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Art de Séduire : Séduction

Séduction et Handicap : Faire de sa Faiblesse une Force

Handicap et séduction

Lifestyle et réussite

Séduction et Handicap : Faire de sa Faiblesse une Force

Séduction et Handicap : Faire de sa Faiblesse une Force

Handicap et séduction
Pour ceux qui ont manqué mon premier article sur le sujet, c’est par ici. Article de l’année 2012 tout de même. J’hésite parfois à le mettre sur mon CV.

Mais trêve d’autosatisfaction, passons au vif du sujet, la séduction et le handicap. Pour rappel, je suis IMC (Infirme Moteur Cérébral, so sexy) et je me déplace en fauteuil roulant manuel.

Séduction et handicap, des mots qui peuvent paraître bien opposés, et pourtant. Même si c’est difficile, surtout pour les gens qui ont un handicap ou un défaut, il y a toujours un moyen de draguer, séduire, charmer.

Pour commencer ce travail de fond sur soi-même, ou se relancer en cas de baisse de régime, mieux vaut avoir le bon état d’esprit.

Le handicap n’est pas votre ennemi

Soyez reconnaissant

Alors oui, je sais, ça peut paraître fou. Mais remerciez votre handicap, ou votre défaut. Remercier c’est avant tout accepter, purement et simplement.

Faites plus que de dire oui, dites merci.

Je suis sûr que votre handicap, défaut ou autre chose que vous ne supportez pas, vous apporte de bonnes choses. C’est un travail long, ça m’a pris plusieurs années.

Mais ma vie a profondément changé depuis que j’ai transformé l’ennemi en allié. Je ne voudrais plus jamais être quelqu’un d’autre que moi. Ce n’est pas rien, non ?

En plus de ça, avant d’être capable d’aborder et de séduire les femmes qui vous plaisent, si vous rejetez une partie de vous-même, il y a peu de chance qu’une femme vous accepte.

Comment serait-ce possible, si vous-même vous ne vous acceptez pas ?

Croyez-moi, dès le moment où vous accepterez ce que vous portez, et ce que vous êtes, vous serez soulagé.

Pour ceux qui luttent contre leurs défauts ou leurs handicaps, je pense que c’est une erreur. Il faut faire avec, jouer avec.

Soyez l’alchimiste de votre vie, transformez le plomb en or.

Etre reconnaissant envers votre condition a priori pénible, permettra de la transformer, d’en faire quelque chose de bon.

Une force plutôt qu’une faiblesse. Rien de plus naturel que d’être contre quelque chose qu’on n’a pas choisi.

Mais si vous voulez que votre handicap ou autre défaut prenne moins de place dans votre vie, faites-lui-en une, et il sera de votre côté.

Faire de son handicap une force

La transformation du plomb en or, c’est ça : faire de sa faiblesse, son handicap, sa force. C’est aussi quelque chose de difficile à intégrer. On peut vite se laisser aller aux plaintes, du genre : « pourquoi moi ? ».

Mais il ne tient qu’à vous de trouver la réponse à cette question, et de la rendre positive.

Vous connaissez Philippe Croizon ? En 1994 à 26 ans, il perd ses 2 bras et ses 2 jambes suite à un accident électrique. Malgré sa situation désespérée, il s’est donné à fond pour regagner son autonomie et relever ses propres défis.

Parmi eux, traverser la manche à la nage et relier les 5 continents. C’est ce qu’il a fait. Il s’est dépassé, et a inspiré des tas de gens, dont moi-même.

Il est aujourd’hui conférencier, et intervient dans les entreprises sur le thème du dépassement de soi. Sans parler de ses différents projets télé.

Voilà un bel exemple de comment transformer le pire en meilleur. Je ne dis pas ça pour vous culpabiliser, pas besoin d’en arriver là pour progresser.

Quoi qu’il en soit on peut concrètement être bien plus fort avec un handicap si on acquiert la bonne mentalité.

On vous remarque parce que vous êtes remarquable

Peut-être que certains d’entre vous sont fatigués que les gens les remarquent. Je comprends, ça peut être pénible parfois.

Mais je pense que ce ras-le-bol, cette gêne, vient avant tout de votre perception des choses.

Si vous pensez que les autres vous regardent, parce que vous êtes « différent » au sens de marginal, c’est sûr que c’est gênant.

Idem si dès que quelqu’un est courtois et sympa avec vous, vous pensez que c’est uniquement par pitié.

On ne peut pas faire grand-chose à cet effet de projecteur. Si vous êtes en béquilles ou en fauteuil par exemple, vous prenez plus de place, vous êtes aussi plus bas. Eh bien prenez là cette place !

Profitez de ce statut privilégié. Les gens vous regardent, vous sourient, vous laisse passer, vous aident à porter vos affaires ? Profitez-en !

On vous remarque parce que vous êtes remarquable. Pas parce que vous êtes une bête de foire.

Alors profitez de tous ces petits moments pour discuter, faire passer un moment agréable à ceux qui donnent de leur personne et de leur temps. Ils le méritent.

D’ailleurs, si une jolie demoiselle vous aborde pour vous aider, à vous de dérouler le jeu. Il n’y a rien à perdre.

Et grillez les files d’attentes, ne payez pas les entrées en boîtes, dans les musées…

Ce n’est pas forcément très « moral » selon le point de vue de chacun, mais il y a assez de contreparties handicapantes, c’est le cas de le dire. Alors profitez de ce que la société vous offre !

L’idée principal est : Ouvrez-vous au monde, et le monde vous le rendra.

Les outils pour progresser et élargir votre zone de confort

Séduire avec un handicap

Le courage de faire le premier pas

On vous le dit assez souvent sur Art de Séduire, d’être celui qui mène, qui prend l’initiative. C’est vrai pour les valides, et certainement encore plus pour les handi.

Tout simplement parce qu’en plus du fait que les femmes font rarement le premier pas, le handicap, plus ou moins visible, peut rapidement intimider.

Donc si vous voyez une femme qui vous plaît vous sourire, ou vous regarder à plusieurs reprises, allez-y ! Peu importe son intention de base, il n’y a rien à perdre encore une fois.

Vous n’êtes pas obligé d’attendre son feu vert, mais si vous avez vraiment du mal à vous lancer, profitez de ce genre d’ouvertures.

Je suis conscient que le handicap pose des difficultés pour draguer, notamment dans ma tranche d’âge 18-30 ans. Parce que la grande majorité cherche un homme grand, qui a de l’allure, une bonne condition physique et sociale etc. Sans parler du regard des autres et de la pression sociale en générale.

Donc oui, c’est difficile mais ce n’est pas une excuse pour ne pas y aller ! Peut-être que vous n’êtes pas la personne la plus chanceuse, talentueuse, à l’aise en séduction. Mais vous n’avez aucune bonne raison de ne pas être la personne qui fournis le plus d’effort.

Servez-vous de tous les outils à votre disposition, faites comme s’il n’y avait aucune différence de niveau. Tentez, essayez, échouez, et adapter vous. Au bout du compte vous y arriverez.

La drague en ligne quand on est handicapé

En parlant de premier pas, je sais que certains d’entre nous utilisent ou ont déjà utilisé la drague en ligne pour séduire.

Soit pour des raisons pratiques (difficultés à se déplacer, parler…), ou pour d’autres raisons tout aussi valables.

Quoi qu’il en soit, cette méthode d’approche peut aussi être efficace, notamment pour approcher des femmes en quantité et rapidement, tout en mettant en avant des qualités que l’on ne décèle pas au premier abord sur le terrain.

Parler de son handicap, fausse bonne idée ?

Parlons de la question qui fâche, dans le cas d’un handicap, comment en parler ? faut-il même en parler en ligne ?

J’ai un avis personnel plutôt tranché là-dessus. Ne pas en parler, ou en tout cas pas directement. La raison est simple, il y a profusion d’hommes disponibles face à des femmes qui croulent sous les demandes, elles trient rapidement, et n’accordent leur temps qu’à ceux qui sortent du lot.

Pas la peine de se tirer une balle dans le pied d’entrée de jeu. Vous aurez beau prétendre le contraire, parler de son handicap dès le début n’a rien de rassurant ni d’attirant.

Elle ne vous connaît pas, et si la première image que vous lui donnez est celle qu’elle voit au Téléthon et autre reportage misérabilisant de France 3, bon courage pour transformer ça !

Pour vous dire, moi-même étant handicapé de naissance j’ai rencontré toutes sortes de pathologies et de caractères différents de personnes handicapés. J’ai des préjugés, des a priori, et ils ne sont pas toujours bons.

Donc imaginez ceux qui n’en ont jamais rencontrés, mis à part par les médias, à l’hôpital ou au coin d’une rue. Je ne compte plus le nombre de personnes qui me disent qu’ils ont changé de regard sur les handicapés depuis qu’ils m’ont rencontré.

Ça veut bien dire qu’il y a une représentation bien ancrée, qui ne rend pas justice aux handicapés.

Donc, faites le maximum pour vous montrer sous votre meilleur jour, peut-être en « camouflant » votre handicap si c’est possible pour vous. Personnellement je fais comme si tout était normal.

Si vous tenez vraiment à la jouer honnête, rien ne vous empêche d’ajouter des photos qui suggèrent votre handicap. De cette façon, vous ne pourriez pas dire que vous l’avez caché. Si elle fouille un peu et vous trouve intéressant, elle posera des questions, plus ou moins indirectes.

Comment amorcer la première approche

Si on part du principe que vous mettez le sujet handicap de côté au début, faites comme tous les hommes en recherche : Soyez original, inventif, et mettez-vous qualités en avant sans trop en faire. Pas de prise de tête inutile, amusez-vous d’abord.

Vous avez forcément développé des qualités intéressantes, comme votre culture, votre humour, votre philosophie de vie, la maîtrise d’un sujet, d’un sport, d’un art…

Faites-vous plaisir et servez-vous en pour vous mettre en valeur.

Après, le handicap n’excuse pas tout, à vous de faire le travail pour être intéressant et avoir des choses à raconter. Cultivez-vous, essayez autant que faire se peut d’avoir des activités sociales et valorisantes. Vous ne serez jamais en panne d’inspiration de cette façon.

Pour le reste, tous les conseils que vous lirez ici sur la drague en ligne sont globalement valables pour tous. Pas de discrimination ici… Présentez bien, testez, modifiez et rencontrez !

Et la rencontre alors ?

C’est là où toute la fourberie – la mienne du moins – entre en jeu. N’hésitez pas à me contredire là-dessus, je n’ai peut-être pas assez de recul pour être sûr du meilleur timing pour ça.

Si vous avez réussi à éveiller l’intérêt de votre cible et qu’elle veut vous rencontrer, bien joué déjà.

Je vous conseillerais donc de lui annoncer votre situation au moment où elle accepte un rendez-vous avec vous. Ou au moins lorsque vous sentez que vous lui plaisez vraiment.

Il y aura moins de chance pour qu’elle se désiste, car vous aurez fait peser tous vos atouts dans la balance avant de lui dévoiler votre petit secret.

Tout dépend aussi de votre degré de handicap, de sa visibilité ou de son importance. Je pense que pour certains cas « léger », notamment au niveau de l’élocution, en parler avant n’est pas vraiment nécessaire.

A vous ensuite de faire selon votre cas, et en fonction de la réceptivité de la personne en face de vous.

Je préfère de loin les rencontres réelles, les gens apprennent d’emblée la situation, ça limite bien des malentendus et des complications.

L’humour et la dérision : les avantages du handicapé qui veut séduire !

Comme sur un site de rencontres, le but premier quand vous rencontrez quelqu’un, et encore plus en face d’une jolie demoiselle, c’est de la mettre à l’aise.

C’est pourquoi le fait d’accepter son handicap est si important. Vous serez plus confiant et elle aussi, tout bonus !

Donc faire preuve d’humour et d’autodérision est très efficace. Surtout si vous voyez que la fille est un peu tendue, ça arrive.

Donc une petite vanne bien placée sur votre zézaiement, malformation ou autre syndrome, si c’est bien fait, ça détend.

Le rire fait tomber les barrières, et en montrant que vous riez de vos propres imperfections, elle se sentira plus à l’aise en face de vous. Il y a aussi de forte chance qu’elle trouve du charme à votre petit truc, en plus du courage d’en rire. Après, à vous de jouer.

N’attendez rien des autres mais tout de vous-même

Je l’ai déjà mentionné dans mon premier article, mais je le répète ici. Faites le boulot, question de responsabilité.

Autant pour les valides que les handicapés, si vous voulez quelque chose, allez le chercher ! Je parle ici autant de drague, de couple ou d’interaction sociale en général. J’entends parfois des phrases du genre :

  • « Quand je serai en couple je serai heureux »

Non. Ou alors pendant un temps, la brèche sera colmatée, un moment. Puis un jour vos insécurités referont surface, et aucune femme, si parfaite soit-elle, ne pourra les combler éternellement.

Vous risquez d’être très frustré, quand vous verrez que ce n’est pas une question de couple ou de baise, mais quelque-chose de bien plus profond en vous.

Vous avez la responsabilité de votre bonheur, par votre mentalité et par vos actes. C’est pour ça que le travail sur soi est primordial, et qu’on vous apprend continuellement à devenir un mâle alpha.

« Les gens sont égoïstes / asocial / fermés d’esprit »

Et mon préféré : Intolérants envers mon handicap. Je ne dis pas que ça n’existe pas. Mais c’est souvent exagéré et surtout ça vous met en position de victime.

C’est confortable ? Au lieu d’accuser les autres d’être trop intolérants, pas assez ouverts etc. Aidez-les à le devenir !

Montrez-leur qu’ils n’ont aucune raison d’être sur la défensive. Parfois les gens ne savent pas comment réagir ou sont gênés de la situation.

Détendez l’atmosphère et servez-vous de l’humour, de votre sourire, de votre répartie. C’est à vous de faire l’effort si vous voulez que les mentalités changent.

Parfois vous ne pourrez rien faire contre une personne fermée, c’est comme ça. Le tout est de ne pas le prendre personnellement et de ne pas vous fermer à votre tour.

Faites d’ailleurs attention à ce que votre handicap ne devienne une excuse pour ne pas agir. Disons le bouclier de la mauvaise foi, qui vous empêche de vous remettre en question.

Parfois c’est vous qui merdez, parfois ce sont les autres qui ne font pas d’effort. On n’y peut pas grand-chose, donc laissez couler et apprenez de vos erreurs.

Prendre la responsabilité de son image

Faites comme si vous étiez l’ambassadeur, le représentant de votre condition. Vous devez, pour vous et pour les autres, donner la meilleure image possible. Pour que les gens vous acceptent et que les barrières tombent.

Vous vous faciliterez la tâche dans vos relations avec les femmes et la société. Non seulement vous le ferez pour vous, mais vous dégagerez petit à petit la voie pour ceux qui arriveront après vous.

Je me suis rendu compte de cette chose importante en discutant avec ma voisine handicapée comme moi. Elle a 60 ans, et à son époque le handicap était mal vu.

Rien n’était adapté, elle a dû faire avec au début. Elle a demandé de l’aide, exigé certaines choses pour faciliter l’accès à certains endroits etc.

D’autres ont bien sûr œuvré dans ce sens, et aujourd’hui je profite de tout cela, parce que d’autres ont fait le boulot avant moi.

Je leur suis bien reconnaissant ! Donc à nous d’ouvrir la voie maintenant, handicap ou non.

Au lieu d’exiger des autres qu’ils changent, devenez le changement que voulez voir dans ce monde. Eh non, ce n’est pas seulement une citation pour faire joli sur votre mur Facebook, c’est une vraie philosophie de vie.

La seule limite, c’est vous

On a tous un départ différent dans la vie, selon notre sexe, notre famille, notre culture, notre situation physique…

Donc c’est vrai qu’on n’a pas tous les mêmes chances, mais on est libre de décider de ce qu’on veut accomplir, et d’aller au bout.

Je le dis clairement, il n’y a aucune limite à ce que vous pouvez devenir, faire ou créer.

Quelle que soit votre situation. Disons que ce sera plus ou moins facile selon vos compétences actuelles, votre expérience ou vos relations.

Mais rien n’est impossible si vous faites les efforts nécessaires pour y arriver, et que vous ne lâchez pas avant d’avoir réussi. Certains pourront dire que c’est une utopie, un mensonge de dire que tout est possible. Je comprends, admettons.

Dans ce cas si vous préférez, dites-vous que vous ne savez pas de quoi vous êtes capable. Personne ne le sait, parce que notre pensée elle-même est limitée par nos croyances.

Je le répète : Ni vous ni personne ne sait de quoi vous êtes capable.

Je suis sûr que dans votre passé vous avez accompli des choses que vous croyiez impossible avant de les réaliser. Du genre : « Si on m’avait dit qu’un jour je réussirais à aborder un groupe de filles, je n’y aurais pas cru. »

Vous voyez de quoi je parle.

Quand j’étais encore petit, différents experts disaient à mes parents qu’il faudrait me placer dans un établissement spécialisé. Ils disaient aussi que je ne pourrais pas m’adapter à l’école classique, et que je ne serai pas capable d’écrire.

Difficile à entendre, et encore plus à accepter. Pour autant mes parents ne se sont pas démontés.

Ils ont dit : « Non, notre fils ira à l’école, et apprendra à écrire, quitte à ce qu’on doive lui apprendre nous-mêmes. »

Je suis toujours impressionné par cette histoire, par la force de caractère qu’il leur a fallu pour aller contre l’avis des médecins. C’est grâce leur force que j’ai pu suivre un parcours scolaire dans le monde « normal ». J’ai d’ailleurs aujourd’hui la chance de poursuivre ma vie comme je l’entends.

Pour ceux qui se demande, je n’ai pas une superbe écriture, mais je suis un homme. Gaucher, en plus. Non, ce n’est pas une excuse que je me donne…

J’espère que cette petite anecdote perso vous aidera à trouver la force d’accomplir tout ce que vous voulez, peu importe où vous en êtes aujourd’hui.

Pour finir n’oubliez jamais ceci : Là où vous voyez une limite, il y a une opportunité de grandir, et de montrer au monde de quoi vous êtes capable.

Et vous, c’est quoi votre truc, qui vous empêche d’être pleinement à l’aise avec vous-même ? Dites-moi tout, je suis très curieux de savoir !

Retrouvez Jason sur son blog La part du lion.

Jason, pas besoin de se lever pour rester debout.

Bann-SMS1erRDV

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41 Comments

41 Comments

  1. Luc

    26 décembre 2016 at 17:11

    Avec l’auteur de l’article je vais etre dur mais en pratique tu a seduit combien de filles ? Il faut quand meme etre conscient des limites je crois
    deja pour un mec lambda ou meme un mec qui a beaucoup pour lui c’est pas facile

    • Ted69

      26 décembre 2016 at 17:23

      C’est pas « facile » mais ce n’est pas « difficile » non plus.
      Concernant l’auteur de l’article (très bon article au passage Jason), je ne pense pas me tromper en disant qu’il ne cherche pas nécessairement la quantité non plus.

      D’ailleurs ici ce n’est pas le sujet, le nombre. Le sujet c’est comment passer d’un stade où l’on se victimise à un stade où l’on cherche à se surpasser.

    • Jason

      27 décembre 2016 at 12:40

      Hello Luc !

      Je comprends ton scepticisme, l’idée de l’article n’est pas de dire que tout est facile et que les limites n’existent pas. Je suis parfaitement conscient de la réalité, je la vis tous les jours comme toi.

      Ted a bien résumé ça (d’ailleurs merci). Le message c’est : OUI c’est difficile, mais il ne tient qu’à nous de surmonter les difficultés, et ça passe par l’apprentissage, le travail et la remise en question de ce qu’on peut faire pour s’améliorer.
      Bonnes fêtes de fin d’année les gars !

    • Sylvain

      29 décembre 2016 at 14:22

      Hello ,

      Belle leçon que je n’avais moi meme pas encore lu. On avait fait un article sur comment draguer quand on est petit. Le message est d’autant plus fort quand on parle de handicap.

  2. Lenal'airderien

    27 décembre 2016 at 09:05

    Hello, purée cet article , ça donne la patate ….Chapeau bas mec….J’ai pris une bonne claque dans la « goule » ça remet les idées en place quand je « pleurniche sur mon sort  » …Merci!!!

    • Jason

      27 décembre 2016 at 12:50

      C’est ton commentaire qui met la patate Lena !
      Merci, content que ça te mette une bonne claque (métaphorique) sur le nez !

  3. Alex Martinez

    27 décembre 2016 at 13:04

    Merci pour cette belle leçon de vie ! Cet article est très enrichissant, il nous rappelle que rien n’est joué à l’avance et comme le disait Wayne Dyer,  » changez votre façon de voir les choses et les choses que vous verrez changeront « . Au passage, ton blog c’est de la dynamite ! A quand une session de drague avec Selim 😀

    • Sylvain

      29 décembre 2016 at 14:24

      J’irai jeter un oeil dessus aussi. Voir un peu à quoi ça ressemble la part du lion 🙂

    • Jason

      29 décembre 2016 at 15:56

      Merci Alex Martinez, t’es au top !

      N’hésite pas Sylvain, rien ne me ferait plus plaisir 😉

  4. Dr House

    27 décembre 2016 at 19:25

    Super article qui donne envie de se surpasser et d’arrêter de « pleurnicher » pour un oui ou pour un non…

    • Sylvain

      29 décembre 2016 at 14:27

      La bonne résolution 2017 : on essaye de se plaindre le moins possible

  5. Cassandre

    27 décembre 2016 at 19:41

    Bonjour,

    Dommage que cet article ne suscite pas plus de commentaires, on y trouve sans doute quelques leçons à méditer. Notamment sur la façon superficielle que l’on a parfois d’aborder les gens ou sur les préjugés que l’on associe à certains groupes de personnes.

    En tout cas, bravo à l’auteur pour son mental.

    • Sylvain

      29 décembre 2016 at 14:28

      Effectivement, des choses à en retirer pour tout le monde 🙂

    • Jason

      29 décembre 2016 at 15:52

      Salut Cassandre !
      C’est vrai que les préjugés sont partout, c’est pour ça que je trouve important de travailler d’abord sur ses actes, son image et sur ce qu’on veut véhiculer comme message.
      C’est bien plus important et efficace de travailler sur soi avant de donner des leçons de moral sur comment les autres doivent se comporter.
      Merci à toi pour ton message positif !

  6. Heaven

    28 décembre 2016 at 14:03

    Salut mec,

    Ton article est encourageant et me donne la pêche. Je souffre d’un bégaiement et depuis un an j’aborde dans la rue et dans les bar et boite. Même si je n’ai pas encore les résultats escomptés mais je voie une différence…je dois encore arrêter de me chercher des excuse…

    En tout cas merci pour cet article inspirant

    • Sylvain

      29 décembre 2016 at 14:33

      Courage Heaven. Tu es sur le bon chemin. Continue a travailler meme si tu ne vois pas toujours des progrés immédiats et les resultats viendront.

    • Jason

      29 décembre 2016 at 16:02

      Salut Heaven !
      Merci pour ton commentaire, c’est toi qui m’inspire pour le coup. Aborder dans la rue et en soirée, avec en plus un souci d’élocution, chapeau mec ! zéro excuse…

      Lâche rien comme dit Sylvain, c’est que le début !

  7. Thomas

    28 décembre 2016 at 19:27

    Bonsoir,

    Je suis malentendant et appareillé. Ce n’est pas un handicap « visible », peut-être audible, j’ai quelques défauts de prononciation, mais c’est tout. Cela reste un handicap (en soirée je n’entends qu’un mot sur trois).

    Je tiens à valider tout ce qui est dit dans cet article par Jason, même si nous n’avons pas le même handicap, il reste applicable dans mon cas. Et même dans tous les cas, car personne ne naît parfait, tout le monde rencontre des difficultés, l’essentiel est de savoir y faire face !

    Le passage qui m’a le plus intéressé est celui « Faire de son handicap une force », être malentendant m’a « forcé » à trouvé un autre moyen de compréhension des gens, je peux dire que maintenant je lis très bien sur les lèvres.. 😉

    Un grand merci à Jason, ADS manque d’auteurs aussi motivants !

    • Sylvain

      29 décembre 2016 at 14:35

      Tres utile de savoir lire sur les levres cela dit.

    • AL

      29 décembre 2016 at 14:42

      sur lesquelles ?

    • Sylvain

      29 décembre 2016 at 16:44

      🙂 🙂 🙂

    • Jason

      29 décembre 2016 at 16:12

      Salut Thomas, merci à toi pour ton expérience, c’est toujours un plaisir à lire !

      Pas facile la surdité, surtout en soirée… Handicap ou non, c’est vrai que le but n’est pas de faire parfaitement les choses, mais d’avancer malgré le caillou dans la chaussette !

      Je confirme, lire sur les lèvres ça doit être super utile, en général comme pour séduire d’ailleurs. Ça fait partie des choses qui te font sortir du lot, et pas qu’un peu !

  8. Hugo

    30 décembre 2016 at 12:31

    Belle leçon de vie

  9. carlus magnus

    30 décembre 2016 at 22:01

    Salut Jason,

    Super article merci beaucoup. Il est très complet j’adore. Mon handicap correspond à des troubles autistiques légers. Donc des gros problèmes pour engager la conversation, apprendre à savoir quoi dire ou quoi faire avec les gens et encore plus avec les filles. C’est grâce à ce handicap que j’ai découvert ADS. Certes j’ai des difficultés sur certains points mais je m’en fou je sors, j’expérimente donc j’apprend. Comme le disait Lao Tseu  » l’échec est le fondement de la réussite ». Un handicap quelqu’il soit est compensé par une force. Une de mes forces c’est que je remarque très facilement les détails. Ce qui peut être utile dans diverses circonstances.

    • Sylvain

      1 janvier 2017 at 17:31

      Syndrome d’asperger?

    • Jason

      1 janvier 2017 at 19:03

      Yo Carlus magnus !

      Merci pour ton retour ça met la pêche de lire ton commentaire. Je ne connais pas bien les différents autismes, je sais seulement qu’il y a différents types et différents degrés. En tout cas je vois que tu fais ton maximum pour progresser malgré ça, avec les filles comme dans la vie.

      Tu prouves à tout le monde que ton handicap et compensé par une force comme tu dis. Avoir une grande capacité d’observation c’est très utile ! Continue d’utiliser cette force, c’est le plus important.

      Bonne année, 2017 est à toi !

    • carlus magnus

      1 janvier 2017 at 22:10

      Tu as fait un super boulot Jason bonne année à toi.

      Si je résume je suis pas autiste à proprement parler mais j’ai certains symptômes qu’ont les autistes.

  10. carlus magnus

    1 janvier 2017 at 18:09

    Bonne année sylvain et toute la team ADS. Jolie hypothèse sylvain je suis impressionné par tes connaissances sur le sujet.

    Non les médecins définissent ça comme des troubles envahissants du développement non spécifiés. Je trouve personnellement que c’est plus flippant. Car ça veut rien dire sauf tu as un truc mais on sait pas quoi.

    Mais j’en senti que j’avais progressé hier. Je connaissais quasiment personne et ça s’est super bien passé.

  11. Kheldar

    4 janvier 2017 at 11:10

    Cet article me fait penser à Ragnar quand il dit à son fils, Ivar le Désossé, qu’il surpasse de loin tous ses frères, non pas à cause, mais grâce à ses jambes.

    • Jason

      4 janvier 2017 at 14:01

      J’ai jamais regardé la série mais tu m’a donné envie d’y jeter un oeil Kheldar 😉 J’adore cette mentalité !

  12. Lisa

    8 janvier 2017 at 10:38

    On va encore dire que je la ramène (je n ai lu que le début de l article) mais cet écrit me paraît beaucoup trop angélique : les médecins lorsqu’il s sont confrontés à des cas comme Philippe Croizon, qu’ils ont dû amputer pour qu il reste en vie, d’un ça les marque eux en tant que docteurs et elles/ils mettent d emblée ces patients sous anti -de presseurs. Et leur route est extrêmement longue, beaucoup, non seulement, pensent à mettre fin à leur vie mais une poignée aussi ne font pas qu »y songer.

    Posséder un tel handicap ou être en fauteuil roulant n est pas une mince affaire, même temporairement. Ni pour la personne concernée ni pour l entourage (je ne suis pas handicapée donc je ne me permettrai pas de me positionner en tant que tel., à là place de l ‘auteur..quoique rien qu’en imaginant, mon indice de tristesse infinie explose. ..).

    Merci pour le temoignage et bon courage (du coup, je repense à Laurent Baffie et sa canne dans la rue, jouant l aveugle

    – vous voulez que je vous aide

    – je vous ai demandé de m aider?! De quoi j’me mêle ? !

    • AL

      8 janvier 2017 at 18:24

      « les médecins lorsqu’il s sont confrontés à des cas comme Philippe Croizon, qu’ils ont dû amputer pour qu il reste en vie »

      Je ne connais pas le cas du monsieur dont tu parles, mais ton commentaire m’inspire deux questions :
      Et son choix a lui, quel était il ? (A-t-il été respecté ?) Préférait-il être vivant et amputé ou mort et entier ?

      « beaucoup, non seulement, pensent à mettre fin à leur vie mais une poignée aussi ne font pas qu »y songer. »

      Seconde question : en quoi est-ce mal ? Je suis toujours circonspect quand des êtres humains cherchent à tout prix à vouloir prolonger leur vie alors que, d’une part, ils n’en font plus rien, mais qu’en plus, ils deviennent un fardeau pour les autres. Je ne comprends absolument pas l’intérêt de rester en vie, si c’est pour passer sa journée allongé dans un lit, assis devant la télé ou à jouer au Bingo avec ses camarades de la maison de retraite. Si on utilisait autant d’argent et d’énergie à protéger la planète et sauver les espèces animales qu’on en déploie pour des cas comme Vincent Lambert ou Schumacher…

    • Sylvain

      9 janvier 2017 at 01:06

      Hello,

      C’est sur que personne n’a jamais écrit que c’était facile. Apres c’est comme tout, certains semblent capables de l’accepter et de le vivre mieux que d’autres…Comme toi, j’ai du mal à m’imaginer dans cette situation.

    • Jason

      9 janvier 2017 at 12:45

      Salut Lisa, je suis l’auteur. Je vais répondre de manière très direct :

      Je n’ai jamais dit que c’était facile à vivre, et je n’enjolive absolument pas la situation, je choisis de porter mon attention sur ce qui donne de la force.

      Si t’as vraiment besoin de glauque, Croizon a voulu se suicider après son accident, il ne pensait qu’à ça. Mais un ami lui a rappelé que son fils comptait sur son père. C’est ce qu’il lui a donné le courage de ne pas en finir, et voilà ce qu’il en a fait, un exemple.

      Pour les médecins et toutes les personnes confrontés à ce genre de situation, je n’imagine pas leur souffrance, et bien sûr que c’est difficile pour eux aussi. J’ai vu des amis à moi mourir de leur maladie. Ils savaient qu’ils étaient condamnés, et pourtant ils étaient plus souriants et courageux que moi. Voilà ce que je retiens d’eux, leur leçon de vie, leur force incroyable, pas le fait qu’ils soient morts à 20 ans.

      Bien sûr que cette réalité existe. Mais je suis un optimiste, je fais le choix de focaliser mon attention sur ce qui nous pousse à avancer, c’est ce qui moi me permet de de m’accomplir en tant qu’homme handicapé.

      Je pense que c’est normal de ne pas pouvoir s’imaginer dans cette situation, on NE PEUT PAS tant qu’on ne le vis pas. Je suis conscient de tout ce côté morbide, mais j’ai pas spécialement envie de le rappeler ici. Ce n’est pas le but et pas dans mon caractère. Tu l’as fais pour moi, tant mieux en un sens.

      J’espère que mon message sera mieux compris par toi et ceux qui pensent que je suis un peu trop naïf et angélique, il n’en est rien. Je tenais à être clair là-dessus.

  13. Lisa

    9 janvier 2017 at 13:55

    @Al: le corps médical agit dans l urgence et en effet, leur but est de te sauver la vie que tu le veuilles ou non. Ce qui, nous sommes d ‘accord , peut poser question et débat.

    Il faudrait aller demander à des personnes et patients tel Philippe Croizon. Et effectivement, je ne suis pas sûr du tout qu à cet instant T durant lequel les médecins t annoncent ce qu ils ont dû réaliser comme opérations pour te sauver la vie, tu sois aimable et affable. Je dirais plutôt que tu ne souhaites pas du tout les remercier. Qu’ils aillent au diable!
    Je pense donc que tu dois les haïr en premier lieu. Le cas de Philippe Croizon est tout de même marginal hein…Et il y a parmi les personnes handicapées deux groupes : celles et ceux qui sont né s / nées avec un handicap et celles et ceux dont le handicap surgit dans leur vie : exemple du chanteur Grand Corps Malade. Tu as alors à faire le deuil de ta vie d avant . En l occurrence, tu ne pour ras plus jamais marcher et encore moins faire une carrière dans le sport et devenir basketteur pro.

    Quant à l histoire de Vincent Lambert, je la trouve atroce dans le sens où certains de ses proches ne peuvent admettre de le laisser partir. Alors que lui l a demandé : il n a jamais demandé à être maintenu en vie, si je ne me trompe pas. Et la famille se déchire à ce sujet.

    Enfin, Jason, Philippe Croizon a attenté à ces jours au moins une fois : quand sa famille l a quitté après avoir vécu et soutenu son mari pendant environ 7 ans après l accident. Et oui, des idées noires, il en a eu beaucoup.

    Un de ses amis lui a effectivement dit : tu dois te battre pour tes deux fils. Merde Philippe, ils ont besoin de toi tes enfants !

    Son idée de traverser les océans lui ai d ailleurs venu à l hôpital en regardant la télévision : si elle/il peut le faire alors pourquoi pas moi?

    La vue est inique. Le sketch de Coluche est excellentissime quand il parle des hommes égaux mais tout en rappelant que si t es noir , pauvre et handicapé tu morfleras beaucoup, beaucoup plus.

    Après, bien évidemment qu être optimiste, ça s apprend. Mais tu le sais mieux que moi Jason : tu es en premier lieu remarquable car tu es en fauteuil roulant. Pas pour autre chosé de prime abord. Ce qui fait la différence , c est posséder un état d esprit optimiste mais certainement en ne faisant pas fi de la réalité. La vie est dure. Les femmes et les hommes ont créé des lois afin que les femmes et les hommes ne vivent pas la loi de la Jungle, la loi du plus fort, la loi du Talion 🙂

  14. Lisa

    9 janvier 2017 at 13:58

    *ne pourra plus jamais marcher comme avant

    (…) quand sa femme (et non sa famille)

    *

  15. Lisa

    9 janvier 2017 at 14:00

    Est et non ai (maudits portable!)

  16. Marc

    28 janvier 2017 at 23:44

    Ayant perdu ma main droite durant l’adolescence, je peux vous dire que je n’ai JAMAIS osé montré mon handicap à une fille avant plusieurs rendez-vous. Dans une société ou on nous bourre de message tel que « être beau est important », « bla bla bla », le fait d’avoir un handicap est pire que tout.

    Les gens ont tendance à cataloguer les autres (voici le roux, la grande brune, la jolie aux yeux bleus, le grand noir, etc..) alors pour moi c’est directement « celui qui a une main ».

    Le souci c’est que le fait d’avoir un handicap nous différencie (un peu trop) des autres car tout ce qui est différent marque les gens (que ce soit positif ou non).

    Alors ce que je fais en général c’est parler de mon handicap après avoir eu des rapports avec la fille, elle se dit qu’elle ne l’a pas remarqué avant et mon handicap deviens une force car elle pense : »il a un handicap assez lourd et pourtant il a tout pour me plaire, me charmer).

    Bon après j’ai dans mon malheur, la chance de pouvoir cacher mon handicap plus ou moins facilement un peu à la Jamel Debouzze .. !

    Et ceux qui me diront « ouais mais il faut pas cacher son handicap » je réponds: oui et toi quand tu te lèves le matin avec un ENOOORME bouton sur le nez, bien visible, que fais-tu ? Bha tu essai de le camouflé, le péter, faire en sorte qu’il soit moins visible car tu sais que ce n’est pas à ton avantage..

    Bien à vous,

    Marc

    • Sylvain

      30 janvier 2017 at 13:01

      Merci pour le témoignage Marc,

      Curiosité, comment tu arrives à coucher avec une fille et faire en sorte qu’elle ne se rende pas compte qu’il te manque une main? Car bon, habillé tu peux toujours la mettre dans ta poche mais une fois dénudé…

    • Marc

      4 février 2017 at 15:32

      Hello,

      Tout est dans l’anticipation et l’art de l’a menée ou je le décide ;-).
      Exemple dont je me rappel: Elle veut me prendre les mains, je lui tiens les deux par les poignets.. Mais ça reste très naturel je n’y pense casi pas!

  17. Straus

    7 septembre 2018 at 23:40

    L’article est plutôt bon.
    Cependant, ayant un handicap invisible et donc difficile à comprendre, je suis plutôt d’avis qu’il faut déjà avoir de la proximité avec sa cible avant d’annoncer la couleur (sauf cas de force majeur).
    Et donc si annoncé faire passer le handicap comme un rythme (quitte a y revenir dessus plus tard).
    Et donc faire les choses le plus normalement possible car une fille attachée sera plus comphrensive. Il y a peut être des cas exceptionnels mais je n’en ai jamais rencontré…nous vivons dans la société des apparences, de la personne parfaite égoïste et imbue d’elle même.

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