Ces 7 Points Communs Que Les Meilleurs Séducteurs Partagent !
À tous ceux qui pensent que les cadors du game sont immanquablement de grands ténébreux sirotant de l’alcool brun accoudés au bar, ou des surfeurs à la mèche rebelle et aux abdos d’acier, vous nagez en pleine croyance limitante.
Ce qui caractérise avant tout l’élite des Don Juan ce ne sont absolument pas des traits physiques, mais un état d’esprit, un mental qui surdétermine leur succès auprès des femmes.
Parce que pour être meilleur il faut prendre exemple sur les meilleurs, découvrez sans plus attendre ce que ceux qui enchaînent les conquêtes ont de plus que vous !
1. Les meilleurs séducteurs ont depuis longtemps démythifié les femmes
Les players aiment les femmes comme elles sont, non pas comme ils souhaiteraient qu’elles soient.
Si comme tout le monde ils ont pendant un temps très court cru aux balivernes colportées à leur sujet (notamment par les principales intéressées, toujours promptes à dégainer la carte de la candeur et de l’innocence), ils se sont vite rendus compte que les femmes ne valent pas mieux que les hommes.
Quitte à les réduire quasi-exclusivement à des partenaires sexuelles ou à pencher du côté d’une légère misogynie, ils ne cherchent ni à les changer, ni à les sauver, ni à les comprendre au-delà du raisonnable.
Même son de cloche à l’horizontal : une fille ne se levant pas tous les matins pour tourner une publicité l’Oréal, ils ne s’étonnent guère de trouver au menu quelques imperfections (bruits, odeurs, taches, poils, plis, boutons…).
2. Les meilleurs dragueurs dégagent de l’énergie
Avec eux considérer les femmes comme moteurs du désir n’a jamais eu autant de sens.
Animés par une passion qui les enjoint à renverser les barrières (timidité, jugement des autres, shit tests…), les players affichent zéro ondes négatives, font preuve d’humour, d’une capacité à surprendre (quitte à se monter légèrement transgressifs) et injectent ce qu’il faut d’intensité dans l’acte sexuel.
Cette vitalité se répercute dans leur capacité à divertir. Alors que les lois de l’offre et de la demande placent les femmes les plus désirées en position d’attente vis-à-vis de masses de prétendants toujours plus innombrables, ils se distinguent par leur force de proposition.
Incarnation d’une sorte de mouvement permanent : au-delà de ce qu’ils sont, c’est ce qu’ils font qui donne envie de les suivre.
3. Les meilleurs séducteurs passent à l’action
Écrire que les séducteurs séduisent relèverait du pléonasme le plus grossier, si ce n’était pas effectivement ce qui les sépare dans les faits de tous les wannabes et théoriciens à la petite semaine.
Certes, personne n’est jamais vraiment immunisé contre la peur du non, mais les players acceptent de ne pas se mentir sur leurs intentions : un refus smashé sur la gueule vaut toujours mieux qu’une friendzone à la sauvette.
Meilleure arme pour transformer leurs désirs en réalité, leur goût du challenge leur ouvre les portes d’un monde où les opportunités se débusquent à chaque coin de rue, là où ceux qui manquent de spontanéité limitent leur quotidien à se déplacer d’un point A à un point B.
Quand leurs rivaux attendent inlassablement LE bon moment pour démarrer une interaction, les players usent de leurs réflexes au jour le jour.
4. Les plus grands séducteurs font preuve de maîtrise de soi
En séduction, une pratique assidue permet de gommer pas mal d’obstacles et appréhensions, même si cela ne suffit pas pour s’en débarrasser totalement.
Face à la peur de l’inconnu(e), aux signaux mixtes, au rejet ou à la concurrence des alphas chassant sur les mêmes terres, les players endurcis mettent cependant un point d’honneur à ne pas tomber la garde, à maintenir une apparence d’inébranlabilité.
[Cf. cette fameuse scène de Crazy, Stupid, Love où l’ami Ryan ne se laisse à aucun moment décontenancer]
Et pour cause les femmes voient d’un très mauvais œil le décalage entre ce qu’elles attendent d’un homme et la façon dont il se comporte dans la réalité.
L’échec n’est d’ailleurs pas considéré chez les garçons joueurs comme une fatalité : d’une part parce que mathématiquement ils sont ceux qui prennent le plus de râteaux, de l’autre parce que personne n’est irremplaçable quand on se donne le choix – et encore moins une fille avec qui l’on n’a même pas couché.
5. Les meilleurs dragueurs savent s’entourer
Oubliez sans délai le mythe du dragueur solitaire sorti de nulle part qui les fait toutes tomber. Désir mimétique et preuve sociale obligent, hommes et femmes tendent à vouloir avant tout ce que les autres veulent aussi.
Être accompagné de gens intéressants et stylés avec qui vous passez de bons moments booste sensiblement votre valeur ajoutée aux yeux d’autrui, bien mieux que n’importe quelles frusques de marque.
D’un coup d’un seul, sont en effet subitement levés tout soupçon de bizarrerie et de needisme.
Les players savent jouer de leur capacité à mettre à l’aise pour connecter les gens qui les entourent et faire grimper leur cote.
6. Les meilleurs séducteurs maximisent leur temps
Alors okay le grand Casanova s’enorgueillissait de concentrer toute son attention sur une seule fille à la fois, mais à l’époque il y avait moins de monde dans les rues, et encore moins Tinder.
Les players eux courent sans complexe plusieurs lièvres à la fois. Tout en évitant les pièges de l’obsession amoureuse, cela leur permet paradoxalement de dérouler plus efficacement leur game.
[Sylvain vous explique le pourquoi du comment dans cet article.]
Idem quand il s’agit de passer à la suite, pas question de gaspiller des ressources pour rien. Deux messages sans réponse et c’est next – et oui il y a toujours une exception (sur 100, sur 1 000, sur un 1 000 000), et non cela ne vaut jamais le coup de s’y attarder.
Enfin, les meilleurs dragueurs savent repérer à qui ils plaisent et détecter les signaux d’intérêt.
Pour que la nuit soit longue, mieux vaut que la soirée soit courte !
7. Les plus grands dragueurs cultivent la discrétion
S’il est bien un sujet de conversation qui agite les bruits de couloirs de n’importe quel milieu social (du café du commerce aux salons les plus feutrés), c’est bien celui de savoir qui couche avec qui.
Les players, dont le palmarès les dispense de tomber dans la crânerie intempestive (« ceux qui en font le moins… ceux qui en parlent le plus… ») le savent et souscrivent sans condition au pacte « don’t ask, don’t tell ».
Déjà parce que cela permet de limiter le facteur drame conjugal et ses conséquences collatérales (étonnamment les cocus n’ont pas tous le sens de l’humour), mais aussi de prolonger leurs relations au-delà du coup d’un soir (pratique pour transformer certains ONS en plan cul).
Enfin, et ce n’est pas négligeable, la garantie discrétion assure à chacun de se lâcher au lit sans crainte du qu’en-dira-t-on.
Un point sur lequel vous avez des questions ? Un point sur lequel vous devez vous améliorer ? Un point 8 à rajouter à la liste ? On en parle dans les commentaires.
Aurélien, sociologue ès playerologie. Tous mes articles ici.
AL
2 décembre 2016 at 13:04
Une légère réserve par rapport au point 6 : quand on commence à être un dragueur compulsif, y a aussi des questions à se poser sur soi-même. Courir 40 lièvre à la fois, c’est tout aussi malsain que la one-itis. Tout comme réussir à prendre du recul sur l’un et sur l’autre peut être extrêmement enrichissant. En tout cas, je n’aurais pas formulé la chose comme toi.
Shineturn
2 décembre 2016 at 13:59
Très clairement, l’article ne dit pas de courir 40 hases (femelle du lièvre) à la fois mais bien de ne pas se focaliser sur une seule. Personnellement, je trouve que c’est la clé pour beaucoup de mecs qui se focalisent trop rapidement sur une seule target et c’est souvent le début de la fin alors même que rien n’a vraiment commencé. Je trouve le conseil pertinent et juste indispensable et j’aurais bien aimé l’avoir il y a quelques années. La drague compulsive c’est encore autre chose et c’est un sujet à part entière je pense.
Aurélien
2 décembre 2016 at 14:09
L’article se veut une description, pas une inspiration.
Bien à vous les djeun’s.
Algerino
3 décembre 2016 at 17:02
@shineturn :
Quand y’en a qu’une… on ne va pas se concentrer sur 3… on fait avec les moyens du bord.
On va me répondre quand y en a qu’une on sort on va en boite (déjà faudrait arriver à y entrer…) payer des verres à des dégénérées…
Si c’était aussi simple, serions nous là en train d’en discuter, samedi par beau temps à 17h ???
Sylvain
3 décembre 2016 at 17:45
Perso, ici il fait nuit en guise de beau temps! Donc ce sera plutot Barça-Real!
Algerino
3 décembre 2016 at 17:57
Sylvain,
Idem. Je ne sors pas beaucoup en ce moment. J’évite d’aller dehors quand je suis en période mouvementée. Voir des ados, des adultes et des vieux s’embrasser, se tenir la main à tout bout de rue, ça me rend sincèrement malade.
Sylvain
6 décembre 2016 at 09:16
Hello,
Ho fais comme si tu ne les voyais pas. La première clé du développement, c’est de ne pas jalouser les autres. Ils sont heureux de leur vie. Sois aussi content pour eux, c’est cool 🙂
Lenal'airderien
2 décembre 2016 at 15:41
Bonjour, Le mec qui est décrit sur ce post n’existe pas.
Sauf au cinéma ou dans les « San Antonio »!
Aurélien
2 décembre 2016 at 15:53
Règle numéro 8 : un player ne se présente jamais comme un player
Bien sûr que ce genre de personne existe (sinon comment que j’aurais écrit mon article hein ?^^), on ne parle pas d’un gentleman ou d’un poète.
Grine
3 décembre 2016 at 16:40
Évidemment, la description se veut fictif
Mais le but est se s’en approcher au plus près
Un idéal vers lequel il convient de tendre
Un dicton (arabe je crois) dit :
« Vise toujours la lune car même si tu la rate, tu atterriras parmi les étoiles »
C’est le but de l’article
Algerino
3 décembre 2016 at 16:59
@ Grine… mouais… fais gaffe à ne pas tomber dans un trou noir car même la lumière n’en rechappe pas 🙂
Algerino
3 décembre 2016 at 16:58
Y’a peut-être beaucoup plus de personnes comme ça qu’on ne voudrait bien le penser. Y’a peut-être aussi beaucoup de femmes qui ont pas le « brain » pour le comprendre et le repérer… ??? Formatées qu’elles sont par l’avis des amies intimes et des love stories à la TV…
Aurélien
5 décembre 2016 at 11:44
Algerino, toujours aussi yolo…
Algerino
5 décembre 2016 at 11:52
Aurélien, toujours aussi peu enclin ???
Lenal'airderien
2 décembre 2016 at 20:27
C’est un peu comme la série « Le prisonnier » ta règle numéro 8 ….Il dit tout le long du générique.
-Je ne suis pas un numéro , un homme libre.
Cassandre
2 décembre 2016 at 22:15
« tâches » ? Vraiment ? Est ce que ce n’est pas plutôt « tAches » ?
Construction fautive du verbe enjoindre : on enjoint à quelqu’un de faire quelque chose.
« quitte à se monter légèrement transgressif » ou « quitte à se montRer légèrement transgressifS »
« tomber la garde » suffit
« grimper leur côte » vraiment ? Montée d’organes ? (cote peut-être, non ?)
« Deux message » ou « deux messageS »
Et j’en ai laissé un paquet en route. T’ain les mecs, ça vous arrive de vous relire avant de publier ?
J’avoue, ça casse franchement le mythe ! 🙂
Sylvain
3 décembre 2016 at 16:56
Les meilleurs séducteurs ne font pas de faute 😉
Aurélien
3 décembre 2016 at 10:04
Ça piquait un peu les yeux en effet… merci pour les précisions Cassandre.
Un bon article plein de fautes, c’est comme une jolie meuf qui porte des ballerines…
Lenal'airderien
3 décembre 2016 at 15:18
Aurélien,
Merci pour le fou rire!
Cassandre
5 décembre 2016 at 18:33
Rhhhaaa la la ! Et Brigitte Bardot et ses Repetto alors ? 🙂
Kheldar
7 décembre 2016 at 07:13
J’aime bien les jolies filles avec des ballerines moi ^^
Aurélien
7 décembre 2016 at 12:09
Aaa il y a donc des mecs qui kiffent ? J’aurais pas cru ^^
Sylvain
7 décembre 2016 at 12:29
Les ballerinnes comme leur nom l’indiquent presque sont faites pour danser lol! Donc il faut qu’elle se mette en pointes totales avant d’avoir le feu vert pour en porter 😉
Kheldar
7 décembre 2016 at 13:07
C’est pas tant les ballerines que leur contenu qui m’intéresse ^^
#fétichistedespieds
Mais sinon ouais, j’aime bien les filles en ballerines, en converses, en bensimons, en talons, et de manière générale, j’aime surtout les chaussures ouvertes.
L’avantage c’est que je sais quelle genre de chaussures lui offrir comme cadeau. Et puis, je ne m’ennuie jamais quand elle essaie différentes paires en magasin. ^^
Evol
8 décembre 2016 at 15:18
Kheldar, les ballerines aka «le meilleur moyen de tuer en moi tout fetishisme des pieds !» Le pire c’est les ballerines avec le survet ample et serré sur les chevilles, j’ai envie de crier a mon wing comme dans un film si on croise une meuf avec ballerines et survet: « Cours sauve toi, laisse moi ici, c’est terminer pour moi mec sauve ta vie, dégage de la :(((( je vais essayer de supporter cette horreur autant que je peux le temps que tu arrive de l’autre coté de la rue, dis a mes parents que je les aiment, au revoir mon vieille ami soit fort et continue le Spu jusqu’a ce que tu trouve le nouveau monde»
LOl.
Kheldar
12 décembre 2016 at 06:30
Les ballerines c’est pas ce que je préfère. Je suis plutôt du genre à aimer les pieds avec des chaussures ouvertes, car ça me permet de mieux me rincer l’oeil.
Mais les ballerines c’est vraiment pas ce qu’il y a de plus moche. Je comprend que l’on puisse préférer les talons aux ballerines, mais à mes yeux, une femme en ballerines n’a rien de repoussant.
Darsh
3 décembre 2016 at 10:23
Pour moi cette article est beaucoup trop catégorique et mériterait d’être nuancé.
On a l’impression que le « player » ne peut pas se mettre en couple car il doit avoir forcément plusieurs femmes car se sinon il serait forcément frappé par l’OI et deviendrait pire qu’un paillasson.
Le « player » parfait est une machine pour lequel toute les femmes sont interchangeables et au final que l’aspect compétition (avoir le plus gros tableau de chasse) importe plus que trouver le bonheur.
Il sait plaire au plus grand nombre mais il est incapable de construire quelque chose de durable car son égo le pousse à fuir pour ne jamais être blessé.
Je conseillerais de ne pas trop tendre vers ce genre de « player » ou du moins de ne le faire que sur une courte période pour réparer son égo suite à une rupture par exemple.
On peut être aussi un player en séduisant plusieurs fois la même femme.
Aurélien
3 décembre 2016 at 11:56
Salut Darsh,
L’article s’attache en effet à décrie les players hardcore. Après comme tu l’écris, libre à chacun de prendre cet archétype en exemple…
Merci pour ton com’.
stecy
2 janvier 2017 at 22:13
darsh,tu es parfait!!!enft ta nuance est tout a fais comprise et merite d’être.le »player »tend a fuir son altergo ce qu’il doit malheusement combattre,et lui monté dessus.
marc
3 décembre 2016 at 17:25
8. les players sortent beaucoup et ont une vie sociale active. A noter que ce n’est pas toujours possible avec tous les boulots (horaires) ou contraintes familiales , bien que ce dernier point est moins relevant
Bon article
Neanmoins il ne faut pas faire fi de certaines realités sociologiques. Quand la plupart des mecs sont needy, les femmes sont en position de force. Quand meme un boudin a un petite court a ses pieds, c’est dur de jouer le prize meme pour un mec de valeur (c’est un peu semblable avec l’employeur qui a 100 candidats, meme certains candidats de valeurs seront rejetés)
En plus en France, les femmes sont peu dispos ou assez coincées en general. En tout cas tous les expats sont d’accord la-dessus
maintenant je constate aussi que ca peut changer selon les villes etc
Aurélien
5 décembre 2016 at 11:48
Salut marc,
« ce n’est pas toujours possible avec tous les boulots (horaires) ou contraintes familiales » => d’où l’idée de maximiser son temps 😉
« Quand la plupart des mecs sont needy, les femmes sont en position de force » => clair que bien souvent nous sommes les premiers à nous tirer une balle dans le pied…
A.
Marc1
3 décembre 2016 at 19:06
la communauté c’est quand même un milieu fermé qui méprise les autres, les plus largués, y a aucun soutien là dedans; les puas s’entraident, mais les losers restent largués sortent seuls ou restent réduits à l’isolement dans leur haine des femmes
Aurélien
5 décembre 2016 at 11:50
Marc1 tu dois en prendre de la bonne….
« Y a aucun soutien là dedans » => vraiment ???
– 1500 articles en accès libre
– des réponses à tous le com’
– un forum et une communauté ouverte
Lenal'airderien
4 décembre 2016 at 08:23
Marc1,
J’ai mal de lire un com pareil…. Je parle d’ici comme j’interviens souvent dans les posts en donnant mon avis de « chieuse de service » ….J’ai la lucidité et l’honnêteté de le reconnaître …. Souvent tu as des intervenants qui viennent en aide aux autres pour les sos …. »Sylvain » « AL » « Lisa » etc. Je les trouve bienveillants avec les autres.
Je parle pour moi , ce sont les gens qui m’en ont mis plein la figure -(gueule ) en étant franc et direct qui m’ont le plus aidés à me remettre en question et sur le moment je les ai trouvé immondes , méchants , salauds. avec le recul, je me dis qu’ils m’ont rendu service.
Quelquefois il faut mordre la poussière pour grandir et devenir adulte.
Mohamed
4 décembre 2016 at 19:25
Bonjour a tous,
J avais une question : n est il pas trop tard pour débuter la seduction?
Voila, je me pose la question car j ai 33 ans, phobique social, obese, casanier, porno addict…mon inner game, c est Grozny…je commence a me dire qu il est trop tard pour etre seduisant et avoir une vie seduisante. C est trop grand defi. Pensez vous qu’il est pas trop tard?
AL
5 décembre 2016 at 10:00
Salut Mohamed,
Non, il n’est jamais trop tard. En revanche, compte tenu de ce que tu dis, ça va représenter un travail sur toi de quelques années (tout dépendra ensuite du temps que tu y consacreras et de tes ressources financières). Mais prendre soin de toi, c’est un investissement à long terme. Tu as tout à y gagner, même si le chemin est long et difficile.
A toi de voir ce que tu as envie de faire de ton temps sur Terre.
Aurélien
5 décembre 2016 at 11:56
Salut Mohamed,
Il n’est jamais trop tard pour la simple et bonne raison qu’aucune autre alternative ne s’offre à toi.
Tu ne peux décemment pas continuer à vivre de la sorte (ça ne peut que s’empirer par la suite).
Clair le chemin est long (d’ailleurs il est long pour tout le monde, il y a toujours matière à progresser), mais tu verras que les premier progrès sont spectaculaires (attention personne ne te parle de solution miracle).
Commence par par clique sur l’onglet « Bien débuter » et n’hésite pas à poser tes questions dans les com’.
Bienvenue dans un nouveau monde mec, d’la force.
Aurélien
Mohamed
4 décembre 2016 at 19:26
Ah oui, par ou commencer sans que ce soit trop violent?
Sylvain
6 décembre 2016 at 09:40
Hello Mohamed,
A mon sens, commence simplement par être actif. Essaye de débuter le sport et de sortir un peu. Même si tu ne vas pas aborder des filles tout de suit, ca te permettra deja de développer un semblant de vie.
Je pense que c’est la base, ça te permettra de poser la première pierre de ta future confiance en toi. Parcours le site, tu verras qu’au fur et à mesure tu commenceras à voir les choses diffèremment 🙂
Alfy
6 décembre 2016 at 10:50
Salut Mohamed.
Cultiver les bases.
Sport, culture, curiosité, ouverture d’esprit, et surtout ne pas se négliger. Se rendre attrayant aux yeux des autres.
Mohamed
9 décembre 2016 at 01:10
Ok les gars, j espere que n avez pas eu de jugement de valeur negatif…j avoues que j ai fait n importe quoi de mon temps sur terre ces 20 dernieres années…ca me fout la haine car je ne pense pas etre stupide ou atteint d une tare congenital quelconque mais a chaque fois que j entreprends de changer, j ai ces 20 ans qui me reviennent a la gueule et qui me disent que je manque totalement d experience…comment etre ok avec ça? C est chaud qd même non?
Sylvain
9 décembre 2016 at 10:05
Hello Mohamed,
Si tu te rends compte que tu as fait des erreurs, c’est deja un premier pas de fait. Il n’est jamais trop rare pour changer. Commence par des petites étapes. L’essentiel, c’est avant tout de se mettre en route et d’avancer. Quelle que soit la vitesse.
Aurélien
9 décembre 2016 at 16:41
Oui c’est chaud, mais plus tu retardes plus ce sera dur… ne te trouves pas d’excuses.
Tu verras tu seras le premier à te surprendre.
Kheldar
7 décembre 2016 at 08:02
Un article très instructif. Tous les conseils donnés ici sont également présents dans d’autres articles, mais cet article résume tous ces conseils avec finesse et efficacité. Ce sont des choses que j’ai déjà vu, mais curieusement j’ai l’impression d’apprendre (ou de ré-apprendre) quelque chose en le lisant ; probablement parce qu’il me reste certains points à travailler.
Sans compter que le phrasé et le style d’écriture d’Aurélien rendent ses articles toujours aussi agréables à déguster.
Aurélien
7 décembre 2016 at 12:11
Merci Kheldar.
Oui effectivement certains articles condensent des notions (en ajoutant quand même une petite touche maison), celui là en fait partie.