The Pickup Artist – la starac’ de la séduction

Ayant appris qu’une émission de télé-réalité « The Pickup Artist » a été diffusée cet automne aux Etats-Unis, je me suis dit que je devais absolument la regarder. Sitôt dit, sitôt fait, et après avoir regardé les 9 épisodes, je peux te donner mon avis sur The Pickup Artist.

D’abord, quelques mots de présentation; l’idée est la suivante : 9 AFC vont suivre les cours de séduction assurés par le fameux Mystery (!) et appliquer les connaissances qu’ils auront acquises dans les field tests.

Evidemment, chaque semaine le pire dragueur s’en va pour qu’il en reste un seul à la fin, celui qui sera nommé le Master Pickup Artist.

Mystery. Je dois avouer que c’était la première fois que je le voyais à la télé; à vrai dire son look ne m’a pas tellement impressionné (piercings, vernis à ongles noir… ce n’est pas du tout mon style):

Par contre, la confiance en soi qu’il rayonne est incroyable. Avec ça, Mr Hyde aurait pu séduire Claudia Schiffer…

Ce que j’ai aimé. En fait, il explique vraiment bien la fameuse Méthode Mystery (Mystery Method). D’ailleurs, dans un article qui va suivre je vais en parler, car la plupart des composantes de cette méthode sont déjà traitées sur ce site, il faut juste les réunir et ajouter quelques éléments.

Ce que je n’ai pas aimé. Les réalisateurs ont mis beaucoup trop l’accent sur le côté « télé-réalité », c’est-à-dire sur les moments où quelqu’un se fait éliminer (ces scènes durent au moins 10 minutes, 1/4 de la durée d’un épisode…). Mais bon, puisque les Américains aiment ça 🙁

Field tests. Pour mettre en pratique ce qu’ils ont appris, chaque semaine les participants vont en boîte et essaient de draguer les jolies nanas. On dit qu’il n’y a pas d’acteurs dans les boîtes et que toutes les filles sont ‘vraies’.

Cependant, à la suite de quelques recherches sur le net j’ai découvert qu’une des filles que l’on voit dans un field test est une amie de Mystery… En résumé – même si je trouve qu’elles réagissent assez naturellement, il faut prendre du recul; ça vaut ce que ça vaut 🙂