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Art de Séduire : Séduction

Seduire les femmes, la voie royale : la Rue

Aborder une fille

Seduire les femmes, la voie royale : la Rue

Seduire les femmes, la voie royale : la Rue

La pression sociale est moindre lorsqu’il y a moins de société autour. Côté féminin, la peur de se faire une mauvaise réputation empêche d’agir librement. Elle est exacerbée lorsque des personnes face auxquelles on veut faire bonne impression peuvent l’apprendre.

Dans le cas d’une femme, la mauvaise réputation est de passer pour une femme facile, dans le cas d’un homme, la mauvaise réputation est d’échouer ou de passer pour un loser.

Dans la rue, les femmes sont loin du regard de leurs amis/es et des gens de leur milieu social ou professionnel. Se sentant protégées de tout jugement, elles peuvent se permettre un comportement moins étriqué, moins conventionnel, plus libre, à condition qu’on sache encourager leur franchise et réveiller leur nature profonde.

C’est pourquoi des touristes en vacances, loin de leur pays et de leur milieu habituel deviennent plus faciles lorsqu’elles sont dépaysées (femme de passage, femme pas sage).

Notre société est faite de telle façon qu’on oublie souvent qu’on a plus de chances avec une femme abordée dans la rue qu’avec la même femme si elle nous avait été présentée par un/une amie commune.

La même chose côté masculin, on est moins à l’aise, on a davantage peur d’un refus, on est plus soucieux de sa réputation lorsqu’on a des amis communs.

La pression sociale est moindre lorsqu’il y a moins de société autour. Côté féminin, la peur de se faire une mauvaise réputation empêche d’agir librement. Elle est exacerbée lorsque des personnes face auxquelles on veut faire bonne impression peuvent l’apprendre.

Dans le cas d’une femme, la mauvaise réputation est de passer pour une femme facile, dans le cas d’un homme, la mauvaise réputation est d’échouer ou de passer pour un loser.

Sans les barrières de la pression sociale, on a davantage de chances d’amorcer une relation autrement impossible et d’aller plus loin dans l’exercice d’une relation sans préjugés.

Quand vous draguez dans la rue, vous êtes seul et personne ne vous voit échouer. Dans la rue une femme est seule, personne ne la voit céder.

Cependant, même la pression sociale écartée, il reste la morale, la loi, la pression sociale internalisée ! La honte ! La peur d’échouer existe même en absence de témoins, c’est à vous d’y faire face. Côté féminin, même sans témoins, sa morale lui empêche de se sentir une femme facile. C’est aussi à vous de gérer le rapport.

Une femme peut avoir beaucoup de préjugés sociaux, racistes ou des blocages à caractère moral ou religieux. Ces préjugés peuvent être ancrés plus ou moins chez elle. Souvent ces préjugés ou blocages sont nourris ou encouragés par la famille, les amis, le contexte social ou professionnel.

Dans son for intérieur, même avec des préjugés et des blocages, elle peut avoir des fantasmes, des pulsions sexuelles envers ces personnes que la pression sociale ou morale lui pousse à rejeter.

Souvent il est très difficile de se confronter à une famille ou à un milieu dont on dépend financière et affectivement. Le fait de se tenir à l’abri du regard de ses proches lui permet d’accepter plus facilement ces pulsions.

Encore une fois, la rue est le creuset idéal permettant cette alchimie anticonformiste capable de transmuter la mélancolie d’une société qui a oublié l’art de vivre en une vie de joie et de plaisir.

DjyroscoLifestyle Conseil

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17 Comments

17 Comments

  1. ockwick

    5 février 2009 at 17:54

    C’est le début de la logistique.. Trouver des situations et des contextes où on peut opérer plus facilement, arriver à nos fins avec moins d’efforts (et des résultats tout aussi satisfaisants).

    Traditionnellement (du moins sur mASF), « la rue » désigne non seulement la rue elle-même, mais les épiceries, librairies, cafés, etc… En gros les environnements non-standard.

    Aussi, dépendant des localités par contre, « la rue » c’est plus ou moins bien… Au centre-ville de Londres, par exemple, j’évite la rue elle-même. Il y a tellement de chaos, les gens s’entraînent à ignorer les interruptions, à les contourner, et développent le réflexe de refuser avant même de savoir de quoi il est question. Je vais plutôt dans les librairies.

    Ici à Ottawa, les rues sont plus calmes donc c’est beaucoup moins chaotiques, donc plus facile d’approcher calmement et de parler à quelqu’un. Je préfère encore les librairies et les cafés, pour des raisons autres que le chaos 🙂

    Tous ces éléments s’assemblent pour me donner un bon point de départ.. Un bon ensemble de logistiques 🙂

    Et en gros, j’ai laissé les boîtes derrière mois il y a bien des années…

    ock

  2. Nico

    5 février 2009 at 22:54

    par expérience je confirme ton point de vue c’est ien plus simple d’aborder une femme dans la rue au sens large qu’en boite ou elles revêtent pour la plus part leurs armures « anti-dragueur ».
    Par contre il serait intéressant de rédiger un article sur les manières d’aborder une femmes dans les transport en communs.

  3. niconimes

    5 février 2009 at 23:04

    Oui il faudrait un guide sur comment aborder les jolies étudiantes dans le Tramway Ligne 1 à Montpellier 🙂 je propose ça à tout hasard :-p

  4. ockwick

    6 février 2009 at 00:07

    Nah ben sérieusement, les aborder dans la rue, dans une librairie, ou dans un autobus ou un métro.. ESt-ce qu’il faut vraiment analyser chaque situation en particulier?

    En tout cas moi la manière que j’ai appris les choses (et que j’enseigne) c’est d’apprendre vers quel état d’esprit ou quelle dynamique je veux me diriger, qu’est-ce que je veux accomplir. De là, je peux lire une situation et utiliser à mon avantage ce qui s’y trouve pour arriver jusque là.

    Comprendre l’environnement + vers quelle dynamique on veut se diriger = être capable de formuler une stratégie pour y arriver.

    Par exemple en drague de jour (« la rue »), on désire en premier lieu lui parler, mais non pas d’une manière qui va la faire fuir.. D’où l’intérêt pour moi du flottement, car avec ça on n’entre pas brusquement dans son espace personnel tout excité, et la réception est bien meilleur. Ça correspond plus à leur vision romantique des choses « nos yeux se sont rencontrés alors qu’on allait prendre la même revue dans les rayons de magazines, et nous nous sommes mis à parler… »

    Les transports en commun se prêtent moins au flottement et plus à la chance, surtout aux heures de pointe, et sont beaucoup plus sujets au chaos (par exemple on ne sait pas quand elle va débarquer, où elle va, etc). Il y a aussi ce genre d’écran social, où les gens font semblant de ne pas se remarquer car ils sont tous tassés les uns sur les autres…

    Les quelques fois que j’ai fait quoique ce soit en transport en commun c’était avec la compréhension des choses ci-haut, des approches pas brusques, calmes, souvent avec la chance que la seule place libre était à côté d’une belle asiatique (oui j’adore les asiats!) par exemple. Comprenant le paragraphe précédent aussi, ça aide à relaxer et persister quand elle ne répond pas trop au début, lui donner le temps de s’habituer à ta présence (si tu as une bonne présence! lol), etc..

    Je me souviens des journaux à Londres, beaucoup de messages textes de la part de femmes qui disaient « J’aimerais bien qu’un mec me parle desfois dans le métro, ça rendrait le parcours moins ennuyant! » Évidemment elles ne sont pas elles-mêmes conscientes des dynamiques en jeu, mais au moins ça appuie qu’avec un peu de patience et de douce persistance on peut y arriver.

    En tout cas je suis pas trop expert en drague de métro/bus, je l’ai fait rarement, encore je préfère les librairies cafés etc où les choses sont plus à mon avantage 😉

    En gros, comprendre l’environnement et ce que l’on veut atteindre pour formuler une stratégie en se servant de principes de bases qu’on a pratiqués auparavant = une bonne stratégie générale de drague à tout usage 🙂 Selon moi ça vaut mieux que de vouloir une méthode différente pour chaque environnement particulier (café, librairie, bus, rue, épicerie, etc). Et ça dérouille les cervelles 😉

    ock.

  5. ockwick

    6 février 2009 at 00:07

    Merde les paragraphes ne se conservent pas trop bien

    ock

  6. Michaelis

    8 février 2009 at 02:07

    Alors là on se dirige vers la méta-séduction qui n’a rien avoir avec le fondemental…Dépuis que j’ai commencé à aborder les cibles dans les rues, je me prends toujours 9 rateaux sur 10. Ce qui veut dire, rare a été mon succès!!! Sincèrement je préfère la rue que les clubs mais je me rends compte qu’elle est aussi que je ne l’imaginais. Pour un mec frustré de base en voie de récuparation, s’il est question de discerner l’environnement pour atteindre un objectif afin de formuler une stratégie en se servant des principes de base,alors là c’est loin d’être de son niveau surtout que les circonstances font que nous avons quelques minutes pour mettre en place un scenario. Facile pour un PUA mais pas pour d’autres…Je pense que la séduction est très complèxe ou bien c’est moi qui délire lol soit mais il y’a du chemin à faire

  7. Casanova

    10 février 2009 at 10:04

    Moi je pense le contraire. Dans la rue, le rateau est assuré à au moins 75%. Moi je préfère qu’on me présente à la fille, je prends son numéro de tel et je commence à poser la base. On l’appelle surtout en fin de journée: 19 heures par exemple.

  8. Marc

    10 février 2009 at 18:47

    Intérésant ca moi j’aimerais qu’un Grand Aventurier quelqun qui a vécu dans plusieurs pays ou visiter nous fasse un article sur la Drague de rue exemple au mexique en argentine espagne Maroc Japon Turquie vous voyez parce quee chu sure que sa dépend de l’endroit ou on es dans ma tete séduire en plein NEw york Vs une ville de mexico ou chez pas trop loll

    Entk jaime bien la Drague de ruee mais de nos jours avec leur cellulaire Ipod sa met un Mur supplémentaire a briser ce qu’on avais pas avant les Gens étais assez « libre » et « disponible » pour parler alorss c’est ca donc ya plusieurs Facteurs a prendre en compte voila bon article

  9. Mimi kokoro

    11 février 2009 at 23:32

    je suis d’accord avec la plus par des commentaires

    *la rue c’est mieux que la boite, l’ambiance est beaucoup plus calme et les filles plus détendues, si tu parle a une inconnue en boite elle te catégorie immédiatement comme dragueur alors que dehors ^^

    *c’est dur de draguer dans la rue (je parle de la rue elle meme pas des boutiques ) et il faut avoir une tres grosse dose de confiance en sois pour réussir (perso je n’ai jamais réussi aller jusqu’à prendre un numéro et revoir la personne après, donc comme Michaelis je laisse ce lieu au pros pour le moment)

    a vrais dire je me sens beaucoup plus a l’aise dans les transports en commun et tout les autres lieux « d’attente »
    les raisons sont :
    *first, c’est un agréable moyen de passer le temps
    *les filles sont beaucoup plus ouvertes du fait qu’elles n’ont généralement rien d’autre d’immédiat(du style RDV chez le coiffeur ou allez voir sa belle tante a Rome) pas de prise de tête pour savoir si elle est dispo ou pas
    *elles s’ennuient(en tout ça c’est rare qu’elles s’amuse comme une folle) donc tu peut y aller avec moins de pression car a moins d’être très lourd tu risque peut de te faire jeter. je montre juste que je suis disponible pour discuter un petit peut et passer le temps (opening soft mais très efficace)
    *dans les transports en communs, quand elle ou toi allez bientôt descendre, tu t’arrête en plein milieu d’une conversation pour lui demander son numéro (si la conversation était intéressante tu a 95.4% de chance de l’avoir^^)
    le seul problème c’est quand elle habite très long ^^

  10. Marc

    12 février 2009 at 00:52

    ouais tu as raisons mimi et en plus le transport en commun nous fais sauver de l’énergie .

    🙂

  11. Alexia

    13 février 2009 at 13:09

    Bonjour à tous, je voudrais vous faire part de mon vécu au sujet de la drague dans la rue, et vous donner quelques conseils
    1) Vous pensez peut être que les belles filles (bon, les tops canon sont rare, je parle des filles plutôt charmantes), se font draguer sans cesse dans la rue, metro, etc. mais c’est faux! On se fait parfois « embêter » par des gens louches, souls, etc. mais il est très très rare, en tout cas en France, qu’un homme poli, propre et bien habillé engage une discussion avec une femme dans la rue.
    2) Si vous voulez commencer par poser une question anodine, (l’heure, adresse) etc. il ne faut surtout pas que la fille voit tout de suite que c’est pour la draguer. Sinon vous êtes tout de suite rejeté. Un homme qui traverse la rue pour venir me demander un renseignement alors qu’il y a plein d’autre gens, ça me fait peur! Je peux même ne pas répondre à sa simple question et m’en aller tout de suite!
    3) Une fois j’ai eu l’occasion d’échanger une ou deux phrase très simple dans un endroit public avec un garçon. Tout de suite il a dit « je m’appelle Jérémy » et il m’a serré la main. Evidemment je me suis présentée également. J’ai beaucoup aimé sa manière. C’est vrai que ce n’est pas très français, mais je le trouve beaucoup plus chic qu’un simple « comment tu t’appelles? ».
    4) Pour draguer dans la rue, il est très important d’avoir un look qui vous différencie de ceux qui nous « embêtent ». Habillez-vous proprement (selon votre style). N’oubliez pas non plus de vous coiffer avec du gout, et ne ressemblez pas à votre grand père. Un homme qui réfléchit un minimum sur sa coupe de cheveux, ça se voit. Sentir bon est également très important, abusez alors de parfum! (je dirais même que le parfum est plus important que le look!)

  12. Alexia

    13 février 2009 at 13:09

    Bonjour à tous, je voudrais vous faire part de mon vécu au sujet de la drague dans la rue, et vous donner quelques conseils
    1) Vous pensez peut être que les belles filles (bon, les tops canon sont rare, je parle des filles plutôt charmantes), se font draguer sans cesse dans la rue, metro, etc. mais c’est faux! On se fait parfois « embêter » par des gens louches, souls, etc. mais il est très très rare, en tout cas en France, qu’un homme poli, propre et bien habillé engage une discussion avec une femme dans la rue.
    2) Si vous voulez commencer par poser une question anodine, (l’heure, adresse) etc. il ne faut surtout pas que la fille voit tout de suite que c’est pour la draguer. Sinon vous êtes tout de suite rejeté. Un homme qui traverse la rue pour venir me demander un renseignement alors qu’il y a plein d’autre gens, ça me fait peur! Je peux même ne pas répondre à sa simple question et m’en aller tout de suite!
    3) Une fois j’ai eu l’occasion d’échanger une ou deux phrase très simple dans un endroit public avec un garçon. Tout de suite il a dit « je m’appelle Jérémy » et il m’a serré la main. Evidemment je me suis présentée également. J’ai beaucoup aimé sa manière. C’est vrai que ce n’est pas très français, mais je le trouve beaucoup plus chic qu’un simple « comment tu t’appelles? ».
    4) Pour draguer dans la rue, il est très important d’avoir un look qui vous différencie de ceux qui nous « embêtent ». Habillez-vous proprement (selon votre style). N’oubliez pas non plus de vous coiffer avec du gout, et ne ressemblez pas à votre grand père. Un homme qui réfléchit un minimum sur sa coupe de cheveux, ça se voit. Sentir bon est également très important, abusez alors de parfum! (je dirais même que le parfum est plus important que le look!)

  13. Marc

    13 février 2009 at 23:36

    salut
    humm Alexia pkoi tu dis « il ne faut surtout pas que la fille voit tout de suite que c’est pour la draguer. Sinon vous êtes tout de suite rejeté »

    bah ca chu pas Daccord je vois pas pkoi jme sentirais rejeter de montrer mon intéret envers quelqun je trouve sa un peu exagéré

    écoutez faut aréter detre compliquer comme ca d’ailleurs bon faut etre correct c’est tout pas trop dire de connerie maiss pas de mal a démontrer son intéret a moins qui faut séduire sans le faire ou bienn parler sans parler regarder sans regarder

    belle facon d’etre compliquer je trouve c’est mieux les choses claires pour ma part et moi j’aurais un petit conseil pour les femme soyez moins pressé et souriez et peut etre quon va vous abordez après et avec plaisir sinonnnnn si cest pas claire tserr

    entkkk dans mon quartier je peut voir 1 ou 2 sourire par mois sans pluss c’Est tjours l’air pressé la personne pas de temps Stresser qui prédomine et je suis exaspéré de ca et je compte changer de ville a cause de cette mauvaise ambiance

    🙂

  14. Alexia

    14 février 2009 at 13:37

    Bonjour Marc, tu as raison, les gens sont souvent pressés et c’est le problème des grandes villes et de notre époque. Et je suis d’accord avec toi que recevoir des sourires est très agréable.
    Je n’ai jamais dit qu’il ne fallait pas montrer ton intérêt pour la fille dès le début. Au contraire, c’est assez courageux je trouve d’aller voire une fille directement et l’inviter à faire connaissance, prendre un verre, aller à une soirée, etc. On peut apprécier qqn qui est sincère et direct. Mais par contre, ce que j’ai dit que je n’aimais pas c’est des gens qui demandent un renseignement banale mais ça crève les yeux que ce n’est pas le renseignement qui les intéresse (mais ils n’ont pas le courage de l’admettre dès le debout, donc ils demandent l’heure!). Maintenant, peut être que toutes les femmes ne pensent pas comme moi, et heureusement d’ailleurs… il doit bien y avoir des couples qui se sont fait connaissance en demandant l’heure!
    Si tout le monde étaient sincère, chaleureux, accueillant et souriant, beaucoup de choses aurait été plus simple, y compris la séduction! Maintenant puisque ce n’est pas toujours le cas, il faut mettre en place des stratégies!

  15. MARC

    1 avril 2009 at 06:50

    ouais sa été tout un article sa aussi et de bon commentaires

    maiss les gens deVrais se parler naturellement dans le métro le bus la rue épicerie on es une société coincé selon moi tjours peur des autres bon chu peut etre pas mieux maiss jme suis jamais fait aborder par personne de toute ma vie alors moi je lai faite au moins 100 fois donc… voila 🙂

  16. la king

    17 novembre 2009 at 19:58

    conseil pour draguer dans la rue avec chocolat les femme en raffole alors le but et de faire gouter du chocolat qui et tout nouveau et assez pas connu du tout quand on propose du chocolat ça ne se refuse pas sauf en cas de maladie surpoisd morbide bref une fois proposer dite lui qu’est ce qu’elle en pense et si ça lui plais se truc s’appelle le pies dans la porte parce que une fois qu’elle a accepter de gouter elle est pas dans un climat d’insecurité et de méfiance en faite ça ouvre un bréche pour le dialogue et le chocolat je dit bien que toute la classe social aime ça vous ratisser trés large de la veille a la lycénné avec de belle fesse de bebe et en plus elle associra se bon gout a vous lol!@+

  17. Fab

    15 juillet 2010 at 20:55

    Salut à tous je me permets ce petit commentaire suite à une mini enquête que je réalise en ce moment auprès de la gent féminine (et qui est d’ailleurs un très bon opener hors contexte SPU, en soirée par exemple).
    A savoir je leur demande si parfois elles se font aborder « proprement » par des mecs normaux. Sur environ 15 nanas mignonnes toutes m’ont répondu que JAMAIS cela ne leur arrivait…

    A bon entendeur, salut!

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