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Art de Séduire : Séduction

4 histoires féministes qui me donnent envie de changer de planète

Le Buzz Séduction

4 histoires féministes qui me donnent envie de changer de planète

4 histoires féministes qui me donnent envie de changer de planète

Messieurs, l’heure est grave. On le sait depuis longtemps, mais on le constate encore plus en ce moment : les femmes sont étranges. Différentes, ça va, on l’accepte, c’est le jeu. Mais parfois, elles ont des idées à la limite du ridicule.

Et assez bizarrement, quand ça crie, quand ça s’insurge, il y a souvent des féministes dans le lot. J’étudie au quotidien tous les excès des féministes parce que j’aime bien me faire du mal, mais voilà venu le temps pour moi de partager mes plus gros maux de crâne !

Quand le féminisme devient ridicule, c’est par ici…

Les petits garçons devront pisser assis

Il était un pays très blond aux yeux bleus où les filles portaient des headbands et venaient faire leur année d’Erasmus à Paris. Ce pays merveilleux s’appelle la Suède et leur premier ministre Zlatan Ibrahimovic vient de débarquer au PSG.

Malgré le but qu’il nous plante pendant l’Euro, on l’aime Zlatan. Le mâle Alpha, vous le cherchez ? Lisez sa biographie, et vous l’aurez trouvé.

Vilain petit canard en équipe de Suède à ses débuts, c’est aujourd’hui lui le capitaine. Trop individualiste, trop bagarreur, pas assez consensuel, pas assez Suédois quelque part… Et pourtant c’est lui qui à mes yeux incarne le renouveau de la Suède face à la menace féministe…

Menace numéro un : une proposition de loi pour obliger les hommes à uriner assis en Suède. Youhou, on est des bipèdes ! Mes potes qui pissent assis ont généralement été élevés voire brimés par leur maman. Quel modèle…

Tout ça pour des raisons d’hygiène !

Le plaisir de pisser debout contre un mur, un arbre, de pisser debout dans un bar ou autre lieu public ! Oui, c’est parfois crade, surtout dans les boîtes de nuit, les toilettes publiques ou les stades, tiens… Mais elles ne nous enlèveront pas ça. Pas en France. Pas tout de suite.

(Source : http://www.atlantico.fr/atlantico-light/suedois-bientot-obliges-uriner-assis-392775.html)

Vous voyez Zlatan pisser assis ? Non. Débat réglé. Suivant.

Il et elle : le cas du pronom

En plus de gagner souvent l’Eurovision, la Suède se caractérise aussi par sa vulnérabilité aux idées féministes. La Suède, le pays le plus sexuellement égalitaire au monde. Ca sonne bien, sauf que l’idée qui suit montre à quel point ils vont dans le mur.

Choisir des prénoms unisexes. Avoir des poupées quand on est un garçon. Habiller ses enfants de manière neutre comme les cadavres de The Kooples.

Mais le dernier projet en date, c’est celui de supprimer les pronoms « il » et « elle » et de les remplacer par un pronom unique, « hen ». Le petit garçon et la petite fille seraient pareils. « Mon chéri » ou « ma chérie », c’est pareil, non ? Ca va aider les gosses, tiens…

Et après on se retrouve avec des générations de mecs qui boivent tout ce qu’ils peuvent avant d’aborder une fille. Ah, on ne vous a pas dit : en Suède, généralement, ce sont les filles qui draguent. Les mecs ont perdu leurs c******. Mais ils font des meubles cools depuis…

Source : http://www.slate.fr/story/56183/hen-pronom-neutre-genre-suede

La polémique Petit Bateau

Petit Bateau avait lancé une collection de Tshirts ou de bodies pour bébés. Un tissu de couleur grise. Des textes imprimés dessus. En rose et en bleu, couleurs traditionnellement associés aux petits garçons et aux petites filles. Jusque-là, rien de bien méchant.

Le point qui a suscité l’ire des féministes ? Les textes eux-mêmes, qui prêtaient des qualités aux petits garçons et aux petites princesses. Le fait d’écrire sur des Tshirts des adjectifs qualificatifs un peu clichés, visiblement, c’est sexiste et ça énerve les chiennes de garde.

En bleu, on pouvait lire : « Courageux, fort, fier, robuste, rusé, habile, déterminé, espiègle, cool ».

En rose, pour les petites filles, on pouvait lire : « Jolie, têtue, rigolote, douce, gourmande, coquette, amoureuse, mignonne, élégante, belle ».

L’objet de la discorde ? Les féministes demandent pourquoi une petite fille ne pourrait pas être courageuse, forte, fière, robuste, rusée, etc… Voilà où on en est aujourd’hui. A chipoter sur des adjectifs…

Je me posais la question : « si j’avais une fille, est-ce que je la voudrais plutôt comme Aria dans Game of Thrones, un peu garçon manqué, ou plutôt princesse comme sa sœur débile ? ». La réponse : elle fera ce qu’elle voudra, elle aura le choix. Elle pourra porter du rose ou du bleu.

Dans la même veine, n’hésitez pas à regarder le film « La domination masculine », un film de Patric Jean, ou à lire l’essai de Pierre Bourdieu.

Mademoiselle, la case en moins ?

Encore une illustration des combats des femmes. Dans les formulaires administratifs, on dénombrait trois cases : Monsieur, Madame, et Mademoiselle.

Horreur ! Le Mademoiselle signifierait qu’on est une femme sous domination masculine. Soit celle du père lorsqu’on n’est pas encore mariée, mademoiselle, soit celle du mari, dont les femmes prenaient historiquement le nom.

Mais elles se sont indignées et ont lancé l’opération « Mademoiselle, une case en trop ». Et ont réduit les choix à Monsieur ou Madame, sous prétexte qu’on ne demande pas à un homme s’il est demoiseau ou monsieur, il est toujours monsieur. Que veulent les féministes ? L’égalité, probablement.

Le danger, ce sont les féministes qui veulent plus que l’égalité, que la parité. On avait de manière innée le mode d’emploi de ce qu’il fallait faire pour être un homme.

Imiter un grand-père, un oncle, son père, les voisins. On savait ce que voulait dire être un homme, parce qu’on savait ce qu’être une femme signifiait. Aujourd’hui plus que jamais, le combat des féministes continue, les lignes continuent de bouger. On dirait qu’elles veulent devenir des hommes…

Je comprends le droit de vote des femmes, le travail des femmes. Je m’insurge quand ma copine gagne moins qu’un collègue à elle à compétences et diplômes égaux. Je vois rouge quand un blaireau la siffle dans la rue.

Mais une fille qui s’énerverait pour une histoire de Tshirt rose et bleu… là, je pense que je ne m’en approcherais pas…

Toutes ces luttes me font à chaque fois réagir de la même manière : «Mais elles n’ont que ça à faire ?».

Vous êtes déjà sorti avec une féministe ? Vous en connaissez autour de vous ? Ces histoires vous inspirent quoi ?

Sélim

Bann-SexTalk

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189 Comments

189 Comments

  1. Dr Grafenberg

    22 août 2013 at 14:57

    La féministe, idéaliste, aimerait changer les règles du jeu, quand le séducteur, pragmatique, les étudie et tente de les exploiter au mieux.

    C’est juste deux lectures différentes d’un même monde.

  2. green pua

    26 août 2013 at 22:35

    Game of Thrones ,très bonnes références ahah sinon je suis d’accord avec toi sur le fait que les féministes en font un peu trop dans le sens ou elles donnent l’impression de vouloir être comme les hommes ce qui est fort dommage car ce si toutes les femmes étaient comme ça les hommes n’auraient effectivement pplus de c**illes

  3. Sylvain

    27 août 2013 at 00:24

    Je pense que le féminisme est un peu comme la révolution française. Au départ, ils ont commis beaucoup d’excès, mais avec le temps, ses valeurs sont devenus plus modérés au point que ça a été un évenement charnière de la civilisation.

    Avec le temps, le féminisme va se modérer et ses éléments les plus radicaux vont finir par disparaître.

    Plutôt que de « desexuer » les homme et les femmes, les confondant en un seul genre, on assistera à une « repolarisation » des sexes, à une affirmation de la féminité et à une revalorisation de la virilité. Et ces changements viendront des femmes elles-mêmes. En Suède ça commence à se manifester très timidement.

  4. Sylvain

    6 septembre 2013 at 00:48

    Bonjour Marion,

    Vous dites :
    « Et, figurez-vous qu’il a des femmes qui aiment les hommes sensibles et timides »
    J’aimerais bien avoir les atouts des hommes sensibles et timides qui sont aimés par des femmes. Car ces hommes sensibles et timides ont sans doute le physique à la mode, le look comme on dit, qui fait qu’ils n’ont pas besoin de faire trop d’effort pour assurer une conquête.
    Car on peu bien remarquer qu’un homme sensible et timide, avec 1m65 et une sale gueule, même souriant et gentil, nous savons comme finit ses soirées devant son ordinateur.
    C’était mon cas jusqu’au jour où j’ai découvert ma virilité grâce à un de ces sites dont vous parlez. Ca a été plus efficace que cinq ans de psychanalyse avec une psychanalyste, femme (visiblement pas féministe) qui m’insistait sur le fait que je devait assumer ma virilité et arrêter de me soumettre. Restes de l’éducation d’une mère autoritaire qui m’empêchait de grandir et donc certain discours féministe d’aujourd’hui est sa substitution.

    C’est ainsi que j’ai découvert des femmes qui aiment les hommes par leur côté viril plus que par leur physique. Je savais pas qu’elles existaient. C’est ainsi que j’ai connu mon épouse actuelle, qui me remercie d’avoir insisté, alors que si j’avais suivit le dictat « quand une femme dit non c’est non » aujourd’hui il y’il aurait une famille en moins et deux être vivants de 4 et 2 ans seraient toujours dans les limbes, absents du monde des vivants.

    Je l’ai déjà dit. Le féminisme s’essouffle. Selon Le Parisien, déjà beaucoup de femmes préfèrent se consacrer au foyer pour voir leurs enfants grandir, plutôt que de faire un travail stressant et improductif qui leur bouffe les meilleurs années de leur vie. Sans quoi elles ont la sensation de rater quelque chose d’important.

    Maintenant, on découvre que les Femen, ces amazones vantées par les médias, ne sont que des pauvres femmes fragiles manipulées par un homme violent avec des procédés de proxénete qui a créé le groupe pour « avoir des filles ». Que leur visibilité est en grande partie provoquée parce qu’elles sont jolies. Tout ce que les féministes adorent.

    C’est l’un de visages du féminisme, certes, le plus spectaculaire. Mais regardez c’est qu’est devenu la société à cause du féminisme. Des hommes et des femmes seuls qui draguent par écran interposé, selon des protocoles aseptisés. Parce le monde réél est devenu inconfortable pour créer des relations. Parce que la justice se mêle de la vie privée et paralyse la spontanéité, alors qu’à l’instar d’Elisabeth Badinter « Il est dangeureux de judiaricer ce qu’on peut s’arranger avec un paire claques ».

  5. Lyon69

    28 décembre 2013 at 17:43

    Je suis sorti pas mal de temps avec une féministe, et un conseil : fuyez !

  6. Jean

    8 août 2015 at 10:24

    Pour ceux qui maitrisent l’anglais, cet article est indispensable
    http://time.com/2921491/hope-solo-women-violence/

  7. Tina

    25 avril 2016 at 22:19

    Pas d’accord avec votre article, qui en voulant caricaturer certaines revendications féministes se caricature lui-même.
    Par exemple, la polémique Petit Bateau était pour moi justifiée et ne pouvait se résoudre à une simple histoire de tee shirt bleu ou rose : quand un produit du marketing continue de coller sur le dos des petites filles des étiquettes-adjectifs historiquement associées à la féminité et ses valeurs (la petite fille est douce, amoureuse, coquette, etc), on ne peut pas juste balayer cela d’un revers de main en prétendant qu’on chipote sur des adjectifs. Et bien sûr que cela peut avoir une influence, ce n’est pas de l’inné et mais de l’acquis et la petite fille en grandissant aura « intégré » que ces valeurs là sont forcément féminines. Vous dites que l’important est que la fille ait le choix d’être Arya la guerrière ou sa sœur un peu princesse, mais là est justement la question : aura-t’elle réellement eu le choix ou se sera-t-elle faite manipuler dès son jeune âge par les médias, la pub, son environnement ?
    Pour peu que la petite fille ait grandi dans un environnement « traditionnel » et que ses parents ne l’ont jamais rassuré sur le fait qu’elle pouvait devenir ce qu’elle voulait, et bien si la pub doit en remettre une couche, on n’est pas sortis de l’auberge.
    Quand à dire que les féministes « n’ont que ça à faire »… l’égalité s’atteint à tous les niveaux, depuis quand faudrait-il hiérarchiser les luttes ?

  8. Tina

    25 avril 2016 at 22:38

    Ah et, je rejoins le commentaire de Marion que je trouvais très pertinent. Et pour les hommes qui se plaignent que certaines valeurs « masculines » leur échoient toujours (les mecs doivent dégager une image virile, ne pas montrer leur fragilité, continuer de faire le premier pas en amour, etc), s’ils s’en plaignent, ils devraient JUSTEMENT s’allier aux féministes plutôt que les combattre ! Je rappelle que la plupart des mouvements a toujours soutenu la déconstruction des genres, non pas pour émasculer prétendument les hommes, mais pour permettre aux membres des deux sexes de d’exploiter pleinement leurs possibilités, et de devenir ce qu’ils souhaitent, tout simplement.

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