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Art de Séduire : Séduction

Maïa Mazaurette : La Sexperte la Plus Célèbre de France Répond à Notre Interview Exclusive !

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Lifestyle et réussite

Maïa Mazaurette : La Sexperte la Plus Célèbre de France Répond à Notre Interview Exclusive !

Maïa Mazaurette : La Sexperte la Plus Célèbre de France Répond à Notre Interview Exclusive !

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On inaugure cette semaine une série de 10 interviews (minimum) pour les 10 ans d’Artdeseduire.

J’ai tapé une femme dans ma vie, et il se trouve qu’il s’agit de la sexperte la plus connue des hommes en France, avec Brigitte Lahaie peut-être : découvrez l’interview de Maïa Mazaurette, la plume féminine qui parle de sexe aux hommes depuis plus de 15 ans.

1. Maïa Mazaurette, quel est votre parcours ? Comment êtes-vous devenue LA Sexperte de GQ, le magazine masculin de référence en France ?

Tout d’abord une chose : Sélim, j’adore quand tu me vouvoies alors qu’on se connaît depuis des années et qu’on s’est tapés dessus à coups de kick-boxing ET de sushis, ce qui tout de même, crée des liens.

Pour répondre à ta question, car je vais te tutoyer, hein, je suis tout simplement journaliste de formation – camerawoman, très précisément.

Je sors de l’ESJ de Lille, et après quelques années à France 3, j’ai rejoint les équipes de Playboy et Newlook, puis Fluctuat.net, puis GQ, France Inter, Le Monde – je ne te sors pas le CV complet, je crois avoir travaillé pour la moitié des médias existants ou inexistants.

Parce que j’ai trop de temps libre, j’ai aussi publié une bonne vingtaine de romans, essais, bandes dessinées, nouvelles (Wikipédia power)… bref je ne m’arrête pas et je termine actuellement mon prochain essai, qui va tabasser (mais si mais si).

Pour GQ en particulier, ils sont venus me chercher lors de la création du magazine. Je suis là depuis le numéro zéro, je tiens maintenant la dernière page, celle du contre-éditorial.

Ma chronique s’appelle « Conseils d’amie » parce que je suis une amie des hommes (c’était le titre de mon premier roman), ce qui me permet de leur taper dessus avec bienveillance quand il faut.

2. À quel moment vous vous dites « OK, je vais devenir sexperte, j’ai envie d’écrire sur le cul, sur les relations sentimentales, sur l’amour » ? D’ailleurs, comment vous vous présentez en général quand vous rencontrez de nouvelles personnes ?

Oh, à cinq ans je voulais devenir écrivain, à 14 ans j’écrivais des machins vaguement érotiques, donc j’ai mis le pied dans la porte dès que Playboy m’a laissée faire – il n’a pas fallu longtemps pour les convaincre. À l’époque (il y a une grosse douzaine d’années), cette spécialité journalistique n’existait pas.

Les pigistes se barraient aussi vite que possible pour rejoindre des médias « sérieux ». Mais moi, je trouve que le sexe est un sujet sérieux, et trivial, tragique, comique, politique, artistique, sociologique… donc il y a plutôt plus de libertés qu’ailleurs.

Pour obtenir le titre de sexperte (qui n’existait pas)… je ne suis tout simplement pas partie, alors que mes collègues partaient, parce que j’aimais ce champ intellectuel. C’est d’une simplicité toute bête mais ce métier, tu l’aimes de toutes tes forces ou tu dégages – parce que ça se voit.

Ceci dit, quand je me présente, je dis souvent « journaliste société » parce que ça m’évite de déballer mon CV. Avoir un métier qui attise la curiosité est un privilège, c’est aussi très ennuyeux en soirée parce que les gens veulent en parler, veulent tout savoir… et toi, ça fait mille fois que tu racontes la même histoire, et tu es curieuse des gens, donc tu bottes en touche.

Parler de ce job est important, de comment le sexe est devenu un sujet légitime – j’ai donné un cours à la fac de New York sur la question il n’y a même pas deux semaines !

Mais je radote tellement que j’avoue, par pure paresse, je peux mentir, bonjour, je suis experte-comptable à la Cogip.

Au moins comme ça je m’évacue de la conversation.

3. Pourquoi avoir choisi cette voie ? C’est quand même loin des rêves d’enfants plus traditionnels comme vétérinaire, princesse, pilote de chasse, etc., non ?

Comme expliqué plus tôt, je voulais être écrivain. Et je le suis.

D’ailleurs je ne suis pas journaliste (même si ma carte de presse me rend service) mais chroniqueuse : je suis payée pour donner mon opinion et qu’elle s’exprime avec des qualités littéraires qui ne sont pas celles du prix Goncourt mais qui valent quelque chose (on vend une signature, un style, un angle, une vision, on se vend soi-même).

Pour le dire clairement : être journaliste ne m’a jamais vraiment intéressée, c’est un peu trop technique. Il y a une poésie dans la chronique, de l’humour, parfois de la provocation.

Je peux me permettre de déballer des intuitions plutôt que des faits, des humeurs plutôt que seulement des statistiques.

Les journalistes font un boulot très humain mais la présentation reste formelle, alors que comme chroniqueuse, tu vas jusqu’au bout du subjectif. Donc tu t’exposes. Des fois tu t’en prends plein la gueule. C’est quelque chose que je vis très bien.

4. Question légitimité : à quel moment vous dites-vous « c’est OK pour une femme de guider des milliers d’hommes dans leur sexualité et leur vie affective » ?

Ça fait des millénaires que les hommes guident les femmes dans leur sexualité et leur vie affective. Ils continuent. Je ne vais pas m’excuser.

Pour moi d’ailleurs, la question ne se pose pas : c’est un pouvoir, je le prends, je ne demande pas la permission, et en toute franchise, il était temps que les femmes montent sur ce ring.

5. Comment encaissez-vous les reproches, les bad buzz, les attaques personnelles ?

Je suis sur Internet depuis 2002.

J’en ai entendu des vertes et des pas mûres. D’ailleurs il y a parfois un plaisir croustillant quand un détracteur (qui peut être une femme) trouve une nouvelle manière d’attaquer, tu te dis « ah tiens, on ne m’avait jamais fait ce coup-là ».

Mais après les menaces de mort ou de viol, les gens qui me disent que je suis pédophile et que j’ai le sida… bah, rien.

Les reproches n’ont jamais la moindre conséquence. Mon adresse personnelle est publique depuis dix ans et personne n’a jamais sonné à la porte.

Donc j’imagine que les lecteurs hyper-exaspérés ne le sont pas tant que ça. Il y a une part de jeu dans le hate-reading. J’écris donc je me donne à voir au monde : ça veut dire que je vais déplaire.

On n’est pas fichus de se mettre d’accord sur la recette de la tarte aux pommes, alors le sexe !

Ce serait même inquiétant qu’on ait un discours unique avec un ressenti formaté. Franchement, ça fait mille ans que je ne suis plus blessée par rien.

En ce moment c’est ma légitimité qui est mise en cause, et là aussi, je me marre : je n’ai pas de contrat, ni chez GQ, ni chez Le Monde.

Depuis neuf ans je n’ai pas de contrat, par choix, je suis une pure indépendante. Je peux me faire virer en trois secondes si quelqu’un fait mieux le job que moi.

Donc vraiment, si les gens veulent se débarrasser de moi, ils peuvent : en prenant ma place.

6. Que répondez-vous à ceux qui vous traitent de féministe qui essaie de castrer les hommes ? D’ailleurs, vous vous considérez comme féministe en mission d’éducation des hommes ?

Je suis une féministe radicale depuis mes seize ans. Engagée. Ensuite, éduquer, ça sonne comme de la rééducation. Donc non.

J’engage un dialogue avec mes lecteurs, en mes termes. Comme chroniqueuse je ne peux me targuer d’aucune position d’autorité.

Il y a certaines théories que j’avance pour être contredite – pour que les gens soient obligés de se faire leur propre opinion (ça c’est vraiment le côté incognito du boulot : je donne parfois des opinions ultra-brutales en sachant que c’est la question qui compte et pas la réponse – appelle ça de la manipulation si tu veux, mais de temps en temps, je le fais, il faut perturber ses lecteurs, les remuer, pas de manière gratuite mais constructive, pas pour leur imposer une vision… ça fait partie de comment je vois mon job).

Ensuite, je l’ai dit mille fois et je le répète : mon féminisme est la condition de mon amour des hommes.

Si je lis les news sans être féministe, sans avoir de cadre intellectuel, je comprends quoi ? Que les femmes sont violées, battues, tuées, mal payées, exploitées. Par des hommes. Le risque dans cette situation, c’est la haine.

Au moins en tant que féministe, je peux identifier le système plutôt que les individus, et proposer plutôt que me taper une dépression nerveuse. Tu ne me verras jamais écrire « les hommes sont des malades », parce qu’être féministe permet de penser « notre système est malade ».

Du coup, il n’y a ni revanche ni castration. Il y a même de l’optimisme.

7. Frustrée de ne parfois pas pouvoir tout expliquer, de ne pas pouvoir être dans la nuance la plus précise pour bien faire passer votre message ?

Pas du tout. Je suis une féministe radicale nuancée. Je crois qu’il y a des différences entre la théorie et la pratique, je crois à la fertilité de nos contradictions.

Je revendique le droit de penser deux choses opposées avec la même ferveur (si tu veux un exemple sans rapport avec notre sujet : je suis une athée ayant une intense relation avec l’idée de dieu).

Dès qu’on te demande de choisir une position dure, pour toujours, sans que ça puisse s’éroder ou s’écrouler ou se tordre, il y a un danger de totalitarisme intellectuel.

Avec GQ, le luxe ultime, c’est la durée. Je peux revenir douze fois sur le même sujet pour le creuser – je peux même changer d’avis !

Je n’ai aucun problème avec ça : la condition de mon honnêteté intellectuelle, c’est d’admettre quand je me trompe, ou quand je suis incertaine.

Je suis très à l’aise avec la contradiction (si elle ne commence pas par « salope »), et avec l’incertitude (qui me renforce plutôt qu’elle me fragilise).

8. Niveau écriture : avez-vous des rituels d’écriture bien précis ? Combien de temps représente le travail de préparation pour un article de sexactu par exemple ?

C’est difficile à dire. On n’arrête jamais vraiment de travailler.

J’écris beaucoup dans les transports en commun, je peux faire une semaine de blog en quelques heures, mais je réfléchis, je lis, je suis vigilante, je regarde et j’écoute autour de moi, tout le temps.

Normalement je travaille tôt le matin, mais cette nuit, c’était entre 3h et 6h, avant de retourner me coucher. Il n’y a pas de « temps de travail » (c’est aussi une raison pour laquelle je reste indépendante : je suis mille fois moins productive au bureau).

9. Comment LA blogueuse sexe trouve-t-elle l’inspiration ?

En lisant la presse, essentiellement étrangère, et en me confrontant à des expériences sans rapport avec mon sujet.

Je suis chroniqueuse, donc si je consomme les mêmes médias et loisirs que tout le monde, je vais aboutir aux mêmes conclusions – or je suis payée pour proposer quelque chose de différent.

Il est crucial de penser à-côté quitte à penser de travers. Je vois au moins trois expos d’art contemporain par semaine, depuis que je suis enfant.

Je suis assez fan de danse contemporaine. Je marche dans la nature, plusieurs heures par jour idéalement (je t’écris du Vaucluse).

Ce sont des moments de grande inspiration – j’en parle très rarement, mais pour moi, mieux vaut aller au musée que me taper un énième bouquin scientifique.

10. J’ai vu que vous veniez de finir l’écriture d’un nouvel ouvrage. En quoi est-ce que le travail d’écriture de Maïa Mazaurette la sexperte, quotidien, diffère de celui de l’auteure de livre ?

Le travail d’écrivain à mon sens est l’ultime ordalie : personne ne fait rien à ta place. Si tu bosses en équipe, tu peux prendre une pause de cinq minutes et que quelqu’un te remplace.

Le projet, au moins, avance d’un micron. Quand tu es auteur, rien. Jamais.

Chaque virgule, tu l’écris, tu la corriges, tu la défends. Donc ça dit quelque chose, pas forcément sur le talent, mais sur la persistance.

Que ça prenne dix jours ou dix ans, être auteur c’est finir quelque chose dans une responsabilité et une solitude totales – c’est pour ça que les dictatures n’aiment pas trop ce genre d’outsiders capables de prendre un risque chronophage, parfois absurde, pour quasiment rien en retour.

Là effectivement, je termine un marathon, douze heures par jour en bibliothèque, dans l’urgence, sans contrat, sans certitude à part la mienne, sans même en parler à personne avant la toute fin.

Il n’y avait plus trop de sommeil. Je mangeais des bouts de cookies en douce dans mon sac pour ne pas avoir à prendre des pauses.

Mais le résultat existe et il m’a fallu moins de 48 heures pour convaincre l’éditeur de mes rêves.

(Du coup, là, je suis vautrée dans la lumière du Sud, je me repose, je regarde les fleurs pousser. Avant les corrections.)

11. La question que nous nous posons tous… Est-il nécessaire d’avoir une grande expérience sexuelle pour devenir experte en sexualité et écrire sur le sujet ?

C’est mieux, mais ça a ses limites. L’expérience est aussi intellectuelle, émotionnelle, artistique, c’est aussi des fiascos et des fantasmes.

Tout ne peut pas passer par le corps. Quand je bossais pour Playboy, j’enchaînais les soirées échangistes, BDSM, les aventures… pour être franche, je n’ai pas l’impression que ça détermine mon point de vue aujourd’hui (les relations codifiées m’ennuient et rien n’est plus prémâché que le libertinage – si on a de l’imagination, une orgie, c’est la soirée la plus naze du monde, tout est tellement commodifié, tellement balisé, rien que d’y penser je m’endors sur mon clavier).

Disons qu’au moins, on ne pourra pas me reprocher de n’avoir pas essayé tel ou tel machin.

Ensuite, il faudrait me payer très cher pour que je retourne m’infliger des relations aussi tristes – des lieux sans dialogue, même sexuel, avec des conversations toujours intéressées, plates comme la mer morte, où tu ne rencontres personne et encore moins toi-même.

12. Cette année, Artdeseduire.com fête ses 10 ans en ligne. Quel est pour vous le changement le plus marquant dans les rapports amoureux et la séduction depuis 2007 ?

Tu veux la réponse honnête ? Depuis 2007 il ne s’est rien passé de déterminant.

On se parle un peu plus, mais mal, en râlant, en rabâchant, en se défendant – peut-être qu’on doit passer par cette période de remise au point pour avancer. Pour l’instant on doit surtout s’écouter.

Il ne se passera rien tant que les hommes, les femmes et les autres, ne s’écouteront pas inconditionnellement.

Sur le harcèlement, le domestique, l’ambition, les absurdités du genre, les pubs sexistes, les coups, les injustices, il faudrait que les hommes nous croient quand on leur parle de notre ressenti – et même si #notallmen, il y a une vraie surdité, une dissonance cognitive, une indifférence qui frise la sociopathie.

Il y a des hommes qui s’imaginent qu’un problème de femme, ça existe, comme si on existait dans des mondes imperméables – donc hello, la taxe-tampons ça vous regarde, parce que moi j’achète des capotes alors qu’à ma connaissance mon pénis n’a toujours pas poussé, et encore avant-hier je me faisais emmerder dans la rue, et les gars autour ont laissé faire.

Vous avez déjà lu la phrase précédente mille fois, et vous allez devoir vous la gaufrer encore mille fois, parce qu’avant-hier, #notallmen ont laissé un connard me suivre la nuit.

Il ne s’est rien passé depuis 2007 parce qu’on voudrait se parler et que #notallmen préfèrent planter sa tête dans du sable comme des autruches.

Vous voulez parler aux femmes ? Commencez par écouter, ça nous changera. Oh pardon, la formule est brutale ?

Bonjour, je m’appelle Maïa Mazaurette, je suis chroniqueuse, j’aime les hommes, je suis brutale parce que je crois que les hommes sont suffisamment intelligents pour comprendre que ma brutalité est une manière de les tirer vers moi.

13. Question bonus : une question que vous auriez aimé qu’on vous pose ?

Ma recette de la tarte aux pommes ? En fait, toutes tes questions sont intéressantes. J’aurais aimé quelque chose d’un peu flottant, voire d’un peu flotteux. Est-ce que ça va ? Il fait quel temps ? Tu prendras quoi ?

Alors : je préfère les biscottis italiens à la pistache, tout roule à part le manque de sommeil, les coquelicots sont en pleine éclosion, j’enfile mes baskets pour courir dans les collines, après quoi je prendrais volontiers un verre de Gigondas biodynamique qui sent la terre et le cuir.

Merci pour l’interview. Et à bientôt au kick-boxing.

Ainsi s’achève notre première longue interview pour les 10 ans du site Artdeseduire.com !

Retrouvez Maïa Mazaurette sur son compte twitter Sexactu,

Sur Sexactu directement

Et sur Le Monde.

Question aux lecteurs : 10 ans d’Artdeseduire, 10 interviews minimum, QUI AIMERIEZ-VOUS QUE NOUS INTERVIEWIONS ?

Sélim et la Team Artdeseduire

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48 Comments

48 Comments

  1. Rising

    13 avril 2017 at 14:55

    Hello la team.
    Et pourquoi pas une interview d’un acteur ?

    • Sylvain

      14 avril 2017 at 15:59

      A qui penses tu? 🙂

    • Dr House

      14 avril 2017 at 19:49

      Jean Claude Van Damme !!! En vidéo c’est encore mieux 🙂

      Sinon vous pouvez interroger un chef cuisiné , et lui demander quelques astuces pour préparer un repas simple et « efficace » à la maison lors d’un rendez vous
      histoire de mettre les petits plats dans les grands et de savoir d’en mettre plein la vue autrement qu’avec… 🙂
      Vous n’avez encore jamais parlé de ce sujet sur ADS il me semble . Ca peut être très intéressant.

    • don Diego de la Vega

      14 avril 2017 at 21:48

      Rocco Sifredi ?

    • Babaorum

      14 avril 2017 at 22:21

      Je suis presque sur que JCVD serait accessible en plus lol

    • Sélim

      15 avril 2017 at 19:01

      Compliqué d’avoir les acteurs hors période de promo…
      Je vais voir comment on peut faire ça !

    • AL

      14 avril 2017 at 23:31

      Niveau acteurs :
      Delon
      Belmondo
      Charlie Sheen (ou son pendant musical Mick Jaegger)
      Georges Clooney
      Ryan Gosling
      Jean Dujardin

    • AL

      14 avril 2017 at 23:35

      Oh ! Une interview des Dutronc Père et fils ! Je crois que personne l’a faite. On sait que le père était un séducteur, mais le fils ? A-t-il pris le même chemin, a-t-il voulu s’en détacher ? Je pense qu’il y a quelque chose de très sympa à faire (par contre, là, je veux clairement en être !)

    • Sélim

      15 avril 2017 at 19:02

      Ah ben ouais, là dès que ça parle de Jacques Dutronc, y’a du monde !
      (Mais pareil : une de mes priorités)
      Compliqué aussi, il parle peu, vit peacefully en Corse, et entouré de ses chats : autant vous dire que ça va être compliqué pour moi !

    • AL

      17 avril 2017 at 16:07

      C’est pour ça que je te propose mes services, Sélim ! Contacte-moi en privé, et je te fais ça aux petits oignons ! 😉

    • Sylvain

      16 avril 2017 at 14:20

      Hello,

      Erreur ! Sélim s’est déjà fort courageusement attaqué au sujet ici : http://www.artdeseduire.com/premier-rendez-vous/inviter-une-fille-a-diner-chez-soi

      Cela dit, bonne idée un chef! Une interview croisé cuisine et séduction, je serais intéressé de voir ce qu’il pourrait en sortir 🙂

    • Dr House

      17 avril 2017 at 00:26

      Ah j’avais pas vu cet article 🙂

      Personnellement , j’aime bien cuisiner , pour l’instant je reste à des plats classiques voire très classiques mais je compte bien travailler mon originalité dans ce domaine:) Donc si on peut avoir quelques astuces dans cet interview , si elle est réalisé , ça serait top

    • Sylvain

      17 avril 2017 at 21:18

      Oui moi aussi, je m y mets, c’est une bonne piste de développement personnel ! On vous tient au courant!

  2. Dr House

    13 avril 2017 at 15:07

    Oula , on passe d’un extrême à l’autre avec l’article d’Aurélien .

    J’ai vraiment l’impression qu’on cherche à plaire avec ce genre d’interview qui n’est pas utile à mon sens. On le voit avec ce genre de conseils , : demander à sa partenaire si elle est consentante alors que ça fait 10min qu’on est en elle… On devine tout de suite l’efficacité des conseils .

    Concernant son féminisme , ça aurait été bien de savoir pourquoi elle l’est histoire d’approfondir la chose parce que c’est bien beau de dire , il n’y a pas d’égalités et tous ce ramassis de mes deux puisque des vraies études ont montrer tout autre chose. Bon après j’avoue cette pleurniche c’est bien , ça permet d’en profiter beaucoup . C’est après tout comme les femmes qui profitent des hommes , cela ne me gêne pas ou plus vraiment . Plus de pitié c’est visiblement chacun pour sa pomme.

    Sinon j’ai pu assister à la conversion de 3 filles devenus féministes . Dommage ça confirme ce que je pensais , absolument rien dans le cerveau malheureusement (mais ça c’est pas grave ), plutôt mal dans leur peau et pas forcément apprécier dans la vie de tous les jours , c’est dommage , j’en ai pas vu une se soucier aussi des hommes à n’importe quels moments malgré les paroles ( en l’air )…

    • Rom1

      13 avril 2017 at 20:15

      Haha ! #notallmen ne fut pas long à réagir.
      Fallait-il qu’il se sente en danger pour se hâter à ce point de nous faire partager son vide cérébral.
      Mon dieu, une femme parle de ses expériences réelles et de sa vision du monde qui en découle : vite, #notallmen se doit d’intervenir pour la dénigrer – car lui SAIT. Il est le mâle après tout.

    • Babaorum

      14 avril 2017 at 15:57

      C’est quoi notallmen ?

    • Sylvain

      14 avril 2017 at 16:06

      Hello Babaorum,

      Je l’ignorais également. Un hashtag utilisé dans les cénacles féministes. Tu en trouveras la signification par une simple recherche google 🙂

    • Dr House

      14 avril 2017 at 19:20

      « Mon dieu, une femme parle de ses expériences réelles et de sa vision du monde qui en découle : vite, #notallmen se doit d’intervenir pour la dénigrer – car lui SAIT. Il est le mâle après tout. »

      Bon déjà où est-ce que tu as vu que je savais tout ? Je sais que mon pseudo découle de certaines capacités cognitives au-dessus de la moyenne mais je ne prétends pas tout savoir .

       » son vide cérébral. »

      Bon je vois de quelle type il s’agit , un excité du web près à censurer toutes les vidéos, articles à argument constructif qui va à l’encontre de sa petite pensée .Malheureusement , ce type de personnes l’ouvrent beaucoup beaucoup moins dans la vie de tous les jours au risque de prendre une bonne grosse branlée par un hétéro mal-cis blanc .

      « Fallait-il qu’il se sente en danger pour se hâter à ce point de nous faire partager  »

      Bon sinon qu’est-ce qui ta poussé à devenir féministe ? J’aimerai bien savoir pourquoi , parce qu’à part balancer des privates jokes féministes (#notallmen) tu n’as rien dit qui puisse faire avancer le débat…

    • Sélim

      15 avril 2017 at 19:06

      Hello Dr House !
      Artdeseduire, c’est le royaume de la curiosité.
      On ne passe pas d’un extrême à l’autre, puisque Maïa n’est pas là pour donner des conseils. Elle répond à des questions. Mais n’a pas vocation à coacher ici, dans ces colonnes. Elle le dit elle-même : elle écrit.
      Ici chez Artdeseduire, ça fait dix ans qu’on est présent, qu’on coache, qu’on guide, en face à face.
      On ne fait pas vraiment le même métier.
      Mais vu qu’elle compte dans le cerveau des hommes, vu qu’elle écrit pour un des médias masculins de référence, il me semblait important de savoir « qui se cachait » derrière la plume de Maïa Mazaurette.
      Et à titre personnel, c’est une femme que j’apprécie vraiment, même si elle sait que je ne lis pas tous ses écrits, et que je ne suis pas toujours d’accord. On n’a pas besoin d’être d’accord avec ce qu’elle écrit pour la présenter.

      Bonne lecture à toi 🙂

    • Dr House

      16 avril 2017 at 00:43

      Salut Sélim ,

      Il ne s’agit pas de ne pas être d’accord , je m’en fous de ça puisque si tout le monde était d’accord , il n’y aurait jamais de débat , de discussion. Concernant la curiosité et particulièrement la mienne , je l’avais déjà avant de venir (heureusement) . Petite anecdote , c’est en me cultivant , en écoutant divers propos avec preuves à l’appui que j’ai pu me faire idée du féminisme . Avant je pensais que c’était pour lutter pour le droit des femmes parce que les femmes ne touchaient pas le même salaire à travail égal ET DIPLOME EGAL… Je pensais qu’on vivait ou du moins pouvait vivre dans un monde de bisounours… 🙂

      Pour revenir à ses conseils que j’ai lu pour me faire un avis, bah c’est pas terrible:
      « A la rigueur, votre pénis, il sert à vous reproduire, et à l’ère moderne, vous pourriez ne pas avoir de pénis du tout » #nobiteman

      En dehors de cette volonté de castrer les hommes , on voit tout de suite qu’on a affaire à une personne d’un égoïsme assez flagrant puisque le message indirect de la phrase c’est pour moi  » donner des orgasmes aux femmes, le votre en s’en tape » puisque tout le monde c’est que sans pénis un homme ne peut pas jouir.
      Au passage pour une femme qui prône le naturel « physique »( c’est à dire pas de chirurgie puisqu’il faut savoir s’aimer) , c’est propos sont assez contradictoires quand il s’agit des hommes… Et ça se dit anti-sexiste bizarrement… 🙂

      Dans l’article, si j’ai bien compris , elle dit qu’elle s’est fait harcelé dans la rue et reproche qu’aucun #notallmen ( sur qui elle crache à longueur d’articles ) ne l’aie défendu . J’ai quand même du mal à imaginer un « personnage » qui avait un sexe masculin décide de porter ses couilles et d’aller défendre une personne harcelée….
      Je ne connais pas trop ce que font les effets secondaires de la chirurgie pour s’enlever le pénis mais en tous ce qui donne une certaine force, énergie à l’homme , la testostérone , doit prendre à sacrer coup…

      « Mais vu qu’elle compte dans le cerveau des hommes, vu qu’elle écrit pour un des médias masculins de référence, »

      Désolée mais ça saurait si les hommes deviennent des bêtes de sexe grâce au journal Le Monde 🙂

      C’est bien beau de dire que les hommes sont d’une « surdité » , que c’est toujours de leur faute , qu’ils ne savent pas baisé, que c’est la faute du patriarcat … mais il faut savoir se remettre en question un peu…

      J’ai donc l’impression qu’au lieu d’avoir à faire à un féminisme à la Veil (IVG….) ,on a affaire à un féminisme à la De Beauvoir lui permettant d’avoir une place importante dans le sytème par piston grâce à son statut sociale… Tout ça me rappelle Macron , ça tape sur le système , ça se dit anti-système mais ça profite en même temps du système…

      P.S: Concernant les #notallmen qui mettent la tête dans le sable… C’est pas bien mais moi j’ai plus l’impression que c’est le contraire puisque dès que je veux prouver qu’il y a anguille sous roches , ça fuit… Mais j’attends la réponse des #noballsmen qui l’ouvre sans argument pour l’instant… 🙂

  3. Cassandre

    13 avril 2017 at 17:05

    Ah Maïa !

    Mon idole (avec Agnès Giard et quelques autres) !

    La lecture de ses billets, dans le monde ou sur GQ, sont un vrai moment de bonheur. Dans un monde où l’on voudrait tout normaliser (où, quand, comment et avec qui) et même la transgression, lire ça : http://www.gqmagazine.fr/sexactu/articles/le-point-g-pour-les-nuls/9761 fait un bien énoooorme !

    Merci mille fois !

    • Sylvain

      14 avril 2017 at 16:08

      En plus elle fait du Kick boxing! Mais c’est mixte un cours de boxe pour qu’elle se soit entrainée avec Sélim? 🙂 🙂 🙂

    • Sélim

      15 avril 2017 at 19:08

      Hello Sylvain !
      C’était une initiation au self-defense, un cours très sympa avec l’ADAC.
      Article à relire ici : « Comment se défendre en soirée ? » http://www.artdeseduire.com/dynamiques-sociales/comment-reagir-face-violence-autodefense

  4. Youssef

    13 avril 2017 at 18:53

    J’adore cette nana et l’interview, merci! J’espère aussi que le « Dr House » ci-dessus se trouvera une meuf qui veuille bien de lui un jour, parce qu’il a l’air d’en avoir besoin.

    • Cassandre

      14 avril 2017 at 17:25

      Non Youssef,

      Aucune nana (pas même Cruella) ne mérite ça 🙂

    • Dr House

      14 avril 2017 at 19:36

      Inch Allah comme on dit ! (Inch Allah marche mieux que le développement personnel , j’en suis convaincu…)

      Et woualla je m’attendais à ce que tu développes un peu plus… c’est pas correct

      @sexe inférieur

      Ta fille mérite peut être ça non… moi j’adore les gosses

      Mais sinon j’ai bien vu que tu es bidon , tu te fais ridiculiser sur le forum par certains membres qui te prouvent que ta vision des relations HF est bidon et tu prends même pas le temps de discuter avec , tu préfères ignorer parce que c’est vrai « les chiens aboient , la caravane passe » et que l’ignorance est le plus grand mépris… Mais bon ,toi , tu préfères menacer ton mari , c’est vrai que c’est jouissif d’avoir le pouvoir sur l’autre . Allez fais moi plaisir , une petite menace ce soir pour l’autre , histoire d’avoir un bon gros restaurant chic demain soir !

    • Sylvain

      16 avril 2017 at 14:16

      …Je ne sais pas de quoi vous parlez mais on va essayer de rester courtois et constructif hein!

    • Dr House

      17 avril 2017 at 00:09

      Courtois ?! Tout à fait dans mes cordes, je ne suis pas réputée pour avoir le sang chaud moi 🙂
      J’espère juste que son commentaire aussi constructif soit-il (surdité , dissonance cognitive aussi ?! #notallmen) , lui ai fait du bien 🙂

      #onvisebas

    • Sylvain

      17 avril 2017 at 21:17

      Comme Thibaut!

  5. don Diego de la Vega

    13 avril 2017 at 22:34

    Une interview de Selim par les lecteurs et/ou le forum.

    Un saut sans filet vieux, ON sélectionne les questions 😉
    Si ça te branche, go MP sur le forum.

    • Juan (Cristobal)

      14 avril 2017 at 12:33

      Ne lui faites pas des questions trop compliquées, sinon il ne va pas les comprendre.

    • Sélim

      14 avril 2017 at 19:32

      Je pas comprendre. Je suis un peu léger à l’intérieur de la tête, vous savez

  6. Babaorum

    13 avril 2017 at 23:40

    Maia Mazaurette : Que de souvenirs. Je suivais ses articles dans GQ et ait été amusé de ceux parlant des sites de séductions et des PUA à une certaines époques.
    🙂

    • Sylvain

      14 avril 2017 at 16:11

      Allez je me remets à la lire aussi! Depuis le temps que l’on m’en parle!

  7. Lenal'airderien

    14 avril 2017 at 07:09

    Hello, Trop de bla bla bla bla …

    Les féministes d’aujourd’hui , je peux pas les saquer…

    • Babaorum

      14 avril 2017 at 15:58

      C’est une écriveuse, c’est normal non ?

    • Lenal'airderien

      14 avril 2017 at 20:11

      Babaorum,

      Une fait « chier » les mecs quoi….

      Je suis une femme , je jure que par Simone de Beauvoir, Marguerite Yourcenar…. Les féministes d’aujourd’hui sont dans une dynamique …. »Le cassage de mec gratos »…

    • Sylvain

      16 avril 2017 at 14:26

      Hello Lena,

      A lire : les Mémoires d’Hadrien, livre fascinant 🙂

    • Dr House

      14 avril 2017 at 19:38

      Tu as oublié de dire que tu étais une FEMME , c’est important pour les philosophes du 21ème siècle ! Voltaire , Rousseau… sont bidon à côté

  8. Rising

    14 avril 2017 at 21:25

    @ Sylvain : je pensais à Tom Cruise mais aussi à Sylvester Stalone ou encore Gerard Depardieu. Qu’en penses tu ?

    • Babaorum

      14 avril 2017 at 22:44

      Cela fait penser qux tomcast de thomas Clément. Il avait meme réussi à interviewer renaud

    • Sélim

      15 avril 2017 at 19:11

      J’aime beaucoup Thomas !
      Il fut un des précurseurs du genre.
      Interviewer Tom Cruise, c’est pareil les gars, je crois que vous ne visualisez pas bien la vie des stars de ce niveau.
      Pas une minute à eux, ils ne donnent des interviews qu’aux gros fat énormes média, sélectionnés par les attachés de presse pour la promo des films etc…
      On a beau être leader sur le conseil en séduction aux hommes en France et dans la francophonie, on reste des nains de jardin par rapport aux supports où vous pouvez voir les stars habituellement. (Mais c’est pas pour ça qu’on va baisser les bras. COEUR Tom Cruise et Sylvester Stallone !)

    • AL

      17 avril 2017 at 16:11

      « on reste des nains de jardin »

      Du coup, pour Tom Cruise, vous êtes raccord XD
      (Pour Sly, passe par ses filles instagrameuses, non ? 😉 Sauras-tu les séduire pour atteindre leur père ? ;P )

    • Babaorum

      17 avril 2017 at 20:42

      Le vrai problème avec Tom c’est qu’un moment donné, il voudra sans doute parler de sa religion . Ceci dit, on peut couper cette partie.

  9. Stef

    19 avril 2017 at 11:25

    Un article qui m’a fait beaucoup rire. Non pas par son contenu mais plutôt suite aux réactions de chacun, légitimes pour chacune car nous nous exprimons avec notre vécu.
    Je découvre Maïa Mazaurette. Ses propos ne m’intéresse guerre. J’y voit tout au plus quelqu’un de cultivé sur beaucoup de sujet, et à qui on à laissé la liberté d’écrire ce que bon lui semble, mais je respecte sa pensée.
    Je suis un homme et pour ma part, je constate qu’il y à un réel problème d’équité dans notre société entre l’homme et la femme, et je suis POUR l’équité à tous les niveaux.
    En revanche, je ne suis pas sûr que les féministes défendent la cause de la femme dans le bon sens. Souvent mais pas systématiquement (je ne généralise pas hein) elles ne sont que haine et rancoeur vis à vis du sexe masculin.
    Compréhensible pourrait on penser aux vues des millénaires de domination masculine.
    Quand je lis ton interview Sélim, j’ai l’impression qu’elle génralise sur les hommes. Je me trompe peut être mais on dirait que tous les mecs sont pareils à ses yeux. Moi je trouve au contraire que les mentalités évoluent. Beaucoup de gars se mettent au ménage, donnent un coup de main à la maison, s’occupent des enfants, chose impensable il y à 30 ans.
    Bien sûr il y a les réfractaires. Mais ceux là sont voués à l’extinction, et ça l’histoire le prouve. Ceux qui n’arrivent pas à s’adapter meurent. La sélection naturelle.

    Une anecdote. Il y avait une pub qui passait il y a quelque année ou on voyait Michèle Laroque (actrice géniale et superbe) qui arrivait sur une plage avec un monospace. Elle ouvre la porte arrière et envoi un frisbee. Un gars blond, mèché genre surfeur en sort pour aller le chercher tel un clébard. J’éclate de rire en voyant cette pub. Ma femme me regarde surprise et me dit « tu vois, la différence entre les mecs et les nanas est là ». La même pub avec une femme et le MLF se soulève comme une armée.
    Je comprends les femmes qui ont dés revendications et heureusement qu’elles sont là pour se faire entendre. C’est légitime. Mais je vais te rappeler une phrase que j’ai dite il y à quelques années et que tu avais aimé. « Si les femmes aiment les hommes, c’est parce que ce ne sont pas des femmes ».

    Continuez, je me régale de vous lire. J’en apprends beaucoup.

    Un « vieux » de 44 ans.

    • Sylvain

      20 avril 2017 at 08:17

      Merci Stef pour ton petit témoignage plein de sagesse 🙂 le problème des féministes, c’est qu’elle ne voit la vie qu’à travers le prisme du féminisme. Donc à force d’être monomaniaque, tu finis par voir de la société patriarcale partout et surtout là où il n y en a plus.

    • Stef

      20 avril 2017 at 10:12

      Là ou je m’étouffe, c’est quand je lis le passage ou « il faut les écouter, ça les changera ». Je la soupçonne de faire une peu de provoc pour faire tourner son commerce..
      Comme tu le dis si bien Sylvain elles ont une vision de leur idéal ou réalité peu importe, au travers d’un prisme. Et la vue y est étroite.
      Même si l’idée est louable au départ, le souci avec ceux qui défendent une cause, c’est qu’ils sont souvent extrémistes et jusque boutistes.
      Ne dit on pas que nos actes et nos pensées sont conditionnées par notre vécu?
      les choses changent. Doucement mais elles changent.
      Il ne faut oublier non plus que les plus belles odes aux femmes viennent des hommes.

    • Sylvain

      20 avril 2017 at 11:38

      De toute façon, dans la vie, on trouve ce que l’on cherche. Donc quand on cherche à trouver du sexisme dans tout, on en trouve dans tout. 🙂

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