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Art de Séduire : Séduction

Comment Avoir Plus de Répartie ?

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Dynamiques sociales

Comment Avoir Plus de Répartie ?

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Éminemment prisé en société, l’art de la répartie permet de faire forte impression à moindre frais. Et pour cause, une courte saillie auréole son auteur de toute une cohorte de qualités (vigueur d’esprit, capacité à distraire, originalité…) qui le distinguent d’entrée de jeu du reste du groupe.

C’est malheureusement ce talent qui tend à faire défaut à beaucoup de mecs dans leurs rapports avec les femmes, nombreux se laissant submerger par la pression. C’est d’autant plus dommageable que contrairement à une idée reçue qui a la vie dure, l’esprit d’à-propos n’est pas quelque chose d’inné.

Oui la répartie ça se travaille, et oui les résultats peuvent vite être spectaculaires !

 

« Des groseilles ! J’ai la passion des groseilles ! J’en mangerais autant que Samson a tué de Philistins ! » s’exclame haut et fort l’abbé de Villecourt dans un salon de Versailles. Voyant là l’occasion de moucher publiquement son rival, le marquis de Bellegarde s’empresse de rétorquer… mais pris de court, il bafouille, perd le fil de sa pensée et penaud n’arrive même pas à terminer sa phrase, aggravant ainsi encore un peu plus sa réputation « d’ennuyeux » à la cour.

« Avec la même mâchoire, Monsieur l’abbé ? », deux heures après les faits, à son grand désarroi lui revient ce mot qu’il avait sur le bout des lèvres et qui, s’il avait été dégainé au moment opportun, aurait fait florès – Samson ayant massacré les Philistins à l’aide d’une mâchoire d’âne Ndlr.

Cette scène extraite du film Ridicule de Patrice Leconte, illustre à merveille un des sentiments des plus frustrants qui soit en société et que Diderot a nommé dans son ouvrage Paradoxe sur le comédien, l’esprit d’escalier : se remémorer la bonne réplique… une fois les débats terminés. #Fail

Une frustration qui est à multiplier au carré face à cette fille que vous venez de rencontrer et que vous ne reverrez peut-être jamais…

 

Bann-SexTalk

CE QU’EST LA RÉPARTIE… ET CE QU’ELLE N’EST PAS

Le sens de la répartie est une agilité de conversation, il s’agit de placer le bon mot au bon moment. Une définition simple mais qui nécessite d’être complétée.

La répartie n’est pas toujours offensive. Dans l’imaginaire, un trait d’esprit se veut une remarque acerbe qui vient déstabiliser la personne à qui elle s’adresse. Sauf qu’il se peut que vous soyez un jour vous aussi victime d’une flèche de Parthe et dans ce cas il vous faudra défendre votre « souveraineté », votre dignité personnelle. On parle ici de répartie défensive.

Se résigner à encaisser les coups n’est pas une option, surtout lorsque l‘intention est de vous blesser.

[Face à une pique pas très fine, contentez-vous de « déconstruire » l’attaque en jouant au mec qui n’a pas compris et en vous la faisant réexpliquer par son auteur. Effet garanti.]

La répartie n’a pas à être systématique. Répondre constamment du tac au tac peut vite être perçu par les autres comme un manque d’écoute, comme une volonté assez puérile de ne jamais rien lâcher, voire comme un manque de confiance en soi. L’idée n’est pas de jouer au troll mais d’intervenir à bon escient, de « choisir ses combats ».

[Lorsque Jay Z se battait pour être le roi du rap à New-York, il sélectionnait avec soin les détracteurs à qui il prenait la peine de répondre. Se faire insulter sur disque par Jay Z finit même par devenir une sorte de marque de reconnaissance.]

La répartie n’est pas forcément drôle. Tout n’est pas source de dérision, mettre les rieurs de votre côté c’est l’éventuelle cerise sur le gâteau. Ce qui importe en premier lieu, c’est de faire entendre vos arguments, d’affirmer vos positions, de gagner en visibilité au sein d’un groupe… bref d’être constructif.

La répartie n’est pas nécessairement spectaculaire. Le bon mot au bon moment peut-être un simple « merci » (la seule façon de répondre à un compliment), un « non », une demande d’explication pendant un cours, une précision à apporter lors de négociations, relever un point commun avec votre target, penser à lui faire la bonne proposition, etc.

La répartie n’est pas « naturelle ». Ou alors elle l’est comme l’est ce shoot du siècle d’un basketteur qui réussit le geste sans même y penser parce qu’il l’a travaillé jusqu’à plus soif à l’entraînement. Ne croyez pas un instant que les Jéhovah du game (les Baffie, Debbouze, Baer & Co) ne fourbissent pas longuement leurs armes en amont avant de débarquer l’air de rien sur les plateaux télé – où un montage resserré les met complaisamment en valeur.

UN PREMIER CONSEIL ? RES-PI-REZ

Sur un ring, autour d’une table de poker, au moment d’adresser la parole pour la première fois à cette fille, et plus généralement avant de prendre n’importe quelle décision, pensez à oxygéner votre esprit. Votre self-control en dépend.

Le manque de répartie s’explique en effet par une sorte de blocage du cerveau qui doit faire face à un trop plein d’émotions négatives (colère, gêne, surprise, stress…). L’idée est donc de revenir au sacro-saint lâcher prise, de vous « dérigidifier ».

Conserver son calme, garder de la distance par rapport à la situation et contrôler sa réaction constituent les ingrédients de base pour élaborer une bonne réplique.

Si le timing joue un rôle primordial, la précipitation demeure l’ennemi de l’improvisation (cf. le début de l’article ou ce « casse-toi pauv’ con » de triste mémoire qui aujourd’hui encore reste accolé à la présidence Sarkozy). Se concentrer sur son souffle permet ainsi d’une certaine façon de distordre le temps et reprendre la maitrise de l’échange.

N’hésitez d’ailleurs pas à jouer du regard pendant ce court intervalle.

L’ART… ET LA MANIÈRE

Langage corporel, circulation de l’énergie, confiance en soi, intelligence relationnelle…les bases de la communication non-verbale joue à plein régime. La même phrase prononcée par deux personnes différentes n’aura jamais le même impact.

Un peu comme les openers, il n’existe pas de copier/coller gagnant – raison pour laquelle cet article ne se veut pas une collection de punchlines.

Au milieu d‘un groupe, pas moyen de se cacher derrière un smartphone ou un pseudo de forum. La première personne à convaincre avant même d’ouvrir la bouche, c’est vous-même. Insufflez de l’enthousiasme et de la vie dans votre voix. Rien de pire que contre-attaquer avec un ton mal assuré, puis de chercher du regard l’approbation des autres.

Pour ce faire un peu de méthode Coué ne fait pas de mal. En lieu des sempiternels dénigrements (« Je ne vais pas y arriver », « moi la répartie, c’est pas mon truc », « gnagnagna »…), décidez de vous convaincre du contraire et apprenez à vous faire confiance.

Alors, certes sur papier le coup de l’autosuggestion, c’est peut-être un peu facile, mais en pratique, cela permet de casser bien des plafonds de verre. On parle ici de développer une spontanéité dont vous faites déjà preuve au quotidien, pas de combattre des grizzlies à mains nues. Toute personne capable d’aligner un sujet-verbe-complément peut progresser.

Si vous remplissez ce cahier des charges, vous avez accompli la majeure partie du chemin.

ÊTRE À L’AISE À L’ORAL NE SUFFIT PAS

L’aisance verbale est la première qualité de ceux qui ont du répondant. Cette qualité s’acquiert et se développe en prenant l’habitude de converser, mais pas que. Lire et enrichir son vocabulaire joue un rôle majeur.

La linguistique nous enseigne en effet que ce sont les mots qui donnent forme à la pensée, et non l’inverse. La langue n’est pas uniquement un instrument de communication, elle précède et structure nos idées.

Plus on développe un vocabulaire riche et varié, plus nos réflexions seront riches et variées. A contrario, c’est bien souvent quand les mots viennent à manquer que surgit la violence verbale, puis physique.

Néanmoins, on peut être à l’aise avec le verbe sans nécessairement être inspiré. Cette vivacité de parole implique une bonne dose d’opportunisme, d’audace.

Affronter l’autre requiert un léger regain d’agressivité. Une prise de risque qui permet de surmonter son inhibition et de libérer sa subjectivité en cassant les injonctions de ce surmoi qui vous cantonne un peu trop à être bien-poli-bien-gentil.

Pour développer cette combativité, le meilleur entraînement reste de provoquer des débats. Que ce soit sur des sujets sérieux ou plus légers (le meilleur Star Wars ? le pire kebab du quartier ?), les joutes verbales vous aideront à booster votre répartie offensive ET défensive.

En frottant votre cervelle à celle d’un autre, vous apprendrez vite à améliorer le rythme et la pertinence de votre argumentaire, à mieux observer vos contradicteurs, à dégager des automatismes, à prendre les commandes d’une discussion, etc.

5 (BONNES) HABITUDES À PRENDRE

Le secret d’un sens accru de la répartie, c’est de bâtir un univers cohérent et assumé. Tout le monde ne rebondit pas de la même façon, ce sont votre tempérament et vos goûts qui vont guider votre progression.

1) Cultiver votre style commence par aiguiser votre sens de l’observation.

Vous n’aurez jamais peur de n’avoir rien à dire si vous êtes un bon observateur. Face à un(e) inconnu(e), activez vos sens pour détecter ce qui peut donner matière à une bonne réplique (fringues, démarche, gimmicks…) ou simplement à une bonne question si vous souhaitez démarrer une conversation.

« La connerie, c’est comme le judo, il faut utiliser la force de l’adversaire. »
– Jean Yanne

2) Collectionnez les bons mots et citations.

Genre pour de vrai, ouvrez un fichier texte et commencez à répertorier les expressions piochées ci et là – les compilations de tweets ne sont pas négliger. L’écrit aide grandement à structurer l’oral. Si vous êtes un consommateur passif d’informations, vous n’en retiendrez rien (et passerez beaucoup trop de temps sur Youtube).

Avec les réseaux sociaux, on assiste au retour du flirt épistolaire. L’écrit offrant ce surplus de réflexion, interdisez-vous d’être sans saveur par message. Là encore, votre expression orale en bénéficiera par ricochet.

[Sur les sites de dating, créez un faux profil féminin aguicheur. Dans l’océan de messages que vous recevrez, récupérez les (rares) bonnes approches dignes de ce nom.]

Hommes politiques, rappeurs, pièces de théâtre, film d’action des 80’s… n’hésitez pas à manger à tous les râteliers pour vous constituer une sorte de culture G de la répartie. C’est de ce magma que jailliront brusquement des traits d’esprit qui vous seront propres.

3) N’hésitez pas à vous faire une liste (écrite donc) de basiques de conversation,

Histoire de relancer un échange, parer un neg ou tout simplement éviter les blancs. Exemples :

  • À cette fille un peu pressé dans la rue : « Tu te rends à un casting ? », à celle qui a déjà un mec : « mais les jolies filles ont toujours un copain », à celle qui vous met un premier stop : « cool, les filles bien disent toujours non la première fois »
  • Au milieu d’une conversation qui bat de l’aile, rien ne vaut une question à la Pierre Palmade genre « tu préfères partir en vacances topless au Groenland ou en combinaison de ski au Sahara ? ». Profitez-en pour sexualiser gentiment les choses (et pas balancer du « tu préfères être un suppositoire ou un balai à chiottes ? »).
  • Gardez sous le coude 2, 3 blagues à la con (genre « – Qu’est-ce qui est très étroit? – Seize »), ainsi que deux, trois lieux communs de conversation qui servent toujours (genre « aux anciens amis et aux nouveaux » quand vous prenez un verre, le classique mais encore efficace « ce que femme veut, Dieu le veut », « il n’est si bonne compagnie qui ne se quitte » pour mettre les voiles, etc.).

4) Entraînez-vous à vous mettre en situation.

Si vous devez faire un exposé, anticipez les remarques qui pourraient vous gêner. Imaginez-vous être interviewé à place d’un autre et mettez sur pause à chaque fin de question pour répondre à sa place (les interviews façon portrait chinois de Thierry Ardisson époque Tout le monde en parle ou la série 73 questions de Vogue se prêtent plutôt bien à l’exercice).

5) Choisissez un mot et parlez-en 10 minutes sans vous arrêter.

Au hasard, essayez avec pustule, soucoupe, abat-jour, girafe, planète, miam…Cette petite gymnastique vise à développer votre esprit d’arborescent (une idée amène une idée qui amène une idée…), indispensable pour optimiser vos automatismes de conversation.

 

Et vous quelle sont vos sources d’inspiration favorites ? Vos bateleurs préférés ? Vos répliques qui tuent ? On en parle dans les coms !

Aurélien, tous mes articles ici.

Bann-SexTalk

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52 Comments

52 Comments

  1. Rafi

    29 janvier 2016 at 13:02

    Super article !
    Sinon pour s’entraîner faut aller voir du coté des clubs de débat ou bien tu théâtre d’impro (toujours lui).

    • Aurélien

      29 janvier 2016 at 15:53

      … ou les bancs en bas de chez soi 😉

    • Sylvain

      31 janvier 2016 at 14:04

      Le théâtre d’impro, toujours un classique. Ca prend du temps, ça coute de l’argent mais ça peut rapporter gros pour le développement personnel 🙂

  2. Le Marginal Magnifique

    29 janvier 2016 at 15:23

    J’adore la finesse du « Éminemment » introducteur sous l’image d’illustration. Je ne peux imaginer qu’il s’agisse d’un simple hasard…

    • Aurélien

      29 janvier 2016 at 15:48

      #EasterEggsSpotted 😉

  3. Swing

    29 janvier 2016 at 17:56

    Pour moi cet article occulte une partie importante du fonctionnement du cerveau, à savoir notre tendance à l’introvertion ou à l’extraversion.

    Ici ce que vous mettez en avant c’est le verbiage facile, la capacité à s’exprimer facilement, un trait caractéristique de l’extraverti. Or, l’introverti réagit différemment, et je crois que c’est faux de prétendre que cette qualité se développe en prenant l’habitude de converser. » C’est faux ou en partie faux car vous ne prenez pas en compte le fonctionnement du cerveau lors de la communication verbale : un introverti n’utilise pas le même chemin cognitif qu’un extraverti (voir fonctionnement du cerveau : la voie longue de l’acétylcholine chez les introvertis VS la voie courte de la dopamine chez les extravertis). Pour faire simple, son cheminement de pensée est plus long avant de pouvoir exprimer ses idées oralement. Quelque soit son travail, il ne pourra jamais avoir autant de répartie qu’une personne extravertie à l’instant t.

    J’aime bien ce site et vos articles, mais parfois vous faîtes l’apologie de la personne toujours à l’aise partout qui a le verbiage facile en toute occasion, mais c’est impossible pour tout le monde de l’appliquer et à mon avis, vous n’êtes pas toujours légitimes pour parler de sujets que vous croyez maîtriser, induisant certainement parfois des gens en erreur (j’en ai fait partie), en leur proposant un idéal qui ne leur correspond pas, comme le font déjà la télé et les médias.

    Il y aura toujours des gens moins prédisposés à miser sur la répartie que d’autre parce que leur schéma de communication est différent et ça, vous l’occultez, c’est dommage. Il y a heureusement pour ces personnes d’autres façons de se distinguer face à un « beau » (grand) parleur. Bref, je pense que la répartie, c’est du vent. Bonne journée à la team cependant, vous faîtes du chouette boulot dans d’autres articles.

    • Aurélien

      29 janvier 2016 at 18:53

      Alors déjà au risque de te surprendre mon cher Swing, j’appartiens à la catégorie des introvertis 😉

      Avoir de la répartie c’est pas (que) « faire du Baffie » ou du « verbiage » comme tu l’écris. La première partie de l’article montre au contraire qu’il s’agit d’une notion beaucoup plus vaste.

      Et sur le fond, et bien j’ai envie de te dire RAS.

      Que ce soit en matière de séduction, au taf, dans le sport ou je ne sais quelle autre discipline, effectivement tout le monde ne peut pas prétende à la médaille d’or… mais tout le monde dispose d’une marge progression.

      À chacun d’exploiter au mieux son potentiel, ce genre d’article est là pour ça, pas pour vendre du rêve.

      Merci pour ton com’.
      A.

    • hares

      29 janvier 2016 at 19:37

      A mon sens ce site ne te donne pas un archétype du serial dragueur, il te donne juste 2-3 exemple pour que tu puisse reprendre confiance en toi au fur et a mesure tu te fera ta propre approche de la chose et tu verra que tu sera juste redevenue toi en mieux ou tout du moins tu aura apris à mettre tes qualités en avant

    • val

      29 janvier 2016 at 22:28

      reponse a swing :
      vous n’avez pas la méme vision des chose que celui qui a ecrit artdeseduire.com
      chaque homme, peut importe son introversion,peut se donner la chance de s’entrainer a une competence tres utile qui est  » la répartie » , qui est d’ailleur loin d’étre du vent.

    • Lenal'airderien

      30 janvier 2016 at 09:31

      Bonjour, j’aime bien ce que dis « swing »…

      La répartie quand les personnes te connaisses et que tu fais partie de leur cercle social…

      Dans ce cas de figure , si tu ne connais personne , je vois mal comment tu peux placer ta répartie …L’effet de groupe existe est c’est un paramètre qu’il faut prendre en compte. Si tu ne connais personne , on te fera comprendre que tu es pas la bienvenue ..

      .Les gens se connaissent entre eux , alors les méthodes x ou y ne fonctionnent pas ..

      .Il y a ce qu’on souhaite et la réalité et le vécu sur le terrain.

      On est pas accepté aussi facilement que le laisse croire l’initiateur du post… J’ai testé « je suis arrivée dans un groupe me suis présenté personne n’a répondue , le gros moment de solitude;

      Je vois pas quelqu’un arriver avec une répartie à la « Stéphane Guillon »!!!

    • Aurélien

      30 janvier 2016 at 10:57

      Salut Lenal’airderien,

      La répartie c’est une question de dosage. Dans un groupe il faut prendre en compte les dynamiques ou l’image que tu dégages, et pas arriver « à la Stéphane Guillon » (euh il est drôle ce type ??).

      L’idée n’est jamais de faire des copiés collé.

      Bien à toi.

    • Sylvain

      31 janvier 2016 at 14:40

      Hello Swing,

      Et merci pour les précisions scientifiques. j’imagine qu’Aurélien passera te répondre sur son article, voici juste mon opinion. La répartie n’a pas forcément besoin d’etre immédiate. Je ne suis moi même pas forcément très extraverti. Après ca n’empeche pas d’envoyer des piques destabilisantes à froid. Tu peux avoir un pouvoir de destabilisation au moins aussi important en misant sur le temps qu’en répondant du tac au tac 😉

  4. hares

    29 janvier 2016 at 19:55

    Pour ma part j’aime beaucoup la réplique de Dikkenek: « je sais bien que je ne peu pas plaire à tous le monde. Mais quand je vois à qui je plais pas, je me demande si ça me dérange vraiment

    • Aurélien

      30 janvier 2016 at 11:21

      Ah ouais je l’aime bien celle là tiens !

      Disclaimer : la répartie n’a pas nécessairement pour intention première de se « faire aimer »

    • Sylvain

      31 janvier 2016 at 14:56

      Un film à revoir 🙂

    • Kreuzbag

      1 février 2016 at 08:23

      « Quand je me regarde, je me désole. Quand je me compare, je me console. »

      Talleyrand

  5. Luc

    29 janvier 2016 at 20:39

    j’ai une relativement bonne repartie
    par contre j’ai remarqué (sauf quand c’est gentil ou pour s’amuser comme dans un groupe assez sympa recemment) que certains individus qui ne se genent pas pour lancer des vannes aux autres (a tout le monde quasiment) quand tu leur renvoyes a la gueule il le prennent tres mal et deviennent meme aggressifs et pas marrants (et la repartie est du meme niveau que leur vanne)
    on fait quoi avec ces connards bien plus repandus qu’on ne pense, surtout en france ?on les frappe ?

    • Aurélien

      30 janvier 2016 at 11:24

      On frappe personne Luc et on se repasse Jean Yanne en boucle : « La connerie, c’est comme le judo, il faut utiliser la force de l’adversaire. »

    • Sylvain

      31 janvier 2016 at 15:01

      Hello Luc,

      Hum, je pense que la violence n’est jamais la bonne solution. Dans ces cas là, je pense qu’il faut passer sur la méta communication : c’est à dire que tu communiques sur votre façon de communiquer. « Ha j’ai remarqué que tu aimais bien taquiner les gens et envoyer des bonnes grosses vannes. Du coup j’ai pensé qu tu avais le sens de l’humour et j’ai voulu rentrer dans ton jeu et te repondre sur le même ton. je me suis manifestement trompé, je ne voulais pas t’offenser 😉 « 

  6. Rabbit

    29 janvier 2016 at 21:16

    C’est fait exprès le choix de Eminem en photo + en 1er mot de l’article « Éminemment » ? 😉

    • Aurélien

      30 janvier 2016 at 11:18

      C’est fait aussi exprès que le choix de ton pseudo 😉

  7. damien59

    29 janvier 2016 at 21:59

    Bonjour, cela fait un petit moment que je lis le site et ma question est simple…

    J’ai 24 ans, je n’ai jamais eu de copine et je suis puceau.
    J’ai fais beaucoup de progrès ces derniers mois grace au site, mais sans conclure quoi que ce soit….

    Pensez vous qu’il est trop tard pour moi, que je me donne du mal pour rien ?

    • Sylvain

      31 janvier 2016 at 15:09

      Hello Damien,

      Il n’est vraiment jamais trop tard. Comme tu le dis, tu fais des progrés. l’essentiel est de franchir les étapes. Continue a investir sur ton developpement personnel et les résultats suivront. Tu es au meilleur endroit pour cela. j’attends la suite! Bonne chance!

    • Max

      5 février 2016 at 17:38

      Salut.

      J’ai eu ma première relation à 32 ans (amoureuse et sexuelle). Je suis actuellement en couple depuis 5 mois. Ca peut faire rire, mais pour moi, c’est énorme. D’autant plus que c’est le genre de fille pourtant très mignonne et très courtisée. Je fais certes des erreurs de débutant, mais bon, ça se passe généralement très bien.
      Pendant mes longues années de célibat, j’ai développé beaucoup d’activités, voyages, sport.
      Je ne suis pas fan de tous ces trucs de séduction, etc. Mais une chose est vraie : développe ta vie à fond. Après, lors de rencontres, il te suffit plus que d’être honnête avec ta vie et avec toi-même.
      Si tu as du mal à aborder, essaye Internet, mais fais gaffe quand même. Une seule chose, ne prend pas ça trop au sérieux, ça ne te fera pas stresser.

      On se fait tout un plat du célibat, du truc de puceau, etc. Mais franchement, soit bien dans ta tête, et le reste suivra.

      Max

  8. PetitJoueur

    30 janvier 2016 at 00:10

    Incroyable!!!
    Décidément, la relève est assurée! Super article Aurélien!!
    J’ai un ancien ami avec qui j’étais proche. Mais avec le temps, il a changé. Il était toujours un peu agressif et vexant avec les autres, mais les derniers temps il a commencé à se tourner vers ses amis proches… Il commence à insulter (le fameux « ta mère la .. » et tout dans ce style). Un peu la violence verbale gratuite.. Je ne le comprends pas, quand je lui dis pourquoi il parle comme si, il évite de répondre. Il continue à être agressif…
    J’ai rompu les liens avec lui. Mauvaise influence. Le genre de pote à te tirer vers le bas.

    Un an après je le revoie (on a des amis en commun). Il n’avait pas changé, malheureusement. Dans un accès de colère (il avait recommencé à insulter un pote), je lui lâche dans un accès de colère une repartie qui l’a laissé sans mot…. Il se calme pendant un moment, mais recommence de plus belle après. Le pire dans tout ça, c’est que mes potes osent à peine répondre … Que faire?

    Un tout grand merci Aurélien!

    • Aurélien

      30 janvier 2016 at 11:04

      Merci PetitJoueur.

      LA solution : laisse tomber les gens négatifs, tout simplement 😉

      @+

    • AL

      30 janvier 2016 at 12:43

      @Aurélien : fuir n’est jamais une solution. C’est lâche (ou égoïste), et certainement pas l’attitude d’un mâle Alpha ou d’une personne qui prétend être ami(e) avec l’autre en face.

      @Petitjoueur : Malheureusement, je n’ai pas de meilleur conseil à te donner que celui d’Aurélien, si ta priorité est ton bien-être. Je n’aime pas les conflits, et je n’ai jamais appris à les gérer. Mais je me soigne grâce à ADS. Cependant, je ne suis pas compétent pour te dire comment procéder. Visiblement, ce type a beaucoup d’importance pour toi, du coup, je ne peux que t’encourager à maintenir le dialogue. Il n’a pas changé sans raison. Et une personne en colère est une personne qui souffre. Trouve la raison de sa colère et tu résoudras une partie du problème. En revanche, inutile de poser la question frontalement, il faut gratter subtilement et progressivement. Parce que d’une part il y a des chances qu’il ne veuille pas le dire (et qu’il se braque), ou qu’il n’ait même pas conscience de l’origine du problème. Bon courage ! Et dis-toi une chose : si tu arrives à l’aider, c’est qu’il t’aura permis d’apprendre des choses, et donc t’aura tiré vers le haut.

    • Aurélien

      31 janvier 2016 at 12:44

      @Al : Lâche, non. Égoïste, oui un peu. Le temps et l’énergie de chacun sont assez précieux pour ne pas en faire cadeau à des gens qui tirent vers le bas. #JurisprudenceJayZ

    • AL

      31 janvier 2016 at 14:03

      Je serai de ton avis si Petitjoueur n’avait pas pris soin de préciser « J’ai un ancien ami avec qui j’étais proche ». En outre, s’il demande conseil, c’est que, au fond de lui, ça le préoccupe. Qu’aujourd’hui, ou à partir de maintenant, il choisisse de ne fréquenter que des gens qui sont positif, pas de soucis. Mais pour une amitié installée, on ne balaye pas une histoire comme ça. Ou alors, c’est qu’elle n’était pas sincère. L’amitié, c’est comme le mariage : c’est pour les bons, et les mauvais moments.

      Et je ne partage pas ton avis sur le tirage vers le bas. Encore une fois, c’est dans l’épreuve qu’on découvre la vraie nature et la vraie valeur des gens, c’est avec les difficultés qu’on apprend. Et je me répète, mais si Petitjoueur parvient à trouver ses réponses et à solutionner son problème, ça l’enrichira forcément et il ne peut qu’en sortir grandi.

      Finalement, le vrai petit joueur, n’est-ce pas celui qui n’accepte que les combats qu’il est sûr de remporter ? C’est quand même vachement moins drôle ^^;

    • AL

      31 janvier 2016 at 14:12

      Et puis je suis convaincu que si la vie met ce genre d’épreuve sur notre route, c’est justement pour ne pas qu’on s’en détourne mais pour nous aider à progresser.

  9. Scorbutics

    31 janvier 2016 at 12:40

    Et bam ! Un sacré article que voilà ! Je poste un commentaire ici poir souligner le joli travail imaginatif dans cet article qui commence dès la première image associée au premier mot (éminemment), jusqu’ aux citations entre crochets ou exemples qui sont très concrets (on ne le voit pas toujours assez sur les autres arricles). Les conseils sont très bons aussi, on ne voit pas assez la méthode Coué citée, c est bien d y avoir pensé parce que ce dans ce genre de situations elle peut se révéler très efficace (à pratiquer tous les jours cela dit) ! Le conseil 5) est important aussi, c est meme le conseil essentiel pour ajouter de l originalité et l humour dans une conversation. La pensée arborescente, c est un peu du « think outside the box » et ca favorise l hemisphere droit qui permet d intégrer un aspect essentiel à la répartie : la créativité.
    Bref, pour moi qui suis ADS essentiellement pour l inner game (et dev. personnel) – meme si je lis aussi les autres articles – cet article résume bien l essentiel des conversations.
    Ah je sais plus où il est, mais il me semble qu un ancien article répertorie pas mal de répliques de gens connus qui maitrisent la réparties… c est essentiel pour se créer une base de données de citations et mots et s inspirer de la manière dont ils tournent les phrases ;).

    Finalement, en tant que fan de Marvel je ne saurais oublier de citer les films Iron Man pour voir la répartie de Tony Stark, ou dans un style différent, la répartie dans les James Bond.

    Allez, sayonnara les amis !

    • Aurélien

      31 janvier 2016 at 12:47

      L’écrit, l’écrit, et encore l’écrit pour structurer l’oral, on le répétera jamais assez..

      Question répartie, l’ami Spawn s’annonce également comme un sacré client.

      Merci pour ton com’ Scorbutics !

  10. Kheldar

    31 janvier 2016 at 20:46

    Hello !

    Perso j’ai toujours eu la fâcheuse habitude de faire les 100 pas quand je suis chez moi. Je dis fâcheuse, parce que je tourne aussi en rond dans mon salon pendant que je me brosse les dents ou que je me lave les mains, ou pendant que je plis mes draps. Bref, je n’arrive pas à tenir en place. Mais ça m’aide à penser, et j’aime bien penser, de tout et de rien. Que ce soit pour écrire un livre dans ma tête ou penser aux problèmes de la journée et comment les résoudre, j’adore penser. Ce qui m’a permis de développer ma capacité à converser, c’est surtout de m’imaginer dans des situations ou en train de converser. Comment réagirai-je dans telle ou telle situation ? Que dirais-je dans tel ou tel cas ?
    Quand on n’a pas d’expérience, il faut s’en forger une. Mais en attendant de s’en forger une, on peut toujours la simuler. C’est le principe même de cette technique : imaginer des situations, des conversations, et prévoir nos réactions, afin de donner ou d’avoir l’impression d’avoir déjà vécu ces situations… Tout en ne perdant pas de vue que la théorie et la pratique, l’imaginaire et le réel, ne sont pas toujours en accord. (Bon maintenant je commence vraiment à m’en forger une d’expérience, mais au départ je ne sortais jamais, donc fallait bien que je me débrouille, que je trouve une combine pour m’en sortir.)

    Le mieux pour retenir tout ça, toutes ces réactions et toutes ces idées, c’est bien évidemment de ratifier le tout par écrit. Car sur le papier, rien n’est oublié. C’est d’ailleurs une technique que j’utilise pour créer les personnages de mon livre et leur donner une personnalité : comment réagirait tel ou tel personnage face à telle ou telle situation ? Une technique redoutable pour les amateurs de jeux de rôles en séduction.

    Bon, je retourne faire les 100 pas en me brossant les dents dans mon salon.

    Enjoy !
    Signé : Monsieur cent pas.

    • Sylvain

      31 janvier 2016 at 22:01

      HELLO L’AMI,

      Mais tu écris un livre?

    • Kheldar

      3 février 2016 at 16:23

      HELLO L’AMI,

      Et oui, c’est dans mes projets. Pour l’instant, je suis juste en train de forger les personnages ainsi que la trame. Pour vraiment me lancer dans l’écriture d’un livre, il me faudra beaucoup de temps libre et d’investissement personnel, ce que je ne peux pas me permettre pendant ma période d’études. En attendant, je fais le tri entre les idées qui me viennent et je les modèle. Je lis aussi beaucoup de fantasy pour m’en inspirer, et voir comment je pourrais me démarquer des autres.

    • Sylvain

      3 février 2016 at 18:03

      Hello,

      Oui c’est vraiment un beau projet. Et je pense que c’est ce qu’il faut faire! Avant de vouloir écrire, il faut beaucoup lire! Développe tes idées. Et rappelle toi que le livre sera parfait, non pas quand il n’y aura plus rien a ajouter mais plus rien à enlever 😉 Bonne chance en tout cas!

    • Kheldar

      5 février 2016 at 06:27

      Le livre sera parfait, non pas quand il n’y aura plus rien a ajouter mais plus rien à enlever ?
      Merci du conseil l’ami ! J’en prend bonne note 😉

    • Sylvain

      5 février 2016 at 18:18

      Oui je veux dire, on a toujours plein d’idées. On développe encore et encore. Surtout que tu as l’air prolixe à l’écrit. Donc quand tu auras tout posé, commence à trier pour aller à la pureté et ne garder que le meilleur 😉

  11. Berseker

    1 février 2016 at 11:20

    AH CETTE IMAGE, 8 MILES, QUE DE SOUVENIRS. Bon je remonte lire, mais vous avez bon gout à la rédac de ADS

    • Sylvain

      1 février 2016 at 16:06

      Hello,

      Merci merci! Oui, en plus, il y a Brittany Murphy encore en vie dedans 🙂

  12. Berseker

    1 février 2016 at 12:27

    Très bonnes idées. Je ne pourrais suggérer en plus que de regarder des séries droles avec de grosses vannes comme How I Met Your Mother

  13. Oops

    1 février 2016 at 22:47

    Bonjour petite mésaventure à vous raconter. Alors j’étais donc avec ma Target et on discutait tranquillement, comme d’habitude on rigolais beaucoup et tout allait bien. Et puis un moment elle dit « le cerveau c’est un muscle » et je lui fait remarquer qu’elle sera jamais médecin comme ça, ce à quoi elle répond « Mais c’est pas de ma faute! », là ma répartie classique: je l’imite en disant « je suis fatiguée! »; elle répond par « c’est ma mère qui m’a mal appris » et la j’enchaîne sur « C’est parce que mon père me bat ». Et là, elle s’arrête totalement et me regarde, un peu surpris je lui dis « bah quoi? » Elle me dit « y’avait une limite sur les blagues, et tu l’as franchie donc c’est plus drôle ». Je balance vite fait un truc pour garder la tête haute et s’installe un silence de quelques minutes, apres je relance et tout repart bien. Mais j’ai l’impression d’avoir touché un point sensible sans faire exprès et ça me gêne un peu. Comment éviter ça a l’avenir, et comment y réagir?

    • Sylvain

      2 février 2016 at 07:07

      Hello oops,

      Effectivement, il faut parfois savoir doser l’humour. Surtout si tu ne connais pas l’historique de cette fille. Tu ne sais pas si elle a déjà ete vraiment battue. Dans ces cas là, ça a une résonance particulière pour elle. Ou au contraire, elle a peut etre trouvé que c’etait un manque de respect envers son père. Quoi qu’il en soit, il faut toujours essayer de cerner les limites d’une personne et visiblement tu y as été confronté.

      A l’avenir essaye de rester dans le domaine léger, en regle générale, on evite de faire des plaisanteries sur la violence, la famille, la politique, la religion et tout ce qui peut être polémique…Si elle t’en reparle, présente lui des excuses, comme quoi tu n’imaginais pas que cela pouvait la blesser et que tu en es désolé. Sinon, fais attention à mieux calibrer à l’avenir 🙂

  14. retribution

    2 février 2016 at 03:23

    la répartie c’est de la réactivité intellectuelle face à une donnée visuelle ou auditive mais selon moi elle est innée un minimum d’une part et énormement acquise car pour arriver à un certain niveau , faut la travailler mais pour s’entrainer en général les jouxtes verbaux on les utilise sur les freres et soeurs , le ton est donnée par le petit frère qui cherche la petite bete en général

    • Sylvain

      2 février 2016 at 07:15

      Hello Rétribution,

      Bien vu, on commence à travailler les meilleurs vannes en les testant sur les frères et soeurs. Apres effectivement, quand il faut peaufiner, les meilleures improvisations sont souvent les mieux préparées comme on dit! 🙂

  15. Des Esseintes

    2 février 2016 at 10:15

    Très bel article, d’une rare qualité, qui trouve le parfait équilibre entre vulgarisation et conseils pratiques. Bravo.

    Les joutes oratoires sont avant tout un jeu. Et quel amusement on en tire quand on commence à oser franchir les balisages étroits de la morale. Bousculer sans (trop) choquer, piquer sans vexer, aller un peu trop loin, parfois. Comme le disait Jules Renard : « N’hésitez jamais à sortir une bonne blague de peur de froisser un ami. Des amis, vous en trouverez d’autres, des bonnes blagues, c’est moins sûr. »

    • Aurélien

      2 février 2016 at 19:56

      Merci beaucoup Des Esseintes.

      Je rajoute la punchline de Jules Renard à mon fichier texte 😉

  16. Laurie

    3 février 2016 at 10:44

    Super article, qui sert aussi pour les filles! Je n’ai aucune matière à râler, c’est rare!

    Petit truc qui m’a beaucoup servi, les séries télés et les humoristes. Un artiste, dont j’ai complètement oublié l’identité, disait « Inspirez vous pour créer »… Et ça marche!
    A force d’avoir des bonnes vannes à l’esprit, on prend le pli, et je me suis surprise à sortir des trucs au quart de tour, sans trop d’effort, et j’en ai étonné plus d’un. (moi la première)

    • Aurélien

      3 février 2016 at 13:05

      Salut Laurie

      T’as capté, l’inspiration contrairement à ce que pensent ceux qui n’en ont pas ça ne surgit pas de nulle part.

      Merci pour le compliment.
      A.

  17. Pierre-Marie

    28 février 2016 at 21:30

    Si vous parlez anglais, je ne peux que vous conseiller de voir qqs épisodes du Late late show avec Craig Ferguson. Ce type est absolument génial pour la drague. Il a reçu les plus belles actrices dans son émission et les a toutes fait rire par son aisance, sa répartie, sa confiance, son naturel, son humour etc. Il sexualise à mort et ça passe crème tout le temps… Un exemple en ce qui me concerne!

    • Sylvain

      29 février 2016 at 00:33

      Merci Pierre marie

      On garde la source pour y jeter un oeil 🙂

    • Aurélien

      29 février 2016 at 12:47

      Salut Pierre-Marie,

      Petite précision, ce genre d’émissions sont très souvent, non seulement préparées en amont par les intervieweurs et interviewés (et leurs attachés presse), mais également répétées en amont. La répartie à la télé, n’est jamais vraiment spontanée…

      Mais bon exemple quand même les talk-show US sont en règles générales d’excellents modèles sur ce point de vue (légère, sexualisation,etc), même si durs à reproduire IRL.

      @+

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