Connect with us

Art de Séduire : Séduction

Un Urbaniste Vous Explique Comment Progresser en Drague de Rue

Aborder une fille

Un Urbaniste Vous Explique Comment Progresser en Drague de Rue

Un Urbaniste Vous Explique Comment Progresser en Drague de Rue


Les lecteurs d’Artdeseduire ont du talent, des vies passionnantes, et des jobs intéressants. Parfois, on leur ouvre nos colonnes quand leur expertise vous aide à mieux séduire et à mieux comprendre la séduction. Notre urbaniste masqué vous parle de drague de rue. Point de vue intéressant !

Je suis urbaniste. Je crée chaque jour de nouvelles rues, de nouveaux parcs, de nouveaux quartiers, pour rendre toujours meilleurs ceux que vous pratiquez au quotidien, où vous habitez, où vous travaillez.

De plus en plus, quand mes collègues et moi devons imaginer de nouveaux morceaux de ville, on réfléchit à ce qu’ils soient des espaces de rencontre, où les gens ne font pas que passer pour aller au boulot ou rentrer chez eux.

Un endroit où vous pourrez draguer dans la rue et où tout le monde se sentira à l’aise ?

Et si je prends aujourd’hui ma plume, c’est pour vous faire passer un message qui facilitera mon travail.

La rue, un espace trop masculin ?

La question de la place des femmes dans les espaces publics s’est imposée dans nos professions depuis quelques années. L’affaire Weinstein et tout ce qui s’en est suivi (#MeToo, #BalanceTonPorc) ont remis de l’huile sur le feu.

Pour les femmes non accompagnées, la rue n’est malheureusement pas un lieu de rencontres, un lieu où on s’attarde, où on flâne : c’est un espace à traverser rapidement pour ne pas être victime de harcèlement.

Une partie de mon travail consiste donc à créer des espaces sympas pour que les femmes seules veuillent bien s’y arrêter pour lire ou bronzer si elles le désirent, sans crainte d’être importunées (on a des recettes qui marchent, mais chut, un magicien de révèle pas ses trucs).

La mairie de Paris a d’ailleurs publié en 2016 un guide « Genre et espaces publics ». Bonne initiative, à première vue.

Anne Hidalgo y écrit toutefois noir sur blanc dans son édito que « les inégalités de genre s’expriment particulièrement dans les violences sexuelles et sexistes dont sont victimes les femmes dans la rue et les transports. L’urbanisme, l’aménagement et les services publics doivent permettre d’y mettre fin ».

Si on écoute Anne, ce sont les urbanistes qui doivent s’évertuer à atténuer les effets d’un problème dont les causes prennent racines bien en amont.

On veut bien faire notre part pour conforter la place des femmes dans la rue qu’on aménage pour vous et tenter de faire changer les comportements, mais il ne faut pas pousser le bouchon.

Sincèrement, les gars, est-ce notre boulot d’inciter les femmes à s’arrêter sur une place si des harceleurs font tout pour les faire fuir ?

Le problème des femmes dans l’espace public n’est pas un problème urbain, c’est un problème de société.

Et c’est entre autres parce que la rue est devenue le terrain de jeu de dragueurs lourds et irrespectueux (voire d’agresseurs sans scrupules qui se croient intouchables).

La drague de rue, RIP ?

« Hey, mademoiselle, t’es bonne ! », « Madame, t’as un 06 ? T’es pressée ?», « Sympa ta robe ! » sont des exemples archi-connus de ce qu’il ne faut surtout pas faire pour aborder une femme dans la rue.

Et de ce qu’il ne faut pas sortir à une fille tout court (OK, exception pour la dernière, tout homme cultivé a le droit de citer Mission Cléopâtre, mais pas avec une inconnue, vous ne pouvez pas savoir si elle a la référence).

Le problème, c’est que ce genre de formules toutes faites, les femmes l’entendent tous les jours dans la rue.

Quand on les interroge, on se rend compte que pour éviter ces expériences désagréables, elles mettent en place des « stratégies d’évitement » : elles ne passent plus par certains lieux, elles marchent avec un casque sur les oreilles, se plongent dans leur portable… et ne s’arrêtent plus nulle part pour flâner.

L’essayiste Martin Winckler déclarait récemment à Libération que nous vivons « dans un environnement où la drague et le harcèlement sont « normaux » ».

Erreur majeure : l’auteur met sur le même plan drague et harcèlement, alors que ce sont deux concepts tout à fait différents (l’article complet est disponible ici, le propos de l’auteur étant tout de même très intéressant).

Cet exemple illustre bien l’amalgame qui est fait aujourd’hui entre harcèlement sexiste dans l’espace public et drague de rue courtoise et respectueuse.

#MeToo et #BalanceTonPorc ont fait parler de ces violences sexistes (et c’est une bonne chose), mais à tel point que les gentlemans que nous sommes (oui, vous lisez Art de Séduire, je pars du principe que vous êtes un gentleman) décidons parfois de privilégier d’autres terrains de rencontres (bars – boîtes – sites de rencontres en ligne) pour ne pas risquer d’être confondu avec les agresseurs.

Parce que les mouvements consécutifs au scandale Weinstein, en accumulant les témoignages malheureux de femmes harcelées dans la rue, l’ont consacrée comme un lieu dangereux pour la gent féminine.

Alors, en 2018, a-t-on encore le droit d’aborder une femme dans la rue ? Est-il normal d’avoir peur d’aller demander un numéro par peur de repartir avec un procès ?

Réhabilitons la drague de rue

Non, #MeToo et #BalanceTonPorc n’ont pas tué la drague de rue.

Certes, elles ont révélé les abus des harceleurs de rue irrespectueux, mais c’est là, gentleman, que vous entrez en scène !

Continuez d’aborder, de draguer dans la rue : sachez simplement être respectueux, digne, et surtout acceptez les refus avec le sourire.

Si vous vivez dans une grande ville, vous avez sans doute la possibilité d’aborder une femme toutes les cinq minutes : un refus ne vous tuera pas, et ne mettra pas en péril votre avenir sentimental.

Les femmes aiment qu’on les divertisse, qu’on discute avec elles. Pas qu’on vienne les voir en leur disant qu’on prendrait bien leur 06.

Si les hommes jugent beaucoup sur le physique pour approcher une fille, les femmes aiment converser avec leur interlocuteur avant de décider si oui ou non, elles veulent aller plus loin.

Mon avis : Ne soyez pas trop direct dans votre approche.

On connaît tous ces bénévoles d’associations humanitaires qui nous arrêtent dans la rue pour nous expliquer ce qu’ils font (et respect à eux).

On sait tous qu’ils vont finir par nous demander de donner de l’argent à leur association.

Et comme on en a rarement l’envie et pas forcément les moyens, on adopte des tactiques pour les éviter quand on les voit de loin.

Les femmes et les mauvais dragueurs, c’est pareil.

Si elles savent à l’avance que leur numéro est le but de votre approche, elles risquent fort de vous éviter.

Si à l’inverse vous discutez avec elles de façon naturelle, en les divertissant et en les amusant, alors oui, elles auront peut-être davantage envie de vous revoir.

Un peu de fun et de mystère pour draguer dans la rue ! Abattre vos cartes à froid est toujours risqué et souvent contreproductif.

Pour maîtriser une approche naturelle et respectueuse, découvrez le SYSTEME RDV de Sélim, la meilleure manière d’aborder et de séduire une fille en 2018 (en plus, j’aime bien l’acronyme RDV pour Rassurer – Divertir – Valoriser, surtout le R de Rassurer qui me paraît être le plus important dans cette approche efficace !)

Réhabiliter la drague de rue ne sera possible que si chacun fait l’effort de le faire avec respect et de façon cool, pour que les femmes (allez, j’ose le dire) aient plaisir à être abordées.

Bien sûr, il en restera toujours qui éviteront les hommes comme la peste dans la rue, et c’est normal, « on ne peut pas plaire à tout le monde ».

Mais vous, séducteur respectueux, pouvez redonner aux femmes une bonne image de la drague de rue… et donc de la rue.

C’est un professionnel qui vous le demande.

Rendez aux femmes le plaisir d’être abordées avec classe, légèreté et respect dans la rue.

Et rendez aux urbanistes le bonheur de pouvoir créer des espaces publics que les femmes seules ne traversent pas angoissées !

A vous de jouer avec le SYSTEME RDV qui vous montre en caméra cachée comment bien aborder les filles dans l’espace public !

Olivier, Gentleman-urbaniste et défenseur du droit d’aborder

Continue Reading
15 Comments

15 Comments

  1. Drac

    8 octobre 2018 at 09:11

    Mais si notre avenir sentimental est en péril. .quand on ne se prend que des refus..une fois de plus l auteur ne voit que sa realite tout simplement. .

    • Sylvain

      12 octobre 2018 at 23:52

      Hello Drac,

      C’est malheureusement exactement en pensant comme ça que tu te mets la pression et que tu impactes tes résultats. Rappelle toi que quand tu abordes une femme, tu ne mendies mais tu lui offres une chance. C’est toi qui fais le cadeau. Jamais l’inverse 😉

  2. -Sam-

    8 octobre 2018 at 12:09

    Salut Olivier !

    Merci pour l’article !

    Urbanistiquement, as-tu quelques exemples où aborder des filles à Paris ^^ ?

    Et ailleurs 🙂 ?

    Dit autrement, quel est selon toi l’(les) endroit(s) le(s) plus adapté(s) pour une belle rencontre spontanée, naturelle et respectueuse 🙂 ?

    Gare ? Mall ? Parc ? Sortie de métro ? Devant une boulangerie ?

    Bises. Thx.

    • Olivier

      12 octobre 2018 at 18:05

      Salut Sam ! N’étant pas Parisien mais Breton, je ne suis pas expert sur les endroits où draguer dans la capitale, mais je crois qu’il y a des articles là-dessus sur le site. Je pense que les parcs, les places voire peut-être les terrasses sont de très bons endroits, après, je le redis, c’est un avis qui n’engage que moi et je pense que tout est dans l’approche, à la fois brève (il faut savoir s’en aller en premier) et intense. Les centres commerciaux, pourquoi pas, ça donne des sujets de conversation ! La bise 🙂

    • Sylvain

      12 octobre 2018 at 23:53

      Hello Sam,

      Je ne suis pas l’auteur mais je te dirais que pour moi, le meilleur endroit c’est celui ou vous vous trouvez tous les 2 en meme temps pour autre chose que la drague et si possible autour d’un centre d’interet commun 🙂

  3. Angèle Caryne

    9 octobre 2018 at 14:04

    J’ai aimé vous lire. Merci pour ce point de vue.

  4. lexa

    12 octobre 2018 at 11:17

    Malheureusement il n’y a pas de remise en question. Pourquoi certains types sont agressifs, sexistes? Ca me serait pas à cause de la frustration par hasard?

    Comment pourrait-on faire pour qu’il y ait moins de frustration auprès de certains hommes au point qu’ils soit agressif? A ce que je sache, pourquoi aucune femme n’est frustrée et va balancer ses propres négatifs?

    C’est cela qu’il faudrait régler comme problème. Problème de société qu’il faut régler à la base et non pas via des pansements style #metoo et compagnie.

    • rassil

      12 octobre 2018 at 13:57

      inversons les rôles un instant, imagine que TU drague les mecs, que tu essuie des râteaux tout le temps et que tu te fasse traité de salope ou de traînée 5 ou 6 par jour si ce n’est plus !!! que tu sois consciente que mm si tu aborde avec les meilleures intentions au monde, le gars en face de toi peut, s’il le veut, te faire un scandale en pleine rue (et il aura le dernier mot car aux yeux de la société c’est lui la victime) et mm aller jusqu’à appelé la police pour te rouler dans les problèmes car il sait que peut importe ce que tu fais, il a la situation en mains car il est le prix donc il peut se permettre de te remettre à ta place quand il le souhaite avec un tempérament hautain et toute la panoplie qui va avec pour bien te faire comprendre, que tu ne vaut RIEN, c’est tout de suite moins rose hein? et bien c’est le cas avec les femmes d’aujourd’hui, pas toute mais avec la plupart.
      Avec le temps cela peut devenir une obsession puis une frustration par la suite je pense, je crois juste que l’on ressent les effets secondaire d’une société qui est plus basé sur le moi que sur l’enfant car ainsi on élève nos enfants sans leur donner le nécessaire pour bien s’épanouir dans la société (je parle surtout de valeurs morales) comme le respect d’ou le manque de respect envers les femmes dans la rue , mais pas qu’envers ces dernières, il y a aussi le problème de la peur d’aborder les gens et de bien mener la discussion, ici un petit garçon a besoin de ses 2 parents pour prendre exemple et lui donner un certain mode d’emploie pour s’avoir mener la dense mais comme on le voit la plupart des couples avec enfants divorcent, et la mère comme le père ne pensent plus qu’à une chose refaire leur vie laissant la responsabilité de l’enfant à Internet (qui en soi est un très très mauvais mentor.
      Quoi qu’il en soit, le sujet de la drague est très complexe et c’est un sujet plus sérieux que l’on ne le croit et arrêtons de se moquer et de blâmer les mecs pour leurs problèmes, ils ne sont que la conséquence d’une société moderne mais à quel prix? celui de nos valeurs antérieurs.

    • Olivier

      12 octobre 2018 at 18:09

      Effectivement, le sujet est brûlant et il va bien au-delà de la drague. C’est un problème de société, et ni les dragueurs ni les urbanistes ne parviendront à y répondre seuls. Quand nous aurons réussi à éliminer la domination masculine virile et irrespectueuse, les choses changeront peut-être. Dans tous les cas, la frustration ne doit pas, à mon sens, devenir un prétexte à l’agressivité ou au manque de respect 🙂

    • Sylvain

      13 octobre 2018 at 00:16

      Hello Lexa,

      Malheureusement, je pense que les choses ne vont vraiment pas dans la bonne direction.

      Je pense que #metoo et globalement le féminisme, cela ne fait que renforcer les dynamiques en place. En clair, ceux qui ont peur d’aborder dans la rue auront encore plus peur en se disant si je lui dis « bonjour » dans 1h je suis en slip devant un juge aux affaire familiales et ceux qui agressent vont y aller encore plus fort sous couvert de « mais pour qui elles se prennent encore ces pétasses qui pétent plus hauts que leur cul? »

      Ici, sur ADS, on essaye d’éduquer et de créer une génération de gentleman et notre boulot est un peu cassé par tout ça…Mets toi 1 s à la place d’un mec un peu frustré agressif. A ton avis qui est ce qu’il va écouter le plus et à quel discours va t il etre le plus sensible? Celui de gens comme nous qui allons lui dire « écoute, il y a d’autres manières pour séduire les femmes et en changeant 2 ou 3 choses, tu peux séduire ou devenir intéressant? » ou bien celles qui vont lui dire « tu es un porc, un criminel,quelqu’un de mal. je suis une diva que tu n’as même pas le droit de regarder dans l’espace public sous peine d’amendes ». Cela me semble pourtant relativement aisé à comprendre 🙂

      C’est le probleme du féminisme. c’est pas mauvais en soi mais il n y a pas de coté constructif ou pédagogique. Juste du culpabilisant et du critique. Peut etre que c’est parce que c’est nouveau et que ca sert encore d’exutoire. Puis qu on finira dans un second temps par avoir un peu de pédagogie et une main tendue….let’s see…

    • luc

      14 octobre 2018 at 20:18

      les femmes peuvent pas comprendre…
      Dans mes potes j’ai des gars avec belle situation (ca c’est objectif) , physique correct, bon niveau social et ils galerent pour trouver une copine
      Les femmes sont tres seches en france et remballent facilement et mechamment (je l’ai vu souvent), sauf si t’es superbogoss, la tu as le droit d’aborder la princesse francaise moyenne (boudin parfois comme en boite). dans d’autre pays, on general tu as un sourire meme si tu te fais remballer, en tout cas les femmes apprecient qu’on les aborde.
      grosso modo beaucoup de princesses qui crachent sur les mecs sauf les 1%. ca m’a vraiment frappé cette hypergamie en France
      par contre du coté des mecs beaucoup de gars en chiens qui draguent sur tout ce qui bouge, hypogamie absolue
      c’est vrai que les mecs sont chauds et aggressifs, sans parler de l’alcool, la ca part en couille en boite
      ajouter a ca les racailles de banlieue qui respectent rien ni personne, presents en rue (dans d’autres pays ce serait pas toleré socialement, les gars finiraient parfois entre quatre planches, sauf dans le pays de cons nommé France), les relations sociales deteriorées, le topo est pas bon
      ajouter a ca le feminisme cupabilisant, l’interdiction et la penalisation de la prositution en france (ca se fait avec des escorts qui recoivent chez elles maintenant), ca fait encore plus de mecs frustrés

    • Sylvain

      21 octobre 2018 at 13:00

      Hello,

      La structure du marché de la séduction française est ainsi faite. On ne peut pas nier que, à tort ou à raison, beaucoup de femmes se sentent en insécurité ou au moins mal à l’aise en France, à l’idée de se balader seule dans la rue le soir. Je rentre de 2 semaines à visiter la Croatie et j’ai été surpris du nombre de femmes qui se baladent seules le soir à la nuit tombée et qui ont l’air en totale sérénité. Et le corollaire, c’est que les gens sont plus souriants et faciles d’accés. Et c’est valable pour quasiment tous les pays hors france vers lesquels j’ai pu aller : les States, la Belgique, les Pays Bas…Ici c’est toujours pareil, 90% de mecs sympas qui payent pour les 10% qui agressent à la sauvage. On paye toujours les pots cassés par quelqu’un d’autre.

      Et en effet pour les 1%. Apres ca ne sert à rien de le déplorer. Encore une fois, la structure du marché est ainsi. Travaillons plutot pour rentrer dans ses 1%. Comme les 1% les plus riches. D’ailleurs ce sont souvent les mêmes 1% a quelques exceptions prés qui ont hacké le game 🙂

  5. Adri2

    24 octobre 2018 at 09:18

    Bonjour
    J’ai beaucoup aimé l’article puisque je suis directement touché : en effet je n’ose même plus aller voir les femmes dans la rue. La seule exception c’est quand je suis avec un bon wing et de préférence une wingwoman. Rien de tel que la preuve sociale pour éviter un tas d’embrouilles…
    De plus je suis convaincu que dire que le féminisme renforce le phénomène de peur etc est absolument faux. Non c’est l’interprétation qu’on en fait : quand vous regardez les discours d’Emma Watson par exemple (il est traduit pour les non anglophone) c’est une vision très tolérante, très loin du lobby féministe dont on a l’habitude. Je pense qu’il s’agit en fait d’éducation (c’est là que vous intervenez bravo l’équipe !)
    En passant vous remarquerez souvent que les HB 7-8-9 sont les plus ouvertes pour peu que vous ne fixiez pas leur décolleté et que vous avez de la conversation, ce qui n’est pas le cas des HB 4-5-6. Alors que demande le peuple ?
    Dans tous les cas il n’y a pas de recette qui marche a tous les coups. Les gars, bossez la séduction puis allez-y au feeling ! C’est spontané et tellement plus efficace ! J’en vois des gars parfois j’ai l’impression qu’ils sont lecteurs puisqu’ils ont des routines et utilisent des trucs de dragueurs parfois très efficaces (kinos pour n’en citer qu’un) mais ils sont perdus dès que ça sort de leur routine… Aurait on perdu tout sens de la relation ?

    • Sylvain

      24 octobre 2018 at 11:38

      Hello Adri,

      Disons que c’est une étape normale dans le processus de l’apprentissage de la séduction. Au début, on apprend et on se repose beaucoup sur les routines et dés que ça sort un petit peu du canevas, on se retrouve en grosse difficulté. Mais c’est là qu’il faut aller plus loin, analyser pourquoi on a bloqué, travailler sur soi, augmenter sa valeur et etre capable d’etre à l’aise meme quand on sort du scénario. On le voit dans les vidéos de Sélim. Ce qui compte, c’est la répartie et la présence. merci pour ton témoignage 🙂

  6. Julien

    29 octobre 2018 at 01:26

    Salut ça me fais plaisir de re-commenter 🙂

    Pour moi y’a pas de débat, y’a aucun problème de drague de rue, le seul problème c’est de bien aborder le reste on s’en fout !

    Ca fait des années que les relous existent que la drague existe rien de nouveau. Quand on commence on est forcément relou (maladroit) un peu puisqu’on apprends, c’est normal.
    Le problème c’est le féminisme (encore) qui cherche à castrer l’homme à le rabaisser, le reste c’est de la mousse médiatique. 🙂

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

More in Aborder une fille

To Top