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Art de Séduire : Séduction

Field Report 11 : Isabelle, la fille qu’on ramène à l’hôtel

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Field Report 11 : Isabelle, la fille qu’on ramène à l’hôtel

Field Report 11 : Isabelle, la fille qu’on ramène à l’hôtel

La fille quon ramene a lhotel

J’étais dans une ville en province avec mon wingman.

On rentre dans la boîte la plus hype de la ville, on se dit que les filles seront mieux ici… Quand on nous propose une table avec un magnum à seulement 120€, on se laisse tenter…

Je n’aime pas claquer trop d’argent en bouteille, mais là, clairement, la bouteille était au prix du verre à Paris (OK, j’exagère un peu).

Pas mal positionnés, en hauteur, on a vue sur la piste. Mon rôle ce soir : gardien de la table. Je sympathise avec mes voisines.

« Salut les filles, mon mec m’a abandonné… Il est relou, toujours à essayer de me tromper avec des filles sous mes yeux. Je crois qu’il est bi… Je ne comprends pas l’intérêt des filles, vous êtes tellement versatiles et manipulatrices, entre mecs on se comprend mieux ».

Là les voisines intriguées par mon discours entrent dans mon jeu.

« C’est bizarre, tu ne ressembles pas à un homo, mais tu parles un peu avec des manières. C’est lequel ton mec ? »

Je leur montre donc mon wing qui est occupé sur la piste à danser bizarrement avec une jeune fille.

Il la ramène quelques minutes plus tard, lui sert un verre.

C’est la politique de la maison : on partage, on fait la fête, on est des types charmants et on s’en fout de donner à boire à toute la boîte, en plus ce soir on se sent riche, c’est le début du mois.

Ceci est tout l’inverse d’une approche de séduction durable, nous sommes dehors pour le ONS, pour le FC et rien d’autre.

Nous aimerions bien faire preuve d’un bon game, mais à vrai dire, nous sommes plus dans une optique « la fin justifie les moyens ».

Mon wingman embrasse la petite Isabelle, puis repart à la chasse. Je reste seul avec elle, elle veut savoir ce que je fais, je l’ignore, je préfère parler à mes voisines.

Deux minutes plus tard, mon copilote revient avec deux nouvelles filles, de jeunes étudiantes. J’abandonne mes voisines, je me concentre sur la nouveauté.

Deux filles très sympa aussi, je les remercie d’avoir retrouvé mon père, il est un peu sénile, il se perd souvent en boîte de nuit, elles rigolent, et enchaînent logiquement sur les questions chiantes : «Qu’est-ce que vous faites dans la vie, vous venez souvent ici, etc, etc…»

Nous leur sortons nos répliques habituelles, en instaurant la loi du ping-pong. La loi du ping-pong est simple à saisir. Lorsqu’une fille vous pose une question, vous répondez toujours : « toi d’abord, je suis timide », ou « toi d’abord, il faut que j’invente une réponse crédible ».

Isabelle revient, son verre vide à la main. Un peu comme attirée par la source de fun, et d’alcool, soyons honnête. Là, je décide de faire basculer la soirée, avant de faire basculer Isabelle.

Je la rapproche de moi pour parler. Je la serre contre moi, aucune résistance. Je lui parle à l’oreille, lui souffle dans la nuque, lui attrape les cheveux, passe ma main dans son dos, sur ses épaules, à la limite de ses fesses. Aucune résistance. Elle essaie de m’embrasser.

Je refuse son premier baiser. Comment l’embrasser ? A quel moment l’embrasser ? Quand JE veux.

Je donne le tempo. L’art de séduire est un jeu, là, je décide de reculer. Elle est un peu vexée, alors je me rapproche d’elle, et l’embrasse dans le cou, en lui expliquant que je n’ai pas douze ans, que je ne joue pas à embrasser les filles en boîte, que mon hôtel est à 5 minutes à pieds, et que si elle sait jouer, on peut jouer à deux, comme des grands.

Là, je décide de ne pas la laisser trop cogiter… Je la prends par la main, elle me suit, nous nous dirigeons vers la sortie, avec la bénédiction du videur, et de ses amies, qui sont en train de se marrer avec mon wingman.

Assez vite je sens les embrouilles venir. Elle marche de plus en plus difficilement, se plaint : « c’est encore loin ? », « mais qu’est-ce qu’on va faire ? », « c’est trop loin je fais demi-tour, je pars rejoindre mes copines ».

Je lui propose de la porter, elle me répond « Non, je suis trop grosse ». Isabelle est un 7, avec des formes féminines généreuses, mais je ne dirais pas qu’elle est grosse.

Je lui dis : « Mais non, tu n’es pas grosse, tu es toute jolie ». Et là elle envoie le SOI (Statement of Interest) qui vient mettre fin à toutes mes angoisses : « Tu verras bien quand je serai nue ». Pas de LMR en vue, elle sait ce qu’elle va trouver en ma compagnie.

Son discours est de moins en moins cohérent… « Mais peut-être que tu es un serial-killer », « mais qu’est-ce que tu vas me faire ? ». Je prends ça pour un caprice, mais heureusement le nom de l’hôtel l’apaise… Un truc du genre « Super hôtel ».

Arrivés dans la chambre, nous faisons ce que nous avons à faire, elle est merveilleusement belle toute nue, mais je la sens partir de plus en plus… Ses mouvements sont hasardeux, ses propos inaudibles. OK, je me suis fait avoir, elle a beaucoup trop bu, elle est en pleine montée, FC de piètre qualité…

Les enseignements de ce field-report

Techniques de sexualisation : mes field reports risquent de se ressembler, parfois. Sur le point de la sexualisation. Je suis tactile. Je suis physique. Que le son soit très fort ou pas du tout, je chuchote à l’oreille des filles pour pouvoir les sentir, pour pouvoir les toucher.

Lorsqu’elles ne se sentent pas totalement à l’aise avec ma main qui la touche pour la première fois, je m’explique toujours avec le sourire : «C’est de la faute de mes parents, ils m’ont couvert de câlins quand j’étais petit, du coup je suis super exigeant, je cherche toujours une fille qui aime les câlins».

J’adore caresser les cheveux des filles, sentir leur parfum, c’est tellement naturel pour moi qu’elles résistent rarement. Quand mes mains se posent, elles savent où se poser, comment apaiser les filles, et comment les exciter. En passant ma main dans son dos, je sais si elle est excitée ou chatouilleuse.

Quand je la prends par la nuque comme on peut le faire avec un animal, je perçois, je ressens sa tranquillité ou son stress. Je sais s’il vaut mieux continuer de caresser sa main, l’intérieur de son bras ou s’il vaut mieux que je me concentre sur sa nuque ou sa tête.

Lorsque j’effleure ses seins ou que je prends ses fesses à pleines mains, le message est encore plus direct, je prends leur réaction comme un feu rouge ou un feu vert.

La technique habituelle : la serrer contre moi, toucher jusqu’au feu orange, attendre un peu que le vert revienne. A vous de vous réapproprier votre corps et de la connaître pour mieux appréhender le sien.

Attitude du séducteur, Alpha Male : le séducteur est ouvert à toutes les filles autour. Qu’elle soit mieux ou moins bien que la fille à qui vous parlez, une fille se sent toujours en compétition avec les autres filles.

Là, parfois je délaissais Isabelle volontairement, pour la faire revenir plus fort.
C’est une sorte de push-pull avec de la triangularisation (lisez cet article pour en savoir plus).

Séduire ses amies avant elle : ça vous aidera à acquérir le social proof nécessaire pour la séduire ensuite. Obtenez d’abord l’aval de ses amies, puis le sien. Si ses amies vous donnent leur validation sociale, elle ressentira beaucoup moins la peer pressure au moment de s’isoler avec vous…

Bien utiliser son wingman : dans mes vannes, je le présente parfois comme mon père, parfois comme mon mec, parfois comme mon frère jumeau. Là, il jouait le rôle de rabatteur, parfois c’est moi.

Il est clairement plus fort que moi en abordage, je le laisse faire. Après, il s’ennuie vite, alors je prends le relais sur la partie conversation. A vous de trouver la bonne complémentarité avec votre wingman, si vous voulez séduire facilement ou séduire efficacement.

La loi du ping-pong ! Hyper important. Ne monopolisez pas la parole. N’oubliez jamais que les gens adorent parler d’eux-même. Laissez-leur de l’espace pour s’exprimer !

Alcool et séduction, attention ! Votre consommation perso, et celle de la fille. Là, je n’ai pris aucun plaisir, elle non plus. Comme le disait la vieille campagne de pub : « Un verre, ça va, trois verres, bonjour les dégâts ».

Votre serviteur, EROS

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45 Comments

45 Comments

  1. R.

    8 septembre 2011 at 10:32

    Ahah… Suite de l’histoire… Au menu : un NEXT, un KC HB8/9, et ma tete mise a prix par la mafia locale ! Ouuu je me suis bien amuse moi !

    J’ai revu la petite coreenne lors d’une autre sortie de groupe et mademoiselle se l’est jouee H2G et m a sorti le bon vieux « je t’aime beaucoup mais je ne sais pas combien de temps tu restes ici et je ne veux pas m’engager dans une relation qui blablablablabla… ». OK, OK, OK, comme dirait Lex : NEXT ! Surement un petit shit test mais je n’avais plus envie de jouer…

    Et comme ce bon vieux R. a toujours une corde a son arc, il s’est aussitot adapte et a trouve une autre target.
    Fin du repas, elle repart chez elle. Le groupe se dirige vers un 7/11 (sorte de petit supermarche), se procure de l’alcool et squatte la grande table en exterieur situee juste en face du shop.
    Je m’assois a cote d’une HB8/9, coreenne (est-il encore utile de le preciser ?), petite vingtaine, etudiante et professeur de dance contemporaine a ses heures perdues… Taille moyenne, jambes magnifiques, superbement dessinees, visage absolument splendide qui reussit l’exploit d’allier a la fois les termes « cute » et « bitchy », mixte parfait entre la petite fille mignonne et timide, et la tigresse enragee… Corps gracile, regard profond et petillant. Bref je suis dedans, pas d’OI (merci ADS), mais j’y suis a fond les ballons.
    Et la, elle m’acheve en montrant ses videos de danse… Oulalala mon Dieu ! Elle m a tue sur le coup ! Headshot !

    Je suis chaud bouillant (mais je n’ai pas trop bu, elle non plus d’ailleurs), j’ai le mojo, je repense a mes cours d’ADS, a mes echecs, et je decide alors de tenter la methode directe.

    Pas de fluff, pas de presentation, je la sens bien mais surtout JE me sens bien, alors pourquoi s’emcombrer ?
    Paradoxalement, le fait que je sois completement subjugue par elle me booste plus qu’autre chose, mon poil est plus beau, mon oeil plus vif, ma langue plus rose, ma truffe plus humide… bon, on va arreter la, hein ?!

    Je ne me souviens meme plus quel a ete l opener. LE BL ouvert, friendly et non menacant a suffi. Elle est dedans, je le vois a ses yeux, elle est la pour passer du bon temps, je vais lui en donner.
    Blagues a la con, bras sur l’epaule, puis rapidement main sur la cuisse niveau genou qui finit a mi-cuisses et meme plus… Je confirme alors la fermete du cuissot (Joel Robuchon en aurait saliver) et la douceur extreme de sa peau. Elle ne dit rien. Je tate un peu et la regarde droit dans les yeux, elle sourit. Bon.
    « J’aime bien ton eyeliner », je lui touche la paupiere inferieure, elle se laisse faire.
    « J’adore tes cheveux, fais moi sentir », je lui prends la tete et renifle un long moment sa chevelure parfumee. Se laisse faire volontiers.
    « J’adore tes levres », je lui touche du bout des doigts.
    Et bien sur, vous l’attendiez tous : « Bah j’ai bien envie de les gouter tiens ! » avec un grand sourire idiot/innocent/amical, oui enfin vous voyez le tableau !

    Elle bute un peu, mais dit simplement « pas ici, je suis trop timide ». Hopopop, pas a moi ! Bon, d’accord, on est a une table de 10 personnes, dans la rue, tout le monde nous voit. Mais que diantre, ainsi ai-je decide de ne point reculer mes braves amis !
    Petit regard alentour, rien a signaler, je lui dis « viens voir, viens la », avec un mouvement de tete et ma main qui couvre ma bouche du regard des personnes assises en face, qui au passage commencent a tirer une tete longue de 3 metres au vu de mon petit jeu. Oui, oui, le coreen n est pas preteur et a du mal a voir une de ses « soeurs » s acoquiner avec un etranger. Pas de racisme la dedans. Le mot exact est « protectionnisme ».
    Elle s approche, hesite et hop, un smack.

    Je sais, je sais, ce n’est rien, mais apres a peine 30 minutes… Une HB8/9… On commence doucement mais surement.
    Elle part aux toilettes, je la suis, la coince dans l’escalier, LMR pour le vrai KC, ca me fait rire, je la laisse partir accomplir son devoir.
    Elle revient, je la recoince, gentiment, et hop, KC ! Je suis chez moi la, c’est mon domaine, c’est naturel… visiblement elle apprecie. Au passage, mythe qui tombe : oui meme une HB8/9 peut mal embrasser !

    Bref, elle ecourte la chose car du monde arrive. « Oui mais je suis timide »… OK j avoue avoir rarement croiser un couple coreen se galocher dans la rue.
    Je n insiste pas.

    S’ensuit le bar, toujours le meme, je commence a etre connu, je tchatche la serveuse, lui demande pourquoi elle semble toujours triste. Elle me repond qu elle est fatiguee. Je kinotte, je souris, pour la premiere fois depuis je la vois elle sourit ! C est chaleureux. OK, pour plus tard celle la.

    La danceuse « timide » s eclate. Je merde un peu, j avoue. Je la joue trop protecteur, l attire dehors 2/3 fois pour l embrasser. Je sens que je deviens lourd, jaloux. PAS BON L AFC ! Je me calme… un peu tard, mais j en prends conscience.

    Je lui dis que je vais me calmer un peu, mais que je veux etre serieux avec elle. OK, ca fait tres AFC, mais c’est ce que m’ont sorti toutes les coreennes que j ai rencontrees : « je ne veux pas m engager dans une relation qui ne durera pas et blablabla ».
    Je neutralise donc le probleme en amont, a la source, COUIC !

    Elle me dit OK, qu’elle veut etre serieuse aussi mais qu elle va y reflechir. Oui c’est une situation ubuesque mais ca marche comme ca ici, il faut s adapter.

    La nuit se termine.

    Elle m envoie un mail cet apres-midi, tres friendly, avec un « reply please ». Bon. Elle dit qu elle a beaucoup bu hier… Oui le fameux « j assume pas ». Je renvois un mail 1 heure apres (BEAUCOUP trop rapide, je sais… je viens de m en rendre compte), la provoquant un peu sur ce qui s est passe.

    En attendant, je check son facebook avec son adresse mail. Ah oui, tu n y avais pas pense a ca ma petite.

    ET LA ! J en souris encore en tapant ces mots !

    Mademoiselle est fiancee ! Oh j adore ! Oui moi ca m excite plus qu autre chose !
    Mais c’est pas tout, le mec est une sorte de gangsta coreen couvert de tatouage avec la grosse voiture, les poses a la 50 cent et tout le tralalala. Tete de tueur, oeil noir.
    Comme je me suis affiche avec elle dans LE quartier des bars, hyper connu, ce n est qu une question d heures pour qu il sache que je l ai galoche plusieurs fois et de jours pour qu il m identifie et me localise. Ah ! J adore ! Et je doute que mes 8 ans de Taekwondo et ma ceinture noire resistent a une lame de 20 cm dans les cotes ! Ah ! Je sais, c est con mais la situation me fair marrer.

    Pourquoi ? Parce que je pensais que cela n arrivait que dans les films et que le mec avait une sacree malchance !

    Bref, inutile de vous dire que la petite demoiselle n en a revetu que plus d interet. Je suis plus motive que jamais. Oui j ai toujours aime l adrenaline !

    CECI DIT, il est fort a parier qu elle nous plante un enorme freeze-out ou mieux un bon gros LJBF !

    Comme dit la devise des Forces Speciales : QUI OSE GAGNE !

    Amicalement,

    R. toujours vivant…

  2. L'arancino

    8 septembre 2011 at 13:40

    @ R. : ton FR est génial, merci bien !

  3. R.

    8 septembre 2011 at 14:06

    @ L’arancino : Si ca peut aider… A votre service ! 😉

    Au passage, j ai marque « toujours une corde a son arc », ca ne veut strictement rien dire !
    Ce serait plutot « plus d une corde a son arc »…

  4. Tony75001

    18 septembre 2011 at 10:28

    Eros => tu m’as donné tout un tas d’idée pour les openers.

    Tes techniques paraissent simples mais fichtrement efficaces.

    Sinon pour ma part, lorsque je sens un ONS, je fais en sorte de ne pas/plus boire, afin de garder une totale maitrise de la situation.
    (et puis moi bizarrement, l’alcool fait baisser ma libido … et je ne bois que très rarament)

  5. Holden90

    9 juillet 2013 at 02:54

    Mec, le coup du père sénile retrouvé en boîte avec les etudiantes tu m’as tué de rire

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