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Art de Séduire : Séduction

6 Choses à Savoir sur les Filles Hongroises Avant de Partir à Budapest

Draguer à Budapest

Lifestyle et réussite

6 Choses à Savoir sur les Filles Hongroises Avant de Partir à Budapest

6 Choses à Savoir sur les Filles Hongroises Avant de Partir à Budapest

Draguer à Budapest

Ah la Hongrie, doux pays de moins de 10 millions d’âmes à qui le monde doit l’invention du stylo à bille, du Rubik’s Cube et de l’hélicoptère.

Si Budapest est surnommé « la Perle du Danube », « le Paris de l’Est » ou encore « la Romantique », ce n’est pas seulement dû à son dynamisme, ses monuments historiques ou son cadre de vie somptueux : ses habitantes sont également l’objet de tous les fantasmes.

Découvrez les 6 choses indispensables à connaître sur les plus belles filles de l’Europe centrale – à commencer par le fait que toutes ne s’appellent pas Esther, Jazmin ou Fruzsina.

1. Les Hongroises ne sont pas des putes

Avis à tous les touristes mâles qui s’imaginent débarquer le temps d’un weekend en pays conquis et acheter leurs nuits avec un chewing-gum : vous risquez vite de déchanter et de revenir avec pour seul souvenir une séance de « massage » dans un salon miteux (le seul type de salon qui existe).

[Comme toujours, n’écoutez que de loin ces récits d’excursions fabuleuses un peu trop beaux pour être vrais.]

Tout ce qui concerne le tourisme sexuel pue franchement la défaite. De un, parce qu’en vrai c’est glauque à souhait, et de deux, parce que ça sent l’arnaque 95% du temps.

[En même temps si vous êtes assez niais pour ne pas voir que quelque chose cloche quand vous vous faites accoster au forcing par une fille plus jolie que vous, vous méritez peut-être de lâcher plusieurs centaines d’euros pour une bouteille dans laquelle vous n’avez pas bu.]

Les Budapestoises ne sont pas plus faciles qu’ailleurs, et seul votre game vous ouvrira les portes de leur chambre à coucher.

Une fois à l’horizontale, d’aucuns diront qu’elles se montrent assez décomplexées quant à la chose (merci le communisme et ses quatre décennies d’intense déchristianisation ?), beaucoup d’entre elles ne se cachant pas de regarder des films pour adultes pour savoir comment il faut faire.

[Certes « Budasex » oblige, vous pouvez tomber au hasard de vos pérégrinations sur un acteur porno dans le vestiaire de votre salle de sport, avoir pour coloc l’ex de Eve Angel, ou même recevoir un coup de fil d’un certain « Michel »… alias le Michel de Jacquie & Michel.]

2. Les Hongroises parlent anglais

Budapest peut sans problème être considéré comme une ville bilingue – et fort heureusement vu la haute complexité de la langue magyare, l’une des plus difficiles à maîtriser au monde.

La langue de Shakespeare n’y est peut-être pas pratiquée avec autant d’aisance que dans les contrées allemandes ou néerlandaises, mais ce qui est sûr c’est qu’en comparaison avec notre Hexagone il y a de quoi rougir, et pas qu’un peu.

À tel point que, comme c’est de plus en plus le cas, non seulement parler anglais ne présente rien d’extraordinaire, mais constitue au contraire un sacré discriminant, tant social, culturel, qu’économique.

[Pour qui a un minimum d’exigence intellectuelle envers ses targets, une fille qui ne parle pas anglais c’est directe la rétrogradation d’une division.]

Conséquence, nul besoin d’aborder une inconnue avec un opener hasardeux à la « Do you speak English? », un simple « Hi/ Hey » suffisamment affirmé fait amplement l’affaire.

Tout ceci ne vous dispense évidemment pas d’apprendre le vocabulaire de courtoisie local, qui avec la bonne prononciation fait toujours son (petit) effet.

[Hongrois et Hongroises vivent dans un petit pays au patriotisme heurté (mais patriotique quand même), et ne sont jamais indifférents à l’attention que leur porte le monde extérieur.]

3. Être français n’équivaut en aucun cas à un passe-droit

Oubliez sans délai le mythe du French Lover qui précédé par sa réputation flatteuse les ferait toutes tomber.

La rareté faisant la valeur, vous allez vite comprendre celle de votre passeport en rencontrant à la pelle vos semblables en plein EVG dans les rues et clubs du centre-ville.

Tout au mieux cela provoque une légère curiosité, mais ne comptez pas capitaliser là-dessus une conversation entière pour draguer à Budapest.

Globalisation oblige, Budapest est l’image de toutes ces grandes villes occidentalisées où vous vous trouverez plus d’accointances avec leurs habitants qu’avec les populations périphériques de votre propre pays.

Si la Hongrie n’est pas une terre multiculturelle, sa capitale n’en est pas moins cosmopolite et parcourue en continu et à foison par des rangées d’airbnbistes qui viennent manger sans gluten et boire des macchiatos aux terrasses des Starbucks.

4. Les Hongroises ne sont pas toutes sublimes

Surprise, au même titre que les Californiennes ne sont pas toutes sauveteuses à Malibu ou que les Madrilènes ne sont pas toutes des sosies des sœurs Monica & Penélope Cruz, toutes les Hongroises n’affichent pas un visage d’ange doublé des mensurations d’une actrice de X.

Racisme bienveillant mis à part, comme dans la vraie vie, il y a des filles moches et des filles à tomber partout – le territoire ayant été traversé au cours des siècles par différentes ethnies, le mélange dont elles sont le fruit leur donne un charme tout à fait unique <3.

Toujours sur une note moins politiquement correcte, on peut constater un certain décalage avec la sophistication parisienne.

[Décalage qui se mesure également dans les clubs où malgré internet sont joués des sons nouveaux chez nous il y a 5 ans ou plus.]

Sujette à un capitalisme encore maladroit*, la Hongroise (expression à prendre ici de manière trèèès générale, commencez pas à troller dans les commentaires) est très « new money ».

Faux ongles, diktat des très cheap rose bonbon et blanc bidet, ultraviolets un jour sur deux… le moins que l’on puisse dire c’est que tout le monde n’a pas les mêmes standards de l’élégance.

*Il n’y a qu’à se balader dans les rues et observer les devantures des magasins pour s’en rendre compte.

5. Les Hongroises ne sont pas habituées à se faire accoster dans la rue

Pas besoin d’être grand clerc pour observer que la Hongrie n’est pas un pays latin : personne ne parle avec les mains, personne ne parle aux inconnues.

Bonne nouvelle, cette barrière n’est pas une. Pour peu que vous passiez le test de la normalité, cette dernière peut même rapidement se transformer en avantage – cf. quelques lignes plus haut : « la rareté fait la valeur ».

Si jouer au pick-up provoque donc une certaine défiance au premier abord, à vous d’appuyer sur le côté spontané (voire intrépide) et sincère de votre démarche (un peu comme chez nous quoi, mais n’hésitez pas à forcer ce trait encore un peu plus).

[À quand une école ArtDeSéduire.HU ?]

L’énorme avantage dont vous disposez repose ici sur la grande quiétude des rues. Cela changera peut-être à l’avenir, mais rare sont les fois où vous entendrez klaxonner ou jurer, les trottoirs et les magasins ne sont pas bondés, et plus globalement le stress ne se fait pas sentir comme ce peut être le cas dans d’autres grandes villes.

Enfin, bien que les salaires soient particulièrement bas, insécurité et incivilités sont quasiment absentes.

Une situation qui n’est pas sans conséquence sur le quotidien de la guerre des sexes. Ici pas de campagne à tire-larigot contre le harcèlement de rue, et pour cause ce dernier n’existe pas ou très peu (les forceurs/siffleurs ça existent partout).

Au final, adresser quelques mots à une fille sur la voie publique se révèle beaucoup plus peace, même en cas de râteau.

6. Les Hongroises vivent toujours dans une société patriarcale

Vielle nation de tradition industrielle et paysanne, la Hongrie n’a pas encore cédé aux sirènes de la dévirilisation.

Hommes et femmes jouent ainsi chacun leur rôle. N’ayez donc pas peur de faire preuve de masculinité – pour la énième fois cela ne signifie aucunement être lourdingue ou machiste merci.

[Après plus ample connaissance, en cas de shit test la ligne un brin provocatrice « don’t be a pussy » marche plutôt très bien.]

Au « raffinement » du dandy ectomorphe métrosexuel (ça se dit encore ça ?), les Hongroises préfèrent l’oligarque à la silhouette d’ex-culturiste (gros-bras-gros-bide), et ce d’autant plus s’il arbore un t-shirt à imprimé ostentatoire tendance BOSS ou marque italienne en -i.

Écrit comme ça, cela peut vite donner l’impression qu’elles ont des goûts de chiotte… ce qui n’est pas fondamentalement faux (#HaterzGonnaHate, leurs compatriotes rouges-blanc-verts n’étant pas toujours des plus accueillants envers les expat’ venus piquer leurs meufs), d’autant qu’il existe une certaine « préférence nationale » à leur égard.

[BONUS] Quelques bons plans si vous comptez partir à Budapest !

Séduire à Budapest

0. Quitte à se répéter, évitez tout ce qui est stripclub et tout ce qui ressemble de près ou de loin à des activités alpha-boloss (genre les Sparty, ces soirées dans les bains de la ville et leur ratio 1 fille pour 5 mecs).

1. Pour découvrir la ville dans ses grandes artères, optez pour le toujours très efficace réseau de bus Hop On Hop Off – formule 48 heures, lignes rouge, ligne jaune, ligne bleue (en bateau). Pour découvrir la ville par surprise et par vous-même, n’hésitez à pédalez à l’aveuglette avec le Vélib local (Bubi dans le texte), là encore imbattable rapport qualité/prix.

[Attention aux taxis privés, les « compagny cab », qui ne se différencient du réseau traditionnel, non pas par leur couleur, mais par leurs tarifs 4 ou 5 fois supérieurs.]

Draguer une Hongroise

2. Pour faire du sport, aux salles qui sentent le néon et la moquette climatisée, préférez les cours d’aviron sur le Danube, discipline un peu technique au début mais beaucoup plus gratifiante que de s’épuiser tout seul sur un stepper – mention spéciale aux séances matutinales (6 heures sur le pont) sur une eau d’huile.

Si vous êtes branchés sports de combat (n’importe lequel), direction la University of Boxing qui vous initiera à la rugosité hongroise grâce à ses coachs non anglophones et ses séances de sparring pas toujours des plus cordiales.

Plus anecdotique, si vous avez toujours eu envie de « sortir les Kalash’ comme à Marseille » (mais aussi les Uzi, les M-16, les fusils à pompes, et toute l’artillerie de l’Armée Rouge), le Celeritas Shooting Club vous attend – c’est un peu chéros, l’accueil est à chier, mais cela reste quand même marrant, parce que bourrin et débile. #DanBilzerian

Draguer à Budapest

3. Pour donner vos rencards, les options sont évidemment légions (à commencer, on ne l’écrira jamais assez, par les trésors que recèlent votre quartier). Est vivement recommandé le High Note Sky Bar et sa terrasse située sur le toit du très classe hôtel Aria – un lieu paradoxalement peu connu, doté d’une vue imprenable sur la basilique Saint-Étienne.

Quand le temps est moins clément, le restaurant et bar à cocktails La Perle Noire situé sur la rue Andrassy (rue principale de la ville, classée au patrimoine historique) s’apprécie à sa juste valeur. Là encore l’endroit est peu fréquenté (#VousAllezLaSurprendre #ElleVaKiffer), mais vaut tant par la qualité de son accueil, de ses boissons et de sa nourriture. Et pour ne rien gâcher, vous ne vous ruinerez même pas.

Enfin, si vous aimez le poisson et les fruits de mer (cuisinés de surcroît devant vous), le restaurant Big Fish place Oktogon est un must – les tarifs étant ici plus élevés, pas question d’y inviter n’importe qui donc.

4. Pour sortir tard le soir, profitez de la concentration des clubs et du coût dérisoire des verres pour passer d’un établissement à un autre, que ce soit dans la rue Kyraly (les fans de rap, guettez quand DJ O’neal se produit au BRKLYN) ou dans le 5ème arrondissement (le Five, le BOB, etc.).

Pour les amateurs d’ambiances plus posées, le Budapest Jazz Club et ses concerts live n’est à manquer pour rien au monde.

En revanche si votre truc à vous c’est de siphonner tuyau à la bouche des bidons de mojitos et de sauter partout au son des plus grandes stars mondiales de la FM (mais pas que), l’incontournable Sziget Festival vous attend – vous n’y croiserez cependant que peu de Hongrois vu les prix prohibitifs.

5. Pour faire des trucs que vous ne ferez pas ailleurs, rendez-vous à l’extérieur de la ville au Memento Park où gisent dans un parc les statuts de l’ère communiste – à visiter un dimanche matin pluvieux d’hiver pour vous mettre dans le mood.

Apprendre le patin à glace coincé entre la Place des Héros et un château Disney, c’est possible (et ça marche aussi en cas de date).

Fan de jeux de rôles ? Pourquoi ne pas y jouer en grandeur nature ? Nombreux sont ceux proposés, Claustrophilia ne vous décevra pas.

Enfin, si vous souhaitez écrire vos articles ArtDeSéduire dans le calme et la volupté, la (très belle) bibliothèque du (très beau) Parlement vous tend les bras.

 

Des questions sur la ville ? Des retours d’expérience similaire ou au contraire à l’opposé du spectre ? Des anecdotes ? On en parle dans les com’ !

Aurélien, qui a vécu une très belle année 2016 à Budapest.

Bann-SMS1erRDV

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44 Comments

44 Comments

  1. marek

    10 mars 2017 at 11:43

    Pour y avoir été, les gens sont épris de fortes valeurs chrétiennes de la société et des femmes et les mecs ne rigolent pas, de ce point de vue là. Les mecs ont des couilles et il faut rester prudent.

    • Aurélien

      10 mars 2017 at 16:59

      Salut Marek,

      En même les hongrois son étonnament parfois super passifs (genre tu peux draguer leur meuf devant eux sans qu’ils ne te disent rien).

      A.

    • marek

      10 mars 2017 at 17:32

      Dans un bar je n’ai pas vécu la même expérience, j’ai cru qu’on passait à la moulinette avec un collègue après avoir dragué deux nanas.

    • Sélim

      11 mars 2017 at 09:17

      Je vous dirais bien « question de prénom et d’apparence » peut-être, non ?

    • marek

      11 mars 2017 at 12:16

      C’est exactement ça, ça donne le ton..

    • Sylvain

      11 mars 2017 at 16:22

      Les pays de l’est, toujours se méfier. Déja quand les Hongrois sont descendus pour l’Euro, ça a pas trop fait les malins ici!

    • Aurélien

      11 mars 2017 at 17:33

      Histoire de nuancer, pour avoir passé l’année en grande partie avec des personnes de couleurs, aucun problème à signaler de ce côté là de leur part.

  2. Zizou

    10 mars 2017 at 17:22

    Tres bon article comme toujours!

    Je me languis le prochain sur les femmes d’Afrique du Sud ^^

    • Aurélien

      10 mars 2017 at 17:32

      Haha ! Ça risque d’être plus compliqué tant l’Afrique du Sud est a contrario de la Hongrie immensément variée ethniquement et culturellement.

      Du coup je pense plus partir sur un sujet sur le surf et la drague #OopsSpoiler

    • Sélim

      11 mars 2017 at 09:18

      Hâte de m’amuser sur ce futur article…

    • Sylvain

      11 mars 2017 at 16:27

      Oui! Moi aussi!!! Il y a du lourd qui arrive. #Teaser

    • Aurélien

      11 mars 2017 at 17:46

      Et bien ne reste plus qu’à tenir plus de 15 secondes debout sur cette foutue planche…

      Surf = école de la modestie

    • Sylvain

      13 mars 2017 at 18:11

      Commencer par le skate peut être?

  3. Quentin

    10 mars 2017 at 22:43

    Super article Aurélien, j’adhère !
    Mais tu as oublié de recommander le festival peace & love, surtout Love d’ailleurs… (on est sur ADS quand même) O.Z.O.R.A qui est à peine à une heure de Budapest.
    A faire à tout prix pour les amateurs de Trance, dub et techno 🙂

    • Aurélien

      11 mars 2017 at 07:24

      Salut Quentin,

      Je t’avoue que je suis pas trop branché électro et comme je voulais parler que de ce que je connaissais j’ai zappé les nombreux festivals aux alentours (comme le Balaton Sound).

      Merci pour ton com’.

  4. Rising

    10 mars 2017 at 23:40

    Salut Aurelien.
    L’article est tres sympa. Il peut être sûrement d’une grande utilité.
    Bonne continuation ADS.

    • Aurélien

      11 mars 2017 at 07:25

      Salut Rising et merci.

      Disons que le fond de l’article peut servir (ou juste intéresser) je l’espère au-delà de Budapest.

      @+

  5. jay

    11 mars 2017 at 10:43

    Et si (comme moi) vous rencontrez une femme qui change votre vie dans cette magnifique ville je vous conseil de vous renseigner sur le traité du Trianon,sujet qui finira inévitablement sur la table.
    Il y a certaines tensions toujours vivace entre la France et la Hongrie.

    • marek

      11 mars 2017 at 12:20

      Les Hongrois sont chauds sur la question du traité du Trianon, en ce moment ils construisent aussi un mur, les nationalistes du Jobbik sont hauts dans les sondages..Et je trouve que ce climat se ressent. Le rideau de fer n’est pas loin.

    • Sylvain

      11 mars 2017 at 16:34

      Merci pour ce témoignage Jay! Rencontrer la femme de sa vie en Hongrie! Belle histoire!

    • Aurélien

      11 mars 2017 at 17:38

      Nombreux sont les français définitivement expatriés après avoir rencontré une hongroise en effet.

      Pour ce qui est du traité du Trianon, la plaie est encore ouverte en effet, la Hongrie étant assez nostalgique de son passé de possible grande nation.

  6. marek

    11 mars 2017 at 12:25

    Bonjour,
    Voilà j’ai une question, ça fait plusieurs mois que je subis du harcèlement moral au travail de mon patron, je songe à partir mais avant j’aimerais trouver un autre job..
    Cependant, aucune des annonces proposées me plait, mon entourage me répète de prendre entre guillemets n’importe quoi comme job (même si ça ne me plait pas) pour sortir d’où je suis actuellement.. je me pose la question de savoir s’ils ont raison,
    Si quelqu’un peut me dire si vous pensez que c’est pertinent..
    Perso je pense que non..

    • Sylvain

      11 mars 2017 at 16:38

      Hello Marek,

      C’est toujours d’actualité cette histoire?? Franchement, pour savoir si tu es au bon endroit niveau taf, pose toi la question suivante : « est ce que je continuerai de vouloir faire ça si je gagnais à l’euromillions? » Si la réponse est non, tu peux commencer à préparer un plan de sortie. Apres a toi de voir, trouver un nouveau taf, bouger à l’étanger, créer une boite, se former…Ca se réfléchit. Prendre n’importe quoi, je ne pense pas. Au pire tu negocies une rupture conventionnelle, tu toucheras le chomage et tu pourras réfléchir. Et si tu n’y arrives pas, fais leur à la marseillaise, fais toi mettre en burnout.

    • marek

      11 mars 2017 at 22:20

      Sylvain,
      Malheureusement c’est toujours d’actualité, si je gagnais à l’Euro million pour rien au monde je ne voudrais rester où je suis..
      Trop horrible..
      Je suis quasi aux portes du tribunal avec le patronat..C’est un enfer..Dsl pour le sombre tableau..Ma question était vraiment de savoir si, comme me le conseillent nombre de mon entourage, il est opportun de prendre n’importe quel autre boulot, pour sortir d’où je suis..Et que le harcèlement de fait, cesse..
      Pour le burn out j’y suis déjà..Mais ce n’est pas reconnu en accident de travail par le gouvernement, seulement en arrêt de travail et au bout de quelques mois d’arrêt il n’y a moitié de salaires puis plus de salaires..J’ai clairement des idées noires.
      Pour le chômage, si je démissionne de moi même je n’en aurais pas.. Comment faire.

    • Sylvain

      13 mars 2017 at 18:18

      Hello Marek,

      Essaye de voir ce qu’il y a à prendre. S’il y a des preuves, tu vas aux prud’hommes et une fois que c’est réglé tu t’en vas. Apres il faut s’attendre a ce qu’ils essayent de te faire craquer. DOnc si tu veux gagner et partir avec de l’argent: être irréprochable et être solide dans la tête. 🙂

    • Aurélien

      11 mars 2017 at 17:42

      Marek, faisons simple : si harcèlement effectivement il y a, tu n’as qu’une seule option : casse toi le plus vite possible

      Ne laisse personne te faire du mal (jamais). Plus longtemps tu restes, plus longue sera la période convalescence et plus longtemps tu mettras à rebondir.

      Mes 2 cents.

    • marek

      11 mars 2017 at 22:13

      Aurélien j’ai franchement très mal depuis 2 ans de ce harcèlement moral au travail avéré, je suis en contact avec un syndicat mais un avocat que j’ai pris m’a lâché en cours de route, il s’est fait monter la tête par le patronat..J’ai déjà beaucoup de stress traumatique, je suis en souffrance réelle av c des idées noires.. Désolé pour le tableau..Et souhaitais savoir si je.devais entre guillemets prendre n’importe quoi comme autre travail comme me l’indique mon entourage..
      J’ai.peur d ne pas m’en sortir et surtout sans séquelles..Car ça fait longtemps que ça tape dans ma tête..

  7. Rising

    11 mars 2017 at 16:04

    @ marek.
    Je pennse que prendre n’importe quel job n’est pas la solution. Car si tu subis du harcèlement au travail c’est grave. Tu as besoin comme tout le monde d’être respecté. Choisir l’empressement d’un nouveau travail n’ajouterait que de la difficulté. Et toi même tu le penses aussi. Note si tu le peux sur une feuille pour toi pour aide memoire les paroles dures que l’on te dit avec la date et l’heure. Qui sait ?
    Ce sont des debuts de preuves.
    Prend ton temps pour reflechir sur ce que tu peux et ce que tu veux faire par la suite.
    L’,harcèlement est un poison. Peu importe ce que te dit ton entourage. C’est important d’aimer son travail et ne pas prendre n’importe lequel.

    • marek

      11 mars 2017 at 22:09

      Rising j’ai déjà écrit 50 pages de ce qu’on me dit au quotidien, je suis en contact avec un syndicat et ai pris un avocat, mais ce dernier s’est laissé acheter par le patronat et à mots couverts ne souhaite plus trop me défendre..(malgré des preuves tangibles de harcèlement moral au travail)
      Je suis assez désemparé, tout cela me travaille énormément je fais des cauchemars à répétition depuis presque 2 ans, je souffre affreusement, j’ai clairement des idées noires..
      C’est ce que je pensais aussi je voulais avoir l’avis des membres ADS sur ce que mon entourage me dit quant au fait de prendre n’importe quel boulot pour à tout prix partir de mon lieu de travail cauchemardesque.. Bref tout cela a un retentissement énorme sur ma vie..J’ai peur de ne pas m’en sortir et surtout sans séquelles..

    • bilou

      14 mars 2017 at 01:00

      Hello Marek,

      Je suis d’accord avec ton entourage. Pour commencer, cesse le mal, pars d’où tu es. Tu seras mieux ailleurs qu’ici. Même si le boulot te plait pas, tu réfléchiras à ça plus tard et tu changeras après, mais pour l’instant il faut stopper ce qui est en train de se passer et le moyen le plus rapide est de partir.

      Bien à toi,
      Nabil

  8. Carlus Magnus

    11 mars 2017 at 17:23

    Salut Aurélien,

    Article très sympa ça donne envie de voyager. La description que de fait de Budapest me fait un peut penser à Stockholm par certains côtés (parce que j’y suis allé il y a 3 semaines)

    Une autre mentalité que dans nos pays latin et d’autres modes de vie. Dans la Venise du Nord les gens sont très bien habillés et très accueillants. En séduction c’est que la femme séduit beaucoup plus et l’homme est passif (voir timide). C’est assez marrant quand on y pense. Les vikings ont terrorisé l’Europe pendant des siècles et les hommes ont peur d’aller aborder des filles.

    • Aurélien

      11 mars 2017 at 17:44

      Je crois que ce qui nous sépare des scandinaves en matière de séduction est bien plus qu’une barrière, c’est un monde.

      Sur Budapest, n’hésite pas Carlus. Je n’ai jamais rencontré personne qui n’a pas apprécié cette ville.

    • Carlus Magnus

      11 mars 2017 at 18:10

      Mdr je pense aussi un gouffre énorme.

      Je vais y réfléchir j’ai déjà pas mal de choses en tête en ce moment : je veux trouver au autre boulot et il y a des loisirs que j’ai envie de faire.

    • Sylvain

      13 mars 2017 at 18:09

      Ils se sont reposés sur leurs petits lauriers et les voici dépassés par la nouvelle vague!

  9. Rising

    11 mars 2017 at 19:34

    Wahou la Scandinavie !
    Les suédoises au niveau beauté c’est hors catégorie : des bombes tout simplement.

    • Sylvain

      13 mars 2017 at 18:12

      Si on aime les blondes!

  10. Dr House

    11 mars 2017 at 20:54

    Sympa et merci pour les bons plans à Budapest .

    Cette ville fait partie de ma liste de voyages à faire. Elle a effectivement une bonne réputation.

    Concernant le style des hongroises , c’est un peu le style des américaines mais avec une quinzaine d’années de retard non ?

    Sinon je savais pas que Dan Bilzerian était hongrois … 🙂

  11. Kheldar

    11 mars 2017 at 21:07

    Wouah ! Je suis scotché rien qu’en regardant l’image de couverture de l’article 😉

  12. Cyril

    14 mars 2017 at 23:59

    +1 de Budapest
    Guide en anglais pour Budapest pour ceux que ça intéresse:

    Budapest Field Pickup guide

    The people: The Hungarian people are not Slavic as we think. Is central Europe, not East Europe.
    Their ethnicity is way more Germanic than Slavic. They are not smiling in street (compare to Holland
    for instance) and they are slightly pessimistic.
    Warning: Because of a recent increase of tourism, specially English, German, and North Europe who go there to get drunk as hell and being rude (they think they are going in a poor country in Hungary and because they have money they can do whatever they want; yelling in street, pissing on walls, being very rude), so because of that if you are a tourist some girls would pretend to not talk English.
    In 2 weeks I met 10 girls who pretend to not speak English. Learn some words in Hungarian just to show them you are interested to their culture and you are not just a party like tourist.
    The girls: Girls there are hot and dress sexy, sometimes too much sexy ? like a short who start at the middle of the ass for instance. I found a lot of girls with incredible asses and breasts. They are feminine and they really love to dress sexy. The ratio of girls dressing casual and not sexy is weak.
    (Go to France and you will understand, they all cover there likeTaliban’s). Budapest is the European capital of porn, so you can find sometimes very pornstar like girls.
    The country was not destroyed by feminism like France for instance, and is for me a explication why girls their love to be feminine and are normal with guys.
    Observation for NPU: People there eat early, often at 6:00 p.m or 7:00 p.m that means they go in bar very early too. If you want to meet girls from Budapest and not tourists be in bars very soon.
    Between 8:00 p.m. to 10:00 p.m. is the best. Of course don’t make that rule a unbreakable rule, you have a lot of exception too.

    Si vous êtes intéressez je peux éventuellement faire une traduction ou transmettre le guide complet avec des suggestions de lieux intéressant.

    @+

    • Aurélien

      15 mars 2017 at 19:29

      Bien vu le shit test « je parle pas anglais », j’aurais du le mentionner.

      Sinon celui qui a écrit ça, a vécu dans la même villle que moi 🙂

      Merci pour le com Cyril.

  13. Vincent

    15 mars 2017 at 14:46

    Je mettrais quand même un bémol pour le point N°2. Si c’est vrai que ça parle Anglais (chez les jeunes générations) à Budapest (et encore dans le centre) dès qu’on s’éloigne un peu c’est plus compliqué. Disons que nos niveaux entre Hongrois et Français par rapport à l’anglais sont proches, certaines le parleront parfaitement, pour d’autres ce sera plus compliqué.

    Attention aussi aux filles qui vous attirent dans les bars mafieux … J’y ai vécu un an et mon expérience m’a montré qu’une fille hongroise fait très rarement le premier pas et en général quand elle le fait c’est par intérêt.

    • Sélim

      15 mars 2017 at 15:12

      Bien d’accord avec ça, et ça m’a fait marrer la première fois à Budapest.
      On était un petit groupe de mecs, et on se fait aborder par deux bombes, et l’un d’entre nous (on ne dira pas son nom, c’était le plus « puceau » du groupe, était persuadé qu’elles s’intéressaient VRAIMENT à nous).
      Les trois autres, plus sur nos gardes, on a ri en voyant passer un autre groupe de touristes, direction le bar à strip-tease, où les mafieux te font boire un verre pour 100€ !

  14. Loulou

    3 juin 2017 at 03:48

    Bonsoir!j’ai tant aimé visiter ce beau pays,mais je voudrais bien connaître les gens par correspondance avant d’entamer ce voyage,salutations

    • Aurélien

      6 juin 2017 at 20:41

      Lulut Loulou,

      Te casse, prends un billet et pars. Le reste suivra.

      Peace.

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