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Le Grand Guide du Whisky : Comment l’Apprécier Comme un Vrai Gentleman?

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Lifestyle et réussite

Le Grand Guide du Whisky : Comment l’Apprécier Comme un Vrai Gentleman?

Le Grand Guide du Whisky : Comment l’Apprécier Comme un Vrai Gentleman?

Les Français sont les plus grands consommateurs de whisky au monde. Mais pourtant, bien peu savent le déguster avec élégance et sortir du cliché du whisky-coca.

Aujourd’hui, nous vous proposons donc de partir à la découverte du plus noble de tous les spiritueux. De découvrir l’histoire et la géographie du bourbon, du scotch, du whisky.

De comprendre les différences qui peuvent exister entre les whiskies.

Mais surtout d’apprendre à le déguster et à l’apprécier comme un véritable gentleman. Comme les Français savent si bien le faire quand il s’agit d’un bon vin. Avec la French Touch.

C’est parti pour notre grand guide du whisky.

La grande histoire du whisky

Vous vous souvenez très certainement de ce dialogue d’anthologie dans La Cité de la Peur :

« Vous voulez un Whisky ? 

– Juste un doigt.

– Vous-voulez pas un whisky d’abord ? »

OK, c’est drôle. Et si elles ont les références qu’il faut, cela peut même vous rapprocher de certaines filles.

Mais si c’est la seule conversation que vous êtes capable d’avoir autour du whisky, il est grand temps d’être curieux et d’aller chercher de nouvelles connaissances sur cet alcool synonyme de classe et de virilité.

Commençons par son histoire.

Le whisky : un alcool né en Irlande

Nul ne sait exactement qui a inventé le whisky ni à quand remonte la première distillation, mais l’alcool serait apparu autour de 3000 ans avant Jésus-Christ en Égypte pour fabriquer du parfum.

La légende affirme ensuite que ce sont les Irlandais qui ont appris les premiers à maîtriser la distillation de l’alcool. Notamment à l’initiative de Saint-Patrick.

Vous savez, celui que vous fêtez chaque 17 mars dans les pubs avec des chapeaux verts et des grandes pintes de bière.

Au départ, la distillation de l’eau de vie était surtout utilisée pour un usage thérapeutique.

Mais, à partir du XIème siècle, elle commence à être utilisée à des fins gustatives.

Et de fil en aiguille, les techniques de distillation se sont propagées à travers toute l’Écosse pour le scotch, et toute l’Irlande pour son whiskey.

Au fil du temps, le whisky est devenu pour les Écossais comme pour les Irlandais un symbole de leur identité et de leur nation.

C’est à ce moment-là que le whisky a commencé à générer du commerce et à traverser les océans.

Le mot anglais whisky ou whiskey vient du celtique uisge en gaélique écossais ou de uisce en gaélique irlandais.

Le terme signifie simplement « eau » dans les deux langues ; c’est « uisge beatha » en gaélique écossais et « uisce beatha » en irlandais qui signifient « eau de vie » — et donc « whisky » en anglais.

Le Whisky à la conquête de l’Amérique

Rapidement, prenant conscience des enjeux financiers autour du business du whisky, la couronne écossaise met en place un système de taxation qui va favoriser la distillation illégale et la contrebande.

Dès cette époque, certains Écossais et Irlandais partent aux États-Unis pour fuir la pauvreté du vieux continent. Mais, même là-bas, George Washington met en place une taxe sur la production de whisky dès la fin du 18ème siècle.

La pression fiscale favorise évidemment comme toujours les plus riches et le marché du whisky commence à se structurer avec l’apparition de très grosses distilleries tenues par des familles fortunées.

Mais la popularité du whisky explose réellement au moment de la mise en place de la Prohibition aux États-Unis en 1919.

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Pendant 13 ans, la production, l’importation et la consommation d’alcool vont être totalement interdites aux Etats-Unis.

Et forcément, les bouteilles de whisky s’arrachent sous le manteau.

Une industrie souterraine se met en place. C’est l’époque de l’empire d’Al Capone et Frank Nitti.

Si vous ne l’avez pas vu, je vous invite à regarder d’urgence Les Incorruptibles de Brian de Palma avec Robert de Niro dans le rôle de Capone.

Au final, la Prohibition est un gros échec et le Président Roosevelt y met fin en 1933.

Et depuis, le marché du whisky n’a cessé de se développer.

Le succès du whisky et la conquête de nouveaux marchés.

Suite à la Prohibition, l’activité reprend réellement à la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

À partir des années 50, l’industrie ne cesse de se moderniser jusqu’à aujourd’hui.

Et depuis le passage de l’an 2000, le commerce du whisky connaît encore un nouvel essor qui s’explique par l’engouement en Europe et au Japon.

Et ce début de siècle est surtout celui de l’éclosion des whiskies japonais et de l’arrivée de nouveaux producteurs qui sont venus rejoindre les vieilles institutions des îles Britanniques et des Etats-Unis.

Intéressons-nous maintenant de plus près aux grandes régions productrices de whisky et à leurs spécificités.

Les grandes régions productrices de whisky dans le monde et leurs spécificités

L’Écosse : la production de whisky la plus importante du monde

L’Écosse n’est pas que le pays du kilt et de la cornemuse.

C’est aussi un véritable paradis pour tous les amateurs de whisky, mais là-bas, on dit scotch !

La raison est simple, c’est le pays qui concentre le plus grand nombre de distilleries à travers le monde.

Avec plus de 90 distilleries, elle offre une diversité d’arômes absolument unique.

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http://blog.alainntours.fr/IMG/png/carte-whisky-ecosse.png

Comme vous le voyez sur cette carte, la production de whisky écossais est tellement riche que 4 régions ont leurs propres singularités au sein même de l’Écosse.

Nous allons vous les présenter maintenant avec les marques correspondantes.

L’île d’Islay pour des whiskies au goût fumé

Située au sud-ouest des côtes d’Écosse, c’est sans doute l’île qui est la plus exposée aux vents et aux grosses tempêtes.

C’est pour cela que les whiskies de l’île d’Islay figurent parmi les plus fumés et terreux du monde.

Les whiskies de l’île d’Islay : Ardberg, Laphroaig ou Caol Ila.

Le Speyside : le « triangle d’or » du whisky

C’est la région que les amateurs appellent le « triangle d’or du whisky » au nord-est du pays.

Ce petit bout de terre concentre 48 distilleries qui figurent parmi les plus réputées du monde.

Glenfiddich est d’ailleurs le single malt le plus vendu au monde.

Les whiskies du Speyside se distinguent par leurs notes fruitées et leur caractère doux.

Les Whiskies du Speyside : Aberlour, Glenfiddich, The Glenlivet, Knockando, The Balvenie, The Macallan, Cardhu ou Tamdhu.

Les Highlands pour des whiskies plus épicés

Les Highlands sont la région la plus vaste d’Écosse.

Parmi les 26 établissements de la région, on trouve quelques-unes des distilleries les plus connues au niveau mondial.

Les whiskies des Highlands se distinguent en général par des notes d’épices et de tourbe.

Les whiskies des Highlands : Oban, Glenmorangie, Dalmore ou Aberfeldy.

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Et les Lowlands pour des whiskies aux notes plus florales

Alors que les Lowlands étaient autrefois la principale région de production du whisky, elles connaissent aujourd’hui un déclin.

Et il ne reste maintenant plus que 2 distilleries dans la région.

Mais Auchentosan et Glenkichie, les distilleries restantes, proposent des whiskies qui sont réputés pour la fraîcheur de leurs arômes et leurs notes florales.

Auchentosan est d’ailleurs la seule distillerie d’Écosse à effectuer une triple distillation. Ce qui permet la production d’un malt fleuri et délicat.

Le Whisky des Lowlands : Auchentosan et Glenkichie.

L’Irlande : berceau du whisky de retour au premier plan

Si votre copine se roule par terre pour partir en voyage en Irlande après avoir vu PS : I Love You, n’oubliez pas d’en profiter pour ramener quelques bouteilles.

L’histoire entre l’Irlande et le whiskey a été plutôt tourmentée.

En effet, si le whiskey est probablement né en Irlande (il suffit d’aller faire un tour à Dublin au musée du whiskey pour l’apprendre), l’industrie a été concurrencée au XXème siècle par les whiskies écossais et l’essor du marché américain.

Toutefois, aujourd’hui, avec seulement 3 distilleries, l’Irlande revient en force avec des whiskies doux et fruités.

Vous pouvez retrouver l’emplacement des distilleries sur cette carte :

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http://www.whisky-lindispensable.com/UserFiles/Image/distilleries/carte-irlande.jpg

Le whisky irlandais est souvent plus léger que le whisky écossais en raison de l’absence de tourbe dans le processus de fabrication et une triple distillation.

Les whiskies irlandais : Bushmills, Jameson ou Redbreast.

Le Japon, nouvel Eldorado pour les amoureux du whisky

Vous pensiez que c’était avant tout le pays des mangas, des sushis et de Mario sur la Super Nintendo ?

Figurez-vous que le Japon est aussi en train de bousculer sévèrement la hiérarchie des régions productrices de whisky.

En moins de 20 ans, le Japon est devenu un producteur à part entière, au même titre que l’Écosse, l’Irlande et les États-Unis.

De plus, les whiskies japonais sont reconnus par tous les professionnels et ont reçu d’importantes récompenses.

Il y a 2 groupes qui se partagent le marché japonais.

D’un côté, le groupe Suntory, propriétaire de la distillerie Yamazaki et de l’autre le groupe Nikka, propriétaire des distilleries Yoichi et Miyagikyo.

Yamazaki est la plus ancienne distillerie de l’archipel nippon. Elle se situe entre Osaka et Kyoto.

Et vous pouvez retrouver sur cette carte l’ensemble des distilleries de l’archipel.

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http://www.whisky-lindispensable.com/UserFiles/Image/distilleries/carte-japon.jpg

Les Whiskies japonais : Nikka, Yamazaki

Le whisky américain, du bourbon, mais pas que…

Quand on parle de whisky américain, on pense souvent au bourbon. C’est-à-dire un whisky composé à 51% de maïs au minimum. Le grand état dans lequel vous pourrez trouver du bourbon, c’est le Kentucky.

Mais le bourbon n’est pas non plus la seule forme de whisky américain.

Vous trouverez aussi du Rye Whiskey qui est composé à 51% de seigle au minimum.

Tandis que le Tennessee Whiskey dont fait partie le Jack Daniel’s est un bourbon qui a été filtré à travers du charbon de bois afin de lui donner son goût fumé.

Pour rappel, plus d’un siècle après son lancement, le Jack Daniel’s Old N°7 avec sa bouteille carrée et son étiquette noire reste le whisky américain le plus connu sur la planète.

Bref, les États-Unis ont une place à part dans le monde des grandes régions productrices de whisky.

Certes, la carte du whisky américain se concentre autour du Kentucky et du Tennessee, mais le marché est en train de connaître une véritable petite révolution avec l’arrivée de microdistilleries qui proposent des whiskies de plus en plus singuliers.

Nous pensons notamment à la distillerie Clear Creek dans l’Oregon ou Tuthilltown qui s’est installé dans l’état de New-York.

Et pour finir, voici un panorama complet de la production de whiskies aux États-Unis.

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https://www.gentlemansgazette.com/wp-content/uploads/2015/06/A-map-of-American-Whiskey.jpg

Les Whiskies américains : Jack Daniel’s, Blanton, Maker’s Mark, Rittenhouse ou Wild Turkey.

L’arrivée sur le marché du whisky français

En tant que pays du glamour, il fallait bien que la patrie du vin et du fromage ait aussi ses whiskies « Made in France ».

Il y a encore quelques années, quand on parlait des whiskies français, c’était un peu comme pour les voitures : on faisait clairement la grimace.

Mais cette époque est vraiment révolue.

La plupart des whiskies français s’inspirent largement de leurs homologues écossais ou irlandais et sont fabriqués à partir d’orge maltée.

Pourtant, une distillerie bretonne fait sensation depuis quelques années en produisant le premier whisky à base de blé noir qui a été baptisé Eddu.

Ce whisky est élevé en fûts de chêne français qui ont préalablement servi pour la fabrication du cognac.

Une nouveauté à tester pour les amateurs !

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Les Whiskies français : Armorik ou Eddu.

Mais en cherchant bien, vous trouverez aussi d’autres whiskies de multiples origines différentes comme le Pays de Galles, l’Angleterre, la Suède, l’Inde ou l’Australie.

Avec la mondialisation galopante, le passage à l’an 2000 a été marqué par l’apparition de nouveaux pays producteurs de whisky.

Et comme pour les vins du Nouveau Monde, nous pouvons dire que nous assistons à l’apparition de whiskies du Nouveau Monde.

Mais d’ailleurs de quoi parle-t-on quand on parle de whisky ?

Le whisky : comment est-il fabriqué en fonction des régions ?

Vous l’avez maintenant compris, le whisky est une réalité qui se conjugue au pluriel.

Il n’y a pas un, mais plusieurs whiskies, en fonction de ses origines géographiques.

Et chacun d’entre eux a une définition bien précise :

  • L’Irish whiskey :

Il doit être distillé et vieilli en Irlande. Depuis 1969, le vieillissement doit être de 3 ans minimum.

  • Le Scotch whisky :

Il désigne les whiskies qui ont été produits en Écosse. En 1988, le Scottish Whisky Act clarifie la définition.

Un Scotch, c’est un whisky constitué à partir d’un mélange d’eau, de malt et éventuellement d’autres céréales.

Il doit être produit, distillé et vieilli en Écosse dans des fûts en bois pour un minimum de 3 ans.

  • Le Japanese Whiskey

Le whisky japonais est issu de la fermentation de céréales germées. Le niveau d’alcool au terme de la distillation ne doit pas dépasser 95%.

  • L’American Whiskey

Le terme englobe toutes les variétés de whiskies produites aux États unis.

Toutefois, le Bourbon a été reconnu comme étant un produit distinctif américain, différent de tous les autres alcools pouvant exister sur le marché.

Au-delà de son origine, un whisky peut aussi se définir par la façon dont il a été produit.

Nous pouvons en distinguer 3 types :

  • Le Whisky de malt

Le whisky de malt est distillé à partir d’une bière produite à l’aide d’une seule variété de céréales.

En Écosse et en Irlande, les malts sont produits à partir de 100% d’orge.

Aux États-Unis, certaines distilleries produisent un malt à partir de 100% de seigle.

Le single malt est un whisky issu d’une seule distillerie de malt.

À l’inverse, un blended malt est un whisky issu du mélange de la production de plusieurs distilleries de malt.

  • Le whisky de grain

À la différence du whisky de malt, le whisky de grain est issu d’un mélange de céréales comme le maïs, le blé et l’orge.

  • Le whisky pure pot still

Ce whisky est élaboré à partir d’un mélange de céréales. Essentiellement de l’orge maltée et non maltée. Mais, il peut aussi contenir du blé, de l’avoine et du seigle.

Ce type de whisky est exclusivement produit en Irlande dans la distillerie Midleton.

Bon maintenant que vous savez à peu près tout ce qu’il y a à savoir sur le whisky, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses : la dégustation !

Comment déguster le whisky comme un homme ?

Avouez-le ! C’est le moment que vous attendiez tous depuis le début de cet article.

On vous explique comment boire le whisky et l’apprécier à sa juste valeur.

Pour commencer, on vous explique dans quoi le verser.

Comment choisir un bon verre pour déguster du whisky ?

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Si vous commencez à investir dans des bouteilles de qualité, il va aussi falloir vous munir de verres de dégustation.

Le rôle d’un bon verre, c’est avant tout de sublimer les arômes.

Donc, oubliez le verre classique, rond et droit, avec lequel il sera très difficile d’apprécier les différents arômes.

Celui-ci, gardez-le pour les soirs où vous vous contentez d’un whisky-coca avec du Label 5.

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Par contre, si vous voulez vous offrir un moment de dégustation, il ne vous reste plus qu’à choisir un verre de qualité.

Les différentes distilleries rivalisent d’idées originales et il n’existe pas de verre idéal pour boire votre whisky.

Toutefois, quelques règles s’imposent.

Le verre doit se resserrer dans sa partie supérieure afin de pouvoir bien développer les arômes.

Pour la même raison, il est conseillé de choisir un verre plutôt haut.

Enfin, nous vous suggérons d’opter pour un verre avec un pied. La raison est très simple : en saisissant le verre par son pied, vous évitez que le whisky ne se réchauffe dans votre main.

Maintenant que vous êtes équipé, vous pouvez verser le whisky dans votre verre et commencer par le sentir.

Le nez, l’organe central de la dégustation du whisky

Avec le whisky, tout commence par l’odeur.

Vous vous dites peut-être que vous n’avez pas le nez suffisamment fin pour décrypter toutes les nuances de votre whisky.

Mais il n’en est rien. Tout est une question d’entraînement.

C’est un peu comme quand vous avez commencé à aborder les femmes.

Au début, vous vous sentiez sans doute un peu perdu. Puis avec l’expérience, vous avez appris à décrypter les comportements et à savoir comment agir.

Ici, c’est pareil.

Dès que vous allez verser le whisky dans votre verre, les premiers parfums vont se libérer.

Rapprochez doucement le verre de votre nez pour vous accoutumer aux vapeurs d’alcool et aux arômes.

Faites tourner un petit peu le whisky dans votre verre pour mieux l’aérer.

À force de déguster du whisky, vous allez apprendre petit à petit à déceler des arômes différents :

  • Les arômes de céréales : une odeur de bière, de biscuit, de blé, de lait, de maïs, de malt, de pain ou de seigle ;
  • Les arômes de terre et de bois : une odeur de réglisse, d’encens, de feu de bois, de poisson fumé ou de terre humide ;
  • Les arômes de fruits : les agrumes avec le citron, l’orange et le pamplemousse. Mais aussi la pomme, la poire, l’abricot, la pêche, la banane, l’ananas, la mangue ou les fruits rouges comme le cassis, la fraise, la framboise ou la myrtille.
  • Les arômes de graines : une odeur de cacahuète, de noisette, de noix ou d’amande
  • Les arômes de fleurs : une odeur de feuilles, de fleurs, d’herbe, de menthe, de rose ou de muguet.

C’est sans doute la partie la plus intéressante de la dégustation.

Et pour aller encore plus loin dans l’expertise, vous pouvez utiliser cette roue des arômes.

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Il y a également quelques petits exercices qui vont vous permettre de développer votre nez.

L’aération pour faire ressortir tous les arômes du whisky

Versez votre whisky dans un verre et laissez-le s’aérer pendant 10 minutes.

Remuez-le délicatement dans le verre pour libérer tous les arômes.

Au bout de 10 minutes, versez la même quantité de whisky dans un second verre.

Et vous verrez que vous allez noter des différences liées à l’impact de l’aération.

Essayez de noter ce que vous ressentez et vos changements de perception.

L’importance du verre dans le goût du whisky

Autre exercice.

Versez la même quantité de whisky dans des verres différents.

Si vous choisissez un grand et un petit verre, vous devriez noter des différences.

Peut-être que l’un révélera davantage les notes épicées et l’autre les notes fruitées.

De la même façon, vous pouvez également jouer sur le volume de whisky.

En verser plus dans un verre que dans l’autre.

Puis noter les différences.

Et c’est maintenant que vous allez pouvoir le boire.

Comment boire un whisky et en apprécier le goût ?

Une fois que vous avez réussi à définir les arômes que vous sentez, c’est le moment de porter le whisky à votre bouche et de voir si vous retrouvez vos sensations olfactives au niveau de vos papilles gustatives.

Les récepteurs que nous avons au niveau de la langue nous permettent de sentir 4 goûts :

  • L’amer,
  • L’acide,
  • Le sucré,
  • Et le salé.

Il va falloir que vous appreniez à juger la combinaison des goûts et des saveurs pour apprécier la qualité d’un grand whisky.

À priori, les 4 goûts sont présents dans le whisky.

L’amertume donne de la puissance en bouche. L’acidité est souvent le complément du sucré, notamment pour les whiskies qui ont des notes fruitées.

Pour une expérience différente, vous pouvez aussi ajouter une goutte d’eau dans votre whisky.

Comme le dit le proverbe des amateurs de whisky : « pas de whisky sans eau… et pas d’eau sans whisky ! » (OK, dit comme ça, ça fait un peu alcoolo…)

L’eau permet de mettre de côté la brûlure de l’alcool et de révéler les arômes.

C’est un nouvel équilibre qui se forme en bouche et vous allez constater que vous ne dégustez pas la même chose que votre whisky ait été dilué ou pas.

Pour cette expérience, faites comme Zidane quand il enfile ses chaussettes et optez pour la Volvic qui a un goût neutre.

(Les vrais connaisseurs de whisky écossais savent où trouver de l’eau Speyside Glenlivet pour leur scotch !)

Un autre point : pas de glaçon, malheureux ! Le fameux « whisky on the rocks » est une hérésie : les arômes de votre whisky vont être trop altérés par la fonte des glaçons. C’est pas un gros Jack-Coca à 3 heures du mat’ !

Et pour finir, rappelez-vous surtout qu’une dégustation est soit un moment de détente et de calme quand on en profite seul soit un moment de convivialité si vous êtes en famille ou entre amis.

Donc, appliquez-vous à mettre toutes les chances de votre côté pour laisser vos sens travailler dans de bonnes conditions.

Voyons maintenant comment combiner le whisky avec d’autres éléments et en profiter de manière différente.

Commençons par le plus simple : les cocktails.

Quelques cocktails à base de whisky

Ce n’est pas forcément la meilleure façon de boire du whisky, mais c’est toujours sympa d’en connaître quelques-uns pour les soirées détendues.

L’irish coffee

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Rien de plus facile

  • 80 ml de café bien chaud,
  • 20 ml de whisky,
  • 2 cuillères à soupe de chantilly
  • et une cuillère à café de sucre brun.

Cela fait toujours son petit effet.

Le Kir irlandais

Si vous ne l’avez encore jamais testé, sachez que le champagne se marie très bien avec le whisky irlandais qui est en général doux et fruité.

Versez du champagne dans une flûte, ajoutez-y 5 cl de whisky irlandais, un carré de sucre et une dose d’angustura.

Le Mint Julep

C’est une sorte de mojito au whisky.

  • 5 cl de whisky,
  • un trait d’eau pétillante,
  • une dose d’angustura
  • et quelques feuilles de menthe.

C’est un cocktail qui était assez prisé par Serge Gainsbourg.

Il avait d’ailleurs répondu ceci au cours d’une interview : « Je ne peux pas vous donner la recette d’une bonne chanson, mais je peux toujours vous donner celle du Mint Julep : menthe pilée, sucre et bourbon. »

En cherchant, vous trouverez une infinité de recettes sur internet.

Mais, il serait dommage de n’utiliser votre whisky que pour des cocktails.

À vous de chercher pour trouver les meilleures alliances mets-whiskies.

Quelles alliances mets-whisky ?

Les whiskies sont tellement riches sur le plan aromatique que vous pouvez chercher des accords avec des mets pour des repas quasiment gastronomiques à la maison.

Par exemple, les Irlandais aiment marier leurs meilleurs whiskies avec du saumon fumé.

De leur côté, les Écossais le dégustent avec de la panse de brebis farcie.

Et en dessert ?

Sur l’île d’Islay, vous pouvez trouver de la mousse au chocolat au whisky tourbé, car les arômes fumés de votre whisky vont pouvoir facilement s’associer avec le chocolat noir.

Il existe également de la glace au whisky qui se marie très bien avec le caramel au beurre salé.

Bref, si vous êtes curieux et passionné, à force de tests, vous pourrez proposer à vos convives un repas entièrement au whisky.

Beau défi à relever, n’est-ce pas ?

Allez, maintenant, place au shopping. C’est le moment d’aller acheter vos premières bouteilles de whisky.

On vous donne nos suggestions.

Vous voulez du whisky d’homme ou du whisky de gonzesse ?

J’ai choisi ce titre de paragraphe juste pour le plaisir jouissif de la provocation.

En effet, le whisky est plutôt une boisson plébiscitée par les hommes tandis qu’on s’imagine plutôt les femmes avec un Cosmopolitain à la main.

Ça, c’est pour les clichés. Même si, dans les faits, les marques de whisky essaient d’attirer les femmes avec des produits plus fruités et voluptueux.

Aujourd’hui, il faut savoir qu’un consommateur de whisky sur 4 est une femme.

Dans la réalité, il y a des whiskies plus fruités ou avec un goût plus floral. Tandis que d’autres seront plutôt boisés et tourbés.

On imagine plutôt le gentleman boire du whisky tourbé mais il vous appartient totalement de goûter un peu à tout et de choisir celui qui vous plaît le plus.

Voici un exemple de bouteille de whisky pour chacune des grandes familles de saveurs :

  • Un whisky aux notes florales : Eddu Silver Brocéliande
  • eddu-whisky.jpg

  • Un whisky fruité : The Macallan Amber
  • macallan-whisky

  • Un whisky boisé : Dalmore 18 ans
  • dalmore-whisky

  • Un whisky tourbé : Yoichi single malt
  • yoichi-whisky

    Faites votre choix.

    Voici maintenant les nôtres.

    Notre sélection de whiskies à vous procurer pour avoir la gentleman attitude

    Si vous êtes amateur de whisky et que vous ne savez pas trop quoi vous procurer, nous avons sélectionné pour vous quelques bouteilles qui sont des valeurs sûres

    Ce paragraphe s’adresse aussi aux femmes qui nous lisent et qui voudraient faire plaisir à leur homme en lui offrant un cadeau à la hauteur de son élégance.

    C’est aussi une bonne idée pour la fête des Pères. Ou Noël. Ou n’importe quoi.

    C’est parti pour notre sélection :

    • Hibiki, 17 ans

    C’est le whisky qui est passé à la célébrité grâce à Lost in translation.

    Dans le film, Bill Murray incarne un acteur qui se rend à Tokyo pour tourner une publicité sur le whisky.

    C’est sans doute le meilleur whisky à choisir pour rentrer dans l’univers des whiskies japonais.

    C’est un whisky qui peut également plaire aux femmes, car il est très floral et fruité.

    L’occasion de partager un moment dégustation en couple. En voilà une idée de premier rendez-vous original.

    • Aberlour A’bunadh

    C’est le scotch dans la plus pure tradition écossaise.

    Un whisky gourmand dans lequel vous retrouverez un goût d’éclair au chocolat ou de baba au rhum. Ainsi que de nombreuses épices pour révéler tout son caractère.

    Une vraie valeur sûre.

    • Slyrs

    C’est un whisky du Nouveau Monde puisqu’il est fabriqué en Allemagne.

    Avec un processus de fabrication intéressant puisque le bois de hêtre remplace la tourbe pour fumer l’orge.

    Vous lui trouverez une succulente saveur de biscuit et de miel.

    Mais le meilleur rapport qualité-prix, c’est sans doute celui qui vient

      Le Laphroaig 10 ans

    Il est considéré comme l’un des meilleurs single malt au monde pour moins de 50 euros.

    Et il est incontournable pour les amateurs de whisky tourbé et iodé.

    Maintenant, voyons où vous pouvez aller pour acheter vos bouteilles.

    Où acheter votre whisky ? Les adresses incontournables

    Les lieux dédiés aux véritables amoureux du malt ne sont pas si nombreux.

    Nous avons donc répertorié pour vous quelques-unes des meilleures adresses de Paris.

    Pour commencer, il y a bien sûr la Maison du Whisky.

    Reconnue depuis maintenant plus de 60 ans, la boutique vous propose l’offre la plus complète de tout Paris dans un décor qui va vous subjuguer par sa classe et son élégance.

    En plus, la Maison du Whisky vous propose régulièrement des ateliers et des dégustations organisés dans la cave.

    Adresse : 20 rue d’Anjou, Paris 8ème.
    Site internet : www.whisky.fr/

    Ensuite, vous pouvez aussi vous rendre au Whisky Shop.

    C’est une enseigne qui compte une vingtaine d’établissements au Royaume-Uni. Mais la première boutique a ouvert en France l’année dernière.

    C’est un endroit à la fois élégant et convivial dans un esprit très british.

    Vous trouverez un salon privé pour vous détendre et un espace de dégustation.

    Et petit bonus, vous avez la possibilité de faire graver et de personnaliser vos bouteilles.

    Adresse : 7 place de la Madeleine, Paris 8ème
    Site Internet : www.whiskyshop.fr/

    Et pour finir, nous vous amenons au Beast, un bar spécialisé dans les whiskies américains.

    L’établissement propose la plus belle carte de bourbons de tout Paris avec beaucoup de bouteilles venues des États-Unis que vous ne trouverez pas ailleurs.

    À déguster avec de délicieuses planches de viande fumée.

    Adresse : 27 rue Meslay, Paris 3ème
    Page Facebook : www.facebook.com/thebeastparis/

    Et si vous habitez en province, nous vous invitons à chercher les bars à whiskies de votre région.

    Sinon, vous pouvez toujours vous rendre dans une boutique Nicolas qui propose une large gamme avec des vendeurs qui seront compétents pour vous conseiller pour vous lancer dans l’achat de vos premières bouteilles.

    Bonus : Whisky et séduction, le regard des femmes

    Le whisky, c’est aussi une façon de mettre en avant une certaine élégance et un style de vie.

    Au cinéma ou dans les séries, les personnages que l’on voit boire du whisky sont souvent des hommes virils et dominants.

    C’est par exemple le cas de Franck Underwood dans House of Cards qui opte pour le Glenlivet quand il a besoin d’un petit remontant.

    De la même manière, dans Wolverine, on peut voir Hugh Jackman boire du Hibiki dans une scène qui se déroule au Japon.

    Pas vraiment le genre d’homme que l’on imagine se détendre en décapsulant une Kro dans leur canapé avec un short du PSG.

    Donc si vous apprenez à boire du whisky comme un gentleman, les femmes auront une autre image de vous.

    Celle d’un homme affirmé. D’un homme qui sait apprécier les bonnes choses.

    Un homme qui déguste un alcool raffiné. Plus un étudiant qui enchaîne les pintes de bière ou qui noie son mauvais whisky dans du coca.

    Le whisky titille l’imaginaire. C’est un spiritueux qui fait voyager. C’est presque aphrodisiaque.

    Et c’est le genre de boisson que l’on s’imagine déguster dans une bibliothèque emplie de livres anciens sur un canapé Chesterfield.

    En clair, s’il y a un alcool qui devrait incarner l’élégance et la séduction, ce serait sans doute le whisky. Et les femmes le ressentent bien.

    Mais encore une fois, dégustez et apprenez à exercer votre palais.

    Ce n’est pas en vidant des bouteilles de Jack que vous allez devenir plus viril ou plus intéressant.

    Mais bien en explorant de nouveaux domaines et en apprenant de nouvelles choses. Comme la culture du whisky et la façon de le déguster.

    Bref, le développement personnel, c’est aussi d’apprendre à boire !

    Conclusion

    Le monde du whisky est vraiment un univers fascinant où se côtoient les influences irlandaises, écossaises, américaines et maintenant japonaises.

    Et qu’on se le dise, boire du whisky, c’est classe. Cela montre que vous êtes un homme de goût qui sait apprécier les bonnes choses.

    Cela dit, n’oubliez pas d’y aller malgré tout avec modération.

    Notre meilleur conseil quand il s’agit de whisky, c’est le même que pour les femmes : montrez-vous plus gourmet que gourmand.

    Et vous, vous appréciez le whisky ? Quels sont vos préférés ?

    On en parle dans les commentaires. (Mais pas de votre plus grosse cuite !)

    Sylvain, « Juste un doigt »

    Bann-SMS1erRDV

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29 Comments

29 Comments

  1. Polignac

    21 juin 2017 at 11:37

    Alors j’ai lu l’article en biais mais il y a plein d’imprécisions et de petites erreurs, par exemple un Islay ne sont pas tous fumés, mais ils sont tous tourbés. (par exemple le Ardberg est très peu fumé) par contre les Islands of Highlands (genre le scapa) sont très fumés. Même si l’article reste bien dans l’ensemble.

    Bon après pas de chance j’organise 2 conférence par an sur le whisky pour une association œnologique parisienne, vous êtes tombés sur le chieur. Du coup si jamais vous voulez un article béton ou venir a une de mes confs (la prochaine est en septembre) vous êtes les bienvenus.

    • Sylvain

      21 juin 2017 at 12:46

      Hello Polignac!

      Merci pour le compliments et les petits retours pour plus de précision 🙂 Je prends avec plaisir et ne demande qu’à me perfectionner. C’est aussi ça la puissance de la communauté et de voir que vous pouvez nous apporter quelque chose! Pourquoi pas pour la conférence et n’hésite pas à rajouter tes conseils ou suggestions en commentaires de l’article 🙂 Perso, j’ai acheté hier un Talisker Port Ruighe pour peaufiner ma découverte 🙂

  2. Sélim

    21 juin 2017 at 18:13

    Cher Polignac : c’est noté, et on viendra avec plaisir parfaire notre connaissance du whisky !
    Là, j’ai récemment bossé avec The Glenlivet, souvent avec Aberlour, mais le plus récent, c’était le Dewars champion du monde 🙂 J’essaie de travailler le palais !

    • Polignac

      22 juin 2017 at 16:22

      Glenlivet c’est exceptionnel, même si dans les speyside mon petit chouchou c’est le Glenfarclas. Par contre je n’ai jamais gouté ce talisker là.
      Si vous avez un achat à faire cependant je vous conseille vivement le Ardberg Uagidail (c’est le meilleur Single Malt de 2009, mais c’est un Islay bien tourbé, bien costaud, il est tellement tourbé qu’il en devient charbonneux).

      Vu que vous m’avez appris beaucoup de chose par le biais d’ADS ce serait un plaisir de vous rendre la pareille. Vous connaissez les bars a whiskys parisien?

    • Sylvain

      24 juin 2017 at 13:10

      Merci pour la référence pour le ardberg !

      n’hésite pas a en ajouter si tu as d’autres adresses parisiennes que celles que j’ai citées 🙂

  3. Le Marginal Magnifique

    21 juin 2017 at 20:10

    Très intéressant. Merci pour ce petit tour d’horizon. Je ne bois pas d’alcool mais je suis curieux !

    • Sylvain

      24 juin 2017 at 12:44

      Hello Le Marginal,

      C’est le moment de gouter et de s’initier! 🙂

  4. Jin

    22 juin 2017 at 22:40

    J’ai décroché. Trop long le cours d’histoire mec…

    • Sylvain

      24 juin 2017 at 13:14

      Il fallait passer directement au paragraphe suivant 🙂

  5. Adrian

    23 juin 2017 at 18:06

    Merci Sélim pour cet article qui aborde d’autres saveurs que celles de la séduction « pure et dure » ! J’ai récemment été initié à la dégustation dans une distillerie, rien à redire sur ton paragraphe. Le gars conseillait juste, pour avoir toute la subtilité des arômes sans s’en prendre « plein les naseaux », de verser une goutte de whisky au creux de la paume, de s’en imprégner les mains et t’inspirer très fort le nez au creux des mains, comme pour se « shooter » avec… Et c’est une bonne technique (qui, contrairement à ce qu’on pourrait croire, ne laisse pas d’odeur sur la peau, histoire de ne pas se faire traiter d’alcoolique) !
    Je conseillerais pour finir aux amateurs de tester les bouteilles vieillies au moins 8 ans, la différence est flagrante, et la douceur parfois surprenante (rien à voir avec le Label 5 en fiole du supermarché du coin) 😉

    • Sylvain

      24 juin 2017 at 13:32

      Hello Adrian,

      Merci pour le témoignage et la technique.

      En rédigeant l’article, j’ai effectivement vu au cours de mes recherches que l’on pouvait procéder ainsi et en mettre un peu dans sa main. Les bouteilles vieillies au moins 8 ans, c’est à dire? Les garder 8 ans avant de les boire? Ou du 8 ans d’âge?

    • Adrian

      24 juin 2017 at 14:56

      Hello Sylvain,
      Merci pour ta réponse. Mes plus plates excuses, j’ai attribué l’article à Sélim dans mon premier commentaire, permets-moi de rendre à César ce qui lui appartient !
      Les 8 ans d’âge. Ca dépend du goût de chacun (et parfois du portefeuille) mais ma préférence va à ceux que j’ai pu goûter, ça se boirait presque comme du petit lait (mais avec modération, bien sûr).

    • Sylvain

      27 juin 2017 at 11:54

      Hello Adrian,

      Pas de problème ! Je note pour le 8 ans d’âge. Apres effectivement, avoir une petite collection, c’est un investissement. Donc autant bien le choisir 🙂

  6. croquemitaine

    24 juin 2017 at 23:26

    Très bon article, bonne recherche, très agréable lecture, bravo Sylvain! Juste un petit détail, mais vraiment très petit, du chipotage: il aurait fallu écrire « saint Patrick » pour désigner le personnage légendaire inventeur du whisky; « Saint-Patrick », c’est pour la fête des Irlandais.

    • Sylvain

      27 juin 2017 at 11:59

      Merci Croquemitaine pour les compliments! Et effectivement, bien joué, le trait d’union est de trop ! N’oubliez jamais, l’orthographe et la syntaxe sont des armes de séduction massive.

  7. croquemitaine

    25 juin 2017 at 00:06

    Il y aurait peut-être un autre aspect à développer dans cet article, ce serait: « comment VRAIMENT boire un whisky? » Il a été question de laisser reposer le whisky dans un verre et d’essayer différents dosages, dans différents types de verre, puis d’exercices de perception d’arômes, très bien! Mais il manque la façon de boire un whisky en tant que telle, et la voici, très différente de la façon de boire un vin (certains vont être surpris): en fait, c’est très simple, on doit jeter la gorgée directement au fond du palais et l’avaler très vite! Un whisky, ça doit « cogner » puis « réchauffer »! C’est dans ce curieux « retour de flamme » du pharynx au palais que les arômes seront captés. Bref, il ne faut pas faire tourner une gorgée de whisky dans son palais, comme pour le vin. C’est un vieux monsieur très classe, riche globe-trotter et collectionneur des meilleurs whiskys (scotch et bourbon inclus) qui m’a enseigné cela avec une démonstration rigoureusement encadrée!

    • Sylvain

      27 juin 2017 at 12:00

      Haaa interessant ça! Nous allons tenter l’expérience et voir s’il y a une diffèrence! Merci pour le conseil additionnel

  8. Lenal'airderien

    26 juin 2017 at 07:05

    Bonjour,

    Tu as peaufiné le sujet félicitation Sylvain,

    J’y connais rien en whisky et alcool … »Je bois pas , fume pas , mais qu’est-ce que je bla bla « . Voilà pour la touche féminine.

    • Sylvain

      27 juin 2017 at 12:08

      Merci Lena !Qu’est ce que je blabla haha il me semble que tu as modifié la fin habituelle 😉

  9. guigui

    26 juin 2017 at 19:19

    Polignac me reprendra si je dis des bêtises, mais dans mes souvenirs dès qu’on parle de whisky irlandais on emploi tout le temps le terme whiskey. On parle d’irish whiskey et non de whisky.. Attention les amis écossais ne seront pas content sinon.
    Article très intéressant on sent qu’il y a eu de la recherche derrière.
    Si vous avez des adresses ailleurs qu’à Paris ça serait sympa.
    Les whisky macallan pour commencer sont excellents.

    Ps : je crois que le hibiki 17 ans ne se trouve quasi pu.

    • Sylvain

      27 juin 2017 at 12:16

      Hello Guigui,

      C’est exact pour le whiskey!! Je vais voir si je peux rajouter quelques adresses en province 🙂 Car bon, il n y a pas que Paris dans la vie 🙂

  10. Richelieu

    5 juillet 2017 at 22:50

    Salut, Salut !

    Moi qui n’y connaissais rien en Whisky je suis refais, ça me rappelle des mauvaises cuites quand même ^^

    Je profite de ce commentaire pour vous parler d’un blocage que j’ai. J’ai dragué une coiffeuse l’année dernière et elle m’a mit un râteau, parce qu’elle avait un mec…bref. Je me suis tourné vers d’autres aventures, mais j’aimerais retenter ma chance (1 ans après) vu qu’elle est toujours attirée et intéressée.

    Et c’est la, le blocage: Si je retourne l’a draguer j’aurais l’impression de passer pour un « bouffon », de passer pour le mec qui s’accroche, limite de me dévaloriser auprès d’elle ou de me ridiculiser,vous voyais l’idée ?

    Je sais pas trop si c’est de l’égo ou de la fierté mais mais j’suis coincé à cause de cette croyance.

    J’aimerais bien savoir du point de vue la fille comment elle vois les choses quand elle revois un mec comme ça et si vous, vous retenter cibles sur lesquelles sa aurai pu marcher… Merci d’avance

    • Sylvain

      6 juillet 2017 at 14:57

      Hello Richelieu,

      Pour commencer, comment sais tu qu’elle est toujours interessée et qu’elle n’a plus de mec? Tout depend, si elle est interessée et que les conditions ont changé, ça peut le faire! Sinon ce sera la même chose. Mais elle est capable de t’identifier? Elle va se rappeler de toi? Au pire, tu retournes te faire coiffer, tu entames la conversation, tu sondes un peu pour évaluer dans quelle situation elle se trouve et tu vois comment elle réagit 🙂

  11. Richelieu

    6 juillet 2017 at 23:46

    Bah eye contact Sylvain le dernier que j’ai eu c’était carrément un appel de phare ^^ plus que d’habitude, si elle a encore un mec, ça j’en sais rien

    En faite j’ai continué d’aller au même salon c’est juste que c’es un autre coiffeur qui s’occupez de moi,à l’époque ou je l’avais testé j’avais demandé quel me coiffe voila ça n’a pas marché point. Y’a pas eu d’engueulade ou quoi j’ai pas forcé j’ai nexté et j’ai repris celui qui me coiffé et voilà. Ça n’a jamais été un râteau de rejet du genre je veux plus te voir tu vois, elle aurais pas eu de mec c’était bon. c’est de la Jachère comme tu dis

    Mais ça fait pas ridicule de Relancer une cible comme ça ? Je pense sa doit vous arriver aussi

    • Sylvain

      8 juillet 2017 at 11:56

      Hello,

      Oui, je vois alors dans ces cas là, tu peux y retourner mais tu commences par évaluer la situation en sous marin. En clair, tu ne t’exposes pas mais tu essayes de faire en sorte que ce soit elle qui te coiffe et là tu vois comment elle réagit quand tu engages la conversation. A toi d’observer si elle a l’air contente, si elle rigole, si elle te répond ou si vraiment elle esquive. Comme ça pas besoin de te relancer dans le processus de séduction et tu auras dejà pas mal d’éléments de réponse 🙂

  12. Dance19

    18 septembre 2017 at 09:50

    Salut l’équipe,
    Article sympa !!!! d’ailleurs serait il possible de faire le même pour le vin?, je sais que sur ADS il y en a un, mais il n’est pas aussi développé (avec des exemples).
    La seul chose ou je peux donner des bons plans est sur la bière…^^, pour moi les meilleurs son les bières belge,au niveau des lieux il y a les 3 brasseurs, ils sont les meilleurs brune et il y a « le bijou bar » a conflans grande carte des vins français portugais, bières française et belge et j’en passe 🙂
    Haaa un conseil si vous aimez la bière toujours avoir des bonbons a la menthe sur soi, pour embrasser madame après ^^

    • Sylvain

      18 septembre 2017 at 16:39

      Merci Dance !

      C’est vrai que l’on pourrait faire le même article sur les vins et sur les bières. je vais proposer l’idée! 🙂

  13. Dance19

    21 septembre 2017 at 17:22

    Salut,

    Je me suis toujours posé la question si il y avait une grande différence entre les bouteilles achetées dans le commerce (Auchan,…) et un caviste ?
    Car certain on peut les trouvées dans les commerces mais est ce que la qualité est la même …

    • Sylvain

      21 septembre 2017 at 17:30

      Hello Dance,

      Je dirais à mon sens que la qualité est la même. mais que tu n’achetes pas ton alcool de la même façon. En supermarché, pas de vins spécialement atypiques ou de conseils personnalisés. Ils ont un stock à écouler. point barre. Pour ta ,consommation, cela peut tres bien suffire. mais si tu cherches des conseils ou que tu n’as pas d’idée pour trouver un vin qui va avec un plat en particulier, rien ne vaut le conseil du caviste 🙂

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