Connect with us

Art de Séduire : Séduction

Cette Phrase Fait Fuir 95% des Filles Qui l’Entendent…

phrase-à-ne-pas-dire

Inner game

Cette Phrase Fait Fuir 95% des Filles Qui l’Entendent…

Cette Phrase Fait Fuir 95% des Filles Qui l’Entendent…

J’ai vu son regard trembler et j’ai senti le sol s’ouvrir sous mes pieds. Je ne savais pas encore que je venais de faire une énorme connerie et que je venais de prendre un carton jaune. Rouge, même !

Et le tout, en une seule phrase, en une fraction de seconde. Tout avait pourtant bien commencé entre elle et moi, puis j’ai appris que je n’étais pas le seul à faire cette erreur avec les filles.

C’est même probablement une des fautes les plus répandues quand on veut séduire une fille, et personne ne nous a jamais prévenus…

Ça se passait bien, je l’avais rencontrée en soirée, on avait échangé nos numéros de téléphones parce qu’elle me plaisait et qu’on s’était bien entendu.

Je l’avais recontactée avec un texto simple : « dispo jeudi soir pour un verre histoire qu’on continue ce débat sur les rhinocéros et les éléphants ? ».

Elle avait dit oui, on s’était retrouvé pour un verre. Ça se passait bien, jusqu’au moment où j’ai eu faim. Et elle aussi.

La dynamique a basculé en une phrase, et je ne l’ai pas compris immédiatement.

Cette phrase que les femmes détestent plus que tout

Elle m’a dit sur le ton de la plaisanterie : « J’ai faim, tu es encore libre ou tu dois voir un de tes plans culs ? Un restau ? ».

Et là j’ai répondu : « Ouais ok, bonne idée ! ». J’étais vraiment super heureux de prolonger la soirée avec elle, je n’avais personne d’autre à voir en deuxième partie de soirée.

Elle a enchaîné : « J’irais bien me faire un japonais, ou un italien… »

Puis je me suis tiré une balle dans le pied : « Comme tu veux ! »

Je pensais bien faire, mais sans le savoir, je venais de saborder toutes mes chances avec cette fille. J’avais pris ma virilité et je l’avais piétiné en seulement TROIS MOTS : « COMME – TU – VEUX ».

Je pensais bien faire !

Je voulais juste être sympa, je voulais lui faire plaisir, je voulais qu’elle décide ce qu’elle voulait le plus, je voulais qu’elle soit satisfaite en choisissant sa gastronomie préférée.

Pourquoi vous devez prendre les choses en main pour séduire les femmes

J’ai cru bien faire et être poli, mais en réalité, j’ai tout fait foiré et je ne l’ai compris que plus tard.

DÉCOUVREZ LES 7 TECHNIQUES POUR VAINCRE VOTRE TIMIDITÉ & AVOIR L’ETAT D’ESPRIT DU MÂLE DOMINANT



En lui laissant le choix, je remettais sur ses épaules la responsabilité du repas partagé.

De la destination. De la logistique.

Ce qui signifie aussi, inconsciemment, que si elle se trompait, si elle choisissait un mauvais restaurant, je pouvais être déçu et lui en vouloir.

Aucune femme ne veut se retrouver dans cette position, à devoir choisir. Allez, j’exagère… 10 à 20% des femmes sont des décideuses-nées, des leaders qui savent vraiment ce qu’elles veulent.

Mais les autres ont besoin d’un homme, cherchent un homme qui sait décider, qui sait assumer ses décisions, qui sait faire des choix.

Et là, je suis passé à côté de ce qu’elle attendait. Un homme qui la guide, un homme avec un plan, un homme qui réfléchit, qui anticipe.

Un homme avec un italien A, puis un plan B, voire un plan C, et aussi une sélection de deux ou trois japonais. Un mec qui prend les choses en main, et qui n’a pas peur de proposer. Un homme qui ne cherche pas la validation des femmes. Qui sait ce qu’il veut.

faire-fuir-les-femmes

Et le choix d’un restau, c’est très représentatif, c’est une situation qui se reproduit tous les jours ou toutes les semaines.

Si vous flanchez devant ça, qu’est-ce que ça dit de vous pour les grandes décisions ? Les décisions vraiment importantes ?

Vous savez, les femmes ont besoin d’être rassurées. Elles ont besoin de savoir qu’elles peuvent compter sur vous.

Et là, en une phrase, je lui ai fait comprendre que ce que je valorisais plus que mes envies, c’était ses choix à elle.

  • Que je voulais lui plaire plus que je ne voulais proposer et trancher.
  • Que je voulais me plier à ses désirs plus que je ne voulais être force de proposition.

Carton rouge, sanction, je ne l’ai pas vu venir bien évidemment.

Malgré sa fatigue de la journée, malgré ses doutes, elle a pris son téléphone, elle a consulté TripAdvisor, on a perdu un quart d’heure à choisir.

Puis il a fallu y aller. Pendant tout ce temps, la tension sexuelle est retombée. L’étincelle, le fun, tout ce que j’avais réussi à bâtir est parti en fumée à cause d’un manque de leadership, à cause d’un manque de préparation, à cause d’un manque d’anticipation.

Vous allez me dire que j’aurais pu improviser, certes. Mais improviser, ça se fait en ayant des bases. Et là, j’ai remis tout mon pouvoir entre les mains de cette inconnue que je voulais séduire.

Raté. Erreur fatale.

Ce que j’ai fait, elle ne l’a pas interprété comme étant « gentil », ou « bienveillant », ou « égalitariste, partageur ».

Elle l’a vu comme une absence de virilité, elle l’a vu comme un aveu de mollesse.

On croit leur faire plaisir, mais on ne fait que surcharger leur cerveau. Je l’ai appris plus tard, bien plus tard, et Clémenceau l’avait déjà très bien formulé :

« Pour prendre une décision, il faut être un nombre impair de personnes, et trois c’est déjà trop. »

prendre-des-décisions

Ce bon vieux Georges avait bien compris qu’une décision, ça se prend seul, et que ça s’assume seul. Le leadership est à ce coût. Un homme doit savoir trancher, doit savoir prendre des décisions.

Bien plus tard, je découvrais une méthode de travail que j’adoptais avec tous mes collègues et mes stagiaires, cette fois-ci inspirée par les méthodes de management de Nicolas Sarkozy.

Un célèbre magazine de management français expliquait que ses collaborateurs n’avaient pas le droit de venir le voir avec des « problèmes ».

S’il y avait un souci (ce qui arrive tous les jours, voire toutes les heures pour eux), ils devaient se présenter à lui avec au moins deux solutions.

Le job du grand chef, c’est de trancher. Charge à ses équipes de réfléchir à des solutions techniques.

Le cerveau humain, c’est comme une bande passante, on va dire : trop d’infos en même temps et c’est la surcharge. Et quand le cerveau est en surcharge, tout devient plus lent, plus compliqué, plus pénible.

Et c’est justement ça que vous devez éviter quand vous souhaitez séduire une femme. Vous êtes là pour lui faciliter la vie. Vous êtes là pour lui faire vivre des moments légers. (Et ça reste vrai une fois que vous êtes en couple).

« Séduire, c’est divertir ! » : vous êtes un film, un programme télé, un moment de douceur et de spectacle où vous devez capter l’attention de la fille.

Je ne vous dis pas qu’elle doit être complètement passive, mais évitez de lui faire prendre des décisions trop compliquées, évitez de la laisser seule face au choix. (Et je vous promets que le choix d’un restaurant, c’est une vraie galère mentale pour certaines filles. Et que le choix du plat, une fois arrivés au restau, c’est encore pire).

« COMME TU VEUX ».

Ce qui peut apparaître comme une simple formule de politesse m’a coûté une belle aventure avec cette fille, qui m’a expliqué 10 ans plus tard que je l’avais perdue là-dessus lors de nos retrouvailles, après son divorce.

« J’aime les mecs qui prennent les choses en main. Pas par paresse. Pas par envie d’être dominée. Mais par besoin de sécurité. Ça me rassure de savoir que je suis entre de bonnes mains.

  • T’inquiète, j’ai changé… J’ai compris la leçon depuis, et je nous ai réservés une table chez l’italien qui sert la charcuterie la plus folle de la ville… 
  • Ah… je ne t’avais pas dit que j’étais devenue vegan ? 
  • Parfait, on file chez Season alors ! »

Cette fois-ci, j’avais même prévu le plan B avec un des meilleurs restau vegan de Paris.

Je n’ai pas changé, j’ai juste intégré le bon état d’esprit, et croyez-moi, ça sauve des vies !

DÉCOUVREZ LES 7 TECHNIQUES POUR VAINCRE VOTRE TIMIDITÉ (ET NE PLUS JAMAIS FAIRE FUIR LES FEMMES EN UNE PHRASE !)



Sélim, coach en plan A et B

Continue Reading
38 Comments

38 Comments

  1. Le Marginal Magnifique

    12 juillet 2017 at 17:24

    C’est un très bon article, une variation sur un très grand classique du développement personnel et de la séduction. Puisque je m’intéresse depuis pas mal de temps déjà à cet univers, je connais évidemment cette affaire qui dit que l’homme doit prendre la décision et cette interdiction en séduction du « comme tu veux ».

    Mais, en même temps, je suis revenu de tout ça : je crois qu’on peut aussi être soi-même et que, parfois, le « comme tu veux » n’est pas si rédhibitoire, puisqu’on peut aussi être quelqu’un de souple et d’ouvert d’esprit qui, si l’on garde l’exemple de l’article, aime autant la nourriture japonaise qu’italienne. Présenté différemment, est-ce que ça passe toujours aussi mal ? Genre, tout simplement : « tu sais j’aime les deux, alors je te laisse choisir ». L’homme ne passe-t-il pas alors pour quelqu’un de cool ?

    En résumé, je crois qu’il ne faut pas forcément voir dans le « comme tu veux » une recherche de validation, et si la fille le perçoit comme tel, peut-être n’est pas assez évoluée manque-t-elle de finesse.

  2. Cassandre

    12 juillet 2017 at 18:42

    « L’un des traits les plus caractéristiques de notre culture est l’omniprésence du baratin »

    Harry Frankfurt – De l’art de dire des conneries

    • Sylvain

      14 juillet 2017 at 13:08

      Hello Le Marginal,

      Je pense que pour un premier rendez vous, il faut VRAIMENT arriver avec une idée et une proposition. La fille n’en aura sans doute pas. Quand tu les entends parler, elles attendent de voir ce que le mec a prévu. Après par la suite, une fois que tu es en relation, tu peux aussi la laisser faire preuve d’initiative. Mais plutot que le comme tu veux, je serai plutot partisan du ça ou ça…

      Comme le dit Sélim dans l’exemple de Sarko, tu arrives avec 2 propositions. Italien ou bar à vin? Et tu as de bonnes chances qu’elle te réponde « comme tu veux ! » 😉

    • Jojoledemago

      18 juillet 2017 at 10:44

      «La fille n’en aura sans doute pas.» C’est géniale ça comme genre de rencontre. Du coup je comprends pas l’intérêt de passer la soirée avec elle… Une piste ? hahaha

  3. AL

    13 juillet 2017 at 08:18

    Je répondrai après avoir dormi un peu, mais, mon cher Sélim, je pense que sur ce coup, tu as tout faux. A côté de quoi tu pourrais être passé, avec cette histoire ? (si certain(e)s ont des idées, n’hésitez pas à vous exprimer)

    Et mon argumentaire reposera entièrement sur les éléments que tu as donné.

    • Jojoledemago

      13 juillet 2017 at 14:17

      C’est plutôt la fille qui est passée à côté d’un mec qui cite Clémenceau et Sarkozy dans le même texte de 20 lignes… hahaha
      Sinon Sélim t’es passé à côté d’une princesse qui balance des envies comme ça et qui attend juste que tu débrouilles avec. Ça se passe comment quand elle te demande «je voudrais boire une coupe de Dom Pérignon en regardant le soleil se coucher sur la Volga après un saut en parachute», j’avoue j’ai croisé une ou deux femmes dans ma vie pour qui je l’aurai fait, du genre sur un coup de tête, mais la plus part du temps je lui répondrai plan B effectivement : «on va plutôt aller s’envoyer en l’air dans l’appart d’un pote que je squatte en ce moment».

    • Sylvain

      14 juillet 2017 at 13:12

      Hello Jojo,

      La clé c’est pas d’accéder à ses envies mais bien plutot de développer les tiennes, quelles qu’elles soient 🙂 Du moment que tu diriges, que tu donnes le rythme du date et qu’elle se laisse emporter…Après, elle adhère à ta proposition ou pas…C’est comme en politique…On adhere au programme ou pas…Mais quand on n’a pas de programme…

    • Lenal'airderien

      13 juillet 2017 at 14:26

      Hello,

      Si l’intérêt d’une femme pour un homme repose sur « deux mots » comme tu veux » ….Je vous jure qu’il y a de quoi s’inquiéter…

      Ce que ne vous dit pas l’article , c’est le cumul….

      « comme tu veux »
      « je sais pas trop »
      « on verra bien »

      etc….qui pose souci , comme si le mec manquait de motivation , cache ta joie en gros.

    • Sylvain

      14 juillet 2017 at 13:13

      Hello,

      Voilà ! Lena vient de parfaitement résumer la chose. Ce que vous prenez pour de l’ouverture d’esprit et l’envie de faire plaisir en lui donnant le pouvoir de décider du programme = désintéret et manque de motivation. CQFD.

    • AL

      13 juillet 2017 at 20:43

      Bon ! Me revoilà !

      Alors… Déjà, personne ne nexte quelqu’un parce qu’il a la flemme de choisir un resto de façon improvisée. Dans le cas contraire :

      a/ c’est une connasse, tu rates rien. no regrets.

      b/ t’as commis d’autres erreurs et 1) elle n’est pas capable de les identifier et elle a pris la première excuse venue. 2) elle a dit ça pour ménager ton égo/orgueil de mâle.

      c/ elle n’était pas vraiment intéressée et elle a accepté à cet instant l’idée que ça ne marcherait pas entre vous

      Sans compter que jouer les « mâles dominants leader » dans une relation, c’est joli sur le papier, mais le jour où vous ne pouvez pas assumer ce rôle (vous êtes vous-même défaillant (40° de fièvre, une jambe ou un bras dans le plâtre…) et qu’elle vous le reproche ou qu’elle vous laisse vous débrouiller seul, ça va vous faire bizarre. Je maintiens qu’une relation saine, c’est envies et décisions partagées sans volonté de contrôler l’Autre.

      Pour en revenir à ce cas d’école, pour moi, t’as juste raté la phase de sexualisation. T’aurais dû faire relire ton article par Eros !

      « Elle m’a dit sur le ton de la plaisanterie : « J’ai faim, tu es encore libre ou tu dois voir un de tes plans culs ? Un restau ? ». »

      Perso, avec plaisanterie + faim + plan cul, moi, je comprends : « J’ai envie de baiser. On passe aux choses sérieuses, on fait un scrabble ou t’as d’autres projets dont je serais exclue ? »

      Et comme tu comprends pas la subtilité, seconde tentative : « Elle a enchaîné : « J’irais bien me faire un japonais, ou un italien… » »

      Là, la « bonne » réponse, c’était : « Désolé, ce soir, il faudra te contenter d’un [placer ici tes origines exactes] »

      « Puis je me suis tiré une balle dans le pied : « Comme tu veux ! » »

      Ton erreur, si erreur il y a eu, ça a été de ne pas lui proposer de la passer ELLE à la casserole, de ne pas lui dire que t’avais une furieuse envie de moules à la crème, j’en passe et des meilleures !

      « elle a pris son téléphone, elle a consulté TripAdvisor, on a perdu un quart d’heure à choisir. »

      Je crois surtout que pendant ce long quart d’heure, elle a dû espérer une troisième et dernière fois que tu te déciderais à penser avec ta b*te et pas avec ton estomac XD

      « Pendant tout ce temps, la tension sexuelle est retombée. L’étincelle, le fun, tout ce que j’avais réussi à bâtir est parti en fumée »

      Et c’est ce passage qui me fait dire que c’est TOI qui a raté le coche en te focalisant sur la question du restaurant. T’avais tout fait pour la chauffer, elle était cuite, à point, y avait qu’à la cueillir, et c’est TOI qui l’a éteinte tout seul comme un grand. C’est bôôôô ! EPIC FAIL !

      Puis, 10 ans après, tu la revois. Décidément, ta bonne étoile te gâte ! Mais tu ne comprends toujours pas :

      « J’aime les mecs qui prennent les choses en main. Pas par paresse. Pas par envie d’être dominée. Mais par besoin de sécurité. Ça me rassure de savoir que je suis entre de bonnes mains. »

      Traduction : J’en ai marre des hommes qui perdent leur temps à parler pour ne rien dire, ce que je veux c’est qu’ils comprennent instantanément quand j’ai envie de me faire prendre, comme là, maintenant, tout de suite, sans avoir à le demander.

      « T’inquiète, j’ai changé… J’ai compris la leçon depuis, et je nous ai réservés une table chez l’italien qui sert la charcuterie la plus folle de la ville… »

      Ou pas ?

      « Ah… je ne t’avais pas dit que j’étais devenue vegan ?  »

      Scepticisme de la fille (elle te demande de la prendre en mains, tu reviens avec tes histoires de bouffe… En faisant croire que t’as changé, mais pas du tout, et tu montre que tu ne la comprend toujours pas), puis mini shit test. Peut-être que c’est mon côté pervers qui ressort, mais une fille qui me dit « je suis en instance de divorce » puis « je suis devenue vegan », mon premier réflexe est de lui demander si elle est lesbienne, pas de l’emmener dans un resto végétarien. (d’ailleurs, dans la VF de Nicky Larson, quand il voulait aller au resto végétarien, c’était qu’il avait envie de baiser. Mais je dis ça, je dis rien.

      Donc, au-delà du « comme tu veux », moi, je vois surtout 5 occasions pour toi de sexualiser la conversation / d’emmener la fille chez toi / de la sauter que tu as raté. 5, dans un laps de temps très court. C’est beaucoup. 5 passages ambigus où la fille te laissait potentiellement entendre (je met du conditionnel, parce que je peux évidemment me tromper) qu’elle était dispo. Et toi tu ne vois rien. Je comprends que ça la refroidisse.

      Ceci étant dit, je suis actuellement convaincu que si je n’arrive pas naturellement à sexualiser une conversation avec une fille naturellement, c’est que je n’ai pas envie d’elle au fond de moi. Du coup, je préfère m’écouter et ne pas me forcer.

      Voilà pour ma « lecture » de ton anecdote.

    • Sylvain

      14 juillet 2017 at 13:26

      Hello Al,

      Je pense que l’anecdote s’applique surtout à un premier rendez vous. Si la fille te voit quand tu as 40 de fievre, en général, c’est que tu as passé un sacré cap avec elle. Apres, il ne s’agit pas de tout décider tout le temps mais plutot de montrer que tu es capable de le faire. Et sur une fille que tu viens de rencontrer, c’est généralement ce qu’elle attend.

  4. Cassandre

    13 juillet 2017 at 20:03

    @ AL

    J’attends avec impatience ta réponse.

    La mienne est résumée dans la citation de Frankfurt qui est la première ligne de son essai. En fait, le problème n’est pas que ce qui est écrit dans « l’article » soit vrai ou faux. Le but de l’auteur n’est pas de rendre compte de la réalité ou de la travestir. La réalité n’a aucune importance, l’important c’est que le lecteur croit ce qui est écrit, c’est la définition même du baratin (flot de paroles généralement trompeuses, le plus souvent motivé par le désir de convaincre, de duper ou de séduire – Trésor de la langue française).

    • Cassandre

      13 juillet 2017 at 20:06

      Zut : Edit : « croie » pas « croit »

    • AL

      13 juillet 2017 at 20:12

      @Cassandre : Tout dépend si l’auteur est convaincu par son propos ou pas (et je pense qu’il l’est). Ceci dit, ce texte fait partie des rares où je me demande s’ils sont destinés à être pris au premier degré ou a inciter le lecteur à réfléchir.

    • AL

      13 juillet 2017 at 20:52

      « La mienne est résumée dans la citation de Frankfurt qui est la première ligne de son essai. »

      J’ai pas sa citation, mais j’ai sa saucisse. En première ligne, toujours. Et c’est plus mon coup d’essai. Si un jour tu veux ouvrir la boîte de Pandore, je suis prêt à changer de pseudo ! ;-P

  5. AL

    14 juillet 2017 at 17:27

    @Jojo : assez d’accord.

    @Sylvain en réponse à Lena : Mais il y a des gens qui sont comme ça par essence. Hommes comme femmes. Une de mes ex était comme ça et à la longue, c’est gonflant. Quand tu veux savoir de quoi elle a envie parce que tu n’es pas dans sa tête et qu’elle répond « ce que tu veux », au début t’es content, tu prends les choses en main. Mais au fil du temps, tu te demandes où est l’échange, le partage, la communication. Mais je maintiens que ce n’est pas un motif éliminatoire, y compris dans un premier rdv (sauf si vraiment la meuf n’est tombé que sur des types comme ça avant).

    « Et sur une fille que tu viens de rencontrer, c’est généralement ce qu’elle attend. »

    Mouais… Bien malin celui qui est capable de deviner ce qui se passe réellement dans la tête des autres. Si je te racontais l’intégralité du WE que j’ai passé avec une amie-target le mois dernier, tu hallucinerais. Pour le coup, à chaque fois que je prenais des initiatives, chemin, resto, elle contestait mes décisions. Alors même qu’elle reconnaissait ne pas avoir le sens de l’orientation. Du coup, elle me faisait douter, on finissait par se planter, et au lieu d’y voir l’occasion de découvrir des endroits sympas, elle se plaignait. Au bout d’un moment, j’ai fini par lui laisser le plan et le pouvoir décisionnel. On se plantait encore, mais au moins, elle ne me le reprochait plus. (Et, pour donner raison à Sélim, il ne s’est rien passé – mais subir cette fille deux jours tenait plus de la punition qu’autre chose, donc je ne regrette rien) Pour le premier soir, j’avais choisi un resto sympa (pas excessivement cher (mais je comptais prendre en charge son dépassement de budget si la soirée se passait bien), belle vue sur la ville, et bons avis sur le net). Une fois sur place, elle a commencé par checker Tripadvisor pour s’assurer qu’il y avait des avis positifs ; elle a passé sa soirée à critiquer tout ce qui ne lui convenait pas ; conversation 0 ; et, cerise sur le gâteau, on était encore à table, on n’avait pas payé, qu’elle postait déjà son avis très mitigé sur Trip. Elle aurait voulu signifier son désaccord d’être là avec moi, ou me pourrir la soirée, elle ne s’y serait pas prise autrement. Je me demande encore pourquoi elle avait accepté ce séjour (qui, selon une amie commune, lui a vachement plu) avec moi.
    Bref. Tout ça pour dire que ça ne sert à rien de vouloir tout contrôler, tout prévoir. Syndrome de l’enfant roi tout puissant qui veut tout contrôler. Pathologie que Sarkozy illustre fort bien au demeurant. (Méfie toi Sélim : Pas de rolex à 50 ans, t’as raté ta vie !) 😉

    • AL

      14 juillet 2017 at 17:32

      … Parce que quand ça veut pas, ça veut pas ! 🙂

    • Sylvain

      17 juillet 2017 at 10:59

      Hello Al,

      Je vois ce que tu veux dire au sujet de l’échange. Forcément, quand la fille te répond toujours « ce que tu veux », tu n’as aucune prise pour savoir qui elle est et à quoi ressemble son monde. C’est là qu’il faut creuser un peu pour connaître ses gouts et ses passions et en la titillant un peu elle finit par faire preuve d’initiatives mais je peux comprendre que ça puisse rebuter.

      Pour Trip, ça me rappelle un passage qui je crois se situe dans « les Hommes viennent de Mars… ». Il explique que les femmes sont capables de décoréller la qualité de la soirée de l’homme avec qui elle la passe. EN clair, toi tu ressens ça comme le fait qu’elle n’a pas apprécié ta compagnie alors que dans sa tete elle passe peut etre une bonne soirée meme si le resto ne lui plait pas. Mais quoi qu’il en soit, c’est sur qu’il faut savoir rester souple. Ou du moins etre force de proposition. Et si la proposition ne convient elle te répondra toujours  » non je préfère aller là ». Il n y a pas de souci avec ça mais tu aras fait le taf 🙂

      Qui te dit que Sélim n’a pas de Rolex? :p Il préfère les Kelton! Comme celle qu on offre !

    • Cassandre

      18 juillet 2017 at 18:39

      @ AL,

      Eh bien, quelle patience ! Ça donne plutôt envie de partir en courant ton histoire.

      Est-ce que le bonimenteur croit en son boniment ? C’est inéluctable. Même si au début il sait que son discours ne sert que ses intérêts, à force de le répéter, il finit par y croire.

      Pandore ? Tu changes de genre aussi ? 🙂

    • Sylvain

      19 juillet 2017 at 11:39

      Hello,

      Mais est ce qu’à force d’y croire, cela ne devient pas la vérité? Nous sommes les créateurs de notre propre réalité. Que vous y croyez ou que vous n’y croyez pas, de toute façon, vous aurez raison !

    • Cassandre

      19 juillet 2017 at 12:15

      @ Sylvain,

      Oui effectivement, chacun crée sa propre réalité mais quand on perd pied, cela devient une pathologie.

  6. joey

    16 juillet 2017 at 22:39

    hello !

    et oui ça m’est arrivé aussi… avec une très jolie fille, exactement pareil !!

    Je lui ai laissé le choix du resto, au final on a fini chez elle, on a quand même couché ensemble mais le lendemain elle m’a dit qu’il n’y aurait pas plus que j’étais pas assez affirmé, pas assez mature.

    à partir de la je me suis remis en question, c’était dur, j’ai découvert art de séduire, j’ai appris et la donne c’est totalement inversée, elles me disent complètement l’inverse maintenant et j’en profite pour raconter qu’avant j’étais un grand timide blablabla, en jouer un peu et ensuite je leur parle d’ADS… et ça fait son petite effet.

    merci l’équipe !

    • Sylvain

      17 juillet 2017 at 11:38

      Hello Joey,

      Je me souviens de nos conversations quand j’ai débarqué sur ADS et je constate que tu te sens mieux et qu’il y a eu une évolution. Bravo à toi! Meme si on n’est jamais vraiment à l’abri d’une rechute!

  7. Lady_Mélodia

    18 juillet 2017 at 23:49

    Ahhhh

    On part pendant 6 mois, le site est complètement chamboulé et on ne reconnait plus rien mais certaines choses restent telles qu’on les a quittées ^^ (je parle bien sûr des débats Lena/ Cassandre / AL / Sylvain 😉 )

    Après pour l’article, et si je choisis de m’en tenir au 1er degré contrairement à l’analyse de AL qui s’intéresse aux intentions cachées derrière les mots, il me semble qu’il y a une erreur de raisonnement dans la logique de causalité.
    Rappel des faits: la fille proposait un resto italien ou japonais, Sélim lui dit « comme tu veux », la fille se met à chercher elle-même le resto ce qui a pour effet de faire retomber l’ambiance et la morale est « en tant qu’homme tu dois décider toi-même car prendre des décisions fatiguent les filles donc de manière générales elles apprécient que des hommes le fasse à leur place » (je pense ne pas avoir déformé l’esprit de l’article).
    Regardons maintenant si la situation avait été légèrement différentes :

    1) La fille demande « italien ou japonais ? », Sélim répond « Italien ! » mais ne propose pas de resto ce qui fait que la fille le cherche elle-même => l’homme décide mais laisse la fille exécuter => ambiance plombée

    2) La fille demande « italien ou japonais ? », Sélim répond « comme tu veux », la fille répond « plutôt italien alors, je vois une pote ce WE et elle veut toujours manger japonais », Sélim répond « Ok ça marche. J’en connais un super à 2 pas d’ici » => la fille décide et l’homme prend en main la réalisation de l’exécution => ambiance sauvée

    Là où je veux en venir c’est que pour moi le problème ne réside pas tant dans la prise de décision que dans la question de la mise en œuvre de ladite décision.

    Du coup, je pense que la situation décrite dans l’article ne permet pas de conclure que les femmes n’aiment pas décider vu qu’ne changeant un peu les situations, on voit qu’il n’y a pas vraiment de lien de cause à effet.
    En revanche, ça montre plutôt que les femmes aiment avoir des personnes sur qui elles peuvent compter sur le plan opérationnel, des gens qui savent par quel bout prendre le problème, des gens qui gèrent l’exécution et sur qui on peut toujours compter parce qu’ils sont débrouillards, contrairement aux décideurs dans leur tour d’ivoire qui ont le chic pour vous dire quoi faire mais sont bien incapables de vous expliquer le « comment » et vous laissent parfois plantés là au beau milieu du gué (Rq : d’ailleurs il me semble qu’il n’y a pas que les femmes qui apprécient ce comportement car lorsque j’étais responsable de la gestion et de l’approvisionnement de ma banque de guilde sur WoW, tous mes condisciples sans exceptions étaient ravis quand, ayant besoin d’un composant rare, il leur suffisait de m’envoyer un message pour recevoir ledit composant en quelques heures dans leur boite à lettre virtuelle – en tout ça m’a valu des tonnes de déclaration d’amour, virtuelles également).

    Au final, je pense que ce n’est pas tant le fait de décider que de prendre l’exécution en mains qui dégage cette impression de sécurité et cette énergie /assurance qui plait et rassure. Après, tout dépend de la difficulté relative de la prise de décision et de l’exécution parce que c’est vrai que certaines décisions sont très casse-tête et que en être déchargé est un vrai bonheur (ex : choisir un putain de CADEAU ! Mais c’est justement le côté casse-tête qui donne tant de valeur au choix…)

    Cet exemple vaut ce qu’il vaut mais je pense que dans l’imaginaire collectif on a tendance faire un amalgame et à sur-valoriser les leaders / décideurs et pas assez les logisticiens / opérationnels / acteurs (= « ceux qui agissent ») alors que ce sont 2 personnalités différentes qui se valent largement à mon sens.

    @Le Magistral : Bien sûr que tu peux laisser la fille décider mais l’intérêt du rendez-vous c’est aussi permettre à la fille de mieux te cerner car elle est curieuse d’en savoir plus sur toi or ce sont TES choix qui vont l’amener dans ton univers et l’aider dans cette tâche donc si tu ne décides rien…ben elle reste dans son propre univers qu’elle connait déjà par cœur et sa curiosité en prend un coup (gros déception). En plus tout dépend de la personne qui a sollicité le rendez-vous : normalement la personne qui sollicite « prend la main » sur la conduite des opérations donc si tu « rends la main » à la fille, ça donne l’impression que tu ne sais pas jouer ou que tu n’as pas envie de jouer et dans les 2 cas c’est chiant et ça traduit effectivement un manque de motivation ou de l’incompétence mais je ne sais pas ce qui est le pire. Après, ça c’est au début et quand on commence à se connaitre et que tu as fait tes preuves, ça peut être très utile de rendre la main à la fille pour s’assurer qu’elle aussi est capable de gérer, que c’est une fille débrouillarde etc parce que sinon, bonjour le malheur à moyen / long terme.

    En tout cas c’était cool de repasser 🙂

    • Sylvain

      19 juillet 2017 at 11:49

      Hello Lady,

      Content de te retrouver parmi nous 🙂 Effectivement, ADS a fait peau neuve! Plus beau, plus fort !

      Interessant cette théorie comme quoi ce ne serait pas la stratégie qui peche mais plutot son implémentation. Et je dois dire que je suis assez d’accord avec ça pour l’expérience que j’ai. Mais je pense que Sélim nous rejoindra. La clé c’est avant tout 1/ d’avoir un plan et donc de le mettre en application de A à Z et 2/ d’etre capable de s’adapter, d’improviser si besoin en se débrouillant avec les moyens du bord, bref d’être proactif.

      Toujours la même chose la séduction : la bonne action au bon moment. Pour le reste, oui, décider c’est aussi une bonne façon de montrer qui tu es et voir si ça peut matcher ou pas.

      Lady, on attend un update de ta situation perso. Quid? Ca va mieux? 🙂

    • Cassandre

      19 juillet 2017 at 12:38

      Salut Lady,

      Ravie de te « revoir ». Je suis aussi d’accord avec ton point de vu. Décider c’est bien, faire c’est beaucoup mieux 🙂

    • Sylvain

      20 juillet 2017 at 16:06

      Dire ce que l’on pense, faire ce que l’on dit = congruence totale 🙂

  8. Lady_Mélodia

    19 juillet 2017 at 23:32

    Je te rejoint Sylvain : c’est toujours bien d’avoir un plan « au cas où »

    Après, il faut aussi ne pas vouloir l’utiliser à tout prix en mode « je DOIS décider pour montrer à la fille que je suis un homme, un vrai ». Pour moi l’idée est que la personne qui a pris l’initiative est prioritaire pour dérouler sa partition, qu’elle a « la main » sur les événements et que, sauf à ce qu’elle « rende la main », il est hors de question de la prendre de force.
    Ex : Si c’est la fille qui prend l’initiative de vous contacter pour un rendez-vous, oui vous pouvez avoir un plan « au cas où » mais vu qu’elle a pris les devants, si elle commence à dire qu’elle aimerait vous inviter à tel endroit, je pense qu’il serait mal venu de vouloir vous imposer en mode « Ah ben j’avais prévu d’aller plutôt à tel autre endroit » #je_te_renvoie_ton_initiative_dans_la_figure #ce_que_tu_souhaites_partager_avec_moi_ne_m_interesse_pas.

    Et pour l’update c’est la cata :
    Après quelques semaines un peu tendues, mon copain m’a envoyé un « je trouve que tu es une fille vachement dépensière » dans la figure, que j’ai ressenti comme un mélange d’injustice criante, de mauvaise foi infinie et de méchanceté gratuite parce que s’il y a un défaut que je n’ai pas, c’est bien celui de gaspiller l’argent (je dois dépenser environ 650€ par mois pour vivre à Paris hors loyer, dont 150€ de billets de train pour rentrer le voir le WE). Il a fini par me présenter des excuses mais j’aurais préféré qu’il réfléchisse avant de parler.
    Un peu plus tard il m’a fait comprendre qu’il me trouvait paresseuse et que j’étais une fille qui se laissait vivre parce que j’avais refusé de l’aider à tailler des arbres, activité qu’il avait choisie d’accomplir à 15h pendant la période de grosse canicule alors que le jardin est en plein soleil, que dans ma famille nous avons une prédisposition génétique aux cancers de la peau qui nous oblige à nous couvrir systématiquement pour nous protéger des UV et que le « bleu de travail » que j’utilise habituellement pour le jardinage est…noir. Ce jour-là, après m’être demandé pendant une demie heure en fixant un mur pourquoi est ce que je restais auprès d’une personne qui me voyait comme un boulet, j’ai ramassé mes affaires pendant qu’il continuait à bosser dehors et je suis rentrée chez mes parents en lui laissant un mot sur la table.

    Aux dernières nouvelles, comme il se trouve que tout le monde ne partage pas son avis selon lequel je suis une fille paresseuse, je suis en train de me faire débaucher par une entreprise située à 4km de chez lui sauf que je suis en train de me dire que si j’accepte le poste, je vais potentiellement vivre avec lui au quotidien et que pour le moment ça ne m’inspire tellement pas que je me demande si je ne vais pas refuser le boulot, juste pour ne pas avoir à vivre avec lui.

    Je dois dire que là je ne le comprends plus du tout.

    Si encore il me faisait des reproches rationnels et fondés genre « tu fais passer ton boulot avant moi » ou « je te trouve trop ambitieuse et carriériste, c’est très éloigné de mon code de valeurs » ou « je vis mal ton caractère indépendant », je comprendrais, je me dirais « je vois pas comment je peux changer les choses mais dans le fond il a raison » sauf que là ses critiques sont complètement à côté de la plaque. J’en suis presque à m’attendre qu’il me sorte qu’il me trouve trop grosse malgré un IMC à la limite de la maigreur.

    On va partir 3 semaines en vacances ensembles et je vais voir ce qu’il reste à sauver mais là je commence à manquer d’imagination; t’aurais pas un plan A et un plan B dans ton chapeau par hasard ? 😉

    • Sylvain

      20 juillet 2017 at 16:26

      Hello Lady,

      J’ajouterai également que ce n’est pas toujours pertinent de toujours vouloir à toute force dérouler le plan prévu. Beaucoup de lecteurs arrivent en me disant « j’ai prévu un verre, puis une expo, puis une balade, puis un resto, puis de la ramener chez toi, tu en penses quoi? ». J’en pense que c’est beaucoup et qu’il faut avoir une trame mais ne pas forcement être rigide. Et plutot se concentrer sur l’échange que sur le programme. Si tout se passe bien pendant le verre, inutile de bouncer et autant rester là à creuser l’échange. Donc restez flexible et attentif aux signes.

      Quant à ton cas personnel, peut etre que ce n’est pas ce qu’il te reproche vraiment. Il y a ce qu’il dit et peut etre un probleme qu’il n’arrive pas à verbaliser. Dans le sens où parfois, tout ce que peut faire quelqu’un t’agace ou t’énerve. Et tu vas lui dire quelque chose qui n’a pas de fondement. Il faut alors creuser et trouver le vrai probleme, qui doit etre plus structurel que de l’argent jeté par les fenetres à tort ou à raison ou de ne pas avoir voulu l’aider à couper quelques branches. Peut etre que vous avez des attentes sous jacentes, autant les formuler clairement.

      De toute façon, autant profiter de ces vacances pour en parler et faire un vrai point sur le couple. « Que penses tu de notre relation? tes attentes? Qu’est ce que tu changerais? » etc etc etc, une vraie remise à plat plutot que de s’embrouiller pour de faux pretextes et d’etre au final dans l’incompréhension. Au moins, tu vois ce qu’il en ressort…

    • Lady_Mélodia

      20 juillet 2017 at 17:11

      Effectivement c’est ce que je me dis depuis hier : il est tellement irrationnel que ça cache très certainement une émotion parasite et le connaissant, il est plus que probable que ce soit de la colère par rapport à son désir de paternité que je refuse de satisfaire, auquel doit en plus s’ajouter maintenant la peur que je le quitte.

      Les vacances s’annoncent riches en échanges constructifs !

    • Sylvain

      24 juillet 2017 at 07:25

      Hello,

      Effectivement, voici un probleme plus structurel. Et là, malheureusement, je ne vois pas comment il pourrait etre réglé sans que l’un d’entre vous ne cede sur quelque chose de fondamental. Si c’est « pas tout de suite », les choses peuvent peut etre s’arranger avec beaucoup de communication, si c’est « jamais », ça va devenir plus compliqué et il faudra effectivement s’attendre à être exposée à des relents permanents de frustration…

  9. indiana007

    26 juillet 2017 at 14:56

    Oui enfin, je ne sais pas si cet article est pas un peu excessif.

    Un « comme tu veux » va t il forcément constituer un couperet qui tombe pour la séduction?

    C’est quand même pas sûr du tout. A moins que la fille soit du genre à examiner au millimètre la psychologie du gars.

    Parce que du coup il y aurait 1001 phrases qui en séduction seraient fatales à la réussite.

    Sur les 900 articles de ADS il y en a je ne sais combien qui évoquent LA phrase à ne surtout pas dire en séduction, donc faut relativiser peut être aussi.

    Si la fille est obsédée par le mec , si elle veut coucher avec quoiqu’il arrive elle peut laisser passer tellement de choses, faut pas l’oublier ça non plus…

    • Sylvain

      27 juillet 2017 at 15:13

      Hello Indiana,

      C’est avant tout un article pour vous inviter à prendre les choses en main et à arriver à un rendez vous avec un plan…Tout en restant souple et adaptable. En clair, soyez acteurs des événements, ne restez pas passifs et vous avez des chances d’avoir plus de résultats en séduction 🙂

  10. AL

    31 juillet 2017 at 03:43

    HAHAHAHA ! Je viens de voir la vidéo YouTube d’un de vos concurrents qui dit à la femme qui l’interviewe (et qui confirme son propos) que « Comme tu veux ! » est la phrase préférée des femmes.

    Ce qui m’amène donc à une nouvelle théorie : si les femmes n’aiment pas que les hommes le dise, c’est parce qu’elles ont peur de perdre leurs prérogatives XDDD

    • Sylvain

      31 juillet 2017 at 13:07

      Mais il ne faut pas écouter la concurrence! On a le meilleur coach ici :p

  11. Eric

    9 août 2017 at 13:57

    My two cents

    La virilité c’est savoir ce que l’on veut et mettre tout en œuvre pour l’obtenir (Jung).

    Souvent on peut lire sur les sites de rencontres dans les annonces de femmes : « je veux un homme qui sache ce qu’il veut ».

    J’ai longtemps cru que cette phrase voulait dire « un homme qui veut s’engager ». Mais en fait non, elles veulent juste avoir en face une personne qui sait ce qu’elle veut (à court, moyen et long terme sachant que ça évolue).

    Alors bon, si l’homme ne sait même pas s’il veut manger italien et japonais ça risque d’être compliqué pour les choix plus importants.

    Pour l’anecdote, dans ma dernière STR (Short Therm Relationship), mon ex m’avait présenté à ses amis, ils nous avaient posé une question qui pouvait être à la fois personnelle et commune : j’ai regardé mon ex avec les yeux du « quelle est la bonne réponse », vu le regard qu’elle m’a lancé c’était pas bon du tout… (la relation n’avait plus qu’une semaine devant elle).

    Bref, on en revient toujours à « connais-toi toi même ».

    • Sylvain

      9 août 2017 at 16:38

      Hello Eric,

      C’est la clé de tout. j’ajouterai une fois que l’on sait qui l’on est et ce que l’on veut, c’est surtout de ne pas avoir peur de le dire !

  12. KENyou?

    25 août 2017 at 22:15

    Wow wow wow wow! Si malgré toute la confiance en moi que je peux respirer (confiance à la quelle le fait d’accorder à une target ce qui lui ferai plaisir n’enlève rien à partir du moment ou je n’ai aucun souci avec ça), si malgré la force tranquille que je peux dégager, si malgré tous les signes évidents d’un travail de longue halaine sur ma personne, si malgré tout ça, ADS, vous me dites que je peux griller toutes mes cartes avec une phrase tout ce qu’il y a de plus clair et limpide comme « comme tu veux » !,ben moi je vous dit: ces 90? de nana n’ont qu’à aller se ruiner l’existence avec des relous à la virilité mal comprise! Heureusement que ce chiffre me parait bougrement exagéré, sauf votre respect (après c’est vs qui prenez le temps d’investiguer sur ce genre de thématique, donc peut être que je me trompe sur la pertinence du chiffre!)

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

More in Inner game

To Top