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Art de Séduire : Séduction

Comment Inciter une Femme à S’ouvrir à la Sodomie ?

Sexualité

Comment Inciter une Femme à S’ouvrir à la Sodomie ?

Comment Inciter une Femme à S’ouvrir à la Sodomie ?

sodomie

C’est votre fantasme du moment, le tabou interdit que vous voulez toucher du doigt : vous voulez proposer une sodomie à cette fille aux fesses pleines de promesses.

Le souci, c’est que vous ne savez pas comment faire pour ne pas trop la brusquer, pour ne pas passer pour un pervers, pour ne pas la dégoûter, et pour éviter qu’elle vous quitte si elle trouve ça répugnant.

Proposer une sodomie à sa copine : mode demploi écrit avec doigté, à découvrir ici.

« Ses résistances vaincues, à vous son petit cul » aurait déclaré le poète. Autant vous le dire tout de suite : je ne suis pas le mieux placé pour vous parler d’anal, j’ai un problème de taille.

J’ai bien évidemment déjà enculé des demoiselles chez qui ça passait tout seul, mais très souvent, malgré leurs envies anales, malgré mon travail de préparation, mon sexe leur fait trop mal. Néanmoins, toutes les étapes précédentes restent les mêmes pour vous et pour moi.

On commence par un état des lieux général de la société pour comprendre pourquoi la sodomie, ce n’est pas si facile à faire avaler.



Pourquoi il est si dur de s’ouvrir à la sodomie quand on est une fille ?

Parce qu’elles pensent que c’est humiliant : les conséquences du slut shaming

Victimes du « slut-shaming » de part et d’autre, les filles ont parfois peur pour leur réputation si elles acceptent de coucher avec nous, et PIRE ENCORE, si elles acceptent la sodomie.

Le slut shaming, c’est le fait de se faire traiter de salope, de se faire humilier parce qu’on a couché avec un garçon.

Franchement les gars, vous traiteriez votre mère de salope ? Vous traiteriez votre sœur de salope parce qu’elle aime un mec et qu’elle a envie de coucher avec ? Non. Bon alors. Ne rentrez pas dans le jeu des mecs qui insultent les filles et les traitent de salope : ce n’est pas en adoptant ce comportement qu’on va tous pouvoir baiser tranquille.

Le slut shaming n’est malheureusement pas que l’œuvre des mecs vers les filles : entre elles, les filles sont de vraies langues de pute, ce n’est pas nouveau. Une très bonne amie (oui, très bonne, je sais que tu lis) me confiait cette anecdote qui illustre bien la pression sociale des filles les unes envers les autres.

Assises au restaurant, elles blablataient entre copines jusqu’à ce que ça parle de cul et que ça arrive au sujet de la sodomie.

  • « Ah moi jamais, dégueu. »
  • « Ah mais tellement sale, y’a que les putes qui font ça… »

Tour de table désastreux, elles ne prenaient certes pas de bite par derrière mais avaient toutes un balai bien profond dans le cul. Arrive le tour de ma pote, libérée sexuellement (ça veut dire « qui jouit quand on l’encule »), un vrai plaisir de la prendre et de partager des moments sexuels avec elle. A votre avis… avec tous les jugements négatifs émis par ses amies avant elle… elle n’a évidemment rien dit de sa passion pour la sodomie. Elle ne pouvait pas, sinon ça revenait à passer pour une salope aux yeux de ses amies.

Vous l’aurez donc compris : un des soucis principaux, c’est l’obscurantisme social, la pression sur le corps des femmes. Des décennies et des siècles de patriarcat, et ce terrible « pêché de chair ». Déjà que le sexe « récréatif » n’est pas bien vu, imaginez ces coups d’épée dans l’eau dans le cul : zéro productivité, du pur plaisir. Soit une autoroute pour l’Enfer, direct.

Ce n’est donc pas très facile facile de lui proposer directement de la prendre par derrière… Maintenant, le cadre social étant posé, passons à la fille qui vous intéresse…

 

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De l’importance de la communication

J’ai récemment lu un article vraiment génial d’Ovidie. Elle y détaillait la pratique du « menu sexuel », ou du « sexe à la carte ». S’y posait la question de savoir s’il fallait parler de toutes ses pratiques sexuelles avant de coucher pour la première fois.

Il y avait de bons arguments pour :

  • Il faut parler de sa « carte sexuelle » avant, histoire d’être sur la même longueur d’ondes
  • Il faut parler de son « menu sexuel » avant de coucher, parce que pendant le sexe on préfère éviter les mauvaises surprises

Mais je reste persuadé qu’on peut se découvrir au lit, et discuter calmement entre deux coïts. L’idée n’est pas mauvaise cependant : elle permet de parler librement de tout ce qui peut se passer.

Ça me fait penser à ce qu’avaient fait votre coach en séduction et une amie à lui :

Lundi investigation: les pratiques sexuelles des Français. Avec @pauline333paris #nightlife #Paris #friendship #friendzone

Une photo publiée par Sélim NIEDERHOFFER (@selimniederhoffer) le

Toutes les pratiques sexuelles auxquelles ils pensaient, ils les rangeaient en trois colonnes. Oui, non, pourquoi pas.

Vous pouvez vous inspirer de cette pratique de la « carte sexuelle » si vous voyez qu’elle est ouverte à la communication sexuelle. Pour aborder les sujets sexuels plus facilement, relisez cet article.

La communication, ça se fait à deux, et dans le respect. Si vous voulez vraiment qu’elle s’ouvre à vous, un des piliers de la communication est le non-jugement. Pour pouvoir s’ouvrir à vous, elle doit se sentir en sécurité, à l’abri des regards.

Et c’est là que vous devez vous comporter en adulte. Le sexe, c’est l’équivalent d’un Disneyland pour adultes. Ce sont nos sensations fortes, c’est là où on s’amuse. C’est là où on prend du plaisir.

Les serial-lovers ont une arme secrète qui manque aux mecs moyens : ils savent faire fermer leur bouche et ne rien répéter. Une femme qui sait que vous tiendrez votre langue vous donnera tout, se donnera entièrement à vous, sans aucune honte, sans aucune gêne, parce qu’elle sait que vous la respectez et qu’elle peut vous faire confiance.

Si le respect et la confiance sont absents, vous ne risquez pas de l’attraper par derrière de sitôt.

Comment lui proposer une sodomie pendant l’acte sexuel ?

La communication, vous le savez, n’est pas que verbale, elle est aussi non-verbale. Si vous devez bien entendu la mettre en confiance et faire en sorte qu’elle se sente désirable et irrésistible :

  • Je n’en peux plus, je vénère ton sublime cul
  • Tes fesses… Je veux… Tourne-toi…
  • Je veux ton cul, maintenant, tout de suite…
  • Je tremble d’envie de t’enculer tendrement

Vous le dites comme vous le sentez, tant qu’elle se sent désirée.

Il y a aussi des façons de faire, on va dire… des manières de tâter le terrain et d’amener la chose subtilement, progressivement.

Pendant que vous la léchez (cunnilingus), dépassez un peu et regardez comment elle réagit quand vous abordez son anus avec la langue.

Si ça passe bien, vous pouvez commencer à masser autour de la zone anale, commencer à jouer avec un doigt sur l’entrée de son anus, jusqu’à introduire un doigt dedans. Pas de précipitation, pas de panique, si elle est très stressée, si elle est très contractée, ça risque de lui faire mal.

Un autre point : on ne force jamais. Vraiment. Je vous laisse consulter la liste des blessures anales, c’est pas très beau à voir.

Dernier conseil pour y aller de manière progressive : pendant que vous êtes en elle (devant), tentez un doigt pour commencer, derrière. Si elle accepte-t-elle déjà un peu le plaisir anal quand vous êtes en elle et que vous glissez un doigt par derrière, c’est en bonne voie.

Comme nous l’ont dit les filles récemment : pas de « sodomie surprise », pas de « je me suis trompé de trou », ne soyez pas con…

En faisant quelques recherches sur le sujet, je suis tombé sur une page qui parlait de « perversions sexuelles ». Si vous voulez. Si ça vous fait plaisir. Il se trouve qu’on est justement ici pour parler de plaisir, et non de morale.

Inception : comment faire naître l’idée de la sodomie en elle ?

Avant de vous dévoiler les cinq techniques les plus efficaces pour amener une femme à accepter la sodomie, un dernier rappel qui devrait être évident: pas de chantage. Pas de « si je ne peux pas t’enculer, je me barre, je te quitte, je divorce ».

Pas de comparaison humiliante non plus, pas de « ta sœur, elle, pourtant, prend dans le cul sans sourciller et elle adore ça » ou autre « mais pourquoi j’ai quitté mon ex si ouverte pour me mettre avec une femme aussi coincée ? » Dénigrer votre compagne ne vous fera jamais avancer, la manipulation n’apportera rien de bon dans votre couple.



Technique 1 : Lui faire admettre que c’est une zone érogène

« A ton avis chérie, pourquoi les homosexuels sont-ils plus heureux que nous et plus sauvages ? Parce qu’ils ont tout compris au plaisir anal… Parfois je me demande si je ne devrais pas essayer… »

Usez et abusez de préjugés, de clichés, ça peut ouvrir sur une bonne discussion. Attention à ne pas vous faire prendre à votre propre piège si elle vous demande de vous faire enculer vous aussi… (pendant la fellation, certaines filles rusées tentent de mettre des doigts aux mecs, oui oui… Bien ou mal, à vous de choisir, nous ne sommes pas juges.)

Et faites-lui écouter Mylène Farmer… A votre avis, « Pourvu qu’elles soient douces », ça parle de quoi ?

Technique 2 : installer un cadre d’exploration

La base du framing, le fait de poser un cadre (on dévoile des cadres hyper puissants pour aider les femmes à se lâcher sexuellement dans Sexualisation). Dans ce cadre de conversation, vous allez parler d’aventure, d’exploration, lui faisant admettre qu’elle aime les découvertes, les nouvelles expériences…

En temps voulu, votre langue saura lui faire découvrir une nouvelle expérience…

Technique 3 : la saveur de l’interdit

La faire réfléchir sur le sujet « A ton avis, pourquoi c’est interdit et réprouvé par la société et les religions? »

  • A ton avis, pourquoi c’est interdit les drogues dures ? Parce que c’est bon, parce que ça rend accro, parce qu’on devient un déchet après…
  • Pourquoi l’alcool c’est écrit « Avec modération » dessus ? Parce que ça rend accro, parce qu’on plane, parce qu’on ne réfléchit plus après.
  • Pourquoi l’église interdit la sodomie ? Pourquoi elle était passible de peine de prison ou de mort dans certains états ?

Réponse : parce que c’est beaucoup trop bon. Parce que les hommes ont peur des femmes qui vont les regarder droit dans les yeux en leur disant « j’ai très envie que tu m’encules ».

Technique 4 : Quand le plaisir est mental, pas que physique

Nombre de filles vous avoueront que la sodomie leur a d’abord procuré un plaisir mental, avant de leur procurer un plaisir physique. Si au début, c’était pour faire plaisir parfois, elles ont rapidement pris plaisir dans le plaisir de leur homme.

Ce plaisir de savoir que tout le monde ne pratique pas, ce plaisir de savoir qu’on est dans le très intime, le très tabou, rend la chose encore plus excitante.

Technique 5 : La technique du pied dans la porte inversée

Un peu de grotesque pour refermer cet article très sérieux sur la sodomie. J’ai discuté récemment avec un homosexuel qui lisait un livre sur le fist. J’ai eu la chance de regarder le documentaire sur la Fistinière (regardez-le impérativement avec votre copine).

Vous connaissez forcément cette technique d’influence développée par Cialdini que tous les vendeurs pratiquent : d’abord une petite demande, pour obtenir davantage ensuite.

La technique d’influence inverse existe aussi : « tu n’aurais pas 100 euros ? Allez, 10 euros ? Steuplé, 1 euro ». Vous allez céder sur un euro, tant la demande est faible par rapport à la demande initiale.

Regarder un documentaire sur le fist et finir en proposant une sodomie à votre copine, c’est un peu le même ordre de grandeur, vous voyez l’idée ?

Je vous souhaite à tous une très bonne exploration des plaisirs anals, beaucoup de lubrifiant et surtout, beaucoup d’anecdotes hilarantes. Détendez-vous, ce n’est que du cul…

Si vous avez des pistes à suggérer pour inciter une femme à tenter la sodomie, on vous écoute dans les commentaires.

Eros, votre coach CULturel

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150 Comments

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  1. Dimitri

    12 mai 2017 at 00:09

    Une histoire vraie qui montre que même si une femme peut avoir des appréhensions, le désir d’être prise et parfois doublement possédée est plus fort que tout.

    Je sonne à la porte, elle m’ouvre nue sous son peignoir.
    Elle pose ses lèvres sur les miennes et me donne un baiser fougueux.
    Mon souffle s’accélère.
    Ah Ah ce sont ses premiers cris. Elle se pâme.
    Je lui caresse les tétons, ils pointent et sont déjà durs. Ses seins sont menus mais très réactifs.
    Mum, Mum me soupire-t-elle.
    J’enlève mon pantalon et le pose sur le sol.
    Elle ouvre grand sa bouche et commence à me sucer goulument, passionnément. Je la laisse faire, c’est déjà une récompense pour elle.
    Je retire mon sexe de sa bouche comme pour la priver « C’est tout » me dit-elle.
    « Tu en aura plus » lui répondit-je, « Plus tard »
    « Ah Ah » elle est rassurée.
    Je la prends par la main et l’entraîne sous la douche, pour la nettoyer, la purifier complètement avant de la souiller.
    La purification va durer un bon quart d’heure, tous les orifices y passent.
    Un doigt, puis deux doigts commencent à préparer son anus. Elle sait qu’elle va y avoir droit, elle ne sait pas encore comment.
    De son côté, elle me nettoie aussi et quand tout est prêt, je me penche vers l’avant, lui présente mes fesses et de sa petite langue pointue, elle finit ma toilette.
    « Oh, Ah » dis-je, elle sait que j’adore cela.
    Je la fais maintenant sortir de la douche et lui assène une petite tape sur les fesses pour la marquer.
    Je lui demande de m’essuyer de la tête aux pieds, je fais de même pour lui montrer que je sais aussi prendre soin d’elle mais si elle aime que je la domine.
    Je l’amène dans la chambre qui jouxte la salle de bains. Je commence par la faire s’agenouiller, devant son maître, comme elle m’appelle parfois, elle me lèche les pieds tout en se cambrant et me montrant son postérieur.
    « Oh oui, suce mes pieds » lui dis-je.
    Je m’approche d’elle, saisie sa taille, la plaque contre moi et l’embrasse avec ma langue, je fouille son intérieur. De l’autre main, j’en profite pour lui donner deux petites fessées et faire rougir ses fesses.
    « Tu es ma petite esclave »
    « Oh oui »
    « C’est vrai »
    « Oui, je suis ton esclave »
    C’est le moment que je saisi pour la doigter juste avec un doigt au bon endroit et en ressortant j’en profite pour taper ses sur lèvres et pincer légèrement son clitoris
    « Mum, Mum, Ah, Ah, Muuah,… » Ca va durer 10 minutes comme cela, jusqu’à son premier orgasme.
    Sans la laisser respirer, je la retourne, la plaque contre le mur, lui demande de se cambrer pour me présenter son anus, j’ai à peine le temps d’enfiler un préservatif que je me retrouve bien au chaud au fond de sa porte de derrière. Elle cri, sans savoir si c’est de douleur ou de plaisir. J’ai la réponse.
    « Tu as un beau cul ». Elle adore que je la complimente.
    Je la sodomise comme cela pendant un bon moment, jusqu’à son deuxième orgasme.
    « Merci, j’avais trop envie de toi ».
    « Qu’est ce qui t’a manqué »
    « Ta façon de faire » dit-elle, prolongeant d’un petit rire étouffé de contentement.
    Elle est allongée, j’en profite pour m’accroupir et poser mes fesses sur son visage, elle prend mes fesses dans ses mains et me lèche divinement partout y compris jusqu’au fond de mon anus.
    « Tu as vu comme c’est doux ? »
    « Oui, j’aime quand c’est doux »
    « Vas-y, bouffe-moi, Oh Oui »
    « Tu veux un doigt ? »
    « Non, ta langue pointue et agile suffira, Oh Oui, comme ça »
    Je l’embrasse de temps en temps pour l’encourager, même si elle n’en a aucunement besoin.
    Puis elle me demande de la baiser à nouveau, je lui intime l’ordre de me demander poliment.
    « Baise-moi maintenant, fort, très fort »
    Je lui donne l’ordre de prendre le plug anal que je lui ai offert.
    « Que veux-tu en faire »
    « Je ne sais pas, je verrai »
    Il est large et dispose d’un anneau de sécurité. Il est lourd aussi, je le tape sur son vagin puis son anus. Je l’enduis de gel.
    Je le rentre et le sort de son vagin plusieurs fois, elle gémit. Elle jouit.
    A nouveau je la fais mettre debout. Elle se cambre. Cette fois-ci je lui demande de se baisser et de poser les mains par terre, si bien qu’elle laisse apparaître comme une offrande ses deux orifices que je vais pouvoir défoncer à tour de rôle.
    Je présente mon sexe à l’entrée de son cul et le pousse d’un coup bien on fond, elle pousse des cris de plaisir.
    « Tu aimes bien quand je te sodomise »
    « Oh Oui »
    « Tu as un petit cul magnifique et qui sait encaisser, comme tu es chaude ma Chloé »
    « Ouiiiiii »
    Et hop deux nouvelles tapes sur ses fesses à peine rosies.
    « Vas-y maintenant, c’est toi qui bouge et qui me baise »
    Cette initiative lui plait et l’amène à son 3ème orgasme d’affilée
    Je laisse le plug dans son vagin et je vais recommencer à la pilonner, cela parait invraisemblable mais elle ne redescend jamais.
    « Voilà, tu sens comme tu es prise »
    « Encore »
    « Oui tu vas en avoir encore »
    « Allonge-toi, allonge-toi, sur le ventre »
    Je prends le plug anal et le présente à l’entrée de son anus, j’y vais doucement car il fait quand même 6 cm de diamètre à son plus large diamètre et c’est le maximum qu’elle peut encaisser.
    Ça rentre progressivement, elle mord l’oreiller pour ne pas souffrir et étouffe un cri.
    « Pousse, pousse »
    « Oh Oui, Oh Oui, Dimitri, «
    Je l’encourage encore « Vas-y, Vas-y »
    Cette fois-ci un cri de douleur s’échappe : « Oh non, c’est trop gros, c’est trop gros, »
    « Laisse-moi faire, tout doucement »
    « Oh non, non, c’est trop gros, je t’assure » implore-t-elle
    « Détend-toi, Détend-toi »
    « Il faut que tu m’achètes un god, si tu veux faire ça »
    « Le problème c’est qu’il faut que je t’en achète deux, un énorme pour devant,… »
    « Ouiiiii » me coupe-t-elle
    « Tu voudrais ? »
    « Ouiii »
    « Quelle taille, de la taille de mon poing ? plus petit ou plus gros »
    « Non un peu plus petit »
    « Détend-toi, détend-toi »
    « Non je ne peux pas, j’ai trop d’appréhension »
    « Détend-toi »
    « Met-moi plein de gel, Met-moi plein de… »
    Elle en veut finalement, je m’exécute donc.
    « Dimitri met-moi du gel s’il te plait »
    « Voilà, détend-toi, tout doux, tout doux, … » Je chuchote pour la réconforter.
    « Non, Non, Non,… » au moment du maximum. « Ça y est c’est bon »
    Le « Oui » est libérateur, elle comprend qu’elle va pouvoir jouir et me faire jouir enfin.
    Très précautionneux, je lui dis que je vais changer de préservatif avant de défoncer sa chatte.
    Elle m’attend pantelante sur le matelas à même le sol, le plug anal bien fiché dans son anus. Elle sait que je vais lui donner le coup de grâce et l’amener vers son 4ème orgasme de suite.
    Mon érection est toujours au top car je n’ai toujours pas joui me réservant pour le bouquet final.
    Ça y est je la pénètre de nouveau. Elle soupire.
    Et c’est reparti « Mumm, Ouiii, Mummm » on dirait une petite souris qui étouffe des cris.
    Je vais la laisser bouger son bassin jusqu’à me faire jouir.
    « Vas-y bouge, bouge » Quelques tapes sur ses fesses pour l’encourager.
    « Allez fait moi jouir, vas-y fait moi jouir, vas-y fait moi jouir, vas-y, vas-y, bouge »
    « Ahrrrr, Ahrr, Ah, Ah » tel le mâle vidant ses couilles au fond de sa chatte. Je pousse moi des petits cris pour me vider complètement jusqu’à la dernière goutte.
    Je me retire et lui retire tout doucement le plug anal. Je m’allonge, le repos même de courte durée sera bien mérité. Je lui demande de poser sa tête sur mon bas ventre près de mon sexe, elle sait que dans quelques minutes, je vais lui demander de tout nettoyer avec sa bouche et sa langue. Elle sait que cela suffira à tout remonter pour son plus grand plaisir (A suivre).

    • Dimitri

      12 mai 2017 at 15:47

      Au bout d’un quart d’heure de repos en silence, elle me demande ce qu’il lui ferait plaisir. Je lui glisse à l’oreille : « Nettoie mon pieu encore dégoulinant avec ta langue et ta bouche, avale tout, fait-le reluire en douceur ».
      Elle s’y emploie avec attention, de haut en bas, sans oublier quelques coups de langues biens sentis sur mes bourses et mon périnée.
      Elle finit langoureusement, j’attrape un préservatif que je glisse immédiatement. Et lui demande de venir s’empaler de dos sur mon sexe, d’abord en con. Je vais la laisser s’agiter et la regarder faire, moi allongé comme un pacha à observer le mouvement de son bassin, les bras en croix et la tête confortablement installée sur un oreiller.
      Je lui donne l’ordre : « C’est toi qui bouge, qui ondule ». Ce qu’il y a de bien avec Chloé c’est qu’il n’y a pas de temps mort. Aussitôt empalée, aussitôt prête à jouir.
      Une claque un peu violent sur les fesses : « allez, bouge » J’estime qu’elle ne se démène pas assez.
      « Ah, Oh Ouiiii Dimitri »
      Je l’encourage à deux reprise : « Vas-y, Vas-y »
      « Oh Ouiiiiiii, Ooooooh » Elle jouit sans atteindre un orgasme puissant.
      Et maintenant je l’empale en cul.
      « Qu’est-ce que c’est bon » me dit-elle.
      Et cette fois-ci je l’aide, je pose mes mains sur ces fesses et je vais accompagner son mouvement de haut en bas, pour qu’elle s’empale sur toute la longueur de mon pieu.
      Elle va onduler comme cela pendant plusieurs minutes et je suis aux premières longes, jusqu’à celle qu’elle jouisse de nouveau. Son rythme respiratoire ralentit de nouveau.
      C’est le moment où j’en profite pour lui dire : « Je te baise bien »
      « Oh Oui » me dit-elle « Comme un Dieu » rajoute-t-elle
      Et je la fais recommencer, bouger de haut en bas ce n’est pas tous les jours qu’elle monte au 7ème ciel aussi longtemps.
      C’est ensuite que je la faire mettre à genoux, se cambrer pour à nouveau la défoncer en cul. Je l’amène à son 5ème orgasme.
      Elle reprend sa respiration, elle a essayé de me faire jouir en bien serrant son conduit anal autour de mon pieu. J’ai maîtrisé car j’ai une autre idée, je passe rapidement à la salle de bains pour ôter le préservatif et me nettoyer le sexe pour lui offrir ma semence sur son visage. Je reviens dans la chambre, elle halète encore, elle s’est déjà mise à jour et sort sa langue.
      Je prends mon sexe en main et en moins d’une minute je lui administre une éjaculation faciale dont elle se souviendra. Elle en a partout, je passe ma main sur son visage, c’est doux et humide, j’introduis mes doigts dans sa bouche, elle les lèche un à un, j’aime le travail bien fait. Mon sexe est toujours gorgé, dur même s’il est à l’horizontale désormais, je finis de limer ses lèvres en introduisant mon sexe dans sa bouche, une fois terminé, je reste de longues minutes comme cela à la regarder dans les yeux, mon sexe ne faiblit pas. Je pose un baiser sur son front pour la féliciter de sa docilité et de son dévouement.
      Je la prends par la main, la tire vers la douche, je veux la nettoyer, la purifier, me nettoyer, me purifier.
      Sous la douche, avec un sourire aux lèvres, elle me murmure « tu m’as bien défoncée, je suis ouverte de partout, on ne m’a jamais défoncé comme cela ».
      FIN

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