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Art de Séduire : Séduction

« Mon premier rendez-vous masqué après le confinement ? Le masque et la bannière ! »[FR49]

premier rendez-vous avec un masque

Field Reports

« Mon premier rendez-vous masqué après le confinement ? Le masque et la bannière ! »[FR49]

« Mon premier rendez-vous masqué après le confinement ? Le masque et la bannière ! »[FR49]

-Sam- vous raconte son premier rendez-vous avec un masque, après le déconfinement.

Il a abordé des filles au supermarché, il a essayé de draguer des filles avec un masque, quelques collègues parfois, mais c’est sur Tinder qu’il a engagé la conversation avec Julie.

Julie était en chômage partiel, elle avait le temps de discuter avec lui. Très vite, -Sam- s’est dit qu’il devait passer à l’offensive pour voir Julie pour un premier rendez-vous après le déconfinement.

Il témoigne et vous donne quelques techniques pour réussir votre premier rendez-vous masqué, dans le « monde d’après », et vous dit tout ce qui change par rapport aux premiers dates d’avant le confinement.

La parole est à -Sam- ! (Pour ceux qui n’ont jamais rencontré -Sam- : il fait partie de la Team Pirates, ces 3 mecs qui ont appris à draguer partout, tout le temps, et à aborder les filles de manière naturelle et spontanée en suivant la Méthode RDV)

La rencontre a changé à cause du confinement

Pour ceux qui me connaissent, vous savez que je préfère séduire les filles de manière réelle, IRL, dans la vraie vie.

Les quelques filles avec qui j’ai couchées depuis 2018 (j’étais puceau avant d’apprendre…), je les ai rencontrées dans les bars, dans la rue, dans les parcs.

En ligne, je ne suis pas très bon. J’ai toujours refusé les conseils de Sélim, notre coach en séduction, qui me disait qu’avec ma créativité, je serais le boss sur les sites de rencontres.

Je ne le croyais pas parce que déjà, je pensais que ça prenait trop de temps.

Dans la vie, j’ai autre chose à faire que perdre mon temps sur des sites de rencontres. J’aime cuisiner, j’aime jouer du piano et chanter, j’aime faire du skate, lire et voir mes potes.

(Et coucher avec des filles aussi, j’aime bien, mais ça, c’est relativement nouveau dans mon univers !)

Donc quand le coach me disait au moins de me créer un profil sur Instagram, je refusais.

Quand il me disait d’essayer Tinder juste un mois, je refusais.

Mais bon, je bosse dans le domaine du médical. Je crois en l’évolution. Je crois qu’on est obligé, en tant qu’espèce, d’évoluer, sinon on meurt.

Autant vous dire que je ne me suis pas mis sur Tinder dès le premier jour du confinement en mars 2020.

J’ai attendu deux semaines pleines, seul avec mes livres et mon piano… et ma solitude a commencé à me peser début avril.

Alors c’est là que j’ai craqué, et j’ai pris un abonnement sur Tinder, pour faire des rencontres en ligne.

J’étais obligé de m’adapter, si je voulais voir une fille, et potentiellement trouver une copine avant 2022 ou l’arrivée d’un vaccin contre le Covid-19.

Ce qui m’a décidé, c’est le fait de voir que Sélim avait ajouté de nouvelles vidéos à la formation Tinder Hacker.

Il a ajouté une nouvelle vidéo de près d’une heure, spécialement pour la draguer sur Tinder pendant le confinement.

Première rencontre avec Julie : pas si compliqué que ça !

J’ai suivi les techniques recommandées par Tinder Hacker et par tous les articles postés par Sélim pendant le confinement : j’ai donc proposé à Julie qu’on fasse un apéro-visio !

Quand je dis « apéro », je me suis limité à une bouteille de Champomy que j’avais achetée pour l’occasion, on avait blagué sur le sujet par messages avec Julie.

Je suis plutôt de nature timide : c’est Julie qui a lancé la conversation, et qui m’a dit « tu n’as qu’à me faire visiter ton appart en visio si tu veux ! »

La technique de l’agent immobilier, c’est vraiment bien pour briser la glace, et c’est super intime aussi.

C’est très bien pour rentrer directement dans l’intimité de la fille, qui vous fait visiter son chez elle aussi.

Je l’ai vannée sur certains tableaux vraiment moches, elle s’est moquée de l’absence de décoration chez moi, et m’a demandé si je vivais dans un musée.

L’apéro s’est bien passé, on est resté presque 1H10 ensemble en ligne, avant qu’elle me fasse le coup du « je n’ai plus de batterie ».

Vrai ou faux ? Pas important, l’essentiel, c’était d’enchaîner.

Première rencontre avec un masque : pendant le confinement !

J’ai laissé parler ma créativité et mon esprit rebelle et rock’n’roll : armé de mon attestation, j’ai traversé Paris pour faire une promenade d’une heure avec Julie.

Elle a apprécié l’esprit chevaleresque et astucieux : je lui ai dit que tous les quarts d’heure, on pouvait recréer une attestation pour rester plus longtemps dehors !

Les femmes aiment les gangsters, vous le savez ! Là, je me sentais comme Tony Montana ou Frank Lucas : très malin.

Ce qui n’était pas malin ni pratique, c’était les deux mètres de distance qu’on s’est imposés pendant la promenade.

Le rapprochement physique ? se faire la bise ? C’était mort, impossible !

J’avais vraiment très peur de finir en friendzone à cause de ces conneries, et qu’elle m’envoie après notre rendez-vous un texto du genre « t’es sympa, mais restons amis, je n’ai pas eu l’étincelle. »

Mais en fait, elle m’a trouvé sympa.

Donc j’ai dû commencer à faire ce que je n’aurais jamais fait avant : j’ai commencé à lui parler de l’avenir.

Mon objectif : la rassurer sur mes intentions et mon sérieux.

Dans la Méthode RDV, le R, c’est Rassurer…

Et là, très clairement, elle avait besoin d’être rassurée pour qu’on puisse aller plus loin ensemble (comprendre : finir nus sous mes draps).

Je lui ai envoyé un texto responsable, logistique, dénué de tout romantisme, parce que je ne voyais pas comment faire avancer les choses autrement qu’en la rassurant.

« Chère Julie, c’était vraiment une chouette promenade ensemble.
Tu marches vraiment bien pour quelqu’un qui est immobilisée dans un 33m² depuis un mois. Ma mère valide donc tes aptitudes génétiques pour devenir sa belle-fille et lui donner un petit-fils. Avant d’en arriver là, je me dis… que j’ai envie de te dire que je vais m’enfermer pendant 7 jours, sans contact physique, pour qu’on puisse boire ensemble une autre bouteille de Champomy. Sois rassurée : les distances de sécurité seront respectées, j’ai mis des marques de scotch sur le sol, et surtout, j’ai fait les courses pour longtemps. »

photo pour draguer par texto

Face à tout ce romantisme, elle a accepté de venir faire ce premier rendez-vous directement chez moi.

Mais même là, ça n’a pas été aussi facile que d’habitude.

Normalement, quand une fille accepte de venir chez moi, c’est gagné à 80%.

Là, l’ambiance, le risque sanitaire fait que je la sentais un peu tendue, ce qui peut se comprendre…

Ce premier rendez-vous avec un masque après le confinement a eu lieu chez moi, même si c’était en réalité notre troisième elle et moi.

Je me suis senti moins fluide, moins spontané que d’habitude, moins joueur.

Voici les 3 différences qui ont vraiment ralenti ce rendez-vous :

  1. Manque le fait de pouvoir la sentir quand je lui fais la bise, et la complimenter sur son parfum.
  2. Manque le fait de pouvoir la toucher : les mains, les cheveux, comparer nos biceps, nos abdos, lui faire essayer mes lunettes, toutes ces petites techniques faciles qui fluidifient le flirt.
  3. Dur de la faire jouer sur mon piano. D’habitude, c’est ma « fatality » dans Mortal Kombat, c’est mon piège à filles, c’est mon move qui me permet de conclure. Je me mets derrière les filles, et je guide leurs mains sur le clavier. C’est très sensuel, je les embrasse dans le cou, et le tour est joué.

Là, ce premier rendez-vous réel après le confinement, c’était à base de questions médico-légales :

« T’es sûr que tu tes bien lavé les mains ? »
« T’as bien fait attention ? »
« Tu t’es fait tester ? »

J’avais l’impression d’avoir le Sida ou la peste…

Au bout d’un moment, alors qu’on avait bien ri et discuté de tout ça comme des pros qui géraient une vraie négociation business ou une libération d’otages, je lui ai dit :

« Si tu es d’accord, je vais te dévoiler une partie de mon corps maintenant… »
(non les gars, pas ma b…)

J’ai porté mes mains vers mon masque, elle a hoché la tête pour dire oui #consentement, et j’ai enlevé mon masque.

J’ai pris le gel hydroalcoolique et je me suis lavé les mains.
Elle a fait la même chose…

Le reste de la nuit nous appartient.

Aux dernières nouvelles, on est toujours ensemble, et toujours pas contaminés !
Je suis content que cette phase de drague avec le masque soit terminée !

Pour le moment, je vais essayer de rester avec Julie tant que ça marche.

Et je vous souhaite vous aussi de faire des rencontres facilement grâce aux techniques de conversation que vous découvrirez dans la formation complète Tinder Hacker.

-Sam-, Team Tinder par nécessité d’adaptation

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