Connect with us

Art de Séduire : Séduction

Conversation : Ces 15 Cartons Rouges qui vous Plombent Avec Les Filles

erreurs dans la conversation

Technique de drague

Conversation : Ces 15 Cartons Rouges qui vous Plombent Avec Les Filles

Conversation : Ces 15 Cartons Rouges qui vous Plombent Avec Les Filles


Trop souvent délaissé au profit du physique ou du lifestyle, l’art de la conversation offre pourtant à tout un chacun une considérable marge de progression en matière de relationnel et de séduction.

Reste que si les mots peuvent vous ouvrir bien des portes, encore faut-il ne pas vous voir taxé « d’ennuyeux » une fois la parole prise, tant ce défaut est considéré comme des plus repoussants en société – à commencer par les femmes.

Bonne nouvelle, il existe toute une batterie de mauvaises habitudes à la fois simples à repérer et plutôt faciles à éliminer pour quiconque souhaite un jour briller par sa légèreté et sa capacité à divertir.

Les voici détaillées.

1. Vous n’avez pas conscience que vous plombez l‘ambiance

Personne ne vous relance, personne ne vous regarde, personne même ne vous contredit ?

Les seuls retours que vous récoltez sont des rires pas très francs du collier, des questions purement factuelles longues de quelques mots à peine, ou le toujours trompeur « nan mais c’est intéressant » ?

Sitôt votre tirade terminée, vos interlocuteurs se redressent et changent abruptement de sujet de conversation ?

Pour vous et pour les autres, merci de désormais faire l’effort de vous attarder sur ces détails qui n’en sont pas.

2. Vous vous embourbez dans des sujets qui n’intéressent personne ou presque

C’est bien souvent le problème des gens passionnés : emportés par leur fougue, ils présupposent que ce qui les intéresse intéresse de facto le reste du monde. S’en suivent alors des monologues d’outre-tombe auxquels il est bien difficile d’échapper.

Tous les centres d’intérêts ne se valent pas aux yeux des autres : ce qui touche à la technique (informatique, médecine, photographie…), aux questions existentielles ou à la politique tend à en rebuter plus d’un de par leur simple évocation.

Il existe bien sûr des exceptions, mais à vous de vous assurer de tâter le terrain (cf. le point précédent) avant de partir bille en tête.

3. Vous voulez toujours avoir raison

De l’égo, tout le monde en a. S’il s’exprime différemment selon les tempéraments, il est une constante : personne n‘accepte d’abandonner de sa souveraineté sans conséquence, et ce d’autant plus à la face des autres.

À trop vouloir marcher sur votre interlocuteur, ce dernier gardera en mémoire non pas votre sens implacable de la logique ou votre incommensurable culture, mais un sentiment d’amertume et de revanche.

Repensez à toutes ces fois où l’un de vos potes s’est acharné jusqu’à plus soif de vous convaincre de son avis sur un film, sur un phénomène de société, sur une interaction…

Une conversation ne se résume pas un combat de coqs, ayez l’élégance de reconnaître vos torts, ou tout du moins de laisser à autrui le sentiment de vous avoir convaincu (les femmes font généralement ça très bien).

[Pouvoir de la suggestion > pouvoir de la persuasion.]

4. Vous abusez de votre répartie

Là encore l’idée n’est pas de prendre systématiquement le dessus ou d’avoir le dernier mot, car là encore tout cela se révèle plus contre-productif qu’autre chose.

La répartie c’est placer le bon mot au bon moment, pas jouer au roquet – surtout que d’un point de vue extérieur à trop vouloir enchaîner les répliques, les vannes ou les figures de style, il se peut que vous ne soyez pas aussi pertinent et caustique que vous pensez l’être.

5. Vous vous permettez de donner des conseils non sollicités

La prochaine fois que vous vous étonnez qu’une personne (à la salle ou ailleurs) à qui vous avez gracieusement dispensé des leçons de vie n’en ait guère tenu compte, remémorez-vous cette fois où vous cherchiez empathie et validation et où vous vous êtes retrouvé face à quelqu’un qui d’un coup d’un seul s’est pris pour votre daron.

Le seul cas de figure où il est admis de prodiguer des conseils c’est lorsque l’on vous en demande. Point.

6. Vous vous parez ouvertement de qualités qu’il ne vous appartient pas de vous attribuer

Alors non seulement vous êtes drôle, attentionné et généreux, mais la vie vous ayant particulièrement gâté, vous voilà également modeste et tolérant.

Du coup un peu comme les vegans qui passent leur temps à faire savoir qu’ils sont vegans, vous ne manquez jamais une occasion de donner dans l’auto-promo.

Comment ça il y en a qui toussent au fond de la salle ?

« Si nous étions vraiment ce que nous croyons être, personne ne nous reconnaîtrait plus. » Charles Régismanset

7. Vous ne vous enthousiasmez que trop peu

Mué par le désir de passer pour le type au-dessus de tout que rien n’atteint, vous la jouez blasé en toute circonstance. Rien ne trouve jamais vraiment grâce à vos yeux, l’expression « ça peut aller » revenant sans cesse dans votre bouche.

Aucun élan, aucune ferveur, aucun engouement… un peu de vie que diable ! L’empathie c’est avant tout une question de « feeling » comme les filles elles disent.

8. Votre voix ne transmet aucune émotion

Flow monocorde, phrases qui s’éternisent, silences entre chaque ligne… ce ne sont pas des mots qui sortent de votre bouche mais un ronron d’ennui.

C’est d’autant plus dommage que la voix constitue un véritable trait d’union entre vous et votre interlocuteur. Vecteur de nuances, le ton employé permet d’intensifier votre récit en y ajoutant ce qu’il faut d’humour, de sarcasme ou de complicité.

Un peu de vie que diable ! (bis)

[Note : le meilleur moyen de détecter un manque de sincérité ? Repérer quand la voix monte dans les aigus.]

9. Vous soulignez constamment le négatif

À votre retour de vacances, vous commencez par raconter que la piscine de l’hôtel fermait le mardi matin. Le lendemain de soirée, le premier truc qui vous vient à l’esprit c’est le temps qu’il vous a fallu pour être servi au bar. Et si vos potes vous demandent comment s’est passé votre date, vous vous empressez de souligner que mademoiselle s’est pointée avec un lacet défait.

Cela vous parait ridicule (et chiant) énoncé de la sorte ? Ce n’est pas une vue de l’esprit.

Plutôt que de vous voir accoler l’étiquette de porteur de mauvaises nouvelles (le groupe ayant vite fait de brûler le messager), convertissez-vous aux vertus du verre à moitié plein.

10. Vous parlez trop de vous

vous ne parlez que de vous

Peut-être serait-il de bon ton avant de rentrer dans le détail de votre quotidien d’attendre que l’on vous ait effectivement demandé de rentrer dans le détail de votre quotidien ?

Certes parler de vous procure un plaisir incomparable, mais tout ramener à vous tout le temps n’attire au mieux l’oreille que de quelques esprits faibles – quand le reste du monde en profite pour checker compulsivement son téléphone.

Et le narcissisme ambiant qui règne chaque jour un peu plus ne fait qu’accentuer la tendance : ce qui intéresse c’est de parler de soi à autrui, pas d’entendre autrui parler de lui.

11. Vous ne parlez pas assez de vous

Pour établir une connexion, il est nécessaire de bâtir des ponts – et ce n’est pas être pudique que de jouer au mur, cela oscillerait plutôt quelque part entre manque de correction et le manque de confiance en soi.

Références, ressentis, centres d’intérêts… tout cela ne se débusque qu’en se dévoilant un minimum.

À vous de trouver l’équilibre avec le point précédent.

À vous également d’apprendre à parler de vous en donnant envie aux autres d’en savoir plus – typiquement apprenez à expliquer votre boulot en quelques mots, à teaser vos hobbys, à laisser entrapercevoir des points communs, etc.

12. Vous ne proposez aucune valeur ajoutée

Difficile de stimuler l’intellect de vos interlocuteurs si sur les sujets auxquels tout le monde s’intéresse vous pensez comme tout le monde.

Personne ne vous demande de tout savoir sur tout (bien au contraire, n’ayez pas peur de manquer quelques trains et de laisser ensuite le soin aux autres de vous en apprendre plus, cf. point numéro 3), mais quand vient votre tour de vous exprimer, être un minimum clivant ou original permet de vous démarquer.

À vous d’aiguiser vos opinions, de diversifier vos sources, voire de « penser contre vous-même » si besoin est.

13. Vous vous répétez

Dieu que c’est agaçant de s’entendre ressasser deux, trois, quatre fois la même chose dans une même conversation. À croire que celui qui vous parle tient absolument à vous faire passer pour un débile.

[Notez et ce n’est pas innocent que le montage des émissions de téléréalité fonctionne sur ce principe.]

Remarquez que si ce dernier venait à prendre conscience qu’il donne par-là l’impression (voir plus que l’impression) de n’avoir rien à dire, il cesserait sur le champ de radoter.

14. Vous vous en tenez aux faits

Le relationnel c’est avant tout une question d’émotions chez cet animal politique qu’est l’être humain.

Ne résumez donc pas vos anecdotes à leur caractère informatif (« Je suis allé là », « J’ai fait ça »), mais donnez leur corps en les enrichissant avec votre ressenti, votre vocabulaire, votre sens de l’observation…

Là encore, il s’agit de vous connecter à votre auditoire, de l’inclure dans le fil de votre récit.

Bonus : plus vous intensifiez votre storytelling, plus vous essaimez des « petits cailloux de conversation », alias ces portes ouvertes qui à tout moment permettent de s’adonner aux joies de la digression.

15. Vous attendez que l’échange se termine de lui-même

Le souvenir que garde de vous votre interlocuteur est en grande partie corrélé à la dernière image que vous lui laissez.

Quand les signaux d’intérêts passent à l’orange (baisse d’intensité, apparition de blancs, heure qui avance… quand le badinage vire au bavardage quoi), ne prenez pas le risque de terminer un ton en dessous.

Soyez celui qui crée le manque en décidant de mettre fin aux débats, non pas de manière sèche, mais en remerciant chacun pour la qualité du moment passé.

Aurélien. « Ma tchatche est brossée, tous mes mots sont cadrés. »

Continue Reading
19 Comments

19 Comments

  1. Clem 2.0

    16 mars 2018 at 17:51

    Article fort sympa, je pense que les points 7, 8, 11, 12 et surtout 14 sont à travailler pour ma part … Et c’est pas simple du tout.
    À propos du 14, sur l’émotionnel tout ça, transmettre quelque chose, faire vivre quelque chose de fort à la fille, j’ai une question :

    Quand je sors avec une fille que ce soit ciné, animalerie, planétarium ou autre, bah ça se passe bien, on parle, on rit mais il me manque ce truc … ce truc qui lui véhiculera des émotions, ce truc qui fera que j’aurais réussi à lui faire vivre des émotions fortes (et je ne parle pas d’attraction ou de montagnes russes), qu’avec moi elle aura vécu un moment fort, qu’elle ne s’ennuiera pas)

    Alors, ça veut dire quoi faire vivre des émotions ? Parce que c’est bien beau de la faire rire mais c’est pas ça qui lui fera vivre des émotions fortes, c’est pas l’emmener au karting en 1er rdv plutôt qu’au ciné qui lui fera vivre quelque chose de fort, alors c’est quoi ? j’en connais qui me disait qu’elles passaient leur temps à regarder des séries avec leur copain limite sans se parler, et pourtant elles ne s’ennuyaient pas …
    Du coup, comment on leur fait vivre quelque chose de fort en sortie ciné ? Comment on fait pour pas qu’elles s’ennuient autour d’un verre (mis à part la discussion parce que c’est possible de parler de choses intéressante, de rire mais de s’ennuyer quand même à priori) ? Comment on peut leur transmettre quelque chose de fort pour qu’elles se souviennent de nous ? Pour qu’elle ressente ce feeling qui fera qu’elle aura envie d’être avec nous, qu’elle aura ce truc en plus ?

    Même par message on fait ça comment ? (Même si là j’y arrive mieux, en général avec la sexualisation, faut juste que j’arrive à faire dériver le sujet vers un peut de sexu et là je suis lancé ^^)

    Je sèche complètement sur la question, j’avais vraiment l’impression de faire de bonnes choses jusqu’à ce que je me rende compte que … non ^^
    J’essayais de faire des sorties originales, de faire rire, mais à priori ça ne suffit pas pour vivre un moment riche en émotions … disons qu’il y a faire des choses et vivre des choses et moi je ne faisais que faire des choses avec elle
    Et comme on le sait, les filles fonctionnent à l’émotion (il me semble) donc plus j’arriverais à en véhiculer, plus j’augmenterais mes chances d’arriver quelque part en toute logique… mais je ne sais pas par quel bout prendre ça

    Que ce soit, Sélim, Sylvain, Aurélien, ou tout autre personne qui saurait comment m’aider, si vous avez des éléments de réponse je suis preneur, je prends tout !
    Merci

    • BP

      16 mars 2018 at 22:13

      Je me greffe à ton commentaire déjà bien développé pour reprendre la même question: je perçois bien que je n’ai pas le résultat, notamment sur ces points relevés par Clém, mais comment faire sur le plan technique pour les améliorer ?
      Sur les points 7 et 8 notamment, est-ce qu’il s’agit de chercher un travail vocal ou de théâtre pour apprendre à jouer sur les intonations, etc ? (potentiellement la base d’un autre article ?)

      Merci d’avance !

    • Aurélien

      17 mars 2018 at 10:58

      Salut Clem 2.0,

      À te lire il semblerait que émotions = rire, alors que ce n’est qu’une émotion parmi tant d’autres.

      [Attention, à trop les faire rire tu passes pour un clown et/ou un meilleur ami.]

      Conseil : bosse ton storytelling. Entraîne toi à raconter des histoires et à parler de toi en faisant vivre tes récits. Pimpe ton langage verbal : ajoute des remarques, des digressions, des ressentis, laisse la porte ouverte à d’autres sujets, au surgissement de points communs… n’hésite pas à t’entrainer au calme chez toi.

      #17 ici : http://www.artdeseduire.com/lifestyle-et-reussite/faire-premiere-impression

      PS : « j’en connais qui me disait qu’elles passaient leur temps à regarder des séries avec leur copain limite sans se parler, et pourtant elles ne s’ennuyaient pas » Et après il y en a qui s’étonnent de finir cocus…

      Bien à toi,
      A.

    • Clem 2.0

      17 mars 2018 at 14:11

      Mhh non c’est pas ce que je voulais dire, juste selon certains, ça passe par le rire, selon d’autres ça passe par une grosse sexualisation (ce qui n’est pas totalement vrai puisque je couchais avec mais ça ne l’a pas empêchée de ne pas réussir à s’imaginer avec moi), pour d’autres le storytelling effectivement.
      Maintenant, ce que tu me dis, c’est bien ce que je pensais, je me demandais s’il n’y aurait pas d’autres choses à faire pour progresser mieux encore mais du coup, je vais faire ça, je ne sais pas trop comment commencer mais je vais le faire, je bosserais ça.
      Merci

      PS à vous deux : il y a surtout une fille qui m’a raconté ça et elle ne l’a jamais trompé, d’ailleurs je me suis mal exprimé, j’aurais du dire : « elle ne s’ennuyait pas AVEC LUI »

      Un ptit conseil perso AL ? :p

    • AL

      17 mars 2018 at 15:42

      Clem,

      Ce qu’on essaye de t’expliquer avec Aurélien c’est que les gens regardent la télé parce qu’ils s’ennuient !

    • Clem 2.0

      17 mars 2018 at 16:58

      D’accord, je note, et je suis d’accord avec vous au fond, mais ça au pire je m’en fiche un peu elle l’a quitté au bout de 10 mois, là le soucis c’est moi et c’est ça que j’essaie d’améliorer parce que même avec ce que me dis Aurélien, ça change rien au fait que j’ai l’impression de n’avoir rien à raconter, d’être chiant comparé aux gens qui eux me racontent des choses. J’ai l’impression d’avoir une vie cool, mais pas trépidante. Je ne sais pas quoi dire, moi même d’ailleurs j’ai l’impression d’être chiant quand je raconte des choses … pourtant je fais déjà des choses, j’ai des choses à raconter (saut à l’élastique par exemple) mais je sais pas, je bloque, à côté je fais quasi pas de voyage, mes soirées sont « banales » dans le sens ou il ne se passe jamais rien d’extraordinaire comme quand certaines personnes me racontent les leurs, enfaite je fais déjà des choses mais j’ai l’impression que c’est plat … de faire des choses mais qu’à chaque fois tout se passe de manière très calme et banale, qu’il n’y a jamais d’histoire à raconter, jamais rien de spontané, de fou …

      Du coup, je suis d’accord avec le conseil d’Aurélien et même avant c’était ça que je pensais, juste je sais pas par quel bout prendre ça

    • Aurélien

      18 mars 2018 at 05:21

      Ben voilà Clem, tu prends l’anecdote du saut à l’élastique et de là tu l’étoffes – quitte à prendre papier et crayon.

      Le paysage, les sensations, le fait de braver sa peur, se challenger… en voilà des bouts de phares qui sont vectrices d’émotions.

      Et petite astuce : n’oublie pas une fois terminé de demander à la fille ce qu’elle a accompli de similaire / ce qu’elle aimerait accomplir de similaire.

    • Aurélien

      18 mars 2018 at 05:30

      @BP : le théâtre pourquoi pas (jamais essayé), mais te complique pas trop la vie.

      7 : étoffe ton vocabulaire et n’aie pas peur d’exprimer ce que tu ressens que ce soit un film, un concert, un moment partagé…
      8 : ce point est dans la droite lignée du précédent, dans les deux cas il s’agit de se laisser aller, pas s’enfermer dans une sorte de posture. Au pire écoute toi parler pour te corriger ensuite, et écoute les gens qui savent mettre de la vie dans leur récit pour voir la différence.

    • Clem 2.0

      18 mars 2018 at 10:37

      Ton commentaire, me fais penser à quelque chose Aurélien, en fait, c’est même pas le storytelling que je dois bosser, c’est toutes les bases de la conversation que je dois reprendre. Quand j’y pense, jamais dans une discussion je ne demande « c’est quoi le truc le plus fou que tu ai fais » « ton voyage de rêve c’est quoi » etc etc … jamais je ne pars sur ces sujets, du coup je me bloque direct pour le storytelling, pour la sexualisation (bon avec elle ça, ça allait on couchait ensemble très régulièrement ^^) et pour tout ce qui pourrait transmettre des émotions non ?

  2. AL

    17 mars 2018 at 12:18

    @Aurélien : Pour ton PS à Clem, je me suis fait exactement la même réflexion ! Mais sans aller aussi loin, son exemple démontre parfaitement la nuance entre ce que les gens vivent (les faits) et la façon dont ils les perçoivent (ou tentent de se rassurer / les enjoliver).

  3. AL

    18 mars 2018 at 06:24

    Aurélien : Ma problématique est différente. Je suis arrivé à un point de ma vie où rien n’est important. Rien, à part le moment présent. Ce qui veut dire que je fais ce qui me plait, ce que j’ai envie, mais quand c’est fait, c’est plié. C’est du passé, c’est fini, ça n’existe plus, limite je n’y pense plus et ça ne provoque plus d’émotion en moi (sous réserve que ça en ait provoqué à un moment donné – ce qui est loin d’être évident). De fait, je ne vois pas de raison d’en reparler d’autant qu’en parler, c’est du temps perdu à ne pas vivre autre chose. Et quand je me tourne vers l’avenir, comme je veux faire mieux que ce que j’ai déjà fait, je suis donc hyper enthousiaste pour des trucs ambitieux… et forcément, ça fait flipper les filles… Une idée ?

    • Redwan

      18 mars 2018 at 21:29

      @ Al
      Je pense que c’est ça le problème. Une femme veut te sentir vibrer. J’ai repensé à mes derniers rdv. Je reste en mode bon pote. Je n’arrivais pas à les faire vibrer. J’étais ennuyeux. Je me suis rendu compte que j’avais une crainte d’être avec quelqu’un.

      Sinon en entretien professionnel,je me suis rendu compte également que j’étais ennuyeux. Pourtant,j’ai une expérience assez riche faite de rencontres et d’histoires invraisemblables. Depuis que j’ai changé ma façon d’aborder les entretiens. J’essaie de raconter une histoire. Cette histoire plaît en entretien.

    • Aurélien

      19 mars 2018 at 09:11

      Oui, arrête la drogue. Ou commence.

      En vrai Al ce n’êtes pas toi que je vais apprendre à calibrer tes échanges.

      « Players always adapt »

  4. Sim

    18 mars 2018 at 21:42

    Ouf ! Franchement Aurélien, tu viens de résumer les 15 trucs les plus lourds en soirée ! Chapeau ! Le pire, c’est que c’est quand on les lit qu’on se dit : « ah putain, c’est vrai que ça parfois je fais pas gaffe »… bref, top. Euh juste un truc ! Tu aurais une idée pour répondre de manière fun aux jolies filles qui viennent sur le temps de midi au collège te demander de l’argent pour aller chercher un truc à manger ? J’avais pensé à un truc du style : (elle) « mec t’as pas 50 cents ? » (lui) « eh mais c’est pas parce que t’es jolie que je vais te filer de l’argent hein ! » Histoire de « déjà » glisser un compliment dans la conversation, après je sais pas ce que vous en pensez ? Votre avis ? Merci !

    • AL

      18 mars 2018 at 23:06

      @Sim : 1/ quoi qu’il arrive, ne pas leur filer de fric. Sinon, tu ne seras jamais pris au sérieux. 2/ ne pas fréquenter des filles qui piétinent leur dignité en demandant du pognon. Surtout quand ça commence déjà au collège.

    • Aurélien

      19 mars 2018 at 02:58

      Pas mieux.

  5. Sim

    19 mars 2018 at 21:38

    Ah merci les gars, on est d’accord. T’as des potes qui font : « mais si vas-y donne, ça va t’aider ! » Mais j’ai jamais donné 1€ a des « gratteuses » comme on dit ????. Merci pour vos conseils, vous êtes au top ! Et merci AL ????

  6. Rabbie

    5 avril 2018 at 17:26

    ET surtout (la dans le cadre d’une conversation sms), ne pas lui proposer de sortir trop vite … en ce moment je n’arrete pas de le faire et ça me gave

    • Sylvain

      7 avril 2018 at 10:25

      Hello,

      Effectivement, le mieux c’est d’attendre que l’interet soit réciproque. Il faut apprendre à identifier et à saisir le momentum 🙂

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

More in Technique de drague

To Top