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Art de Séduire : Séduction

Field Report 21 : One night with Eros and Sélim

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Field Report 21 : One night with Eros and Sélim

Field Report 21 : One night with Eros and Sélim

Non, pas de sextape au nom douteux (je vous laisse retrouver One night in Paris) au programme. Pas de plan à trois ou plus au programme non plus. Simplement le récit d’une nuit parmi tant d’autres.

Nous avons toujours partagé la même philosophie de vie Sélim et moi : ne pas aborder une fille qui nous plaît est un crime. Seul le fait d’avoir déjà rendez-vous avec une fille ou rendez-vous pour un entretien d’embauche excuse le non-abordage.

Le récit qui suit a eu lieu il y a quatre ans, dans la douce ville de Grenoble, capitale des Alpes et ville où nous sommes véritablement nés en tant que séducteurs tout terrain.

Pour vous aider à resituer, des soirées comme ça, je peux vous en raconter entre trois et quatre cents, qui finissent par toutes se ressembler.

Comme les grands athlètes, nous commencions toujours par nous échauffer. Une hygiène de vie saine et éthique : un Quick sur la place Victor Hugo pour bien démarrer la soirée. Tenues légères, après tout c’est l’été.

Un brossage de dents rapide à l’hôtel, un coup de pschiit pschiit pour sentir bons et nous voilà en route, il est 22 heures, nous allons rejoindre des amis qui habitent toujours à Grenoble, ils organisent une fête chez eux.

Street Pick Up : mode on

Alors que nous remontons l’avenue Alsace Lorraine, j’entends une fille qui parle anglais à sa pote. Ni une ni deux, à l’assaut :

Eros : « Hop hop hop ! Police des accents pourris ! C’est quoi cet accent anglais sans rire, là ? Vous n’avez pas le droit ! Vous ne parlez pas l’English, Wall Street English, ça ne va pas du tout… ça vous fera une amende de…

Sélim : – Attends avant de sortir le carnet d’amendes, regarde, on va lui rajouter un supplément pour cause de mauvais goût vestimentaire. Regarde ce short rose ! »

Elles sont deux, nous sommes deux, elles se mettent à rire. La fille se met à défendre la qualité de son short (mini-short rose qui mettait très bien ses jambes en valeur et laissait deviner ses deux jolies fesses…)

Sélim : « Enchanté les filles, Eros, Sélim,
Marie : – Marie,
Maria : – Maria
Eros : – On cherche un endroit où sortir dans cette petite ville, on vient de NYC et on cherchait un endroit cool pour s’amuser ce soir. Vous connaîtriez un endroit ?
Marie : – Ah non, je ne suis pas d’ici.
Maria : – Oh c’est marrant, moi je reviens tout juste de NYC mais je ne sais plus du tout ce qu’il y a comme endroit sympa à Grenoble.
Eros : – Oh merde, ils t’ont flashouillé le cerveau comme dans Men In Black ? »

…Hihi, haha, conseils inintéressants de la part des filles, on va continuer dans cette direction, bisous, à plus les filles.

C’était notre tour de chauffe, la voix est chaude, on est prêt à partir au combat.

On continue de marcher et on voit deux petites qualitativement intéressantes de loin, elles arrivent vers nous, 5m, 4m, 3m, eye-contact… Impact, action !

Sélim : « Les filles, police de Gossip Girl ! Vous êtes beaucoup trop stylées, vous êtes plus Serena ou Blair dans Gossip Girl ? »

Là elles s’arrêtent, parce qu’elles étaient toujours en mouvement. Notre question est débile, elles aiment bien. On apprend qu’elles n’ont que 18 ans et qu’elles viennent d’avoir leur bac. Majeures, c’est donc légal.

On leur ressort la même question : on n’est pas d’ici on vit à Paris, il faut sortir où ici pour s’amuser avec des filles belles comme vous ?

Hihi, elles rougissent et nous donnent le nom de deux trois endroits qu’on connaît déjà.
Mon téléphone est déchargé, Sélim récupère donc leurs numéros pour les revoir plus tard dans la soirée. Phone game enclenché.

Brigitte et Gertrude sont deux filles très sympas, il faut qu’on les revoie plus tard dans la soirée, mais d’abord on file chez nos potes.

Soirée chez nos potes : on s’amuse sans (trop) draguer !

Quelques filles, mais surtout nos potes qu’on n’a pas vus depuis longtemps. Ca hurle, ça crie, ça boit, ça chante, les voisins, la police comme d’habitude…

On prend des news de tout le monde, les carrières, les mariages, les potins, le sport, et il est déjà une heure du mat’, l’heure de partir au Vertigo, la seule boîte cool du coin, musicalement parlant. C’est comme une deuxième maison pour nous.

Pendant tout ce temps passé chez nos potes, Sélim a géré les deux petites de 18 ans (Brigitte et Gertrude).
Phone game éclair. Il a envoyé trois sms :

Une photo de cœur avec les doigts où il avait écrit Gertrude (à 22 :45). Pas de réponse.
Une photo de ma tête avec un papier et un cœur dessus, dans le cœur était on avait écrit Brigitte (à 23 :05).
Réponse : « vous êtes tarés les vieux ! »
Une troisième photo avec le message suivant : « 01: 30 dans le Vertigo si on vous laisse entrer les enfants ! Signé les vieux ».

Night Pick Up en boîte : merci Erasmus !

Quand elles arrivent, on est déjà en place avec une bouteille de vodka que je vais exploser presque à moi tout seul… Sélim a décidé de ne pas boire ce soir. La partie qu’il paye est généralement offerte aux filles, il se contente du jus de pomme ou du jus de pamplemousse et du Red Bull.

En termes de social proof on est en place, Sélim donnait des cours d’anglais au fils du patron avant. On a une table sympa, les bouteilles en province coûtent généralement moins cher qu’à Paris donc on peut se le permettre.

Les petites Gertrude et Brigitte sont sympas mais on s’ennuie vite, surtout Sélim qui a hérité du sale rôle de wingman. La sienne est en couple et reloue, la mienne est célibataire et ouverte…
Il décide donc de partir chasser rapidement. Il m’abandonne, je reste à la table avec G et B, comme on les appelle.

Chassé-croisé sur notre table, quand Sélim revient je file sur la piste avec les deux bachelières G et B. Il a ramené trois filles à la table, je laisse tomber le dance-floor rapidement et revient à la table pour voir son butin.

Deux Irlandaises rousses (7 et 6) et une étudiante américaine (8, 8,5, on en débat encore aujourd’hui…)

Il ne peut pas gérer les trois à la fois, je m’occupe de l’Américaine, Stacy, en robe rouge. Etudiante en physique, elle est plutôt du genre rockeuse. Elle aime Aerosmith, me dit-elle.

Action, réaction. « Tu te souviens de la scène avec Ben Affleck et Liv Tyler dans Armaggedon ? La scène du crackers qui escalade le ventre de Liv Tyler ? ».

Sexualisation c’est parti ! Et imitation, je me mets à chanter « I don’t want to miss a thing » et à l’embarquer pour un faux slow au milieu de la piste alors que tout le monde est en train de suer sur de l’électro. Cool, elle rit. Et ça commence à être tactile…

Je lui fais des compliments sur le choix de sa robe, douce, comme Liv Tyler dans le film. Est-ce que tu aimes bien Grenoble, par rapport à NYC ? Fluff, blabla, main sur l’épaule, sur ses hanches, je sens son string, je commence à lui parler à l’oreille.

Et là elle fait l’Américaine : « Are you flirting with me ? ». « Est-ce que tu flirtes avec moi, est-ce que tu es en train de me draguer ? ». Comme si elle avait besoin de verbaliser ça… Mon Dieu que c’est relou…

Son groupe, ce n’est pas seulement les deux Irlandaises, il y a aussi l’intégralité des mecs de Big Bang Theory : quatre geeks qui ne font que la mater. Bande de jaloux, ils vont me gonfler, je le sens…

Je lui réponds : « Mais non, je ne flirte pas, je suis juste en train de te murmurer des trucs trop cool à l’oreille. Je suis juste en train de toucher tes cheveux, de sentir ton parfum… Tu appelles ça flirter, toi ? » en mode C&F, grand sourire.

Et j’enchaîne : « Bon, ok, peut-être que je flirte un peu… OOOOKKKKKKKK ! Peut-être que j’aime bien tes lèvres aussi… ».

Sélim va encore plus vite, il a déjà embrassé la plus jolie des deux Irlandaises. Evidemment, il se retrouve bloqué avec l’autre Irlandaise qui se plaint et veut rentrer. Vilaine warpig…

Coup de chance pour lui, les deux petites bachelières G et B décident de quitter le dancefloor et de revenir s’asseoir avec nous, avec un mec qui a l’air cool.

Il s’agit du copain de celle qui est en couple. Sélim récupère alors celle qui était célibataire, son match est gagné pour la soirée, normalement. Il embrasse la petite Brigitte, et là mon Américaine tire la gueule :

« Ton pote n’est pas cool, il vient d’embrasser ma copine qui est partie et là il embrasse déjà une nouvelle fille. »

Je réplique immédiatement : « Carpe Diem c’est la jeunesse, on ne vit qu’une fois, la vie n’est qu’un jeu, on recherche le plaisir, le bonheur, des expériences fun, trop cool ! Tu vois, je me ferais presque tatouer Carpe Diem sur le cou, là… »
Et bim ! J’en profite pour l’embrasser dans le cou.

Le cou qui comme chacun sait mène dix secondes plus tard à la bouche. KC : check.

Ses potes Erasmus mâles me font les gros yeux, ils ne comprennent pas pourquoi eux ça fait deux mois qu’ils essaient et se prennent des râteaux alors que moi je réussis en moins d’une heure…

Elle ne les voit pas car je leur fais face, et elle leur tourne le dos. Hyper important, ça lui retire un peu de pression sociale. Ca peut toujours servir pour KC plus facilement!

Elle se sent mal à l’aise et me traîne sur le dancefloor pour se cacher de ses amis. On danse, on se frotte, on s’embrasse, je la colle contre un poteau et c’est parti pour quinze minutes de pelotage intensif. Des adolescents, je vous jure…

La première fois, elle enlève ma main de ses fesses. Je ris. Je sais qu’elle n’en pense rien vu comme elle colle son pubis contre ma cuisse et vu comme elle se frotte.

Alors que Sélim s’amuse dans un parc à proximité avec Brigitte, je décide de rentrer à l’hôtel que nous avons réservé. Là, je vais être victime d’un double cock-block de qualité !

La guerre des cockblocks !

La fille enchaîne les ASD : « Je ne suis pas ce genre de fille. », « je ne fais pas des trucs comme ça », « je ne suis pas des étrangers chez eux », « je ne couche pas le premier soir ».

Elle me fait rire… je suis patient, je laisse son cerveau parler et m’adresse à son corps, qui a l’air moins farouche…

Main dans la main, ses gardes du corps les Erasmus geeks qui nous suivent cinq mètres derrière, nous arrivons devant l’hôtel. Elle répète sans cesse des « Sorry, sorry ». Comme si elle était désolée. Elle ne croit pas un mot de ce qu’elle dit, j’ai un robot en face de moi, c’est très marrant.

Le plus teigneux des geeks derrière, aussi le plus petit, appelons-le Joe Dalton, me lâche un « Mec, sois cool, laisse-la tranquille ».

J’ai envie de lui répondre qu’elle serait bien plus tranquille si lui se cassait avec ses potes, mais je reste calme…

Elle me suit, le gardien de l’hôtel ouvre la porte et me dit « Monsieur, vous avez réservé cette chambre pour deux, pour votre ami et vous, je ne peux pas vous laisser monter avec la demoiselle ».

Cockblock du gardien de l’hôtel ! Du jamais vu ! Me voilà en train d’expliquer à une fille que je ne vais pas pouvoir la b**ser parce que l’hôtel ne veut pas. Dehors, Joe Dalton vient taper dans la porte de l’hôtel, ajoutant du stress sur les épaules de cette pauvre petite.

C’est donc un merveilleux FAIL pour moi !
Un de plus ! Pas le premier, pas le dernier !

Les enseignements de ce Field Report

L’importance de l’observation

Dans la rue, en boîte, partout. L’observation nous permet d’aborder les filles. L’accent anglais, le short, pour les petites, le look de Gossip Girl puis des vannes sur leurs lunettes. Observez, et utilisez pour alimenter votre conversation !

Friender ou isoler ?

Sur le dancefloor avec Stacy, la leçon était criante : isoler ! J’ai été tellement lent que c’est elle qui a ressenti le besoin de nous isoler, parce qu’elle n’en pouvait plus des regards de ses amis. Pensez à isoler, messieurs !

Je n’avais aucune envie de devenir amis avec ses potes, de vrais mecs coincés et mal à l’aise, et pourtant des AMOGS. Pas drôles, je ne les ai pas vus rire une fois de la soirée.

C’est Sélim qui s’est chargé de les friender, offrant un verre au vilain Joe Dalton, lui disant de se calmer, de s’amuser, d’aller chopper d’autres filles. Tout ça, je l’ai appris à la fin de la nuit, quand il avait consommé son ONS avec Brigitte…

Couper la communication avec les AMOGs

J’ai aussi fait une autre erreur en sortant de boîte. Nous étions main dans la main, je repasse au vestiaire pour prendre ma veste, elle fait demi-tour pour récupérer son sac qu’elle a oublié dans la boîte.

J’aurais dû la suivre. Car c’est là qu’elle a dit au revoir à ses geeks, enfin, je la soupçonne plutôt de leur avoir dit « Venez me sauver, suivez-moi, je suis bloqué avec ce mec ». Je n’avais pas installé assez de confort, c’est allé trop vite pour elle et si j’avais vraiment voulu ONS sans morale, j’aurais dû couper la communication entre elle et les geeks…

Synchronisation des montres, coordination des discours !

Nothing really matters ! Une chanson de Madonna que Sélim utilise en permanence. Pour dire qu’on s’en fout. De tout. A un moment je suis allé aux toilettes et Stacy a parlé avec lui. Elle lui a reproché d’embrasser tout le monde, son amie déjà partie et la petite bachelière.

Il lui a sorti la même tirade que mon Carpe Diem, en rajoutant qu’elle avait de la chance, qu’elle était avec le meilleur embrasseur au monde, le champion de French Kiss, qu’elle pouvait y aller, satisfait ou remboursé.

Un bon wingman sait aussi tenir le même discours que son bro ! N’oubliez pas de coordonner vos discours !

Pas de pression du résultat !

Bon, là, je vois l’arrivée, le trophée est proche, et je me fais double cockblocker ! Et quand je réussis enfin à passer la porte de l’hôtel, c’est le gardien qui vient dire non ! Il y a des choses qui sont incontrôlables… Seules vos réactions sont de votre ressort.

Comment je m’en suis sorti ? Stacy m’a donné son numéro et est venu quinze jours plus tard me donner des leçons de physique à Paris… Un vrai player sait attendre…

Eros, Fail Reporter à votre service !

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84 Comments

84 Comments

  1. Superbrunette

    23 juillet 2012 at 23:09

    la fine équipe !lol Il faudrait faire un dessin animé ou au moins une BD de vos aventures !
    Et puis les longues amitiés, je confirme que c’est génial ! Jusqu’à présent mes plus belles histoires d’amour sont celles-là 🙂

  2. selim

    24 juillet 2012 at 00:12

    Don’t worry ! On ne prend rien mal.
    On a eu des mecs qui nous ont défié, ça s’est fini salement pour eux.
    Parfois on a perdu aussi, c’est le jeu !

  3. R.

    24 juillet 2012 at 00:15

    Avant, les duels se gagnaient au premier sang verse.
    Maintenant, c’est au premier coup tire.

  4. R.

    24 juillet 2012 at 00:17

    Hum, oui, c’etait un clin d’oeil au message de Selim pour « onde de choc »…

  5. Eclipse

    24 juillet 2012 at 23:10

    Comme déjà dit c’est un sacrée FR.
    Etant Grenoblois je vois bien quelle genre de fille vous avez rencontré et la boite est devenus un de mes endroit favoris pour ce promener.

    Vous êtes en tout des sacrés bonhommes vous deux et votre amitié je pense que beaucoup l’envie, et c’est difficile de trouver quelqu’un comme soit.

    Encore merci, vos Fr sont très enrichissant tout comme le site. Bonne continuation messieurs

  6. EROS

    25 juillet 2012 at 17:14

    Trouver quelqu’un « un peu comme soi-même », mais différent aussi, complémentaire dans le jeu pour pouvoir quadriller tout le terrain Eclipse !

  7. Deslarmes

    26 juillet 2012 at 00:50

    Aaah le vertigo.

    Mon QG

    Bien joué les gars.

    Par contre. La boîte est minuscule, isoler c’est pas si facile que ça. Ensuite, ça pose un gros soucis quand on y sort beaucoup, car la clientèle ne se renouvèle qu’en partie. Il faut être extrêmement fin pour ne pas avoir une immense cible dans le dos. Je me suis fait cockblock plusieurs fois…dont une fois, un ex qui a instant texto que je kissais à ma régulière, heureuse à n’en point douter d’avoir les news à 5h du mat’ ( pour la petite histoire, le vilain m’a fait une Nafitassou Diallo, m’envoyant sa meilleure amie pour ensuite jouer le pompier pyromane)…

    Le vertigo est à l’image de Grenoble, une petite ville, et je pense qu’il faut admettre le facteur semi-vase clos. Contrôler l’image que tu renvoies est crucial au risque de se faire cockblock en série ( l’amie d’une amie est forcément une amie de la fille que tu tripotes).

    Ca aurait été un plaisir de vous y croiser 🙂

  8. Dzeko

    28 août 2012 at 01:03

    Exelent article ! Sa motive vraiment … Vous etes geniaux !

    • selim

      28 août 2012 at 01:56

      Merci Dzeko ! On fait ce qu’on peut, on est heureux si tu arrives à te servir dans nos conseils et à les adapter un peu !

  9. BouT

    20 mars 2013 at 00:13

    Vraiment super ton article ! Sinon j’aimerais savoir, souvent je vois des notes donnés à des filles comme ce que tu as fait plus haut ( 7 et 8 etc… ) je voulais savoir c’est une echelle de 1 à 10 ou de 1 à 12 …. ?

    • selim

      20 mars 2013 at 08:21

      D’habitude, c’est de 1 à 10 ! Mais parfois on joue, on fait les fous, et on met des 50, des 10000 pour dire que vraiment la fille est très jolie !

    • lex

      20 mars 2013 at 12:04

      BouT : de 1 à 10.

  10. Nel

    24 juillet 2013 at 12:39

    Super article! Je voudrais vous demander si ça ne serait pas mieux de classer toutes vos « Fields Reports » dans un dossier? Merçi

    • selim

      24 juillet 2013 at 13:17

      Merci Nel ! Quelle bonne idée !
      Sinon, quand tu seras réveillé, tu regarderas la colonne de droite et tu verras une rubrique FIELD REPORTS 😉
      Bien joué champion !

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