 2015 at 23:41

      Hello,

      Moi ce qui m’intéresserait, c’est de savoir ce qui vous a ouvert les yeux au moment de partir? A moins que ce ne soit elle qui ait décidé que vous n’étiez même plus à la hauteur de ne pas être à la hauteur ?

    • tof

      13 août 2015 at 10:41

      Peu importe qui quitte l’autre, quand le travail de destruction s’est généralisé avec sa famille je suis parti.
      Ce qui m’a sauvé c’est que je n’ai jamais eu peur, je suis parti en laissant tout.
      Elle a eu de la chance, car si j’étais resté je l’aurais tuée, elle n’a jamais saisi le danger que je pouvais représenter.

    • tof

      13 août 2015 at 10:43

      Donc voilà Sylvain je suis parti pour ne pas devenir un tueur, et laisser mes enfants orphelins, je pense que c’est un bon motif

    • Sylvain

      13 août 2015 at 11:40

      Effectivement, c’est sans doute mieux. Et c’est bien d’avoir le courage de faire ce pas. Souvent, les mecs se sentent tellement engagés qu’ils ont du mal à couper! Bravo à toi d’avoir su repartir de 0 🙂

    • tof

      13 août 2015 at 16:51

      Moi c’était pas une psychopathe, juste une névrosée mais c’est déjà pas mal.
      C’est pour ça que je dis qu’il faut se méfier, il y en a vraiment beaucoup, c’est pas une maladie mentale.

  13. Milhouse

    12 août 2015 at 15:55

    Article vraiment bien écrit.
    Bravo l’auteur 🙂

    • Aurélien

      12 août 2015 at 17:00

      L’auteur te remercie Milhouse.

  14. Bilal

    12 août 2015 at 20:13

    Salut ,j’ai une question bizarre
    !j’ai 17 ans je suis grand mais sportif et depuis longtemps quand je marche on me dis que je marche comme un « Pd » et beaucoup de personnes se moquent de ma démarche donc ma question est comment bien marcher ,comment avoir une bonne démarche.On me dis que le problème vient de mes genoux

    • Sylvain

      13 août 2015 at 11:51

      Hello Bilal,

      A priori , essaye de te tenir droit et de regarder devant toi. Dans l’idée, tes pieds doivent venir se poser au sol dans l’alignement de tes genoux , eux memes dans l’alignement de tes hanches et ensuite ca fonctionne en piston. Ensuite, ralentis ta gestuelle. Essaye dejà ça et regarde un peu ce que ça donne 😉

    • tof

      13 août 2015 at 17:00

      Tu as surement une rotation interne des membres inférieurs, ce qui fait converger les rotules et met les pieds en dedans. Pour marcher et éviter que les genoux se cognent c’est au niveau de hanches que ça tourne, ce qui donne l’impression de rouler du cul.
      C’est physiologique on n’y peut rien, peut être des semelles orthopédiques peuvent arranger un peu les choses, sinon c’est une opération lourde en chirurgie orthopédique.
      ça touche beaucoup de filles et quelques garçons, ne t’inquiètes pas les filles verront bien que tu n’es pas homo, au contraire ce genre de particularité peut les intriguer et tu peux en jouer.

    • tof

      13 août 2015 at 17:11

      après sylvain à raison, une gestuelle plus lente et plus virile, les filles ont tendance à rester droites et n’avancent pas les épaules lors de la marche. Quand tu avances le pied gauche avance l’épaule droite, et vice versa le tout bien droit, on verra plus le haut du corps.

  15. Bilal

    13 août 2015 at 12:33

    Merci je vais essayer ça

    • Sylvain

      14 août 2015 at 10:29

      Hello Bilal,

      Courage! Tiens nous au courant des évolutions 🙂

  16. Bilal

    14 août 2015 at 18:47

    Merci beaucoup,j’essaierai

    • Sylvain

      15 août 2015 at 15:36

      Hello! Tiens nous au courant pour nous dire comment ça évolue 🙂

  17. Jack Perralta

    17 août 2015 at 13:39

    Pour la working girl, j aime bien la jouer a la Mr. Big 😉

    • Aurélien

      17 août 2015 at 15:52

      Avec la Bentley et le capital social qui va avec ? 🙂

    • Sylvain

      17 août 2015 at 18:02

      Excellent sujet de discussion ça: sex & the city!

  18. Arturo

    18 août 2015 at 10:18

    Superbe article bravo les gars, c’est vraiment surprenant de voir qu’il y a à peu près les mêmes « stéréotypes » de gonzesses et ce dans différentes cultures…. ça fait flipper quand tu lis « la clique des castratrices » ou encore « la bande des désespérées » ça permet d’éviter de sacré névroses…. et avoir suffisamment de recul par rapport à certaines expériences…. encore bravo et keep on it!!!!

    • Aurélien

      18 août 2015 at 10:50

      Merci Arturo.

      Bon dans les 3,5 milliards que compte notre planète, on en trouve quand même un certain nombre saines de corps et d’esprit. Enfin il paraît… :p

      Peace.
      A.

  19. Guillaume

    9 octobre 2016 at 13:19

    Salut !

    J’ajouterais aussi mais je ne sais pas si c’est vraiment à éviter, ça dépend de la fille, comment la décrire en un mot : « une fille simple, genre limite hippie (fan de nature, préoccupée face à la mondialisation,…), mais hyper intello, voulant toujours avoir raison ».

    Charmante de par son originalité au départ, c’est femme de caractère (j’aime bien mais pas trop non plus ^^) mais voulant toujours avoir raison, manquant de tact et quand on est en groupe elle veut toujours diriger, tout en était limite tantôt distante comme par exemple (pas de nouvelles pendant des jours, voir des mois (en prétendant être timide aussi), tantôt trop démonstrative.

    Fan d’ésoterisme, se basant par exemple à l’inclinaison de son pendule (comme limite le professeur Tournesol) pour savoir comme va se passer sa journée ou comment gérer telle situation, ayant des talismans. J’ai rien contre ça mais bon à forte dose… Cela inquiète un peu parfois ^^

    Je commence à en voir de plus en plus ce type de fille dans ma région.

    Je ne sais pas comment on peut « gérer » ce type de fille. Une idée ? ^^

  20. manu

    19 décembre 2019 at 14:44

    Haha j’ai adorer la manière dont tu a écrit cette article !

    • Sélim

      21 décembre 2019 at 18:17

      Merci beaucoup Manu !

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

More in Relation Homme Femme

To Top