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Art de Séduire : Séduction

L’Art Subtil de S’En Foutre de Mark Manson : Vivez Votre Vie !

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Lifestyle et réussite

L’Art Subtil de S’En Foutre de Mark Manson : Vivez Votre Vie !

L’Art Subtil de S’En Foutre de Mark Manson : Vivez Votre Vie !

Un titre qui claque. Une couverture orange qui donne envie de l’acheter. J’ai donc acheté le nouveau livre de Mark Manson, « L’art subtil de s’en foutre ». En anglais, ça claquait mieux, « The subtle art of not giving a f*ck ».

Résumé et impressions du nouvel ouvrage de Mark Manson, truffées de bonnes leçons de vie !

 

Pour ceux qui suivent un peu la vie du forum Artdeseduire, je me suis déjà légèrement exprimé sur le sujet : j’ai été déçu, légèrement déçu par « L’art de s’en foutre ».

J’essaie de toujours lire les best-sellers US, dans le rayon « non-fiction », et surtout ceux du rayon développement personnel pour deux raisons :

  • Un, ça me développe personnellement, je pioche des idées, j’apprends de nouveaux concepts et j’améliore ce que je peux améliorer dans ma vie
  • Deux, ça me permet de rester à la pointe de ce qui se fait sur notre marché. Le bien-être, la séduction, la quête du bonheur et de l’amélioration de sa vie, tout ça, c’est très connexe.

À qui s’adresse le livre de Mark Manson « L’art subtil de s’en foutre » ?

Au début, je vous aurais dit à tout le monde. Le bouquin de Mark Manson donne des leçons de vie.

Alors au niveau du titre, c’est du foutage de gueule et c’est normal : un titre comme ça, aussi « outrageous » ! aux Etats-Unis, ça fait parler. Dire « Fuck » c’est toujours censuré par un bip à la télé dans les clips de rap. Autant vous dire qu’à l’écrit, en vitrine chez Barnes & Noble, ça fait désordre.

Et le choix de la couleur : orange, c’est la vitalité, c’est la couleur des guides pratiques pour nous donner la motivation de nous sortir les doigts.

Le combo couleur + titre = on tient un gagnant, Serge…

En ouvrant le livre, intelligemment sous-titré « une approche contre-intuitive pour vivre une vie épanouie » ou un truc du genre en VF, on se dit que c’est pour tout le monde.

Mais non. Le dernier livre de Mark Manson est pour les débutants du développement personnel. Pour ceux qui ont lu trois ou quatre bouquins maximum, mais pas quarante.

On va dire que d’un point de vue business, « The subtle art of not giving est fuck » est le livre qui va aider Mark Manson à percer au niveau mondial.

C’est un très bon livre pour les lecteurs qui ne le connaissaient pas avant cet ouvrage au titre provocateur.

Aux Etats-Unis, sur la version que j’ai, il n’y a pas sa photo. Pour les lecteurs français, son éditeur Eyrolles a fait le choix de mettre la photo de Mark Manson. C’est donc pour lui le livre du sacre, le livre de la consécration… alors que dans ce domaine, il ne vous apportera pas autant que d’autres livres.

Ce que je veux vous dire : si vous avez déjà lu les Tony Robbins, Deepak Choprah, un peu de Robert Greene, de Ryan Holiday, un peu de « let go » des moines bouddhistes français du genre Midal et les autres présents dans Psychologies Magazine, vous n’allez pas apprendre grand-chose.

Mais si vous ne connaissez pas encore la plume de Mark Manson, ça peut vous intéresser !

Qu’apprend-on dans L’art de s’en foutre de Mark Manson ?

Bizarrement, on n’apprend pas à « s’en foutre », mais à réserver son attention à ce qui en vaut la peine.

On ne peut pas se foutre de tout (ni de ces chaînes qui pendent à ton cou). Personne ne peut traverser sa vie en décidant de ne s’investir dans rien, c’est une vraie vie de connard…

Donc Mark Manson donne les clefs pour s’investir, s’impliquer, s’engager dans des trucs qui en valent la peine…

En nous rappelant vers la fin du livre que nous allons mourir, il nous oblige à regarder la vérité en face : notre temps est compté. Memento mori ou Valhar Morgulis : à la fin, c’est la boîte à six faces pour tous.

Et sans déconner, j’ai pas de temps à accorder aux Kardashian. J’ai déjà pas le temps de mettre un « ne » dans cette phrase !

Tout va tellement vite, pour vous, pour nous, et vous en avez peut-être déjà fait l’expérience : un jour, vous êtes avec un pote, et le lendemain, il n’est plus là. Terminé. Décédé.

À chaque fois que je me reprends l’idée de finitude en pleine tronche, j’ai envie de couper (presque) tous mes réseaux sociaux et d’arrêter les trucs débiles que je fais, pour me concentrer sur l’essentiel : ma famille, mes amis, et mon travail.

L’idée du livre de Mark Manson, c’est de faire des choses qui comptent.

Un exemple : comme tous les jeunes branleurs dont je fais partie et Mark Manson aussi, on a lu un jour Tim Ferriss et sa semaine de 4 heures.

Et on a tous eu envie de devenir des digital nomads, travailler sur notre ordinateur portable n’importe où dans le monde, en voyageant, en rencontrant du monde.

Et là où ça devient intéressant, c’est que Mark Manson témoigne lui-même de sa futilité et de sa superficialité : après avoir voyagé dans plus de 50 pays, il se dit… « Ok, mais qu’est-ce que j’en garde ? Peut-être que j’étais heureux jusqu’au 25ème, mais ensuite, c’est toujours la même chose… »

Et c’est là que le bouquin « L’art subtil de s’en foutre » prend tout son sens.

Se concentrer sur ce qui compte. Et ne rien en avoir à faire du reste. Des broutilles. Des futilités.

Mark Manson a commis les mêmes excès que moi : il a été coach en séduction avant. Il a couché avec des centaines de filles. Et au final, qu’est-ce qui reste de ces expériences ? Etait-ce si important que ça ? En garde-t-on plus de traces qu’un nouveau tampon sur un passeport ?

Arrêtez la fuite en avant et concentrez-vous.

Sur ce que vous voulez vraiment. Sur ce qui comptera vraiment. Sur ce qui vous rendra fier.

Se foutre du temps qui passe : l’identité selon Mark Manson

Un dernier point, un dernier passage qui m’a marqué. Celui sur le temps qui passe, sur l’âge, sur nos forces qui diminuent. Avec l’âge, on accepte plus facilement de se faire des ennemis.

On accepte de ne pas plaire à tout le monde.

On accepte le fait d’avoir des détracteurs. Un exemple :

Pour changer la vie de certains jeunes hommes, pour aider certains hommes à redonner du sens à leur vie, on accepte avec la team Artdeseduire d’avoir des ennemi(e)s qui n’aiment pas notre travail, notre point de vue.

J’accepte les papiers qui me traitent de tous les noms. Les commentaires de débiles sur notre chaîne de conseils en vidéo séduction sur Youtube.

C’est pareil pour tout le monde et vous devez accepter ça : « on ne peut pas plaire à tout le monde ». La quête de validation est ce qui peut vous arriver de pire, d’essayer de toujours plaire aux autres.

Ça n’arrivera jamais.

Avec l’âge, notre identité est censée se solidifier, on sait qui on est, on n’a plus rien à prouver à personne. C’est ce que je vous souhaite dans la vie.

Trouver quelqu’un qui vous aidera à vous accepter comme vous êtes.

Qui vous tirera vers le haut mais qui vous acceptera quand vous chialerez comme une merde, quand vous aurez peur de ne pas y arriver.

La personne la plus importante de votre vie, c’est vous. Ensuite, votre copine. Ensuite vos enfants si vous en avez. Et ensuite votre famille et vos amis.

Mais vous ne pouvez pas vivre POUR LES AUTRES. Si VOUS ne vous acceptez pas comme vous êtes, personne ne le fera.

« L’art de s’en foutre » n’est pas un bouquin pour apprendre à gagner. Au contraire.

C’est un livre pour vous apprendre à perdre avec élégance, sans vous rouler par terre comme ma petite nièce au supermarché quand elle n’a pas ce qu’elle veut. Pour vous apprendre à être moins affecté non pas par « les accidents de la vie », mais par la vie, tout court.

Il y a plein de leçons inspirantes dans « L’art subtil de s’en foutre » de Mark Manson.

Ma préférée, c’est celle de la jalousie et de la comparaison si on veut vivre une vie heureuse.

Je vais terminer par cette superbe histoire d’un groupe de rock qui vire son guitariste, parce qu’il n’est pas assez bon.

Le guitariste retrouve un groupe et devient une vraie rock star, progresse et progresse, vend des millions d’albums (25) et fait des tournées géantes. Son nouveau groupe, c’est Megadeth. Le guitariste, c’est Dave Mustaine.

Le groupe dont il s’est fait kicker salement… c’est Metallica. 180 millions d’albums vendus. Un nom que même les non-fans connaissent.

Dave Mustaine reconnaissait ne jamais s’être remis de cette éviction, n’avoir jamais réussi à s’en foutre. Au lieu de savourer sa chance, au lieu de se comparer au jeune Dave qu’il était à 15 ans, il a passé sa vie à se comparer au Dave qu’il aurait pu être s’il était resté avec Metallica.

Si ça c’est pas la recette pour vivre une vie de merde et être triste toute sa vie, il n’y en aura jamais d’autre !

En bref : Mark Manson a un style, une plume qui est agréable à suivre et à lire. Je pense que c’est un bon gars.

Son ouvrage Models a révolutionné le coaching en séduction (et c’est de lui dont je me suis inspiré depuis 2010, bien plus que Mystery et les autres clones du game, en prônant l’honnêteté, la sincérité et la vulnérabilité).

Malheureusement, Mark Manson avec « L’art subtil de s’en foutre » n’a (à mon sens) pas l’impact de son ouvrage précédent, ni des autres livres présents sur le marché actuellement, qu’il s’agisse de « Foutez-vous la paix » de Fabrice Midal, de « Imparfaits, libres et heureux » de Christophe André ou même que le décevant « Ego is the enemy » de Ryan Holiday.

Un bon bouquin à lire pour les débutants du dév’ perso, pour les fans de Mark Manson, et pour ceux qui ont un peu de temps ! Mais prochainement, je vous présenterai LE coup de coeur de l’année que j’aurais dû lire bien avant « Essentialism » de Greg Mc Keown !

l'art subtil de s'en foutre

L’art subtil de s’en foutre,
188 pages

Des conseils lecture en ce moment ? Si vous l’avez lu, vous en avez pensé quoi du dernier Mark Manson ?

Sélim, avide lecteur (rien à voir avec Afida Turner)

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32 Comments

32 Comments

  1. Lenal'airderien

    20 septembre 2017 at 13:25

    Bonjour,

    Si j’ai bien compris le post…ça revient à dire tout ce que je vous ai dit , c’est de la « merde »… Les gens qui ont fait sa notoriété et ses lecteurs seraient bien contents de le savoir.

    Lenal’airderien »Eckart tollé » sinon rien.

    • Sélim

      20 septembre 2017 at 15:46

      Non, ce n’est pas « de la merde », n’exagérons pas.
      Disons que c’est du 7/10 là où Models avait mis la barre très haut avec un 11/10.

      De vrais concepts dans Models, de vrais concepts sur son blog.
      Là c’est de l’organisation d’idées et un peu de storytelling, mais je reste sur ma faim.

      Disons que le bouquin « L’art subtil de s’en foutre » ne me pousse pas à l’action autant qu’Essentialism. Le choc mental n’est pas aussi prononcé 🙂

    • Sylvain

      21 septembre 2017 at 16:50

      Models, c’est un livre précédent de Mark Manson !

    • Sylvain

      21 septembre 2017 at 16:45

      Le pouvoir du moment présent ! Grand chef d’oeuvre du développement personnel!

  2. venitien

    20 septembre 2017 at 13:31

    Gros +1 pour cette analyse qui définit bien le livre et le public le plus adapté pour.
    Un grand merci pour, je sais donc que je passerais au dessus. Par contre si Essentialism ets si bon que ça, j’aimerais bien en lire la critique 😉

    • Sylvain

      21 septembre 2017 at 16:45

      Merci Vénitien,

      On va s’y mettre ! Apparemment, vous appréciez assez les chroniques de livres. Nous allons donc en faire de nouvelles 🙂

  3. Sélim

    20 septembre 2017 at 15:34

    Hello Vénitien !

    Essentialism, c’est… Mark Manson puissance 10 sur ce coup-là. J’ai préféré, et je vous raconte ça très vite !

    Peace !

  4. AL

    20 septembre 2017 at 16:01

    Question : pourquoi partir du principe que les gens en désaccord avec toi, qui te critiquent ou qui t’insultent seraient tes ennemis ? ça me paraît être un raccourci aussi douteux que bancal…

    • Sélim

      20 septembre 2017 at 16:23

      C’est intéressant de se focaliser sur UNE SEULE PHRASE 🙂 tout un article, et toi tu mets le doigt juste là-dessus ?

      Parfois, je me pose des questions 🙂

      Ne pas être d’accord : c’est le jeu, ça nous enrichit.
      Se faire critiquer : c’est le jeu, ça nous permet de réfléchir mieux, de pousser nos idées, d’être plus exigeants envers nous-mêmes.
      Les insultes : ahah. Non. Là, la limite est franchie. Ma limite en tout cas.

    • AL

      21 septembre 2017 at 02:51

      Pas une phrase, un mot. C’est un mot qui me gène. Le mot « ennemi ». Pour moi, il n’a pas sa place dans un cadre / discours de développement personnel. Notre seul et unique ennemi, c’est nous-même.
      « Ne pas plaire » et « avoir un ennemi », ce n’est pas la même chose. Si tu confonds les deux, c’est que tu as encore un énorme travail à faire sur toi-même.
      Pour le reste, ton texte est bon. (Enfin, dans la mesure où je n’ai pas lu le livre évoqué, rien de ce que tu a écrit ne me choque.)

    • Sylvain

      21 septembre 2017 at 17:09

      Pourtant, il nous arrive d’avoir des ennemis quel que soit notre niveau de développement personnel il me semble 🙂

    • AL

      21 septembre 2017 at 18:44

      @Sylvain : Je doute qu’à nos niveaux nous en ayons beaucoup, quoi qu’il arrive. Quelques détracteurs jaloux et agressifs, oui, des rivaux, oui, mais des ennemis, des mecs qui nous détestent au point de vouloir nous assassiner… soyons sérieux ! (Bon, peut-être toi, Sylvain, à Marseille, on sait jamais… Mais Sélim dans le 16è, il ne craint pas grand chose – puisqu’évidemment, en tant que gentleman, il n’aura jamais eu l’idée saugrenue de draguer la femme d’un type dangereux XD )

    • Sylvain

      23 septembre 2017 at 11:39

      C’est une légende tout ça! Il faut vraiment être juge anti mafia ou baigner dans des affaires louches pour se prendre une rafale 😉 Cela dit je me prépare chaque jour comme si j’avais des ennemis 😉

    • Sélim

      21 septembre 2017 at 19:49

      AL : j’ai pris la définition du Larousse.
      « Personne qui veut du mal à quelqu’un, cherche à lui nuire, qui lui est très hostile ».
      Pas besoin de vouloir la mort directement… On n’est pas des sauvages non plus 🙂

      Et JE NE SUIS PAS DANS LE XVI, mais le VIII, l’arrondissement des coups de feu (à vrai dire : la rue juste à côté, vive la rue de Ponthieu !) Mais effectivement, je ne vis pas « dangereusement », on ne peut pas dire ça. (et heureusement. J’aime bien la vie)

  5. Le Marginal Magnifique

    20 septembre 2017 at 17:24

    J’aime bien ce genre d’article, les comptes-rendus de lecture.

  6. Lenal'airderien

    20 septembre 2017 at 19:07

    Selim tu parles en quelle langue..? « moi y en a pas comprendre ce que toi dire »…

  7. Lady_Melodia

    21 septembre 2017 at 00:11

    Bonjour tous le monde,

    Allez, je tente un spoiler :

    Mon petit doigt me dit que d’ici 2-3 ans, Mark Manson va publier un nouveau livre dans lequel il expliquera que pour avoir une vie épanouie, et ne faut finalement surtout pas se concentrer sur ce qui compte et ne rien en avoir à faire du reste parce que les broutilles, les futilités font précisément le sel de la vie et qu’à force de se mettre des objectifs partout, à vouloir que « tout serve », on en oublie juste d’être heureux.

    De plus, ne plus faire que ce qui est utile, c’est fermer en grande partie la porte à l’aléa et à la sérendipité car combien de fois, par un hasard du destin, des choses qui semblaient parfaitement inutiles sur le papier se sont finalement révélées capitales dans le déroulement de nos vies ?
    Clairvoyant est celui qui est capable de distinguer – à priori – quelles sont les actions et tâches qui en valent la peine.

    Ps : N’empêche, si c’est vraiment le thème de son prochain livre, ça me ferait bien rire !

    • Sylvain

      21 septembre 2017 at 17:05

      Hello Lady,

      La sérendipité, j’adore ce mot. c’est peut etre parce que d’habitude, personne ne l’emploie jamais ! La limite entre productivité et prendre un peu de plaisir, c’est une éternelle discussion!

  8. Oguere

    21 septembre 2017 at 11:28

    Hello,

    Article plûtot cool mais je ne peut m’empêcher de rectifier quelque chose en tant que très gros fan de Metallica : Mustaine ne s’est pas fait virer parce qu’il n’était pas assez bon, d’ailleurs il dépasse de trèèès loin Kirk Hammett, son successeur (il suffit d’écouter n’importe quel album de megadeth pour s’en rendre compte). La raison de son renvoi, c’est que le groupe ne tolérait plus son comportement (accès de colère, excès d’alcool, ce genre de trucs). Par la suite il a simplement décidé de monter Megadeth pour se venger 😉

    • Sylvain

      21 septembre 2017 at 17:22

      Merci à toi pour la petite précision! C’est toujours bien de le savoir et de rendre à César ce qui appartient à césar 🙂

  9. Terence

    21 septembre 2017 at 16:14

    Salut la team,

    Quand on te dit « developpement personnel », quel est le livre qui te vient tout de suite en tête? (Hormis le tiens!!! ;p)

    • Sylvain

      21 septembre 2017 at 17:23

      Hello terence,

      Ce sera « le Manuel du Guerrier de la lumière » de Paulo Coelho pour moi 🙂

  10. godzilla

    23 septembre 2017 at 12:48

    Un passage qui me dérange c est celui ou on dit ‘ il a coucher avec des centaines filles , mais étais ce si important ? ‘ c est de la relativisarion pour affamés ..bien sur qu’ a un moment ce but était important , sinon il n aurait pas été fait..Oui quand on est repu..on peut très facilement avoir ces propos

    • Sylvain

      25 septembre 2017 at 17:55

      Hello Godzilla,

      Je crois que c’est quelque chose d’important sur le coup! Et une fois que c’est accompli, on se rend compte que ce n’est pas si épanouissant que cela et que l’on cherchait peut etre au mauvais endroit. Il ne s’agit pas de relativiser je pense mais de définir les vrais bons objectifs 🙂 Parfois, on tuerait pour avoir quelque chose et une fois qu’on l’a, bien c’est bof en fait!

  11. godzilla

    23 septembre 2017 at 13:02

    Oui mais c est trop facile..je veux coucher avec des centaines de femmes..et je n y arrive pas..et il faut se dire que ca n a aucune importance..non et non..

  12. jm

    11 octobre 2017 at 22:05

    quelqu’un sait si c’est difficile a lire en anglias?

    • Sélim

      12 octobre 2017 at 12:32

      Tout dépend de ton niveau d’anglais. Je me considère comme bilingue, donc pour moi, c’est juste un poil plus lent à lire, mais pas plus dur.

  13. Chupacabra

    12 octobre 2017 at 23:03

    Good l’article en plus j’ai faillit l’acheter,mais y’avait le livre de Sélim pas loin.
    Par contre Grosse tromperie sur Mustaine (Le fana chiant..)
    Dada s’est fait viré pour son addiction à la poudre,guitaristiquement c’était/c’est un vrai diable,d’une grande efficacité

    • Sylvain

      14 octobre 2017 at 12:44

      Merci pour la correction 🙂

  14. Adrien

    7 novembre 2017 at 12:25

    Bonjour

    citation :
    « Mais prochainement, je vous présenterai LE coup de coeur de l’année que j’aurais dû lire bien avant « Essentialism » de Greg Mc Keown ! »

    tu parles du coup de coeur de l’année mais je n’ai pas retrouvé d’articles sur le site : peux tu nous le donner ? (via un commentaire)
    Merci

  15. annity

    30 juillet 2019 at 20:49

    J’ai bien aimé. Je l’ai lu dans une épreuve et ça m’a aidée à lâcher prise, à envoyer chier tout ce qui ne m’était pas important et à affronter l’épreuve avec acceptation, parce que le mot m’en foutre me convenait à se moment pour y arriver, à lâcher prise, justement. Du développement personnel sans en être en somme.

    • Sylvain

      31 juillet 2019 at 11:24

      Hello,

      C’était sans doute ce dont tu avais besoin à ce moment précis 🙂

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